Une histoire complexe, prenante... Une réalisation magnifique... Des acteurs avec un très fort charisme. A n'en pas douter, le film de l'été 2022, à mes yeux. Merci pour ce très beau moment de cinéma.
Très agréablement surpris par ce film. Je ne m'attendais à rien du tout je l'ai regardé un peu par hasard et j'ai particulièrement apprécié.
Déjà l'histoire est vraiment sympathique et originale ( même si bon la fille qui survit seule dans un marais à partir de l'âge de 13 ans c'est difficilement croyable).
C'est prenant, le film mélange le drame le thriller le judiciaire et la comédie romantique vraiment habilement.
C'est clairement la force du film qui ne s'enferme jamais dans un genre et entraîne donc le spectateur à travers la vie et les amours de cette fille à part.
La réalisation est plus que correcte, les décors sublimes ( on sentirait presque la moiteur des marais) les acteurs font clairement le boulot et la fin bien qu'un peu trop rapide et trop abrupte est sympathique. Un vrai coup de coeur pour ce long métrage
Gentille histoire d'amour pleine de poésie dans un décor naturel magnifique de Caroline du Nord. Pas beaucoup de surprises dans ce scénario à l'eau de rose, mais agréable à voir.
Pour peu que l'on soit doué de sensibilité et d'empathie, ce film lancinant plaira Une femme qui subi depuis tôt la vie, plutôt que la vivre pleinement et qui relève la tête a chaque fois Les fans d'action et de MCU DCU et j'en passe, passez votre chemin
J'ai aimé l'atmosphère de ce film.. les magnifiques paysages des marécages, la langueur mais pas la lenteur.. l'actrice joue très juste, il est difficile de ne pas être en empathie avec elle et la fin du film n'y changera rien l'éloge à la solitude aussi qui vaut mieux que de brefs moments mal partagés
Là où chantent les écrevisses est un thriller adapté du roman du même nom, sorti en 2018. L'autrice du roman, Delia Owens, est d'ailleurs zoologiste de formation, c'est sa première œuvre de fiction. On retourne clairement son amour pour la faune dans ce thriller avec pour cadre les années 60 dans le sud des États Unis. Sans connaître le roman, la bande annonce nous a un peu intrigué, et au final ce fut une bonne surprise. La mise en scène est très correcte, les décors nous plongent dans le cadre facilement, et pour le reste tout repose sur la jeune actrice Daisy Edgar-Jones : elle a réussi à apporter à ce rôle cette touche de naturel, de force et délicatesse qui touche chez ce personnage. Tout fonctionne parfaitement, on rentre dans l'intrigue à chercher le coupable ! La fin est même plutôt savoureuse. Bref, sans être incontournable, ce thriller nous a bien plu !
Un film intelligent et fort, visuellement somptueux servi par une photographie magnifique et des décors naturels exceptionnels. La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2022/08/la-ou-chantent-les-ecrevisses-dolivia.html
LA OU CHANTENT LES ECREVISSES est l'adaptation cinématographique d'un des récents phénomènes littéraires. Delia Owens est née en 1949 en Géorgie, aux Etats-Unis. Diplômée en zoologie et biologie, elle a vécu plus de vingt ans en Afrique et a publié trois ouvrages consacrés à la nature et aux animaux, tous best-sellers aux USA. « Là où chantent les écrevisses » est son premier roman. Phénomène d’édition, ce livre a déjà conquis des millions de lecteurs et poursuit son incroyable destinée dans le monde entier. J’avais lu le roman à sa sortie en France, surpris par l’étrangeté du titre, et j’avais été conquis par ce gros pavé de près de 500 pages…malgré cette invraisemblance où une jeune fille, dont la famille a littéralement explosé face à la violence du père, se retrouve à une dizaine d’années à vivre seule dans les marécages en Caroline du Nord, en se cachant des service sociaux et survivant en ramassant des moules qu’elle revend à l’épicerie du coin. ? Kya y réussi et pour les habitants de la petite ville de Barkeley Cove qui entrevoient parfois la solitaire elle devient « la fille des marais » celle qu’on guette, celle sur qui on murmure sans aménité, celle à qui l’école se refuse, entre mépris, rejet et fascination et plus tard, celle que l’on accuse quand survient un meurtre… Le marais a souvent été le refuge des laissés-pour-compte. Inhospitalier mais à l’abri de la cruauté de la civilisation…Le film mêle les deux dans un clair-obscur élégiaque et un brin sirupeux. À l’image de la sublime lumière d’été rasante qui nappe cette lagune de Barkley Cove, en Caroline du Nord, repaire des hérons, des pélicans et de Kya. Marécages moites, cabane dans les bois et forêts obscures : avant d’être une histoire d’amour et une énigme policière, « Là où chante les écrevisses » est avant tout une ode à la nature de la Caroline du Nord et à sa liberté. Faisant la part belle aux oiseaux, dont les plumes peuplent la maisonnette de l’héroïne, aux plantes et à l’appel du grand air, le film se veut l’une de ces œuvres où le paysage est un personnage à part entière ; “certains peuvent vivre loin de la vie sauvage, d’autres ne peuvent pas”, résume l’héroïne Kya en citant les mots de l’écologiste Aldo Leopold. Sa rencontre avec Tate, un jeune homme doux et cultivé qui lui apprend à lire et à écrire, lui fait découvrir la science et la poésie, transformant la jeune fille à jamais et en faisant une auteure reconnue d’ouvrages naturalistes… Mais Tate, appelé par ses études, l’abandonne à son tour. La solitude devient si pesante que Kya ne se méfie pas assez de celui qui va bientôt croiser son chemin et lui promettre une autre vie et lorsque l’irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même… C’est une belle histoire au sens profond, dans la façon de la raconter, dans la beauté de la nature dans laquelle l’action se déroule, la très belle photographie, une interprétation de très grande qualité. Et, pour finir, « Carolina », une très belle chanson de Taylor Swift, écrite pour le film et qu’on entend durant le générique de fin…. D’aucun parleront de mièvrerie envahissante, d’un film trop lisse et insipide…Apparemment le public l’a vu autrement et a aimé, moi aussi !!!
Habitué à lire principalement des polars et des thrillers, j’ai découvert un peu par hasard et beaucoup aimé le best-seller de Delia Owens. 3 mois après, son adaptation m’a laissé un sentiment un peu plus mitigé. Trop académique, trop propre, trop lisse, trop romancée, trop mielleuse, l’histoire de Kya perd en substance, en profondeur et en émotions son passage sur l’écran. Même si j’aurais apprécié en voir d’avantage, les images des marais sont très belles. Portant à merveille le film sur ses jeunes et talentueuses épaules, Daisy Edgar-Jones fait l’unanimité.
Un beau film très nature avec des paysages et lumières magnifique. L'actrice est très bonne dans son rôle . L'intrigue est à mon sens entaché par l'histoire d'amour trop présente ... le film est lent et on sent passé les 2h05. Ça reste un bon film tout de même.
Excellent film, il y a tout, une histoire touchante et romanesque, de très beaux paysages, une belle faune et une belle flore, très bonnes interprétations, un très très bon moment de cinéma