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    Un endroit comme un autre
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Un endroit comme un autre" et de son tournage !

    Source d'inspiration

    Uberto Pasolini s'est inspiré d'une histoire vraie qu'il a lue dans le journal. Le réalisateur a contacté les services sociaux, qui ont refusé de lui en dire davantage, donc il s'est contenté des éléments relatés dans l’article. Il se rappelle :

    "En gros, c’est l’histoire d’un père célibataire qui élève seul son fils de quatre ans. La mère de l’enfant est partie juste après sa naissance, elle est retournée dans son pays d’origine sans laisser d’adresse. Le père n’a pas de parents, d’oncles ou de cousins."

    "Quand il apprend qu’il lui reste quelques mois à vivre, il cherche une famille pour son fils. J’ai mené mon enquête auprès des différentes organisations qui ont un rapport avec l’adoption, et ensuite seulement, j’ai écrit le scénario."

    Thème de la mort

    La thématique de la mort a déjà été traitée par Uberto Pasolini dans Une belle fin (2015), où Eddie Marsan jouait un personnage exerçant un métier atypique : trouver des proches à une personne décédée qui n'a pas de famille connue.

    Point de vue

    Un endroit comme un autre est raconté du point de vue du père. Un choix permettant à Uberto Pasolini de décrire sa façon d’accepter ce qui lui arrive et de comprendre ce qui est le mieux pour son fils. "C’est un film sur la vie, et comme toujours, c’est la proximité de la mort qui rend la vie encore plus précieuse", précise le metteur en scène.

    Situation rare

    La situation au centre d'Un endroit comme un autre, à savoir qu'un père choisisse la personne qui adoptera son enfant, est extrêmement rare dans la réalité. Uberto Pasolini développe : "C’est une responsabilité très lourde. Au début du film, il a une idée assez précise de ce qu’il cherche pour son fils. Petit à petit, il comprend que ce qui est réellement le mieux pour son fils ne correspond pas forcément à l’idée qu’il s’en faisait."

    Anti-larmoyant

    Uberto Pasolini ne voulait pas tomber dans le mélodrame. Le réalisateur a ainsi adopté une délicatesse semblable à celle qu’a le père envers son fils : "Il essaye de protéger son fils de tout ce qui est trop émotionnel, et j’en fais de même avec le spectateur. Je procède par touches, délicatement, doucement. J’ai essayé de faire un film impressionniste."

    "Je ne voulais pas raconter, mais mettre en scène deux mois dans la vie de cet homme et de son fils. Comme si on prenait leur histoire « en cours », si l’on peut dire. On les rencontre et petit à petit on apprend des choses sur eux, on fait un bout de chemin avec eux, puis on les quitte. On suit des émotions, plutôt que des situations."

    Une évidence de casting

    Uberto Pasolini s’intéresse depuis longtemps au parcours du comédien James Norton. C'est donc de manière logique qu'il lui a proposé le rôle principal de Un endroit comme un autre. Le metteur en scène confie :

    "J’adore sa façon de se fondre dans les personnages qu’il incarne. Il a un jeu tout en retenue, et une grande intensité émotionnelle. Il fait passer beaucoup de choses dans son regard. Le personnage qu’il incarne ici est un homme plutôt viril en surface, qui en fait est tout sauf macho, puisqu’il se consacre totalement à son fils. James a cette masculinité, et en même temps il nous fait ressentir toutes ses émotions."

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