Avis : Couleurs de l'incendie - Page 7

Un film qui dure plus de deux heures, j'y vais souvent à reculons...Et pourtant il, est d'agréables surprises où le temps passe en un éclair....Et pour cause la mise en scène de Monsieur Cornillac est éblouissante, ( on pourra rapprocher son style de Dupontel, pou ceux qui connaissent) et nous livre une histoire du 20ème siècle tout fait descriptive et émouvante...Bravo au acteurs et actrices ( J'ai été "troublé par la sensuelle Alice Isaaz, vue dans une belle course avec Dany Boon), Bravo à Léa Drucker impériale dans son rôle principal, à Benoit Pooelvorde et Olivier Gourmet, les méchants hommmes d'affaire, au petit Paul, la victime, etc...Sur le thème de la, vengeance, le film tient toute ses promesses avec conviction, que ce soit le scénario, la prise de vue (admirable), les décors magnifiques et historiques, la musique et des dialogues toujours judicieux;..Ce film est aussi une page d'histoire du 20ème siècle non connue, il semble que ce soit une histoire vraie, restez à la fin du film...Cela faisait longtemps que le inéma français n'avait pas été à pareille "fête", à ne pas rater à mon humble avis.......

Après 2 h 16 de projection, et une vision mitigée d’une adaptation littéraire assurée par son propre auteur, on peut imaginer reprendre le projet sur la forme cette fois d’une série ( 3/4 épisodes ) ou alors de feuilletons comme ces petits formats qui autrefois fleurissaient sur le petit écran TV en noir et blanc. C’est un peu l’esprit de ce film élaboré avec beaucoup de moyens, des décors somptueux, des comédiens ad-hoc et une histoire qui nous entraîne dans les arcanes de l’âme humaine pas très réjouissante. On y croise des hommes méchants, cupides, et sans honneur face à la fortune d’une femme qui leur avait fait confiance. Riche héritière de son père, Madeleine Péricourt va connaître l’adversité la plus redoutable, celle de ses proches et de ses confidents. Puis rebondir autour de figures secondaires ( une nounou italienne, une cantatrice souffreteuse …) et d’un homme venu du peuple, son ancien chauffeur que Cornillac joue années cinquante. Ce cinéma d’autrefois avec des acteurs gourmands convoqués pour faire le spectacle. Ce film n’en manque pas, il est agréable, populaire, mais malgré sa longueur je reste sur ma faim.
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com

Histoire de trahison, de conviction et d'émancipation dans les années 1920-30, Clovis Cornillac nous propose une suite tout à fait honorable à «Au revoir là-haut» malgré une histoire plus convenue, mais durant laquelle on ne s'ennuie pas, et une réalisation assez académique, mais soignée dans sa reconstitution.

Film magistral, palpitant, joué et dirigé de façon brillante. La vengeance est délicieuse, à la fois drôle, tragique et malicieux. Le casting est extraordinaire. Tous sont excellents dans leur interprétation. Quel moment de grand cinéma. Un immense bravo. Un film dont on entendra parler aux Cesars.

Excellent film. Reconstitution parfaite. Acteurs superbes mention spéciale pour Fanny Ardant je recommande

j'avais peur d'aller voir ce film, étant fan de Lemaître et peu fan d'acteurs comme Ardant et Cornillac. Et puis je me suis laissée emportée. Forcément, c'est Lemaître qui signe l'adaptation avec sa patte subtile. Ben ouais y a des incohérences des uchronies, mais c'est du cinéma, pas un doc ! Et pour une fois Ardant a réussi à me convaincre et Cornillac se bonifie avec le temps, que demander de mieux ?

Bon si vous voulez voir un résumé du livre, vous le verrez. Si vous voulez voir un grand film, alors passez votre chemin. Rien de ce qui fait la complexité des personnages du roman n'est à l'écran. On a juste une succession de scènes d'action et une interprétation parfois très moyenne. Une réalisation classique. Vraiment décevant

Clovis Cornillac n'a malheureusement pas le talent d'Albert Dupontel en tant que réalisateur et le film s'en ressent, là ou Dupontel rendait vraisemblable l'invraisemblable ,Cornillac échoue. Tout semble un peu téléphoné et prévisible . Déçu
A noter néanmoins la belle performance de Fanny Ardant.

Vraiment c est un très très bon film français, les acteurs font un tres bon travail, peut etre un peu long

Vraiment du grand cinéma ! À partir d'un superbe livre, Cornillac nous livre un scénario très fidèle à son modèle. Tout y est , l'ambiance d'époque, les acteurs au top et la musique superbement choisie. À voir sans hésitation.

Couleurs de l'incendie est une belle adaptation de la suite d'Au Revoir Là-haut. L'histoire est moins forte, mois chargée en émotions que le premier volet, donc moins marquante mais suit bien l'ambiance de la bande dessinée.

Quelle déception pour cette "bluette" dégoulinante de bons sentiments. Il y a d'un côté les très bons, de l'autre les très méchants, qui au début ruinent les gentils. Et, par des jeux de hasard et des circonstances tant improbables que ridicules, les gentils pourront se venger, et devenir encore plus riches qu'avant. Quel ennui. Aucune créativité, des clichés, rien.

Superbe film, immersion totale dans les années 1930, les décors, objets, costumes sont fantastiques. Ce drame, roman et adaptation de Pierre Lemaitre, mis en scène Clovis Cornillac vous enveloppera. Le jeu de tous les acteurs est parfait dans cette intrigue, notamment Fanny est Ardante. Sur fond du fascisme montant en Europe chacun choisi son camp, ce qui pourrai se renouveler.

Bon film vu en avant première et présenté par Clovis Cornillac.
Les acteurs sont excellents, le choix de l'enfant (pour son jeu) devenu adolescent discutable (peut-être)...
De beaux costumes, de belles couleurs et prises de vue.
On ne perd ni son temps ni son argent.

Poelvoorde a contre emploi, c’est plutôt bien. Léa Drucker excellente, tout en retenue.
Tout semble facile.
Film plaisant, sans être excellent.