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    Nomadland
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    fredo_368
    fredo_368

    7 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 septembre 2021
    Ce film a surement gagné aux Oscars dû à l'hipocrisie bien connue des américains, les bourgeois des oscars ont dû être choqués d'apprendre que dans leur pays il y avait des pauvres qui travaillent toute la journée pour une misère et que le pays a réduit un nombre incalculable de travailleurs à l'état de sans domiciles fixe. Nous, malheureusement, on le savait déjà. Film plat, scénario plat, Fern mange des nouilles, Fern coupe du bois, Fern fume des clopes, il y avait tellement mieux à faire sur ce sujet. Une éscroquerie.
    Jean-Luc Riviere
    Jean-Luc Riviere

    4 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 juin 2021
    Documentaire poussif dans lequel ont été injectés la très pénible Frances Mc Dormand (par ailleurs co-productrice de ce non-film) et son voisin (si j'ai bien compris...). Non, ça n'a rien à voir avec "Les Raisins de la Colère" ! C'est pénible et ennuyeux du début à la fin. A fuir !
    Ch De
    Ch De

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 juin 2021
    Plébiscitée par les Oscars, je viens de regarder ce navet, une sorte de de road movie sale, des images inintéressantes d'une Amérique terne, une sorte de tranche de vie ou on regarde cette victime du capitalisme sombrer dans un univers psycho-sentimentalo-suicidaire. A moins d'être profondément dépressif, on a du mal à s'identifier au personnage, excepté son côté "en dehors de la société" qui la fait plus humaine. Aucune poésie, c'est brut, c'est triste, mal écrit, ça sent la crasse et le cinéma de bas niveau. Seule l'actrice principale arrive à se tirer de ce bourbier ou elle a eu le malheur de s'engager ! Il y a tant de personnes qui vivent en dehors du système et qui pourtant sont pleines de vie et fières d'en être sorties, pourquoi peindre une nature si sombre ? Est ce la mode des films dépressifs, intimistes, chiants ?
    Sara Gracia
    Sara Gracia

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    0,5
    Publiée le 5 juillet 2021
    Honteux ? Est ce vraiment le mot adapté ?
    Je dirais plutôt horrible finalement.
    C’est bien mignon de voir une femme dans son van pendant 5/10min, mais voir la même chose pendant 1h45 ca ne va plus. On ne parlera même pas de la fin qui est comment dire, aussi désespérante que tout le film. Ce film est d’une lenteur abominable, aucun sentiment (pourtant je suis une grande sensible), sans objectif. Première fois que je dois résister pour ne pas m’endormir au cinéma.
    Pour un film étant récompensé par 3 oscars et ayant autant d’avis positifs je suis extrêmement déçue.
    A déconseiller !!!
    Marc M.
    Marc M.

    6 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 juillet 2021
    Films vu bien heureusement pendant la fête du cinéma ! Ça ne m'a donc coûté que quatre euros pour un ennui terrible.
    D'une lourdeur absolue, la musique m'a définitivement achevée, je suis parti bien avant la fin ...
    The Turnover
    The Turnover

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 juillet 2021
    Je suis allé voir ce film, tout d'abord parce que je pensais qu'au vu des nombreuses récompenses, ce devait être un véritable chef-d'œuvre. Ensuite, je voulais aussi me laisser surprendre par le thème.

    Mais alors quelle énorme déception que ce film. Le rythme de ce film est incroyablement lent et, désolé de le dire, profondément chiant. Ce film n'est qu'un tas de plans de paysages et de gros plans du visage de Frances McDormand.

    J'ai vu plusieurs personnes quitter la salle après 30-45 minutes de film. J'avais envie de les suivre, mais par respect pour le film (et pour ma copine avec qui j'étais venue) et en espérant qu'il y aurait une montée en puissance du rythme et de l'intérêt, je suis resté.

    Je déconseille très fortement ce film qui est le pire film que j'ai vu depuis très longtemps.
    Nadia
    Nadia

    3 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 juin 2021
    Ennuyeux à mourir ! Je ne comprends pas du tout cet emballement pour ce film ! Un spectateur a quitté la salle au milieu de la séance, et franchement j'ai hésité à faire pareil. Mais j'ai attendu pour voir si, enfin, il allait se passer quelque chose d'interessant dans ce film et surtout ce qui justifiait toutes les récompenses qu'il a reçues. Grosse déception !
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2021
    À la fois tenté par le sujet et, quand même, l'Oscar (entre autres) du meilleur film mais inquiet par la présence de Chloé Zhao derrière la caméra, son précédent « The Rider » m'ayant plus ennuyé qu'autre chose : il est peu dire que le premier aspect l'a emporté, et de loin. C'était magnifique. Pourtant, « Nomadland », ce n'est pas trop mon genre, normalement. Lent, contemplatif, « social » (comprenez « prétexte à être ennuyeux »)... Sauf que le charme a opéré. Quasiment tout de suite.

    L'histoire est simple mais claire, fluide. Ce n'est jamais trop ni trop peu. La réalisatrice sublime les paysages comme peu l'ont fait ces dernières années, aussi admirablement choisis qu'exploités. Je peux comprendre qu'on y soit hermétique : j'ai l'impression que cela se joue dans l'inconscient. Mais me concernant, j'avoue m'être rarement senti aussi bien que devant ces décors sublimes, cette musique harmonieuse, ce portrait de femme puissant, fidèle à elle-même et ses convictions jusqu'à la dernière minute.

    Il y a une dimension presque religieuse, un rapport à la foi implicite que j'ai trouvé très fort, comme cette description des rapports humains, montrée avec beaucoup de chaleur et de sensibilité, sans jamais les idéaliser ou les simplifier. Ce film, je l'ai juste trouvé beau. Il m'est allé droit au cœur, que ce soit son rapport à la nature, aux plaisirs simples ou la force qui se dégage de cette héroïne inoubliable, surtout lorsqu'elle interprétée par Frances McDormand. Du cinéma à l'état pur, que je suis heureux d'avoir découvert dans l'une des plus belles salles de la région parisienne.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    917 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2022
    Ce film ressemble à une rencontre du peuple itinérant qui n’est pas comme le précise Fern « sans emploi » mais « sans domicile ».
    Comme une pérégrination sans fin qui nous emmène vers des paysages et des idées pour une vie qui semble finalement plus simple.
    Chris58640
    Chris58640

    184 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2022
    La première chose à dire, c’est que la réalisation de Zhao est un sans faute. Elle filme au plus près les visages, les émotions, sans oublier de mettre en valeur les paysages à couper le souffle que traverse son héroïne. C’est la cohabitation permanente de l’individu face à l’immensité de l’espace. La musique, au piano, n’est utilisée que dans les moments où Fern roule, où elle marche, où elle contemple la nature. Le reste du temps, pas de musique, juste le bruit du vent, des insectes, de la vie. Zhao filme une héroïne cabossée, au visage marqué, qui vit sa vie de femme dans un van minuscule et aménagé, et qui alterne les rencontres, les petits jobs ingrats avec la route. Ca dure presque 2 heures, on pourrait croire qu’on va s’ennuyer avec toutes ses scènes de vie quotidienne, tous ces moments de solitude et de silence, et bien pas du tout ! Ce n’est pas seulement grâce à la performance de Frances McDormand, c’est toute la démarche de Chloé Zhao fait donne ce résultat. Elle a choisi de ne pas embaucher d’autre acteurs que McDormand, tous les autres (et on en a la confirmation lors du générique de fin) jouent leur propre rôles, raconte leur propre histoire. On est donc à deux doigts du documentaire, on pourrait qualifier son film de docu-fiction sans que ça lui enlève quoi que ce soit en termes de qualités cinématographiques. Tous ces gens qui entourent cette magnifique actrice ne jouent pas la comédie, ils n’ont pas à être crédibles ou pas, ils sont ce qu’ils sont à l’écran, ils parlent avec leurs mots de cette vie étrange dans laquelle il semble s’épanouir. Il n’y a pas à creuser beaucoup pour se rendre compte que cette vie de nomade n’est pas non plus venue comme çà, par pur choix. Maladie, chômage, deuil impossible, crise économique, frais médicaux exorbitants, tous ont une raisons d’avoir choisi cette vie mais aucun ne se plaint. Il y a une solidarité et une humanité qui saute aux yeux, elle est sans doute propre aux gens qui vivent un petit peu à la marge. Il n’y a aucun misérabilisme dans « Nomadland », pas une larme. Enfin si, juste une à la toute fin, lorsque Fern retourne dans sa ville devenue ville fantôme. La pudeur avec laquelle Zhao filme ces gens saute aux yeux et touche en plein cœur. Au milieu d’eux, Frances McDormand laisse parler son immense talent. Fern distille ses émotions au compte goutte, et Mac Dormand sait merveilleusement jouer ce genre de personnage. Elle accepte de se laisser filmer dans des situations qu’on ne montre pas d’ordinaire au cinéma (sur les toilettes) ou pour une actrice passé 30 ans (intégralement nue dans un torrent), elle donne à Fern 100% d’elle-même et même peut-être un peu plus. Il n’y a pas d’intrigue à proprement parler dans « Nomadland », il s’agit d’un road-movie, de rencontres successives, de petits boulots qui s’enchainent. Zhao filme une Amérique qu’on ne voit pas beaucoup au cinéma, celle des laissés pour compte de la crise de 2008, ceux qui ont des retraites minuscules et qui ne peuvent vivre que dans leur van. Il ne s’agit pas ici d’immenses camping car luxueux, mais plutôt de fourgons aménagés (parfois avec une remorque) minuscules, où on dort recroquevillé, sans isolation, où on cuisine sur une plaque unique et on mange quasiment au dessus. Tous ces gens sont à la merci d’une panne moteur qu’ils n’auraient pas les moyens de payer et qui les laisseraient sans rien du tout, pour le coup. spoiler: Fern, à deux reprises, est hébergée dans une maison. Chez sa sœur d’abord (pour lui emprunter de l’argent), chez le fils de son ami Nick ensuite. Les deux fois on lui propose de rester, les deux fois elle décline et part aussi vite qu’elle peut.
    Il y a dans cette vie de nomade pas seulement de la précarité, il y a aussi une forme de liberté qui semble lui convenir, qui semble leur convenir à tous. « Nomadland » est un film qu’il faut voir si on veut comprendre un petit peu cette Amérique qui nous semble parfois si étrange. Dans ce pays sans filet social, sans Sécurité Sociale, qui a érigé la Liberté comme vertu supérieure à toutes les autres, il est entendu qu’elle a un prix. Nous, ici, n’imaginons pas payer ce prix là. Là-bas, dans le Middle West, dans l’Amérique de 2021, c’est différent. Ce qui peut déconcerter le spectateur français peut aussi l’interpeller et le toucher. C’est le cas avec « Nomadland »
    lancelo25
    lancelo25

    30 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 juin 2021
    Autant The Ridder, le précédent film de Chloé Zhao était un quasi-chef d’œuvre qui aurait mérité des oscars, autant Nomadland ne mérite pas les siens à mes yeux tant ce film coche les cases du « monde d’après » (nomadisme, crise, esseulement, rapprochement de l’homme avec la nature, homme esclave des multinationnales esclavagistes) mais ne procure aucune émotion et comporte de nombreuses longueurs. Personnellement, je ne suis pas sensible au jeu de Frances Mc Dormand que je trouve glacial. De plus, la réalisatrice laisse certains personnages secondaires exprimer leurs sentiments ou émotions (ce qui apporte quelques moments forts au film) mais on a surtout l’impression de voir un long clip interminable avec de belles images, de belles intentions mais malheureusement pas de vibrations à la hauteur des attentes que l’on pouvait avoir pour ce film multiprimé.
    lilyzab
    lilyzab

    24 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2021
    Embarquez avec ce film sur les chemins des nomades américains. Les home less mais pas sans toit! Dans les paysages à couper le souffle que sait si bien filmer la réalisatrice , nous voyageons au fil des saisons dans l'univers de ceux qui vivent dans leur camping car par choix ou par nécessité..... Magnifique interpretation de tous . Une mention spéciale pour tous ceux qui ont accepté de partager dans ce film
    Fodscraft
    Fodscraft

    14 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2021
    Fern a perdu son mari par le passé. Elle a également perdu son travail, comme la plupart des habitants d'Epire, ville ouvrière du Nevada, quand l'usine ferme suite à un accident. Elle décide de vivre dans son van et part sur les routes, vivotant de petit boulot et côtoyant une population itinérante désœuvrée.
    Drame social aux nombreux prix, Nomadland les mérite. C'est sans pathos qu'il décrit la vie des laissés pour compte, qui ont perdus leur argent, leur santé, leur travail, et à qui le système américain ne permet pas de se retrouver. C'est aussi l'histoire émouvante de Fern, qui fait son voyage initiatique pour se retrouver dans ce road movie spoiler: qui finit où il commence
    .
    Chloé Zhao, la réalisatrice, sublime la grandeur des paysages, où se plonge littéralement le personnage principal, avide de se perdre, de se diluer dans ces étendues.
    Un très beau film, humain.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    68 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juin 2021
    Une fois encore TRÈS RÉUSSI!
    Avec un regard bienveillant, Chloe Zhao se penche sur les « déshérités » de son pays d’adoption.
    Quitter ou rester dans la réserve indienne (Les chansons que…)
    Cette autre famille d’indiens, passionnée de rodéo, mais la Vie d'après? (The Rider).

    Cette fois ce sont les travailleurs précaires, au point d’habiter sur place, dans son van ou camping car….
    Sa façon de filmer les gens modestes et les liens qui les unissent…. avec tant d’empathie nous montrer le quotidien trivial avec lenteur mais aussi beaucoup de poésie, dans ces grands espaces….
    Entre longs plans sur l’immensité et la beauté des paysages à toute heure; rugosité de la vie quotidienne
    et liens fraternels

    Plus de travail, plus de maison, puis la vie précaire de « sans domicile fixe » mais toujours l’humanité,
    la fraternité.
    Une autre forme de vie que les « gens du voyage » ?
    Sildenafil
    Sildenafil

    63 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 septembre 2021
    A traiter d’une cause que tout le monde ne peut qu’embrasser et soutenir, le film dégage une vanité pincée, finalement assez propre à certains « films à Oscar », comme si le traitement sans développement d’un propos se suffisait à lui-même. En outre, Nomadland tombe dans un misérabilisme déplacé, tout en suggérant à plusieurs reprises que la vie de ces travailleurs nomades relève plus d’une choix que d’un impératif économique.
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