Mon compte
    Au grand balcon
    Note moyenne
    3,3
    30 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Au grand balcon ?

    6 critiques spectateurs

    5
    0 critique
    4
    1 critique
    3
    1 critique
    2
    2 critiques
    1
    2 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 décembre 2017
    Un film sans génie sur l'aéropostale, une aventure formidable à son époque mais que Decoin ne parvient pas à magnifier, le scénario se concentrant plutôt sur les relations conflictuelles entre le directeur tyranique (excellent Fresnay) et ses employés, rapports qui n'évoluent pas et qui finissent par lasser le spectateur. La partie se situant au Maroc reste la plus intéressante malgré des scènes téléphonées (la vengeance de l'interprète).
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 950 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2014
    L'aventure aèrienne n'est pas vraiment un sujet qui passionna les cinèastes français! Mais elle eut quand même quelques bons moments dans les annèes 30-40, comme "Au grand balcon", de Henri Decoin, avec Pierre Fresnay et l'indisciplinè Georges Marshal, sur l'Aèropostale! Une belle èpopèe qui passe encore bien à l'ècran (mes parents ont vu ce film à Paris, dans le 5e arrondissement) où la règle en est très simple: les pirouettes de cabotin, c'est pas le genre de la maison et pour les acrobates, y a les cirques! Ici, on est ouvrier et tous les ouvriers se valent! Parmi les autres films français d'aventures aèrienne, il faut ègalement ajouter "Courrier sud" de Pierre Billon, "Au yeux du souvenir" de Jean Delannoy et surtout "Le paradis des pilotes perdus" de Georges Lampin! Trois autres classiques du genre dont le film le plus important sur l'aventure aèrienne restera quand même "Le ciel est à vous" de Jean Grèmillon! En attendant si vous avez le goût de l'aventure, allez vous mettre à la disposition de monsieur le directeur Pierre Fresnay, y a peut-être une place de pilote qui vous attend...
    Estonius
    Estonius

    2 470 abonnés 5 224 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Confirme l'aphorisme selon lequel même les meilleurs se plantent un jour. Déjà le scénario n'a rien de très intéressant se concentrant sur l'ascendance tyrannique de Fresnay sur ses pilotes, c'est répétitif, sans surprises ni tension. En ce qui concerne les acteurs Frenay est excellent, Suzanne Dehelly toujours impeccable, mais les autres ? Marchal se contente de nous la jouer "beau gosse" quant au reste c'est une catastrophe. A ce titre la longue et bruyante scène de la fête des pilotes au début est tout simplement grotesque où l'on voit une bande d'ahuris cabotinant et gesticulant n'importe comment comme s'ils étaient livrés à eux-mêmes devant le chef opérateur, le réalisateur étant parti manger un casse-croûte.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    111 abonnés 2 275 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2020
    Un film rendant hommage aux pilotes, mécaniciens et acteurs de l'aéropostale. Réalisé par Henri Decoin (lui même pilote en 14-18), sorti en 1949.
    Un scénario de Joseph Kessel qui place l'action dans les années 20, lors de la création des premières lignes internationales au sein des Lignes Aériennes Latécoère à Toulouse. Cette société deviendra La Compagnie Générale Aéropostale (où volera Antoine de Saint-Exupéry), et donnera naissance à Air France en 1933.
    Le film met en scène la relation entre, Didier Daurat, directeur de la société et Jean Mermoz, le célèbre pilote à travers les personnages de Carbot et Fabien. Le film tient essentiellement sur la prestation de Pierre Fresnay (Carbot).
    L’hôtel Toulousain du Grand Balcon y est également mis à l'honneur, la pension de famille (aujourd'hui classée monument historique) accueille dans les années 20 les héros de l'aviation de la première guerre reconvertis en pilotes de ligne aéropostale. Suzanne Dehelly qui en incarne la tenancière (Mlle Françoise) fait également un belle prestation, véritable mère pour ces pilotes spoiler: (dont la scène de chahut est terriblement brouillonne)
    et pendant scénaristique au personnage de Carbot, deux figures d'autorité, l'une maternelle, l'autre paternelle, entre lesquels le personnage de Fabien (interprété par Georges Marchal) semble prisonnier d'un rôle de simple bellâtre, comme un personnage secondaire écrasé par ces deux personnages charismatiques.
    La musique est de Joseph Kosma (qui n'est pas le père de Vladimir Cosma).
    Un bon film, un bon noir et blanc, qui nous raconte en s'inspirant de faits réels l'origine de la compagnie Air France et nous fait revivre à travers le prisme de la relation "Carbot-Fabien", la magnifique aventure de l'ouverture des premières lignes intercontinentales.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 mai 2009
    Un résumé de l'histoire de l'aéropostale, intéressant mais j'ai vu mieux sur le sujet, peut être dans un feuilleton...
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    14 abonnés 1 420 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 janvier 2024
    Le film de Decoin est un hommage, parfois emphatique, aux pionniers de l'aviation commerciale, de l'aéropostale en particulier. Tout à son éloge du courage et du professionnalisme dont font preuve ces nouveaux héros et aventuriers modernes que sont, dans les années 20, les aviateurs, Decoin met en scène une intrigue trop démonstrative, un drame qui apparait bien souvent artificiel. Les accidents d'avion tragiques -sacrificiels- en sont les évènements incontournables et convenus.
    "Au grand balcon", du nom de la pension toulousaine où se retrouve les jeunes pilotes entre deux missions, est certes un film sincère mais sans grande subtilité. De sorte que l'antagonisme entre le brillant pilote Fabien et le directeur de la ligne -conflit qui sert, là encore, de façon simpliste, le postulat des auteurs- revêt plus d'intérêt que l'action elle-même. Carbot (P.Fresnay), patron autoritaire et brutal élève la mission sacrée du transport de courrier et la pérennité de son entreprise au-dessus de la vie de ses hommes. L'opposition entre les deux hommes est très formelle car l'énigme psychologique introduite par l'intransigeance de Carbot n'est pas réellement résolue. On le regrette d'autant que le personnage de Fresnay se détourne des traits conventionnels que supporte, ici, la majorité des rôles.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top