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    Apocalypse Now Final Cut
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    957 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 avril 2013
    un chef d'oeuvre absolut, tout simplement magnifique, une mise en scène bleffente, un scénario impeccable et une ambiance de guerre qui laisse perplexe. Un chef d'oeuvre signé coppola.
    vinke H.
    vinke H.

    2 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 février 2013
    Plus qu'une plongée dans l'horreur de la guerre, on assiste ici à un véritable voyage au cœur de la folie humaine. plus de 30 ans après sa sortie, aucun film ne ressemble à Apocalypse Now. Un film unique, déjanté, grandiose, envoutant...Indispensable
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juin 2013
    Un tournage apocalyptique, Francis Ford Coppola megalo au bord de la crise de nerfs, Marlon Brando apparemment compliqué a gerer, Hervey Keitel renvoye, remplace par Martin Sheen qui fait une attaque, et pourtant il en sort un des plus grand film de l'histoire du cinema. Le film a une grosse dimension politique et est tres critique sur l'engagement americain au Vietnam ce qui a l'epoque etait plutot rare. Completement psychedelique le film est un voyage vers la folie et l'horreur engendré par le conflit. C'est totalement fou, spectaculaire, flippant et choquant, le tout agremente de quelques repliques cultes a mourir de rire. Un chef d'oeuvre absolu.
    axel Q.
    axel Q.

    1 abonné 97 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juillet 2013
    Une des visions les plus incisive de l'horreur de la guerre et de ses conséquences..Déconcertant
    ZOGAROK
    ZOGAROK

    13 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2013
    Suave et absurde, Apocalpyse Now, référence du film de guerre, est pourtant plus encore un film-trip. Il comprend deux axes essentiels : un aspect psychologique et un aspect sensoriel. Le contexte historique n’a aucune importance, car le récit est universel et immatériel. C’est justement en dissertant poussivement sur la nature humaine que Coppola s’égare. La véritable ampleur d’Apocalypse Now est révélée par un vertige communicatif, qui trouve son point d’orgue lors de plusieurs illustrations hypertrophiées, à la fois violentes et planantes, à l’instar de la séquence culte de l’attaque des hélicoptères sur les Walkyries (ou des hommes prennent leur dose d’adrénaline en orchestrant une boucherie voluptueuse).


    >> Lire la chronique intégrale sur Zogarok le blog : http://zogarok.wordpress.com/2013/02/10/apocalypse-now/
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 février 2013
    Un très bon film, culte mais la fin est plutôt décalé par rapport à l’histoire.
    yoyo114
    yoyo114

    32 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2013
    en tant que cinéphile cinéphage chevronné, je me devais de découvrir les films de monsieur Coppola ! J'ai commencé par le Parrain, qui m'a conquis sans non plus me transporter dans un trip sinusoidalo-cosmique meilleur film de tous les temps avec marlon brando et ses boules de coton dans la bouche !!!!!!!!!! Non, j'ai aimé sans adorer. Je lui préfère finalement ce Apocalypse Now qui m'a beaucoup plus parlé. Déjà, c'est beaucoup plus une histoire intime qu'une histoire de guerre. Je dirais même qu'on est quasiment dans un thriller. C'est un peu comme le parrain qui est très intimiste tout en étant censé être un film de gangsters. Les acteurs sont au top, sauf Marlon Brando (mais je l'avais déjà moyennement aimé dans le parrain). Martin Sheen est sobre mais très efficace. Il est le spectateur impassible devant la folie des personnages secondaires (les très allumés Robert Duvall et Dennis Hopper). On assiste à son voyage philosophique au coeur de son âme. Il se remet en question tout en découvrant le psyché du colonel fou qu'il doit assassiner. La dernière demi-heure nous fige dans la folie, une folie très calme, pleine d'ombres et de lumière. Dans cette dernière partie, la mise en scène atteint un niveau dantesque, presque racoleur par moments (malheureusement). En somme, malgré un rythme trop lent et quelques longueurs, c'est un sacré grand film que ce Apocalypse Now.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 février 2013
    Désolé de casser un mythe pour certains : j'ai vu la version "Redux" (3h22) ou "director's cut" et je me suis ennuyé.
    Si les deux premières heures passent plutôt bien avec la mise en place du personnage principal et la première scène de bataille en hélico avec un commandant un peu siphonné. On se rendra vite compte que les personnages du film sont de plus en plus malade quand on avance dans le film.

    Côté scénario, rien de bien original, car il est construit comme un road movie : le héros avance sur son fleuve et fait des rencontres au fur et à mesure. Donc rien de spécial de ce côté ci. C'est pas mon style.

    Côté personnages, le point fort du film, les acteurs sont vraiment très bon. Hormis Dennis Hopper un peu trop fou et Marlon Brandon très peu présent, on est malheureusement loin de sa prestation dans "Le Parrain".

    Long, ennuyeux et dépressif. Voilà ce qui me reste de ce film.
    Aurélien Vaillant
    Aurélien Vaillant

    13 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 février 2013
    En transposant le roman de Joseph Conrad Au cœur des ténèbres au contexte de la guerre du Vietnam, Coppola aborde celle-ci sous une perspective résolument inédite : Non plus seulement celle du drame humain (individuel) ou social (à l’échelle d’une communauté, d’une nation) mais en tant que champ d’interrogation sur l’existence et la nature humaine.
    Film crépusculaire et envoûtant, baroque (au sens de la surenchère) et nihiliste, c’est également une réflexion sur la démesure, et le requiem de la fin d’une époque.

    Tout comme dans Voyage au bout de la nuit de Céline, la guerre est en effet traitée ici comme un révélateur de la nature humaine. Elle met en lumière des traits crapuleusement banals de nos contemporains, qui ne ressortent qu’au regard des circonstances exceptionnelles, mais qui étaient déjà bel et bien présents avant l’entrée dans le conflit. La guerre ne nous changerait donc pas autant que veut bien l’admettre la morale bien-pensante, elle nous dépouille surtout des convenances et des inhibitions. Et ce qu’elle laisse à nu n’est pas franchement sympathique.
    L’escouade de soldats qui accompagnent le Capitaine Willard (de même que tous les autres troufions qu’ils seront amenés à croiser) sont des types de tous les jours, plutôt normaux au regard de leur société et de leur milieu. Cuistot, surfeur ou branleur des quartiers chauds, ils pourraient même passer pour des types cool avec leurs blagues à la con, leur musique et leur côté festif. Ils vont pourtant assassiner, se droguer et se mettre, de façon générale, à délirer à plein tube au fur et à mesure de l’avancée de leur mission.
    C’est que la guerre est une expérience du chaos, surtout quand on part la faire dans un pays étranger (et résolument exotique), et sans trop savoir pourquoi. A ce titre, elle confronte les Hommes à eux-mêmes et à leur manque de rationalité, au traumatisme de la perte du sens (ou pire de son inexistence fondamentale).
    Le film part ainsi à la rencontre d’une galerie d’individus, paumés, délirants, livrés à eux-mêmes par la disparition subite de toute valeur. Tous cherchent à imposer un semblant d’ordre à leur milieu, fussent au prix des compromis les plus arbitraires, des actions les plus cruelles ou folles : le Capitaine Kilgore et ses raids d’hélicoptères sur fond de chevauchée des Walkyries, le groupe de soldats déterminés à tenir coûte que coûte leur coin de rivière, reconstruisant inlassablement leur pont sous les tirs de mortiers vietcongs…
    Ce qu’ils recherchent tous c’est un but, un semblant de sens ou de finalité, n’importe quoi pour leur donner une direction dans ce marasme cauchemardesque. Et à défaut de pouvoir en trouver à l’extérieur, dans leur environnement, ils vont chercher à en créer d’une façon artificielle et malsaine, ou se cramponneront à leurs illusions. Processus irréversible, qui les conduit à se retrouver pris au piège de leurs fantasmes.

    Certains hommes exceptionnels, cependant, retirent de cette expérience du chaos une interrogation plus profonde. C’est le cas du Colonel Kurtz.
    Ce qui le différencie des autres c’est qu’il a choisi sciemment cette expérience, alors que son statut de haut gradé lui offrait la liberté de ne pas s’y confronter. Il s’est même confronté à sa hiérarchie pour pouvoir y accéder. Comme le Kurtz du roman, c’est un personnage estimé, considéré comme extrêmement doué par ses pairs, et qui aurait pu réussir tout ce qu’il aurait entrepris dans son pays. Mais il va choisir de tout abandonner pour se fondre dans le chaos (les forêts vierges de l’Afrique noire dans le roman), à la recherche de quelque chose qu’il n’aurait jamais pu obtenir dans la société « civilisée ».
    Il a fait le choix de regarder droit dans l’abîme, et en a retiré une connaissance de la nature humaine et de ses faiblesses qui lui assurent un pouvoir inimaginable sur ses semblables. C’est au « cœur des ténèbres » qu’il a pu se révéler véritablement.
    Il aura ainsi l’opportunité de créer son propre univers en s’imposant, auprès de tribus reculées et d’anciens soldats américains fanatiques, comme un genre de dieu de la guerre. Devenu plus qu’un homme, il s’arroge un droit de vie ou de mort sur cette population marginale à qui il apporte un sens dans cet enfer d’incertitude. Tous ceux qui croisent sa route connaissent le même sort : Eliminés ou asservis (Le prédécesseur de Willard, originellement mandaté par la CIA pour supprimer le Colonel, s’était lui-même finalement soumis à Kurtz).
    Le revers de la médaille de tant de pouvoir, c’est la solitude. La servilité et l’adoration de tous ceux qui l’entourent (tout autant que sa propre condescendance envers eux) rendent en effet toute communication impossible. Ecoeuré, Kurtz est devenu incapable d’empathie envers ses semblables. A l’arrivée de Willard il se meurt dans sa tour d’ivoire, de posséder trop de pouvoir, sans pouvoir partager son expérience avec qui que ce soit. Il est parvenu au bout de ses potentialités, a obtenu tout ce qu’il souhaitait, et cela ne lui sert à rien.

    Que seul le Capitaine Willard puisse approcher Kurtz n’a donc rien d’anodin. Car lui aussi possède cette forme de vision nihiliste des choses qui le met à l’écart des autres hommes. Vieux routier de l’assassinat politique, cynique et désabusé, cela fait bien longtemps qu’il a coupé les ponts qui le retenaient à la civilisation. Dégoûté de cette guerre, de son pays et de ses contemporains (autant que de lui-même), il est présenté comme un homme muré en lui-même, étranger à toute activité humaine, et ayant développé des tendances autodestructrices (ce dernier point étant clairement abordé dès la scène d’intro du film).
    Il se surprend d’ailleurs à comprendre Kurtz avant même de le rencontrer.
    Comme dans au cœur des ténèbres, les deux personnages sont amenés à se découvrir mutuellement, et à entamer une relation brève mais profonde. Mais là où Conrad faisait de Marlowe le confesseur de Kurtz, Coppola fait de Willard son complice. Car ici Willard est un monstre à l’égal de Kurtz, et non un simple observateur amené à comprendre celui-ci au-delà de leurs différences réciproques.
    Willard accepte de devenir son successeur et héritier (son exécuteur testamentaire pourrait-on dire), celui qui va parachever son œuvre en la consacrant dans la violence.
    Il accède au désir de Kurtz de devenir son assassin (petite métaphore oedipienne du fils qui tue son géniteur), et de détruire en même temps toute cette « fange humaine » d’adorateurs, pour laquelle ils partagent le même mépris, la même horreur.
    En anéantissant l’œuvre de Kurtz sous les bombes, il la lui consacre du même coup comme étant sa propriété personnelle, dans un genre d’immense sacrifice funéraire : Celui-ci emporte tout avec lui de la même façon que les dieux ou les pharaons. Triomphe de la mégalo.

    Le thème de l’apocalypse, de la fin d’un monde, ne se retrouve d’ailleurs pas seulement à la fin du film, elle le parcourt de bout en bout. Mais sous un angle différent de l’agonie de Kurtz : celui de la fin d’une époque. Coppola aborde en effet la guerre du Vietnam comme ce qui est venu définitivement achever l’age d’or des années 60 et ses utopies.
    On retrouve sans cesse cette idée au travers des situations (le surfeur défoncé au lsd, qui se fait un trip hippie avec son chiot sur fond de fusillades) et surtout de la musique, très emblématique de la contre-culture (Creedence Clearwater, les Doors…), qui apparaît complètement décalée au milieu des massacres et des corps carbonisés au napalm.
    On notera dans ce même esprit l’omniprésence du thème The End des Doors (introduction et conclusion du film), qui achève de plonger les personnages (et le spectateur) dans un trip psychédélique, morbide et hallucinatoire.
    En allant plus loin, c’est même à la fin de l’espoir et de l’optimisme d’une nation, de façon générale, auquel nous confronte Apocalypse now. Tout comme dans American death trip de James Ellroy, ce conflit est présenté comme le fossoyeur du rêve américain, l’enterrement définitif d’une « American way of life » devenue absurde, grotesque et obsolète (la scène du surf sous les bombes, ou celle du show des strip-teaseuses pris d’assaut par les soldats sont, à ce titre, assez éloquentes). On comprend que Coppola se soit tapé une dépression sur la fin du tournage…

    Au final, si l’on passe sur certains effets psychédélisants un peu trop appuyés (et, avouons le, une certaine complaisance envers la mégalomanie du personnage de Kurtz), cette plongée progressive vers l’enfer est incontestablement réussie. D’une noirceur vénéneuse, à la fois personnel et abordant des thèmes universels, Apocalypse now fascine durablement le spectateur. Coppola signe ici son chef-d’œuvre (avec la trilogie du Parrain), et inscrit son film parmi les meilleurs jamais réalisés sur la guerre du Vietnam aux cotés de Full metal jacket et The deer hunter.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 février 2013
    Apocalypse Now, où le film qui vous détruit peu à peu votre simple envie de vivre le quotidien ... Plus sérieusement : un chef d'oeuvre. Oui, ce film est extrêmement plaisant du début jusqu'à la fin, on ne s'ennuie pas à un seul moment, bien sûr si vous êtes prêt à écouter la moindre petite phrase sortie de la bouche de chaque acteur. D'ailleurs, parlons-en du jeu d'acteur : il faut en premier lieu dire que la distribution est assez remarquable et Martin Sheen est exceptionnel tout le long. Chaque acteur joue à la perfection le rôle qui lui est confié. En ce qui concerne le scénario, Francis Ford Coppola nous entraîne dans une épopée noire : les péripéties que subissent un petit groupe de soldats américains chargés de retrouver un ancien colonel de l'armée (le colonel Kurtz joué par un Marlon Brando fantastique) devenu fou au coeur de la jungle, en pleine guerre du Vietnam. En effet, ils remontent peu à peu un fleuve (imaginé par Coppola) où doit se trouver au bout le colonel, et peuvent ainsi voir les absurdités les plus grotesques de la guerre. On imagine pas réellement que de telles choses puissent s'être produites (quoi que ?), mais ce que veut nous montrer le réalisateur est plus la tournure des évènements au Vietnam, dont l'absence de normalité et de règles bien communes à l'armée américaine finalement, la guerre du Vietnam est ici décrite comme un foutoir pas possible. Plus le capitaine Willard et ses hommes remontent ce fleuve, et plus le film s'assombrit, Coppola décrit les horreurs de la guerre d'une façon qu'on avait encore jamais vue au cinéma. Dans ce film, tout est métaphore. Le colonel Kurtz situé soi-disant là où s'achève le fleuve, est une finalité au film entier. D'ailleurs, je vous laisse découvrir pourquoi. Ce film est ... unique et terriblement noir, dirais-je pour finir. Un seul conseil : regardez-le ... Mais prenez votre temps pour le voir !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 janvier 2013
    bon c`est sur les acteurs et le film est ...ok propre !! mais sinon je me suis fait ...comment dire ...c`est nul ...pour moi ...je voulais dormir ...baaa je me suis endormi !! hahahaha le film de misere !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 janvier 2013
    Apocalypse now n'est pas un film réussi, mais un chef d'œuvre.
    Tout dans ce film est fait à la perfection, du montage au photo en passant par la musique. Un casting exceptionnel réunissant: Martin Sheen, Marlon brando, Dennis Hopper et Harisson Ford.
    Le scénario est captivant au possible, les scènes "cultes" s'enchaînent durant le film. La beauté de ce film nous rendra d'avantage amoureux de la guerre.
    Coppola nous canarde de napalm artistique pour nous offrir cette mise en scène, incroyable et troublante, restant grave dans le 7 eme Art. Certaines scènes m'ont fait des frissons et continues à me hanter.
    En clair, mission Accomplie pour Francis Ford Coppola qui signe ici un chef d'œuvre cinématographique
    sloubi47
    sloubi47

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2013
    c pas nul, c juste tres, tres tres, trop long. les acteurs sont bons, les décors magnifiques, mais c long. on en finit plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 janvier 2013
    Les 3h 15 de ce film passent à une vitesse impressionnante . On a pas le temps de s'ennuyer et ce , meme lors des scènes les moins bonnes , Apocalypse Now est un veritable est un chef-d'oeuvre , ne serait-ce que pour sa sublime realisation et surtout pour la maniere dont le sujet est traité . Le film prend pour fond la guerre du Vietnam pour surtout traiter les effets obtenus à cause de cette guerre stupide sur les soldats . L'ambiance de se film ne peut pas laissé de marbre ( rythme parfaitement dosé grace aux fondus et aux musiques ) ce dès le débuts .
    L'atmosphère hors du commun d'Apocalyse Now en fait un objet cinématographique interessant .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 janvier 2013
    Le meilleur film de guerre du monde et tout de suite aprés PLATOON.
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