Avis : Spider-Man : Across The Spider-Verse - Page 10

Bordélique mais une histoire de second plan intéressante, j'imagine que pour les fans de comics ça doit être une pépite, néanmoins pour les fans de films marvel, c'est un sacré bordel ^^

Franchement j'ai pas vu le premier mais là woah on prends une claque visuelle avec cette univers coloré, de l'humour et d'action je n'ai pas vu le temps passé je vous conseille vivement d'aller le voir.

Je vais mettre 3 étoiles car ce chapitre est trop insidieusement politisé ! Un gamin ne comprendra pas mais un adulte restera étonné du message... Pour le reste la trame est toute simpliste et il n'y a plus le charme du 1er volet.

Quand on voit ce que fait MCU comme navets depuis End Game, on peut se dire que Spiderverse est un chef d œuvre de scénario, de réalisation, d image et même d émotion !
J aurai jamais pensé dire ça d un dessin animé mais la j ai adoré ! On en prend plein la tête !
Avec beaucoup de fun, chapeau les artistes !

Ce film est une totale anarque et qui de plus est, n'a même pas de fin. On était en famille, même mon fils de 10 ans a été déçu. Quelle perte de temps.

Whaou ! J'avais adoré le premier mais celui-ci est ... EXTRAORDINAIRE ! Au delà de l'animation, les enjeux sont tellement intenses ! Mon gros coup de coeur ! Je ne suis pas allé au cinéma pour le voir mais pour le prochain, vous pouvez être sûr que je me ferai pas prier !

C'est carrément incroyable de proposer un tel chef-d'œuvre d'animation ! Le temps qu'ils ont dû passer dessus doit être vertigineux tellement l'animation est dantesque ! Les personnages sont là, fidèles au poste avec l'ajout de nouveaux héros et un héros méchamment réussi et drôle. Le scénario se perd un peu vers le milieu du film avec des longueurs pas vraiment utile mais c'est toujours ça de prit. Le Spider-Vers à bien tissé sa toile vers l'Oscar. Cela ne fait aucuns doutes. On est loin du Disney lisse et pâle. Là, c'est de l'animation urbaine pour adulte avec une bande originale fidèle au premier volet. Rien n'est à jeter et j'attends impatiemment la suite, car le final m'a scotché !

Considérant le premier film comme l'un de mes films préférés, j'ai été voir sa suite avec beaucoup d'attentes, et une chose est certaine... ce film est tout simplement INCROYABLE à tous les niveaux.
L'animation repousse une fois de plus les limites de la créativité et de la mise en scène.
La musique est entraînante et chaque dimension du Spider-Verse a sa propre identité musicale.
En termes de scénario, nous sommes face à une suite pertinente qui complète parfaitement le premier film, que ce soit en termes de thématique ou de développement des personnages.
Enfin, les diverses références et éléments de fan service liés aux nombreuses itérations de Spider-Man sont extrêmement plaisants et restent pertinentes (Je suis également soulagé que le film ne repose pas entièrement sur ça) .
C'est donc un sans faute pour ce second opus qui restera à jamais gravé dans ma mémoire. ALLEZ LE VOIR !!!

ce film est largement mieux que le premier. il est un peu long mais quand on voit la fin on comprend et on oublie vite . Le travail derrière a dut être énorme tellement c'est beau visuellement. et les musiques sont génial également. le scénario est bien mieux que dans le premier.

Spiderman New Generation a été un choc dans le film de super héros et dans le film d animation (qu il a déjà profondément influencé). Il avait un côté One Shot qui pouvait faire craindre une suite. Les craintes ont été vite dissolues. Across The Spiderverse est un nouveau coup de maître. Un film d une énergie et d une inventivité folle qui réussie là où toutes les Marvelleries échouent lamentablement depuis des années à savoir à créer de la tension et de l émotion. Mise à part le fait qu il soit trop long pour son propre bien je ne vois pas quoi reprocher à un film d une telle générosité et d une telle inventivité. La bande originale est un bijou d’éclectisme, son animation multiplie les influences et pas pour l esbroufe, celle ci est là pour le plaisir des yeux mais s avère toujours au service de son histoire. Amusant, malin, inventif et chose ayant disparue dans les films de super héros il veut surprendre et régaler son spectateur. Même s il aurait gagné à être un peu plus condensé on attend déjà la suite avec impatience.

L'animation est top et l'univers visuel hyper inventif, mais l'abus de multiverse rend l'action et l'intrigue quelquefois illisibles. Un spectacle hallucinant et joyeusement foutraque, pas tout à fait aussi réussi que le précédent.

Qu’est-ce que le destin, si ce n’est une toile toute rectiligne ? Eh bien ce serait un embranchement de plusieurs hypothèses. C’est en tout cas ce que « Spider-Man : Across the Spider-Verse » nous promet dans une nouvelle aventure magnifiquement et dynamiquement animée. Les arachnophobes n’ont qu’à bien se tenir, car le petit groupe qu’on a pu découvrir précédemment n’est qu’un avant-goût de ce fourre-tout, où Sony affirme bel et bien son autorité sur la petite araignée sympa du quartier.

Les super-héros n’ont plus vraiment la cote depuis la dissolution des Avengers, mais la suite de l’oscarisé « Spider-Man : Into the Spider-Verse » donne tort à de nombreux détracteurs de cette overdose héroïque, sans saveur et sans ferveur. Le premier volet faisait la belle part à l’origin story du héros, de sa naissance à sa consécration. Ici, pas question d’aller plus loin dans ce sens. On fait une grande pause dans le temps afin d’installer tout un tas de problématiques sur l’éventuel épanouissement de Miles Morales et de la pétillante Spider-Gwen.

Sous l’impulsion de Chris Miller et Phil Lord, qu’on ne présente plus et à qui l’on doit également la discrète mais efficace aventure des « Mitchell contre les machines » sur Netflix, Joaquim Dos Santos, Kemp Powers et Justin Thompson sont les artisans de cette astucieuse relecture. On affine le grain, on saccade moins l’image, la fluidité de ce voyage est sa plus grande force, en plus de réussir là où les live-action échoue grandement, à savoir dans l’attachement aux protagonistes. Tout un tas d’arguments jouent en la faveur d’une grande maîtrise technique. Les animateurs se sont démenés pour créer une esthétique propre à chaque tisseur de toile, tout comme Daniel Pemberton a confectionné leur leitmotiv. Cela permet à la fois d'iconiser chacune de leur apparition et de les confronter à la manière d'un jazz-band.

C’est ainsi que la structure du récit prend forme et limite fortement le maigre scénario, prévu pour couvrir un dyptique. Les héros ont poussé dans le coin, mais leur réunion promet des changements qu’ils ne sont pas près d’oublier. S’ajoute alors la question de la parentalité, où les enfants semblent grandir trop vite pour quitter l’enfance. Par analogie, il est également possible de comprendre la crainte des producteurs et de leurs chouchous tisseurs et tisseuses de toile quand l’un d’eux vient à rejoindre un autre genre de multivers à Hollywood. Le prêt du héros chez Disney a eu de quoi salir sa réputation dans un « No Way Home » très irritant. Peker Parker a fini par devenir une rockstar, quand son identité secrète n’est pas abordée dans un gag bien gras. Et il en va de même pour les figures de DC Comics chez la Warner, qui essaye encore de trouver le juste milieu pour faire vivre ses héros au-delà du générique de fin.

Tout cela est remédié dans ce film d’animation, dont on sent les bonnes intentions, malgré quelques caméos poussifs et qui nous auraient dispensés d’une dizaine de minutes ou qui n’aurait pas mis des plombs à choisir son plan final. On perd en intensité émotionnelle, mais on espère qu’il s’agit davantage d’un compte à rebours assez malin pour nous livrer la meilleure des conclusions. Il y a beaucoup de choses à raconter, beaucoup de détails à digérer, c’est pourquoi l’introduction pèse autant dans cette suite qui s’aligne sur ceux qui auraient envie de sécher le rattrapage du premier opus. Cela dit, la place qu’occupent à présent Gwen Stacy et son univers pastel nous régale, de même que les enjeux qui l’entourent avant de rendre la balle à Miles. Les petites blagounettes et ce ton léger disparaissent peu à peu pour ne laisser que de la noirceur derrière lui. Il croît en sa propre destinée et le choc est attendu dans près d’un an, le temps de faire le point sur la notion de sacrifice.

Tandis que « Les Gardiens de la Galaxie Vol. 3 » laisse un peu de répit aux studios Disney, la saga des Spider-Man animés et du multivers a vraiment un avenir chez Sony, dont l’honnêteté est assez aléatoire, voire catastrophique, dans les propositions live-action. Si cet opus emprunte certaines facilités que l’on associerait facilement l’ogre hollywoodien, ces défauts ne doivent pas pour autant éclipser la tenue de cette entreprise du miracle, l’homme-araignée devient l’égide et le symbole d’espoir. De ce fait, « Spider-Man : Across the Spider-Verse » s’affirme comme la plus belle sensation super-héroïque de l’année.

Le premier épisode avait marqué par sa créativité et ses trouvailles visuelles. Celui-ci est encore plus fou. Là où "No way home" ne faisait du multivers qu’un prétexte au fan service, "Across the spider-verse" en fait un bac à sable où chaque idée peut trouver sa place.

Que dire d'un film d'animation aussi hors norme? Hors norme de pas son graphisme d'une inventivité totale constamment renouvellé au fil de la narration et hors norme par son scénario aux multiples entrées et les références aux autres Spider-man. Il est rare qu'un film paraisse plus court qu'il ne l'est, c'est ici le cas. Un film de super héros complètement dingue, et ça aussi c'est rare.

C'est simple.

Meilleur Spider Man ever.
Meilleur film de super heros.

Sony > Marvel Disney

Arretez les films, et faites ce genre de prodige unique en son genre.

Parti pris graphique incroyable, soundtrack parfaite, dosage intelligent entre l'humour et enjeux dimensionnels ... Sony a tout simplement crée le meilleur truc Marvel ever.

Je vais mettre des jours pour m'en remettre.

Chef d'oeuvre. Point.