Avis : The Duke - Page 9

Un véritable navet malgré d'excellents acteurs. Totalement primaire, même sur le plan de l'humour. Et très ennuyeux, tout est attendu au ras des pâquerettes. Et le fond est très triste en fait. Mais surtout, aucune pétulance alors qu'on aurait pu en attendre sur un tel thème.

De l'humour Anglais à dérider la planète.
De belles convictions militantes.
Humanité, engagements.
On n'y quitte pas son sourire.

Les anglais ont le don de nous émouvoir. Montrer la vie de gens modestes sans misérabilisme mais au contraire beaucoup de poésie.

Une petite comédie anglaise sans prétention qui m'a fait passer un bon moment mais que j'ai oubliée dès le lendemain. L'histoire (vraie) se voudrait spectaculaire mais n'a au final rien de bien palpitant. En revanche, le personnage de ce vieil anarchiste qui a de gros soucis côté vie pro et aussi dans son couple est tout à fait réjouissant et parvient à nous arracher quelques petits rires complices. Comme dit partout, Jim Broadbent et Helen Mirren sont absolument parfaits.

Beaucoup d'humour dans les dialogues qui sonnent justes
excellente interprétation. Une histoire "décalée" filmée avec rythme, sans jamais tomber dans la parodie. Un bon moment de cinéma

Excellent film dans le pur style du cinéma anglais.
Un vrai bonheur quand on sait qu'il s'agit là d'une histoire vraie.
Et Helen Miren qui nous gratifie là d'un rôle secondaire dans lequel elle met tout son art. Grand merci à elle.
Ne conviendra pas aux fans des films en hyper-action que sont beaucoup de blockbusters.

Roger Michell a le chic pour évoquer des sujets graves tels que le chômage, la pauvreté et le racisme en y mettant une pincée de fantaisie qui allège bien sa mise en scène par ailleurs tout aussi sommaire. Le scénario est de la même trempe. Un film donc bien pépère sur un pépère qui n’en finit pas de râler après le gouvernement et la redevance TV. Après bien des tentatives avortées et des petits boulots perdus, pour cause de grande gueule, le voici en possession d’un tableau de Goya subtilisé dans une galerie de Londres . Retraité recherché par toutes les polices de Grande Bretagne, il règlera lui-même le problème avant que le tribunal ne se penche sur son cas. En dehors du jeu très typé de Jim Broadbent en retraité bougon ( typiquement britannique dira-t-on) , et de la présence discrète d’Helen Mirren, cette histoire gentiment racontée ne mène pas très loin . Elle peut occuper une belle soirée d'hiver. Deux intermèdes sur la véritable histoire et un petit making of
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com