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James Kineas
5 critiques
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0,5
Publiée le 3 janvier 2022
Scenario sans queue ni tete, il ne se passe jamais rien et pourtant on s'y attend a plusieurs fois mais ça n'arrive jamais, un excellent somnifère mais c'est tout
Cette adaptation d'un roman d'Elena Ferrante oscille entre passé qui se révèle lentement, conférant toute sa profondeur au film et présent lourd, angoissant sous le soleil grec, là seulement pour servir de miroir à la jeunesse de l'héroïne. Olivia Colman incarne la version âgée de Jessie Buckley, mère aux prises avec sa soif de liberté, déchirée entre ses filles et ses aspirations. Ce long-métrage est donc à voir pour le drame psychologique d'hier et sa dimension très actuelle (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/01/09/the-lost-daughter-maggie-gyllenhaal/)
The lost daughter, est un film vraiment intéressant qui traite sous différents points de vue les difficultés de la maternité. Maggie Gyllenhaal a réussi à installer une atmosphère assez intense avec son personnage principal, Leda (Olivia Colman), qui est à la fois doux et pervers, ce qui donne au film un ton hésitant, qui est très appréciable. Par ailleurs, Dakota Johnson est absolument sublime dans le film. Cependant, le rythme devient lassant voir ennuyant alors que la première partie du film était remarquable. Dommage.
Lent. L'intrigue n'apparait qu'après trop longtemps, on commence à comprendre les troubles de la mère qui a délaissé ses enfants trop tard dans le film et rien ne se passe. A quelques 20 minutes de la fin du film, enfin se décante légèrement l'histoire, mais celle ci reste centrée sur le personnage principal et la jeune femme. Un film bien peu accrocheur, lent et bien long pour raconter trop peu.
J'ai été bien déçu par cette adaptation américaine d’un roman de la célèbre Elena Ferrante, « La figlia oscura ». Si la presse s’est montrée plutôt complaisante à l’égard de cette première réalisation de l’actrice Maggie Gyllenhaal, les spectateurs sont dans l’ensemble plus réservés, et je les comprends. Passe encore qu’on parle anglais dans ce « Lost Daughter ». Mais pourquoi avoir déménagé l’action en Grèce plutôt que de l’avoir gardé en Italie ? Que vient faire le personnage flou et sans intérêt d’Ed Harris ? Les multiples retours en arrière sont souvent confus. Bref, peu d’action et beaucoup d’ennui !
Le film aborde la difficulté d'être mère et femme, surtout quand le désir de l'un semble absorbé les besoins de l'autre. Olivia Colman est très touchante dans ce rôle. Pourtant, j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et l'ennuie l'emporte un peu par moment.
Dans un roman le récit peut s'interrompre pour évoquer ce qui s'est passé à une époque ultérieure et le personnage reste identique, ne se dédouble pas. Au cinéma le "retour en arrière" est généralement (presque toujours) incapable du même effet ; quand bien même le réalisateur utiliserait le mieux du monde tous les stratagèmes possibles, (voix off, allusions), ce que le film montre c'est toujours le présent : ce qui se passe ici et maintenant . En effet l'image est toujours au présent comme dans un rêve. Par sa nature même elle est incapable de signifier ce qui n'est pas, ou ce qui n'est plus qu'imaginaire et en particulier le contenu formel d'un souvenir (d'où également l'échec de ces représentations filmiques de rêves, de fantasmes ou d'hallucinations). Certains réalisateurs comme Bergman y parviennent par leur génie, ce n'est pas le cas ici et c'est ce qui en un certain sens détruit la force de fascination de la première moitié (magnifique) du film et nous renvoie en prétendant filmer le passé dans un autre film totalement étranger et celui-là peu intéressant.
C'est un film je dirais assez frustrant, d'un côté on a une très bonne mise en scène et des très jolies plans et de l'autre un scénario un peu trop alambiqué qui avance très lentement pour un dénouement qui n'oie laisse un goût aigre-doux dans la bouche... quel dommage, le jeu des acteurs était pourtant bon et la bande son bien choisi.
Une introspection sur la relation parent-enfant dans ce qu’elle a de difficile, raconté pour une fois du point de vue du parent, et tourné avec délicatesse tout en suggestion
Pendant 2 heures j'ai attendu que quelque chose se passe en vain Entre cette histoire de poupée ces flash back incessants on essaye de suivre cette histoire et on s'ennuie fermé
Vraiment, un bon moment de cinéma. Le titre, hommage à William Blake. C'est filmé dans un style très naturel. Caméra sur l'épaule pour les moments de vraie - fausse frayeur.Les tempéraments sont vraiment bien incarnés. La pseudo fin façon mort de Sissi, subtile !
Pour ne pas mettre 0 car vraiment vraiment vraiment c'est long et il ne se passe rien de chez rien !!! A la fin c'en est presque comique 🤣 A vraiment eviter svp !!!