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Un visiteur
3,0
Publiée le 27 octobre 2012
le plus grand nanar du cinéma français un film culte avec un Christophe Lambert démentiel et des réplique poignante un nanar a regardez entre pote pour bien se marrer.
Dès les premières secondes, avant même que le titre n'apparaisse, on sent qu'il va y avoir un problème : la bande son. Les première bruitages, les premières musiques, à eux seuls, annoncent ce qui va suivre... Les décors sont honorables. La photo l'est un peu moins. Le jeu d'acteur, hasardeux. Le montage catastrophique. Un film à refaire, avec une meilleure direction.
Un très bon film d'aventure, à la foi historique, qui plaira à toutes la famille. Christophe Lambert joue très bien le rôle de Vercingétorix. Certaines scènes peuvent être assez dures.
Pauvre Dorfmann retourne à la production pure ou a la quinzaine de Roland Garros dans ta loge , mais là quand-même une daube pareille c'est pas possible ....lol....!!!!!
Le plus gros navet depuis longtemps... Est-ce possible de tourner un truc pareil ?!?! Christophe Lambert est décidément nul, la seule chose qu'il a fait de bien a été de jouer un singe ! ("Greystoke" magniffique film) On s'ennuie ferme, on ne croit pas une seule seconde à ce qu'on voit... Et le pire sont les costumes et le maquillage digne d'un téléfilm des années 80... Tous les gaulois ont exactement la même coupe de cheveux et exactement la même couleur ?!... Le clonage existait avant alors ?!?!... A OUBLIER !!!
Sans aucun doute l'un des pires films historique de l'histoire, que dis-je, le pire film à ce niveau là. Moscatoet charvet semblent etre égarés sur le plateau, lambert joue bien le José Bové et max von sidow aurait bien besoin d'etre exorcisé pour oublier ce film calamiteux. Tout est plat et ridicule, c'est chiant, çà saoule, on ne comprend rien, les forteresses ont été construites chez del prado et le costumier à du faire ses achats chez prisunic...Enfin bon, je perd mon temps à tirer sur une ambulance, ce film est nul de chez nul, vive jean pierre mocky, un vrai cinéaste lui !!
L'un des films les plus nuls au monde. Il n'y a rien....................................................................................................................... Il devrait le proposer pour les détenus criminels, il leurs mettent ce film en boucle pendant trois jours et je vous assure qu'il ne récidiveront pas (rire).
(dommage... pas de possibilité de mettre des notes négatives... allez quoi, faites une effort AlloCiné... imaginez des symboles remplaçant les étoiles pour donner des notes négatives. Un rouleau de PQ par exemple...ou alors un chiotte. Allez, moi je donne le max : 4 chiottes).
Puisqu'on m'a demandé de réécrire cette critique en l'édulcorant, voici mon nouveau texte: "Vercingétorix" est un sommet du film épique,un chef d'oeuvre intemporel emmenée par une mise en scène et des acteurs exceptionnels notament Totophe dans son meilleur role,émouvant et bestial.... Evidemment,pensez tout le contraire ce ce que j'ai écrit et vous obtiendrez ma véritable pensée sur cette purge, regardable et hilarante au millième degré ou sous l'effet de substances illicites.... Quatre étoiles pour ce sommet de comique involontaire car j'adore les nanars!!!!
Quel ennui ! Il y a bien des moyens, notamment dans les costumes et les décors, mais le film n'en restera pas moins d'un vide abyssal. Aucun style dans la mise en scène ; un scénario qui certes, se veut avant tout historique, mais qui ne sera pas spécialement entraînant, en plus d'être nullement enrichi ; l'acteur principal Christophe Lambert, ici à la ganache particulièrement ridicule, viendra incarner un Vercingétorix au charisme d'huître, qui plus est enfoui dans un lot de comédiens aux lacunes certaines (qu'il s'agisse de troisièmes rôles ou de simples figurants) ; cette vision de la légende du druide roi sera bien loin de nous forger d'admiration envers ce personnage historique.
Saviez-vous qu'à force d'aller au Sud vous finissez par vous retrouver au Nord ? Si si c'est véridique. Tel est Vercingétorix ! Au bout de 5 minutes une daube de 10 un ratage absolu de 15 un nanar suprême et là hop on bascule : il confine au chef-d’œuvre, frôle avec l'extase, défie les plus géniaux des blockbusters : Adieu Citizen kane et Lawrence d'Arabie !! J'ai tellement ri que j'en ai eu des crampes d'estomac !! La scène ultime : Le "druide" regardant lambert et lui déclamant "Allez botte moi le cul".
Je vous en supplie regardez le c'est tellement bon tellement jouissif de rire autant ! Sacré Christophe !
Faire du glorieux, du péplum, il ne suffit pas de le vouloir. S’assurer Christopher Lambertix et Max Von Sydowic, multilingues accomplis, ne guarantissait pas en tout cas que le tournage franco-anglais pût résulter en une grandiose épopée à la gauloise. Il est, en fait, aussi ridicule de réclamer que les personnages s’exclamassent dans leurs idiomes d’époque que de faire ce doublage affreux des interprètes anglophones. On parle de barrière de la langue, mais ce n’est plus une barrière à ce niveau, c’est une fortification.
Fomentant des complots et des plans militaires dont on n’est témoin d’aucun des liens connectant les ordres aux actions, Dorfmann compte sur des dialogues plus que médiocres délivrés avec une fausse verve par les quelques acteurs dont la voix a survécu à la médiocrité. La Guerre des Gaules est sans panache où se déroulent des évènements importants les uns après les autres. On pourrait défendre cette énumération au titre du résumé historique, mais peine perdue : notre culture générale tout comme le générique nous indiquent que la réalité a été abondamment déformée.
Car au-delà d’un César qui a si peu de charisme que je l’ai d’abord pris pour un sous-fifre, et des grands personnages qui se rencontrent à la bonne franquette entre le bottage des fesses d’un druide et une des beuveries (rares scènes supportables parce que difficiles à mal jouer), Vercingétorix est un festival du stéréotype, agglomérat joyeux de légendes inassumées qu’on a collées ensemble au son du ”nos ancêtres les Gaulois”. J’avais fait le pari avec moi-même qu’on entendrait ”le ciel va nous tomber sur la tête” avant le milieu du film : j’ai gagné.
L’œuvre mûrit un peu avec l’avancée de l’histoire, qui se précise autour d’une ”bataille finale” (divertissement cheap, bonsoir) bonifiée par ses décors et la solennité générée on ne sait trop comment, compte tenu notamment de la musique qui est souvent mal à-propos et qui transcende la notion d’anachronisme.
Mauvaise légendification (mystification ?), vulgarisation ratée, film épique arrogant, Vergincé… Cervingé… Le film est aussi ennuyeux que son sous-titre est dur à lire.
Vercingétorix en libérateur, en rassembleur des tribus de Gaulle, en stratège et en visionnaire, tel se présente, vu par Jacques Dorfmann, notre mythique ancêtre. L'édifiant portrait confine à l'allégorie patriotique dans cette (médiocre) fresque où Dorfmann affirme plus qu'il ne démontre. Au coeur de cette complaisante et superficielle leçon d'Histoire, Vercingétorix fait un héros lisse et insignifiant, une image d'Epinal pour manuel scolaire de CM1. Son épopée tourne à vide, tant fait défaut à la mise en scène un quelconque point de vue politique, historique ou artistique; une mise en scène rudimentaire, parfois brouillonne, et qui sacrifie aux effets stylistiques à la mode les batailles sanglantes filmées au ralenti pour en accentuer le pseudo réalisme, la cruauté. A ce propos, les batailles de Gergovie et Alésia font d'ailleurs figures d'escarmouches ridicules, sans envergure, dont la réalisation a tout à envier au savoir-faire hollywoodien passé ou présent. Perdu au milieu de figurants et seconds rôles grossièrement dirigés, Christophe Lambert, dans le rôle-titre, n'a que que son regard pénétrant pour tenter de nous convaincre de la valeur de son personnage. Les propos de Vercingétorix, entre emphase et prosaïsme, frôle constamment le grotesque (sous les yeux d'un super druide dont la philosophie et les conseils au chef de la Gaulle rappelle l'initiation de Skywalker par son maître Jedi!). Enfin, face à Vercingértorix, il fallait un Jules César. Klaus Maria Brandauer s'y colle; il incarne cet ennemi admiratif (forcément), un César malicieux dont les rcitus ne masquent pas, à l'instar des autres rôles, la vacuité.