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    Frankenstein s'est échappé
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    Roub E.
    Roub E.

    756 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2021
    Frankenstein par la Hammer donne l’occasion d’un nouveau duel entre deux acteurs fétiches du studio Peter Cushing dans le rôle titre et Christopher Lee dans le rôle de sa créature. Une version où le docteur est montré comme un sadique et un pervers, bien dérangeante pour un film des années 50. On retrouve aussi quelques spécialités du studio: une forme de grandiloquence, un côté décalé, du sang rouge vif, et une forme de perversité. Même si avec le regard actuel le film est je l’imagine moins dérangeant qu’à l’époque j’ai bien aimé cette vision d’un Docteur Frankenstein réellement dangereux plus que celle d’un scientifique dépassé par sa découverte.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    29 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2021
    Ce ne sont plus aujourd'hui des films d'horreur comme ils pouvaient l'etre dans les années 60/70 mais les productions de la Hammer gardent un parfum absolument indémodable car en dehors du temps. Ce très bien léché "Frankenstein s'est échappé" est un bon cru du au trio vedette du studio : le réalisateur Terence Fisher et devant la caméra le duo Peter Cushing / Christopher Lee. Un film d'aventures fantastiques comme on n''en fait plus 3.5 /5
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    7 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2021
    Si ce n’est pas le premier film de la Hammer, « Frankenstein s’est échappé » marque le début de l’âge doré de la firme anglaise. Avec son trio magique Peter Cushing, Christopher Lee et Terence Fischer dans une ambiance gothique renforcée par l’utilisation de la couleur, cette adaptation du roman de Mary Shelley annonce un virage. Si les décors sont encore un peu minimalistes et viendront s’enrichir dans les films suivants, la réalisation parvient à compenser toutes les faiblesses du budget par des astuces remarquablement efficaces. En baron Frankenstein jouant les apprentis sorciers, Peter Cushing est fabuleux, tout autant que Christopher Lee impressionne par sa taille et son maquillage plutôt réussi.
    Plutôt que de jouer la surenchère, Jimmy Sangster au scénario (et qu’on retrouvera dans l’écriture des meilleurs Hammer) prend le temps d’installer ses personnages et sa situation (la créature ne prend vie qu’après la moitié du film). Les questions philosophiques ne sont pas esquivées même si le film se veut un pur produit d’épouvante. La structure narrative de l’histoire est d’une remarquable cohérence s’achevant sur un formidable plan sur une guillotine. Auparavant, on aura eu droit à de superbes plans en contre plongée sur une potence et un gibet qui ajoutent des éléments horrifiques à l’ensemble.
    Ramassé en 1h20, le film est palpitant et repose sur un huis-clos intelligent imaginé dans la maison du baron. La folie qui s’empare de lui est magnifiquement décrite et son personnage est la clef de ce récit plutôt que celui de la créature (dont les méfaits sont plutôt faiblement racontés, ce qui empêche l’ensemble d’être une réussite absolue). En somme, un film de série diablement intelligent qui en appela une fort jolie liste dans les années qui suivirent. Autrement dit, un film synonyme d’acte fondateur dans l’histoire de la Hammer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 mai 2019
    Mais il est fou ce docteur foldingue ! Au temps des Lord de la romancière créatrice de l’histoire fantastique-épouvante, son personnage de baron Frankenstein joue avec les calepins scientifiques de la mort, jusqu’à les réveiller en une forme hybride d’anciens restes humains, c’est la création donnant naissance au monstre populaire. Une prestation excellentissime de Peter Cushing en savant fou du cinéma d’intrigue horrifique, ça fait Shakespearienne comme mise en scène saisissante, je donne grâce aux dialogues anglais, il y a une bonne approche de l’adaptation, ce n’est pas décevant. Au summum de l’horreur zinzin pour le seigneur Franky, enchaînant sa créature sans état d’âme, une véritable violation des droits de la chose bafouée dans son laboratoire secret, bien obscur abîme révélation.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    165 abonnés 2 428 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2019
    Frankenstein s'est échappé est une alternative assez intéressant au Frankenstein de Whale.
    L'intrigue est plutôt convaincante et évolue de façon assez inattendue et satisfaisante.
    Ayant lu le livre il y a un bon bout de temps, il me semble que le film prend tout de même pas mal de distance avec l’œuvre originale (qui tournait en grande partie sur la traque entre Victor Frankenstein et la créature). Mais contrairement à la version de Boris Karloff (qui allait à l'encontre du livre), cette créature-ci n'inspire à aucun moment à susciter l'empathie chez les spectateurs. Il s'agit d'un monstre, d'une machine à tuer, rien de plus. spoiler: C'est parfois dommage comme par exemple dans la scène de l'aveugle, qui devient moins intéressante. La version de Karloff montrait que l'absence de jugement physique de la part de l'aveugle à l'égard de la créature permettait de tisser des liens entre les deux personnages et de montrer des sentiments de la part de la créature. Alors que dans cette version-ci, on voit juste une monstre tuer un handicapé.

    La fin est assez « morale » (Victor Frankenstein condamné à mort pour le meurtre de sa bonne, Paul le faisant passer pour un fou en niant l'existence de la créature afin de protéger cette découverte scientifique).
    La maquillage, certes assez simpliste (constitué essentiellement de bandelettes), constitue une alternative intéressante au design du Frankenstein de Boris Karloff (même si c'est ce dernier qui restera dans l'imaginaire comme LE Frankenstein).
    Peter Cushing est particulièrement en Victor Frankenstein obsessionnel et inarrêtable. L'acteur arrive vraiment à rendre son personnage antipathique de détermination. Son personnage ira jusqu'à tuer de sang-froid pour son projet fou et son collègue n'arrivera jamais à le faire raisonner. Christopher Lee est bien dans le rôle de la créature. Après Dracula et la Momie, on pourra vraiment dire que l'acteur aura incarné les plus grands monstres du cinéma d'horreur. En revanche, sa prestation est assez limitée. L'acteur n'avait qu'à agiter bêtement ses bras en marmonnant quelques mots. Bref, un gâchis du talent de l'acteur.
    C'est tout de même une version intéressante du mythe de Shelley. A voir.
    RealPrime
    RealPrime

    61 abonnés 1 630 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 septembre 2018
    Deuxième film sur Frankenstein que je vois de ma vie après « I’m Frankenstein » en 2013, je peux dire qu’il est bien mais quelques longueurs inutiles qui alourdissent l’ensemble. Les effets et maquillages sont respectable pour l’époque, mais j’ai vu presque mieux, par exemple j’ai trop mieux remarqué la différence de peau réelle et fausse sur le visage de la créature. Ça m'a presque choqué. Bon après les scènes d’hurlement des femmes sont justes mythiques pour l’époque et c’est presque marrant à un moment. J’en est d’ailleurs bien plus appris sur l’origine de cette créature qui ne s’appellent pas Frankenstein à l’origine comme beaucoup trop de personne l’ont fait. Elle s’appelle juste « la créature ». Tout ça pour dire que c’est un bon film pour l’époque mais y a quelques longueurs inutiles et de presque bons effets. Voilà.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    680 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 novembre 2016
    Frankenstein s'est echappé ne fait pas partie des films de la Hammer que je préfère, mais cela reste une oeuvre bien sympathique à suivre grâce à une mise en scène solide de Terence Fisher et au duo que forme avec conviction Peter Cushing et Christopher Lee. Par contre, j'ai été un peu déçu du maquillage du Monstre qui a pris un sérieux coup de vieux.
    Wagnar
    Wagnar

    67 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2016
    Frankenstein s'est échappé marque l'entrée de la Hammer dans le domaine du cinéma d'épouvante gothique, genre qu'elle continuera d'exploiter jusqu'au début des années 1970. Les seuls qui purent offrir une alternative crédible dans ce domaine furent les italiens avec des films tels le Masque du Démon ou Danse Macabre. Le film est réalisé par Terence Fischer et n'est que le premier grand succès hammerien de ce cinéaste de talent qui signera plus tard ses chefs d'oeuvre à savoir le Cauchemar de Dracula, la Malédiction des Pharaons et la Nuit du Loup-Garou. Ici, le baron Frankenstein est un personnage beaucoup plus ambigu que celui qu'incarnait Colin Clive dans le film de James Whale. Il manipule son entourage et ne recule devant rien (pas même le meurtre !) pour parvenir à l'accomplissement de ses projets macabres. Peter Cushing, futur Tarkin dans Star Wars, interprète cet antihéros avec tant de conviction qu'il le reprendra dans les suites, réalisées pour la plupart par Terence Fisher. La Créature, elle, est interprétée par Christopher Lee qui ne tardera pas à devenir une icône du studio britannique au même titre que Cushing. Le succès immense de Frankenstein s'est échappé (il aurait surpassé le Pont de la rivière Kwaï au box-office) engendra non seulement des suites mais aussi d'autres reprises hammeriennes des classiques de l'épouvante Universal tels Dracula, la Momie, le Fantôme de l'Opéra ou le Loup-Garou. Il propulsera également la carrière de Peter Cushing et surtout de Christopher Lee. Désormais, ce dernier sera catalogué dans le registre de personnages menaçants ou diaboliques comme Dracula, Fu Manchu ou encore Raspoutine. Bien qu'il ne soit pas aussi célèbre que le Frankenstein de 1933, Frankenstein s'est échappé reste un classique du cinéma d'épouvante méritant vraiment le détour. Une réussite.
    alouet29
    alouet29

    69 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 novembre 2016
    Un peu mou et truffé de scènes inutiles, ce film n'est cependant à dédaigner. En effet les personnages plus travaillés et un scénario bien construit en font une histoire intéressante à suivre.
    Audrey L
    Audrey L

    562 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2016
    Un bon film d'horreur avec Christopher Lee dans le rôle de la créature de Frankenstein (quel changement comparé à Dracula ! Ne pouvant plus parler, il adapte son jeu éloquent qui passe maintenant par l'expression visuelle du corps et du visage). Des moments de longueurs (dialogues entre Peter Cushing en Frankenstein et son mentor) se font sentir et constituera la seule raison importante à une note juste "bonne". Des effets spéciaux parfois kitsch (oeil de la créature en sang presque rouge fluo) qui font sourire aujourd'hui mais sont très sérieux pour l'époque. Un scénario qui suit convenablement l'histoire originale (le monstre qui attaque son maître le soir de la nuit de noce par exemple) et surtout qui fait -enfin- tomber le cliché de la foudre donnant la vie au monstre...et qui n'existe pas dans le livre original. Un bon film à regarder si l'on apprecie le livre ou si l'on veut voir un classique du genre.
    Yetcha
    Yetcha

    760 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2015
    Cushing excellent, c'est un pléonasme de dire ça bien évidemment, Christopher Lee en créature muette est juste parfait. L'histoire touchante, sous forme de flashback. Cushing en docteur Frankenstein est inquiétant de folie, incarné avec calme et détermination. Ce film est un classique et le restera toujours
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 039 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 novembre 2015
    Après le "Frankenstein" de 1931, et juste avant le "Docteur Frankenstein" de 2015, je souhaitais vous parler d'une oeuvre que j'ai découverte hier, et que j'apprécie particulièrement. Loin d'être réputé pour son titre, "Frankensein s'est échappé" paraît pourtant trop banal, avant de débuter le visionnage; les distributeurs français ont toujours fait des erreurs, visiblement. Honnêtement, c'est sûrement, je pense, l'une des meilleurs adaptations de l'oeuvre de Mary Shelley, doublée d'un reboot de folie, d'un film de malade. Le casting illustre parfaitement, d'ailleurs, l'aspect très prestigieux de l'oeuvre. Peter Cushing endossant le rôle du docteur, il fallait quelqu'un de spécialement grand, mais pas forcément imposant. Le choix fut donc de s'armer de Christopher Lee pour donner vie à la créature, et à Terence Fisher de lui donner du sens. La collaboration des trois est extrêmement fructueuse, et s'avère l'une des plus intéressantes de la carrière commune des ces trois artistes, s'alliant à la perfection pour nous donner un résultat final au dessus de toutes attentes. Premièrement, le travail de Fisher est remarquable : il nous livre un travail d'une étonnante beauté, et d'une remarquable originalité. Ses plans, parfaitement choisis, assaisonnent le tout à la perfection, de même que l'écriture, très réfléchie, soutient facilement la comparaison. Bon, je tiens de suite à dire que j'ai vu le film en VO sans sous-titre, alos ne vous attendez pas à ce que je vous parle des dialogues en détails; l'on dira seulement qu'ils remplissent le cahier des charges avec pertinence. Non, l'intérêt de la rédaction viendra surtout du fait que le scénario changera véritablement de l'histoire de base de Shelley, tout en y gardant certains points d'attache, sinon des points de repères. L'on appréciera, par exemple, la transformation totale de la personnalité de Frankenstein : il n'a rien de particulièrement attachant, si ce n'est son interprète, le grand Peter Cushing, qui parvient à rendre un personnage détestable un minimum humain. L'originalité du personnage ( parmi tout ce qui a déja été fait ) viendra surtout du fait qu'il s'avère être un réel psychopathe, sans réels sentiments humains, si ce n'est son amour pour Elizabeth, qui le sauve, à mes yeux, de la folie la plus totale et alliénante. Sadique comme aucun autre pareil, Victor est saisissant de perversité. L'interprétation de Peter Cushing est elle-même impressionnante; comme tout le reste, ai-je envie de dire. Il amène son charisme si particulier à l'oeuvre, et transforme complètement, comme précédemment évoqué, la personnalité de Frankenstein, lui offrant une certaine ambigüité des plus appréciables, une nuance folle. L'homme se donen au film, et même s'il fait preuve de quelques surjeux, son énergie et sa présence ne pourront que nous faire apprécier sa prestation. De même pour Christopher Lee, qui aurait pu trouver, s'il n'avait point ni joué Dracula ni la Momie, trouver ici le rôle de sa vie. Son maquillage, que certains ont trouvé vieillissant, ne m'a guère gêné; je veux dire, quand on sort de la "Nuit du Loup-Garou", on est tout de même bien content d'avoir un Frankenstein comme celui là, et qui plus est en couleurs ( le film étant la première adaptation du mythe en couleurs ). Lee joue d'ailleurs son rôle de manière extrêmement particulière. Désirant, c'est évident, se démarquer complètement de l'hallucinante prestation de Boris Karloff, il tient là le bon bout, et nous offre un Frankenstein humain, bien que monstrueux ( le but était là, en même temps ). Sa manière de se mouvoir est également dépaysante : ses mouvements, saccadés à l'extrême mais d'une contradictoire fluidité, semblent à la fois hasardeux et ordonné, trouvant le point d'orgue d'un équilibre entre humanité et monstruosité. Pouvait-on rêver d'une meilleure adaptation, et d'un meilleur reboot pour la Hammer? Non. Et je pense sincèrement que les chiffres le prouvent : véritable succès inattendu, c'est surtout ce film qui contribua à graver la Hammer dans l'esprit des gens, et offrit à ses trois collaborateurs sus-cités, la carrière dont chacun rêvait. Du grand cinéma.
    Thibault F.
    Thibault F.

    44 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2014
    Vision de l'oeuvre de Frankenstein revu par Terence Fisher et la Hammer et je dois le dire, c'est plutôt une réussite. Moins réussi que l'une des premières versions, celle de James Whale, l'oeuvre de Fisher fourmille d'un certains nombre d'idées mais aussi de surprises que le spectateur ne perçoit pas. Les acteurs sont fabuleux notamment Urquhart et Cushing mais une légère déception s'impose pour le rôle du monstre joué par Lee moins à l'aise que Boris Karloff qui fut exceptionnelle (certainement dut en grande partie au visage qui est mal réalisé [l'authentique étant gardé par Universal] et aux mimiques forcées de Lee). Cela reste une oeuvre classique mais redoutablement efficace même si je préfère le traitement du réalisateur sur Dracula, beaucoup intimiste. A voir, pour les fans du mythe de Frankenstein !
    djacno T.
    djacno T.

    32 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 février 2014
    Superbe réalisation de la Hammer avec des scènes et des dialogues très convaincants. Le scénario est un peu trop manichéen car il met un peu trop en avant le Baron qui devient presqu’une caricature et la créature a un rôle plutôt réduit. La présence de nombreux clichés spoiler:
    (la bonne, le tonnerre, les alambics, la cousine opportuniste et féministe,...) spoiler:
    donne un côté amusant au film.
    Cushing et Lee offrent d'excellentes prestations et les seconds rôles sont aussi bons.
    Estonius
    Estonius

    2 568 abonnés 5 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 octobre 2013
    Dans ce film , contrairement au film de James Whale, on n'éprouve aucune empathie pour la créature de Frankenstein, le scénario préférant s'attarder sur le personnage du Baron, illuminé cynique remarquablement interprété par Peter Cushning. En fait seules les femmes sont sympathique dans ce film… (Superbe Hazel Court !). Nous avons là une série B de prestige très bien réalisée et au rythme soutenu.
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