Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Tiré d’un livre autobiographique d’André Carl van der Merwe, le film n’évite pas certains clichés (des scènes illustrées par la musique de « Giustino », de Vivaldi), mais touche juste. L’émotion, tenue en lisière par les armes, s’épanouit à la fin, avec grâce.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
En suivant le parcours d’un jeune sud-africain qui découvre son homosexualité pendant sa formulation militaire sous l’apartheid, le cinéaste Oliver Hermanus porte un regard aussi acerbe qu’étonnement délicat sur le refus de l’endoctrinement et la quête de l’indépendance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
L'élégance de la mise en scène tient à cette lecture des traits et mimiques comme dans un livre ouvert, donnant davantage à percer la psychologie que des schémas émotionnels traditionnels.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un véritable enfer que l'on traverse ici avec la douceur de Schubert en contrepoint et, de tous les plans, la résistance et la dignité exemplaire du jeune brave et beau Nicholas. Un lueur d'espoir dans un monde barbare et sans lumière, reconstitué avec rigueur et brio.
Première
par Thierry Chèze
Ce contraste est aussi puissant que saisissant, comme le mariage entre Full Metal Jacket et Beau travail. Sans être écrasé par ces références, ce qui en dit long sur sa qualité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
L’émotion est là et donne une gravité juste à cette évocation d’un passé méconnu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Virilisme et musique baroque au programme de ce film de dénonciation esthétisant.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Sur le racisme et l’homophobie institutionnalisés - et d’État -, un drame parfois sensible, mais plus souvent et alternativement atone et affecté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le récit décrit avec âpreté et passion les ravages de l’apartheid chez des jeunes soldats réquisitionnés par l’Etat, à vouloir trop en faire, le film cède au risque de la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
Tiré d’un livre autobiographique d’André Carl van der Merwe, le film n’évite pas certains clichés (des scènes illustrées par la musique de « Giustino », de Vivaldi), mais touche juste. L’émotion, tenue en lisière par les armes, s’épanouit à la fin, avec grâce.
Les Inrockuptibles
En suivant le parcours d’un jeune sud-africain qui découvre son homosexualité pendant sa formulation militaire sous l’apartheid, le cinéaste Oliver Hermanus porte un regard aussi acerbe qu’étonnement délicat sur le refus de l’endoctrinement et la quête de l’indépendance.
Culturopoing.com
L'élégance de la mise en scène tient à cette lecture des traits et mimiques comme dans un livre ouvert, donnant davantage à percer la psychologie que des schémas émotionnels traditionnels.
Le Journal du Dimanche
Un véritable enfer que l'on traverse ici avec la douceur de Schubert en contrepoint et, de tous les plans, la résistance et la dignité exemplaire du jeune brave et beau Nicholas. Un lueur d'espoir dans un monde barbare et sans lumière, reconstitué avec rigueur et brio.
Première
Ce contraste est aussi puissant que saisissant, comme le mariage entre Full Metal Jacket et Beau travail. Sans être écrasé par ces références, ce qui en dit long sur sa qualité.
Télérama
L’émotion est là et donne une gravité juste à cette évocation d’un passé méconnu.
Le Monde
Virilisme et musique baroque au programme de ce film de dénonciation esthétisant.
Les Fiches du Cinéma
Sur le racisme et l’homophobie institutionnalisés - et d’État -, un drame parfois sensible, mais plus souvent et alternativement atone et affecté.
aVoir-aLire.com
Si le récit décrit avec âpreté et passion les ravages de l’apartheid chez des jeunes soldats réquisitionnés par l’Etat, à vouloir trop en faire, le film cède au risque de la complaisance.