Film culte de toute une génération... ça c'est indéniable ! Pour l'époque c'était un chef d'oeuvre tant c'était délirant et fantastique !! Malheureusement je n'aurais jamais du le re-regarder ! Il faut avouer que ça n'a pas très bien vieilli... la partie spatiale m'a carrément barbé et je n'ai pas accroché autant que j'en rêvais ! Un mini fiasco je le crains !
24 ans après sa sortie il est évident que le film a beaucoup vieillit mais il n'en demeure pas moins super :) Une multitude de personnages fantastiques plein de charisme (pour l'epoque aujourd'hui ca peut sembler super ridicule)... mais Falcor et le mangeur de pierres imposent le respect !
Très inventif mais a sérieusement vieilli et s'adresse vraiment, mais vraiment, aux enfants. C'est un peu le Flash Gordon des enfants ! L'idée de scénario est géniale et le film a encore de beaux jours devant lui.
Souvenir de mon enfance. Je l'ai revu avec ma fille de 7 ans qui avait les yeux écarquillés comme moi à son âge et c'est là la grande qualité du film : sa féerie qui émerveille les gamins.Après je l'ai revu avec des yeux l'adulte... Et il faut bien le dire, il y a de la magie dans ce film mais aussi des trucages immondes et un scénario pas toujours très fin... La fin également assez bordélique et en panne d'inspiration. Mais quel plaisir de revoir atrayou, falcor le dragon et l'homme mangeur de pierre !!!
Un conte fantastique au effets visuels et speciaux qui ont helas mal vieillis,mais meme pour l'époque,force est d'admettre que l'on est bien en dessous de ce que nous offrait le chef d'oeuvre Dark Crystal.(meme si ils se ressemblent.)
25 ans plus tard, que reste-t-il de l'histoire sans fin, monument de l'heroïc fantasy enfantine. Un film certes brillant techniquement et aux effets spéciaux parfois bluffants (la plupart ont assez bien vieillis même si d'autres sont largement datés), abusant de latex mais le bestiaire reste impressionnant d'imagination (voir la 1ère scène dans le palais de l'impératrice). Le déroulement de l'histoire est dans les standards du genre, tout comme le personnage principal et son univers (mère décédée, père absent, martyr des plus grands...) et le monde magique de Fantasia aurait pu être un prétexte à de nombreuses folles aventures. Il n'en sera rien hélas, les folles péripéties n'ayant jamais lieues, sinon elle sont d'une mollesse incroyable. Pas vraiment palpitant mais bien interprété, mis en scène avec savoir faire, un vrai pur film pour enfant, jamais second degré, parfois magique mais un peu simplet (sans parler de l'affrontement final entre Atreyou et le Gmork, une vaste blague).D'autres critiques sur
L'Histoire sans Fin est un film intelligent pour notre marmaille, oscillant constamment entre fiction et réalité, le long métrage convainc grâce à une esthétique renversante pour l'époque faite de personnages et de décors hauts en couleur. Certains protagonistes demeurent très bien pensés, pour autant le montage raté et la happy end absolument détestable désacralise en quelques secondes une lente mise en place mystérieuse et intelligible. En plus du discours sur l'éducation et la conservation de notre héritage littéraire, L'Histoire sans Fin offrait son lot d'images psychédéliques, mais le final ne passe pas et le long métrage traîne par moment en longueur.
Je vais d'emblée sûrement m'attirer les foudres des fans mais je n'ai pas vraiment accroché à ce film, pourtant culte, réalisé par Wolfgang Petersen et sorti en 1984. N'étant pas vraiment fan d'héroic fantasy mais ayant tout de même eu envie de découvrir ce classique des années 80, je m'y suis collé mais je ne peux pas vraiment dire que j'en suis spécialement déçu car je n'en attendais pas grand-chose. Adapté du roman éponyme (enfin plus précisément de la première moitié) de Michael Ende, le film raconte l'histoire d'un enfant mal dans sa peau qui se plonge dans un récit fantaisiste mais dont il fait partie malgré lui. Je n'ai pas lu le roman, je ne pourrai donc pas le comparer au film, mais je trouve déjà le postulat de base (dans le scénario) assez facile. Je veux dire que nous avons une fois de plus affaire à un gamin qui se plonge dans la lecture et l'imaginaire parce-qu'il est malmené par ses camarades, ce qui n'était peut-être pas un cliché dans les années 80 mais lorsqu'on le regarde aujourd'hui, ça saute aux yeux. De plus, nous avons également le cliché du vieux libraire excentrique qui n'aime pas les jeux vidéos etc. et qui "donne" un vieux bouquin poussiéreux et mystérieux à un gamin. Bon, la suite on la connait. En dehors de cela, nous avons également le monde parallèle de Fantasia qui je le reconnais, est très bien fait. Mais je ne suis malheureusement pas totalement parvenu à rentrer dedans, la quête sonnant encore une fois un peu facile. Il y a certes des enjeux mais c'est surtout le parcours initiatique du héro, à la "Le Magicien d'Oz" que nous retenons le plus et qui n'est pas hyper intéressant car il a déjà été vu de nombreuses fois au cinéma. Je ne suis pas entrain de détruire le film, simplement j'aurai aimé quelque chose d'un peu plus original. La forme en elle-même est assez originale et inventive mais c'est donc surtout le fond qui me pose problème ici, le papier cadeau ne fait pas tout. Les effets spéciaux sont quant à eux très bons et même s'ils ont forcément vieillis, cela ne choque pas trop ou ça donne en tout cas un bon coup de nostalgie pour ce genre de film des années 80. On retiendra également l'excellente B.O. et notamment le morceau "The NeverEnding Story", chanté par Limahl. "L'Histoire sans fin" n'est donc pas, à mon goût, un film si extraordinaire que ça même s'il possède de bons côtés.
Aahhhh ce film là, quelle bonheur de le revoir!!!!!!! "L'histoire sans fin" avait bercé toute mon enfance. Réalisé en 1984 par Wolfgang Petersen qui sortait d'un succés mondial avec "Le bateau", je craignais en le revoyant que le film sombre dans le ridicule vingt-trois ans aprés. Ce n'est pas le cas, le film ne vieillit pas et je suis retombé en plein dans l'enfance avec ce conte magique. L'histoire d'un jeune enfant nommé Bastien, dont la mère est décédé et marthyre de ses camarades d'ecole, qui entre dans une librairie ou il rencontre un lecteur qui lui déconseilles de lire un livre mystérieux pas fait pour les enfants. Le jeune homme, intrigué, prend le livre et découvre les aventures d'un jeune guerrier nommé Atryu, dans le monde de Fantasia peuplé de personnages et créatures imaginaires, qui a pour mission de trouver une princesse pour eviter que le monde fantastique plonge dans le néant. Bastien dévore les pages du livre dans un grenier mais découvre au fil de l'histoire qu'il est impliqué dans les aventures d'Atryu .... Film fait pour les enfants, mais auquel je déconseillerais de voir pour les moins de dix ans avec quelques scènes qui m'ont traumatisé dans mon enfance comme la mort du cheval d'Atryu dans le marécage mélancolique ou le loup qui poursuit le heros qui fait trés peur. Ce film ne passe pas ridicule à cotés des Heroic Fantasy d'aujourd'hui, l'univers fantastique du film est magnifiquement mis en scène par Wolgang Petersen. Noah Hattaway et Barret Oliver sont de jeunes acteurs qui nous font vivre l'histoire avec une ame d'enfant. Un film à ne pas manquer et a voir en famille.
Film culte que l'on ne présente plus l'histoire de fantasia en a émerveillé plus d'un. Encore aujourd'hui le film tient la route et je pense qu'on regardera encore cette histoire "sans fin"
Une jolie histoire, plutôt pour enfant, qui est assez envoutante et entrainante par son scénario et son final intéressant et peu courant. On est conquis. Néanmoins, le film a beaucoup vieilli et les effets spéciaux et effets visuels sont … affreux. La BO est agréable à entendre mais mériterait aussi une mise à jour. Le film a aussi un léger problème de rythme, s’éternisant sur certains passages et oubliant de développer d’autres. L’histoire sans fin reste une merveilleuse histoire qui serait assurément mieux avec une retouche.
Certainement un des films qui a le plus marqué mon enfance, même encore aujourd'hui je le trouve excellent ! Quand on a lu le livre original, on se rend compte à quel point ce gigantesque univers aurait pu être encore mieux exploité comme un certain Seigneur des Anneaux !
Tout en proposant un formidable voyage plein d’aventures et de magie, The NeverEnding Story offre une réflexion puissante sur la fiction et sa nécessité à l’homme pour affronter le néant de sa condition de mortel. Aussi le long métrage, en mettant en abyme son spectacle merveilleux par des jeux de va-et-vient entre le monde des représentations mentales du lecteur et le monde auquel le lecteur appartient, deux sphères étroitement connectées et en lien permanent l’une avec l’autre, incarne-t-il la propension naturelle de chaque individu à fictionnaliser le réel pour le rendre habitable et avoir une emprise sur lui. Ce dédoublement constant nous invite aussi à réfléchir sur l’essence même du conte et ses pouvoirs : il constitue la mémoire, rendue vivante par la voix du conteur, d’une culture réunie autour d’un partage de valeurs, de mythes et de légendes qui lui confèrent son identité. La scène au cours de laquelle le jeune Atreyu erre parmi les ruines d’une cité détruite et reconnaît sur les murs qui l’environnent des dessins narrant les épisodes de sa propre odyssée s’achève sur une discussion avec Gmork, serviteur du néant venu démasquer les chimères de la fiction : il endosse malgré le rôle du narrateur, mais d’un narrateur qui construit moins le récit par son instance qu’il ne le mine en lui renvoyant, comme dans un miroir, son artificialité congénitale. La résolution du film consiste alors à faire prendre conscience à Bastien de son pouvoir en tant que lecteur, pouvoir d’animer tout un univers, pouvoir de lui permettre de renaître de ses cendres. Wolfgang Petersen signe donc une très belle invitation à la lecture et au voyage, qu’il oppose à l’oubli et au règne de la brutalité – les harceleurs finalement sont châtiés –, une source « sans fin » qui puise au plus profond de l’homme, forte de créatures inoubliables et animées à la perfection, dotée d’une noirceur véritable qui détonne avec la guimauve contemporaine – l’engloutissement du cheval peuplera nos cauchemars. Un chef-d’œuvre intelligent et atemporel.
Never ending stoooooryyyyy Tout le monde se souvient de cette chanson ?!? Cest elle qui accompagne ce gamin, Bastien, tout au long de ses aventures à Fantasia. Jai vu et revu ce film et je le trouve toujours aussi magique. Il maccompagne depuis mon enfance et je le recommande à tous, petits et grands. Laissez vous transporter par Falcor le dragon de la chance qui vous fera découvrir un tas de personnages hors du commun, tel que le mangeur de pierre