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    Couleurs de l'incendie
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    490 critiques spectateurs

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    No Quarter
    No Quarter

    3 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2023
    Le début du film est poussif, pas très bien joué par Léa Drucker, avec des dialogues un peu théâtraux qui manquent de naturel. Le milieu est plus intéressant et un peu plus distrayant. Le dernier quart est plus réjouissant. Le tout est sauvé par de superbes décors et une très belle musique. Mentions spéciales à Poelvoorde et Gourmet.
    kluane
    kluane

    2 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 novembre 2022
    Loin, tres loin de la brutalité et violence wes romans, personnages non fouillés et sans caractère, un film qui s oubliera bien vite, un roman qui traite d une vengeance cru et d un cauchemar qui accouche d un film famille Noël, dupontel est tres tres loin...
    Lycoon
    Lycoon

    2 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2023
    J'attendais beaucoup de ce film après l'excellent Au revoir là-haut. Alors oui, Couleurs de l'incendie n'est pas aussi bon mais il reste très sympa.
    Cinememories
    Cinememories

    452 abonnés 1 437 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 novembre 2022
    Alors que les cendres de « Au revoir là-haut » sont encore chaudes, Clovis Cornillac (Un peu, beaucoup, aveuglément ; Belle et Sébastien 3 ; C'est magnifique !) succède à Albert Dupontel, pour reprendre les écrits de Pierre Lemaitre. L’auteur signe également l’adaptation du scénario, dont on comprend rapidement des exigences revues à la baisse, autant dans le déroulé de l’intrigue que dans la mise en scène, trop confuse en apparence. Alors que le film précédent, s’attardait sur les conséquences d’après-guerre et ce retour à la vie impossibles pour des poilus oubliés ou chassés pour leur apparence, cette suite met en valeur la montée de régimes totalitaires, au détour d’un déclin économique mondial. On revisite ainsi l’Histoire, par le prisme d’une famille qui a perdu tout innocence et qui n’a plus que la vengeance ou l’admiration de l’art afin de se reconstruire.

    Son ouverture a de quoi surprendre et inquiéter dans le même temps. Le plan-séquence labyrinthique qu'il constitue, fait l'exposition des protagonistes, tout en poussant les curseurs du tragique à fond, sans subtilité, ni sincérité. Au centre, Madeleine Péricourt (Léa Drucker) est au bord de l'implosion et n'avait donc pas besoin que son fils unique se défenestre directement sur les obsèques de son défunt père. Ce fil conducteur avec l’œuvre précédente disparaît donc son tombeau, ne laissant qu’une lutte pour l’argent, révélant ainsi les alliés et les ennemis. Il n'en faut pas plus pour comprendre que le calvaire est à venir pour cette héritière, dont les conseillers proches souhaitent soutirer tout l'héritage et la fortune de cette dame endeuillée. Cela permet entre autres de faire un état des lieux grimaçant, d'une France d'après-guerre qui ne semble pas tout à fait avoir digéré ses pertes. Il est donc temps de s'attarder sur les profits, dans la décadence et par crainte que la bourgeoisie ne puisse plus jouir de ses bienfaits, tout à fait superficiels, autant dans son confort que dans son prestige.

    Le récit nous affuble ainsi d'un entrepreneur machiavélique (Benoît Poelvoorde), d'un oncle coureur de dot (Olivier Gourmet), d'un journaliste qui n'a pas la plume dans sa poche (Jeremy Lopez) et d’une ménagère loin d’être aussi incisive qu’une femme fatale (Alice Isaaz). Tous tombent dans la spéculation des vices, qui se retournent indéniablement contre eux et à leurs dépens. Et dans l’ombre ou en arrière-plan, Cornillac pilote le film et déverrouille des portes vers des rebondissements nécessaires à l’intrigue, sous les traits de Dupré, homme à tout faire, toujours là au bon moment. Lé récit est donc loin de se dispenser de raccourcis, mais il s’agit d’une qualité qu’on ne peut lui ôter, à savoir un sens du rythme aux « Couleurs de l’incendie », qui, une fois le synopsis dépassé, peut enfin laisser Madeleine investir dans une vengeance triomphante.

    Hélas, tout est loin de convaincre, que ce soit sur la scène émotionnelle ou formelle. Quand une cantatrice (Fanny Ardant) pousse son dernier souffle, la symbolique l’emporte sur son iconisation et d’un autre côté, l’adaptation de Cornillac a sans doute peu à raconter sur l’époque contemporaine, miroir d’un mal omniscient, régi par l’appât du gain. La légèreté que l’on distille alors, tout au long du périple, semble aussi vaine que tout acte de rébellion contre son auteur, pourtant ouvert sur la caractérisation de son héroïne qui n'a plus rien à perdre. Sans vouloir trop en donner, l’œuvre se veut être un témoin de la grande Histoire, dont on démontre les symptômes évidents, au cœur d’un polar trop fébrile pour nous laisser penser que l’on file droit vers une Grande Dépression.
    lionelb30
    lionelb30

    403 abonnés 2 518 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2022
    Histoire d'une vengeance style victor hugo mais dans le paris des années trente. Pas mal dans le scenario , la réalisation ou les acteurs. Reste quelques ficelles un peu grosse et film un peu trop long.
    Jmartine
    Jmartine

    155 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 novembre 2022
    Situé chronologiquement après Au Revoir Là-haut, le Goncourt de Pierre Lemaitre sur les mésaventures de deux poilus dans le Paris de l’après-guerre, adapté par Albert Dupontel avec le succès que l’on sait (deux millions d’entrées, deux César), Couleurs de l’Incendie reprend une poignée de personnages secondaires, pour raconter une histoire tout à fait différente. Son décor n’est plus celui d’une France d’après-guerre bricolant sa survie, mais d’un pays aux plaies pansées, en reconquête industrielle… février 1927, suite à la mort de Marcel Péricourt, Madeleine, (Léa Drucker) sa fille, se voit hériter de l’empire financier qu’a bâti son père. Lors de la cérémonie des obsèques, le fils de Madeleine, Paul, va avoir un geste inattendu, lourd de conséquences pour la suite des événements. Gustave Joubert (Benoît Poelvoorde) collaborateur très proche du défunt père de Madeleine, va réussir à soutirer toute sa fortune. Face à un collaborateur avide de pouvoir, un oncle, bon à rien, Charles Péricourt , politicien plus ou moins corrompu (Olivier Gourmet) et un journaliste monstrueux, André Delcourt (Jeremy Lopez), la fille de Marcel Péricourt va devoir établir un plan minutieux et infaillible pour se venger, aidé par son ex-chauffeur, Monsieur Dupré ( Clovis Cornillac) , son ancienne secrétaire , Léonce Picard ( Alice Isaaz) d’abord passée à l’ennemi puis revenue auprès de son ancienne patronne aidé par son mari Robert Ferrand (Alban Lenoir) …Couleurs de l’incendie est donc l’histoire d’une vengeance, mais qu’est-ce qui fait que l’on ne s’attache pas aux personnages principaux ? Bien que les motivations de Madeleine soient compréhensives et brillamment exécutées, Léa Drucker, elle, l’est moins. Son interprétation n’est pas marquante et son jeu n’est pas concluant, ce qui fait qu’on ne s’attache pas à son personnage, de même qu’à Lucien Dupré, interprété par un Clovis Cornillac sans charisme et sans saveur…Les personnages sont comme étouffés dans un épais mélodrame romanesque, des décors certes somptueux mais écrasants, une musique trop présente…et 2h 16 c’est long !!! J’en ai ressenti un sentiment de frustration, certains personnages auraient gagné à être d’avantage développés, où certaines intrigues auraient mérité plus de profondeur…quitte à en alléger le décorum…
    Sophie Cado Besserve
    Sophie Cado Besserve

    14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 novembre 2022
    Magnifique au-delà de toute attente, les Acteurs sont brillants et l'intrigue vous mène à l'infini sans vous démettre une seule seconde
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    156 abonnés 1 043 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 novembre 2022
    Après "Au Revoir Là-Haut" voici une nouvelle adaptation de Pierre Lemaitre, crédité ici comme scénariste et dialoguiste. Une histoire de vengeance sous fond d'effondrement économique dans l'entre-deux guerres. Les décors, les costumes, l'interprétation, tout est joli, tout ronronne, rien ne surprend. On a presque envie de rire quand il faut rire, et pleurer quand il faut pleurer. Et puis on se dit, sans étonnement, que Corvillac est bien piètre réalisateur comparé à Dupontel.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    70 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 décembre 2022

            Du cinéma vieillot, (et bien long!) où on s'attend de voir surgir Jean Gabin, Bernard Blier...
            D'après le roman de Pierre Lemaitre, dialogué et scénarisé par Pierre Lemaitre. Peut être eut il fallu choisir quelqu'un d'autre pour la scénarisation, par  exemple Albert Dupontel..... en tous cas, si vous avez aimé Au revoir là haut, dites vous bien que ça n'a rien à voir
            Madeleine (Léa Drucker), dans les années 30, est la fille, et l'héritière d'un riche banquier.
            A la mort de celui-ci, elle se fait arnaquer par le chargé d'affaires de celui ci, Gustave, qui se lance dans l'industrie et les avions à réaction (Benoit Poelvoorde), par son oncle raté et geignard, Charles, (Olivier Gourmet), par le précepteur de son fils (et par ailleurs pédophile), André (Jeremy Lopez) et par sa propre femme de chambre et amie Léonce (Alice Isaaz). Rien que ça!!! 
          Elle va donc se lancer dans une longue vengeance aidée par un Rouletabille d'occasion, son ancien chauffeur, monsieur Dupré (Clovis Cornillac). Vous verrez passer aussi Fanny Ardant, diva adulée par le fils infirme de Madeleine (il s'est jeté par la fenêtre le jour de l'enterrement de Pappy)
          S'ensuivent de nombreuses péripéties, toutes plus improbables les unes que les autres, qui conduiront  entre autres Madeleine dans Berlin nazi. On a pourtant convoqué une belle brochette d'acteurs bankables.... Tiens, voilà aussi Olivier Rabourdin dans le rôle du commissaire qui va envoyer tout ce beau monde au trou. Rien ne tient debout.... mais ça n'a même pas de style, de drôlerie, de sauce qui ferait passer le pâté!

    mousscoco@aol.com
    mousscoco@aol.com

    7 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 novembre 2022
    Très bon film. Merci au cinéma français et à Clovis Cornillac de nous offrir un très beau spectacle. Les acteurs du plus petit rôle au plus grand rôle jouent tous très bien, le film est très bien rythmé on ne voit pas le temps passé, et le scénario est excellent. Vraiment bravo et merci pour ce moment de cinéma
    AZZZO
    AZZZO

    278 abonnés 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 décembre 2022
    Faisons simple : ceux qui ont aimé le roman de Pierre Lemaitre adoreront le film de Clovis Cornillac qui suit le livre ligne par ligne ; ceux qui ont été déçus par la suite "feel good" du génial (et très intelligent) "Au revoir là-haut" trouveront le film sans intérêt.
    C'est un spectacle tout en costumes qui promet aux spectateurs de passer un bon moment de divertissement ; la condition est d'admettre qu'une héroïne ruinée par sa naïveté puisse subitement se transformer en stratège de la finance, de la diplomatie et du renseignement et d'accepter de voir de grands acteurs comme Olivier Gourmet surjouer comme dans un mauvais vaudeville.
    Le film est comme le livre : sans intérêt. Le Edmond Dantès du pauvre.
    VILLE.G
    VILLE.G

    49 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 décembre 2022
    Très classique. Trop classique. Les acteurs sont excellents mais évoluent dans un espace où on sent trop les costumes et les voitures de collection. Trop formel et sans vraiment de surprises. On peut allez le voir avec de jeunes ados, pour l'Histoire et pour l'histoire.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    169 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2022
    Cette adaptation de second livre de Pierre Lemaitre par Clovis Cornillac n'échappe pas à la comparaison avec celle d'Albert Dupontel pour "Au Revoir Là-Haut". La direction artistique est parfaite. Les décors, les costumes sont incroyables. La fidélité de l'époque est très réussie. Lorsque l'on parle de la mise en scène, peu de risque sont pris. C'est très académique et maladroit à la fois. Aucune véritable inventivité ne se fait ressentir. Le casting fait de son mieux. Heureusement qu'ils ont tous un bagage important qui permet de combler le manque de direction. Attendons de voir ce que donnera l'adaptation du troisième livre de l'auteur.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    211 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 décembre 2022
    Couleur de l’incendie est un gros film de Clovis Cornillac où le suspens et les rebondissements ne manquent pas. Léa Drucker joue l’héritière d’un banquier qui va se retrouver à la tête d’une belle fortune ce qui va attiser la gourmandise… Efficace.
    Math719
    Math719

    158 abonnés 649 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 novembre 2022
    Romancé, exagéré, Clovis Cornillac signe ici un film avec une intrigue un peu trop attendue, et devinable ! C’est un film assez, mou malgré le fait qu’il se passe pas mal de chose. Quelques scènes toutefois sympas, une histoire pas banale, et quelques rebondissements intéressants, quoi que trop théâtralisés à mon goût ! Les acteurs surjouent un peu trop à mon goût, Poelvoorde par exemple, j’ai toujours eu du mal mais là c’est personnel..
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