Une montagne de clichés et idées reçues faisant passer Diana comme une victime et toute la famille royale comme inhumaine, mutique. La réalité est sans doute plus nuancée. Dialogues médiocres. Fond sonore nul.
Lenteur, tristesse, sombre… Tout ça fait passer la famille Royal pour des sans cœurs et Diana pour une folle C’est pas ce qu’on veut voir. Je comprend pas pourquoi vouloir faire un film si sombre …
Ne vous attendez à pas à un biopic sur Lady Di, ni à une reconstitution fidèle : tout l’intérêt de ce film réside dans l’interprétation de ce que pourraient avoir été les sensations et les perceptions de la Princesse de Galles pendant un week-end de noël à l’approche de son divorce. Très intime, le film réussit merveilleusement bien à véhiculer les perceptions, les tourments du personnage dans un contexte qui lui était infernal. Esthétique réussie et superbe performance de Kristen Stewart
Mais quelle déception! Vendu comme LE FILM de Diana, nous voyons une Diana seule, folle, hystérique, victime, hallucinant. Kristen Stewart essaye de se détacher de ses habituelles mimiques mais il en reste, un travail est fait sur l'accent britannique qui je trouve est soit souffler ou avec des intonations aux mauvaises répliques. La musique est véritablement problématique, elle est OMNIPRÉSENTE et SOMBRE. Heureuse de ne pas l'avoir vu en salle.
L'un des pires films sur Diana que j'ai vu. Les traits de la princesse sont bien trop exagérés dans le jeu d'acteur. L'histoire n'est pas prenante, la musique tout autour vient rajouter une couche d'un gâteau déjà bien garni.
Finalement il y a des films qui n ont pas besoin d être diffusé dans un cinéma et Spencer en fait parti. Très lent, la musique est trop présente. En revanche l ambiance oppressante du film nous fait bien ressentir ce que Lady Di vivait dans cette famille et Kristen Stewart est brillante dans ce rôle. Ce n est pas un film pour passer un bon moment et se détendre.
"Spencer" comme le nom de jeune fille de la Princesse de Galles, mais aussi comme un retour aux sources pour celle qui ne sait plus vraiment qui elle est. Le film de Pablo Larraín se déroule entièrement pendant les festivités de fin d'année dans la résidence de la famille royale à Sandringham. À côté se trouve la maison d'enfance de Diana qui l'attire et l'obsède. C'est peu de dire que Diana en avait marre de cette vie de château, de ces traditions et surtout de cette attention sur elle. Dans ce petit instant de vie où les gens pensent davantage à satisfaire les traditions plus que les cœurs, elle essaie de reprendre sa vie en main, ce qui n'est pas chose facile étant donné que le moindre de ses faits et gestes est connu de tous et que les "murs ont des oreilles" comme on aime bien le lui rappeler. S'il ne s'agissait pas d'une histoire "vraie", on pourrait parler de l'emprise psychologique exercer sur elle. Il y a ce collier de perles, sujet de discorde, qui est comme un symbole de l'humiliation qu'elle subit. La vie de château n'est pas forcément la vie rêvée et ce dont il est question ici avec Diana qui est dans une prison dorée ou plutôt de verre puisqu'elle est observée et épiée sans cesse. Si l'on compare à "Jackie", un autre film de Pablo Larraín, je trouve que celui-ci a plus de matière et que la personnalité de Diana est plus intéressante. Là où le film sur Jackie Kennedy était un biopic très académique, "Spencer" s'en éloigne en flirtant avec le drame psychologique. En tout cas, c'est pas mal et Kristen Stewart est convaincante même si j'ai mis quelques minutes à m'adapter à son jeu.
L'histoire de la famille royale britannique est bien connue maintenant grâce à la série à succès The Crown ou aux multiples films sur les différents membres, la princesse Diana en tête. Spencer ne cherche pas à nous en apprendre davantage sur la princesse de Galles, pour cela, référez vous aux autres œuvres citées, non Diana est ici l'héroïne malgré elle d'un film d'horreur. Lady Di est emprisonnée dans son rôle de princesse, sous les ordres des traditions, au milieu d'une famille qui ne l'aime pas et d'un mari en aimant une autre. Pour autant, elle est adorée du peuple et cette dichotomie l'entraine dans la folie. Ces 3 jours qui se devaient festif dans ce palais de conte de fée tourne au cauchemar quand les lieux deviennent angoissant, entrainant à la folie comme l'hôtel de Shining. La musique montant crescendo, les violons et les orgues hurlent de plus en plus fort pour faire grimper notre tension et nous faire exploser comme Diana. La musique est splendide, les images belles, et la prestation de Kristen Stewart est éblouissante. L'actrice qui était insipide dans les mièvres Twilight nous montre un talent hors du commun dans sa partition de princesse déchue. Spencer est incroyable, on ne sort pas indemne de ce film, on ressent les mêmes émotions que l'héroïne, chapeau au réalisateur qui a réussit son coup.
Spencer est un biopic bouleversant de Lady Diana. Pablo Larrain nous ramène au Noel 1991, où Diana Spencer choisit de mettre un terme à son mariage qui l’unît au prince Charles. Un récit incroyable sur les coulisses de la monarchie britannique. Magnifique.
Spencer est un de ces rares films qui arrivent avec brio à faire ressentir aussi bien de la joie que de la tristesse sans peine. Une proposition unique et puissante, qui semble tout a fait logique au vu du parcours du cinéaste, lui qui avait déja brillé avec Jackie quelque années auparavant. La Diana interprété par Kristen Stewart fait écho aux maux qui rongent une partie de notre société et elle les représente a merveille dans ses robes, ses pleurs, spoiler: et ses plats avalés et déglutis . Le film, définitivement, prouve que l'arrivé massive de la SVOD est positif, mais également destructeur au vu de son acceuil par le public.
Rythme très lent.... musique pas terrible... déçue par une évocation de trois ou quatre jours de toute sa vie. Triste vie des gens nobles et riches... les pauvres!!! J'aimais Diana mais pas sous ce jour là. Quand on voit comment tout cela c'est terminé!