Mon compte
    Pierrot le Fou
    Note moyenne
    3,6
    6489 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Pierrot le Fou ?

    262 critiques spectateurs

    5
    82 critiques
    4
    59 critiques
    3
    29 critiques
    2
    37 critiques
    1
    33 critiques
    0
    22 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    tyrionFL
    tyrionFL

    16 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 avril 2019
    En voyant ce film, j'ai rapidement compris pourquoi on appelle ce cinéma, "cinéma d'auteur".
    Le film est long, bourré de problèmes techniques et de plans qui ne se raccordent pas entre eux mais c'est bien possible que tout ça soit volontaire.
    Pour le reste malgré des dialogues redondants et une histoire confuse, certains messages sont profonds et d'autres scènes revigorantes.
    Il apparaît que c'est un film qui préfère délivrer ces messages plutôt que de construire un récit cohérent, une volonté propre à la nouvelle vague.
    Ainsi, Pierrot le Fou est difficile à juger en tant que tel mais j'apprécie le style qui m'a plus à certains moments.
    Cependant, je suis bien plus réceptif aux œuvres de François Truffaut.
    Cronenberg
    Cronenberg

    213 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 septembre 2018
    Ça frôle le 1/5. Désolé je ne suis pas du tout sensible aux œuvres de Godard. Un vieux film pénible moche et lent. Rien d’interessant. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
    Enzo Gagliardi-Kubrick-Scorsese-Flora Nolan
    Enzo Gagliardi-Kubrick-Scorsese-Flora Nolan

    5 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2018
    Il est toujours difficile de visionner du Godard, mais il l'est encore plus pour Pierrot le fou, LE chef d'oeuvre de l’énigmatique réalisateur. Il peut ainsi s'avérer légitime de ne pas rentrer dans le film et par conséquent s'ennuyer ferme durant presque 2 heures. Personnellement les 15 premières minutes m'ont semblé longues tant je ne comprenais pas où l'oeuvre voulait m’emmener. Toutefois, une fois que j'ai compris le sens de l'histoire ici racontée, je suis entièrement rentré dedans et me suis laissé guider dans ce road movie totalement délirant. Godard explore et expose tout ce que peut être l'art. Jouant sur la musique, les sons, les couleurs, le cadrage, le tout accompagné de dialogues absolument savoureux le métrage peut s'avérer être un pur régal pour qui saura oublier le réel et se laisser prendre au jeu du metteur en scène, car le cinéma d'auteur, très personnel consiste avant tout à faire partager son ressenti des choses (dans le cas présent de l'art, de l'amour et de la vie) avec un spectateur. Ceux n'arrivant pas à trouver la bonne ouverture d'esprit qualifieront cette oeuvre de "nimporte quoi" et il est vrai que certaines rares scènes sont proches de l'ennui. De plus, le film parait quelque peu long sur la fin. Néanmoins il reste une sommité dans le cinéma surréaliste.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 juin 2018
    Considéré par les critiques comme l'un des chef d'oeuvre du réalisateur de la nouvelle vague Jean Luc Godard, "Pierrot le fou" est un film totalement dénué de sens et d’intérêt (de mon point de vue évidemment). C'est à n'y rien comprendre, la musique est utilisé un peu n'importe comment, les acteurs (Belmondo et Anna Karina) ne sont pas mauvais mais la façon dont ils sont dirigés ne m'a pas convaincu, j'ai très vite décroché. C'est vraiment très spécial, il faut rentrer et comprendre l'état d'esprit du metteur en scène pour l’apprécier à sa juste valeur. Des Belmondo de cette époque, je préfère largement "L'homme de Rio" ou "Un singe en hiver".
    Vador Mir
    Vador Mir

    225 abonnés 710 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 octobre 2017
    Godard ne vaut que pour ses fulgurances mais le réalisateur est surcoté. Son film est prétentieux, agaçant, parfois hystérique, parfois immature, parfois hermétique, parfois trop politique ... et même si il porte en lui un vent de liberté, le témoignage d'une époque, une forme de poésie et une douce ambiance colorée.. un simple court métrage aurait suffit.
    Acidus
    Acidus

    622 abonnés 3 652 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 octobre 2017
    "Pierrot le fou" est une oeuvre typiquement godardienne, réalisé durant sa période faste des années 60, entre "Alphaville" et "Masculin féminin". Dès lors, quand on déteste Godard, on déteste "Pierrot le fou". C'est mon cas et je retrouve ici tout ce que je déteste dans le cinéma de ce réalisteur, porte-étendard de la "Nouvelle Vague". Tojjours aussi pédant et creux, le "style Godard" m'ennuie profondément. Dans "Pierrot le fou", il y a ajoute même une bonne d'absurde mais, mal maitrisé, cette absurdité vire à l'incompréhensible. Tout y est pénible. Même le tandem "Belmondo/Karina énerve. A réserver aux fans du cinéaste et de la "Nouvelle vague".
    Newstrum
    Newstrum

    31 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2017
    Le plus beau film de Godard, où le récit policier est constamment suspendu ou éclipsé par les rêveries et le vague à l'âme de Ferdinand (Jean-Paul Belmondo) amoureux de Marianne (Anna Karina) et les couleurs bariolées de Raoul Coutard. Et puis la musique d'Antoine Duhamel est très belle. Voir ma critique complète sur mon blog newstrum.wordpress.com.
    7eme critique
    7eme critique

    462 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2017
    "Pierrot le fou" peut paraître un peu prétentieux ou élitiste pour certains, mais dispose en tout cas d'un style original dans sa mise en scène. Et en effet, les amateurs du Bébel d'action et de divertissement de retrouveront ici bien déboussolés s'ils ne prennent pas en considération que ce "Pierrot le fou" est signé Jean-Luc Godard. Il y a donc bien une patte artistique et une certaine poésie dans ce long-métrage, sans être extrêmement puissantes et sans nous emporter véritablement dans ce qui ne sera qu'une aventure peu stimulante au final. Il faudra donc, afin de s'éviter toute forme d'ennui, apprécier grandement le style Godard, où l'approche lente et poétique, ainsi que la technique pour le moins originale (acteur s'adressant directement aux spectateurs, utilisation de filtres, sons et images décalés etc...) seront de la partie. "Pierrot le fou" ou la vie romantique et sauvage du duo Belmondo/Karina.
    Hugo S
    Hugo S

    6 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2017
    Ça doit bien être le style Godard.
    Au fur et à mesure du film, l'histoire devient claire. On s'habitue à son style totalement different des films de genre dénoncé par la Nouvelle Vague. Ils veulent du cinema d'auteur et les années 50-60 en sont les débuts.
    Du cinéma artistique, sans doute. Si vous voulez du divertissement ne regardez pas ça. Un beau film mais un peut trop inexplicite, en effet Godard à fait le film pour lui et non pas pour les spectateurs.
    Sébastien I.
    Sébastien I.

    11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mars 2017
    véritable film pour bobos. un peu comme l'art moderne, on fait un truc très nul, et quand 9 personnes trouvent ça nul, y'a toujours un plus malin que les autres qui va crier au génie.
    pathétique.
    Stargate
    Stargate

    257 abonnés 2 872 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 mars 2017
    Je n'ai pas apprécié : Pierrot le fou est trop théâtral, trop décousu, avec énormément de longueurs et de dialogues monotones et inintéressants. Je sais que beaucoup de gens adulent Jean-Luc Godard, mais la majorité des personnes qui découvrent cette réalisation aujourd'hui ne doit pas accrocher à ce style.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 010 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 février 2017
    Depuis "A bout de souffle", Godard filme à un rythme soutenu. En cinq ans, dix longs métrages sont nés de l'imagination féconde mais relativement opaque du réalisateur qui dans l'intervalle s'est trouvé une muse avec Anna Karina qui tourne sous sa direction la moitié de ces dix films. A l'aube du tournage de "Pierrot le fou", leur histoire d'amour s'achève dans la douleur et le succès critique et commercial des films de Godard est très relatif. Empruntant à tous les genres, il leur impose une narration erratique qui s'apparente plus au collage d'impressions parfois assez opportuniste qu'à une fluidité narrative destinée à emmener le spectateur d'un endroit à un autre. Autre paradoxe alors qu'il revendique l'originalité à tout crin pour se démarquer du cinéma de "qualité française" qu'il a tant vilipendé pour son conformisme dans les "Cahiers du Cinéma", il truffe ses films de références filmiques (Belmondo imitant les mimiques de Bogart, les affiches de classiques hollywoodiens, les apparitions de Fritz Lang ou de Samuel Fuller) comme s'il avait sans arrêt besoin de la caution des grands maitres hollywoodiens pour légitimer des inventions stylistiques pas toujours heureuses ou du meilleur goût. Après l'expérience futuriste et dérangeante d' "Alphaville" qui a laissé le public de marbre malgré la présence au générique d'Eddie Constantine dans son rôle le plus célèbre, certes détourné, de Lemmy Caution, Godard souhaite porter à l'écran l'adaptation toute personnelle d'un roman noir de l'écrivain américain Lionel White, "Obession" (le démon de onze heures). Après un temps avoir envisagé Richard Burton et Sylvie Vartan pour former le couple vedette, il se rabat sur Jean-Paul Belmondo et Anna Karina qui contribueront à donner par la suite plus de résonnance à "Pierrot le fou" au sein de la filmographie de Godard. En effet, une des lectures évidentes du film est l'ultime déclaration d'amour de Jean-Luc Godard à sa muse qui est train de le quitter. Belmondo dans un rôle à facettes s'identifie donc au réalisateur lors des nombreuses scènes où Ferdinand Griffon dit "Pierrot" échange et se dispute avec Marianne Renoir (Anna Karina) sur leur conception de la vie et de l'amour. Le constat est amer, chacun identifié par une couleur qui le symbolise (le bleu pour Ferdinand, le rouge pour Marianne) regarde désormais et peut-être depuis longtemps dans une direction opposée. A Marianne qui lui reproche : "Tu me parles avec des mots et moi, je te regarde avec des sentiments", Ferdinand lui répond : "Tu n’as jamais d’idée ! Rien que des sentiments". Le tout s'insère dans une intrigue complètement accessoire pour Godard qui a beau jeu de se réclamer de Lang ou de Fuller pour ensuite se moquer comme d'une guigne d'une rigueur narrative qui n'a jamais fait défaut à l'un comme à l'autre. On suit donc le couple reconstitué par hasard dans son périple sur les rives de la Méditerranée entrecoupé de citations lues par des voix atones, de flashs monochromes nous interpellant sur les enjeux tragiques d'un monde en ébullition et de dialogues répétés à l'envi comme Belmondo qui à chaque fois qu'Anna Karina le nomme Pierrot lui interjete : " Je m'appelle Ferdinand !" ou encore Anna Karina ânonnant comme un mantra : "Qu'est-ce que je peux faire ? J'sais pas quoi faire". Sur près de deux heures et en dépit d'une photographie remarquable de Raoul Coutard et de quelques rares scènes émouvantes comme celle où Belmondo croise le vrai iconoclaste qu'était Raymond Devos, "Pierrot le fou" qui n'a rien à voir l'ex-ennemi public des années 40 Pierre Loutrel, devient très vite lassant voire agaçant par la suffisance de son réalisateur qui, fils de très grands bourgeois considère peut-être que le cinéma n'a en aucune façon une vocation populaire. Avoir voulu la mort artistique des Delannoy , Autant-Lara et autres Jeanson , Aurenche ou Bost pour être incapable de se substituer en imposant une autre manière de s'adresser au plus large public, relève au mieux d'une étroitesse d'esprit coupable ou au pire d'une carence narrative que ne suffisent pas à masquer les nombreuses références que convoque le réalisateur à longueur de films. Godard dont les films à partir de "Pierrot le fou" ont suscité de moins en moins d'intérêt considérait peut-être qu'il était évident pour tout le monde qu'il était largement en mesure de réussir des films grand public qui n'auraient de toute façon pas été de son niveau. Nous le prouver au moins une fois en aurait constitué la preuve indubitable. Il est bon de rappeler que le réalisateur affichera toute sa vie des idées politiques prônant la défense des plus faibles au point d'avoir au sein de sa propre filmographie une période dite "Mao". Il n'est pas sûr que son art ait été mis efficacement au service de la cause qu'il entendait servir.
    gzit
    gzit

    107 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2017
    Un montage décalé, des personnages rebelles, des citations poétiques, on est bien en pleine nouvelle vague. Bien que Jean-Paul Belmondo paraisse tout-jeune, il a déjà plus d'une trentaine de longs métrages à son actif. Il ne roule pas encore trop des mécaniques. L'histoire présente une sorte de road movie qui annonce les Thelma et Louise et autres Bonnie and Clyde. C'est un peu n'importe quoi mais c'est le but de Godard. La surprise est totale en fin de film avec l'apparition d'un humoriste belge...
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    161 abonnés 2 422 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 février 2017
    N'étant pas du tout un fan de Godard, je n'ai pas franchement beaucoup aimé le film, mais je l'ai tout de même préféré à la plupart de ses autres films (Le Mépris compris).
    Je n'aime vraiment pas le style Godard, que je trouve la plupart assez illisible et je n'arrive jamais à comprendre et à m'assimiler à ses personnages, mais c'est davantage le cas dans ce film. Le personnage de Bebel est plus clair (ce qui est ironique pour un personnage de fou) et du coup plus sympathique.
    Bon, l'histoire part quand même un peu dans tous les sens et on voit vraiment pas où elle veut nous amener (et à la fin du film, je ne sais pas trop quoi en conclure)
    Les acteurs sont bons : Jean-Paul Belmondo et Anna Karina (toujours aussi charmante).
    Les dialogues sont tout de même très pseudo-intellectuels, ce qui est vraiment agaçant. Il n'y a pas besoin de lâcher au milieu de dialogues, et sans subtilité, des noms de philosophes ou d'artistes ou des idées générales, pour qu'un film devienne intelligent. Parce que là, ça fait juste péteux.
    Enfin bon, ça se regarde, mais au-delà de l'histoire et de quelques beaux décors, le film se la pète un peu.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 janvier 2017
    Malgré la présence de Belmondo, malgré sa gouaille légendaire et son implication, malgré la si charmante Anna Karina, Godard emmène son film tout au fond de la poubelle de la "nouvelle vague" comme d'autres pseudo-cinéastes adeptes du grand n'importe quoi à l'écran, sauf que Godard y ajoute sa note personnelle et sa grande spécialité : le je-m'en-foutisme.

    En gros et sans demi-mesure (il faut lui reconnaître son jusqu'au-boutisme, il ose tout) il remplit jusqu'au bout son ersatz de film jusqu'à ce que ça déborde. Le comble de cette non-histoire et de ce non-évènement, c'est qu'on aura toujours des intellos pour aller chercher le sens caché pour trouver une interprétation de non-sens à ce désordre cinématographique. On aimerait au moins en rire -peut-être au 75ème dégré, qui sait ?- si seulement on y dénichait quelque part assez de matière pour ce faire. Peine perdue.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top