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titiro
38 abonnés
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2,5
Publiée le 13 novembre 2009
Le film calibré pour les oscars, avec de beaux décors, une belle musique qui colle parfaitement à l'ambiance, des acteurs qui essaient de jouer juste, et qui s'en sortent très bien, un casting impressionnant, une histoire riche et forte, pleine de bons sentiments. Tous les ingrédients sont là. Et la sauce prend plutôt bien. La réalisation académique manque de génie, mais c'est tellement dépaysant, le casting est tellement beau, et l'histoire est tellement romanesque, que le film remplit son rôle, à savoir nous divertir, et nous faire passer un bon moment.
Beauté sidérante des images, (d'où ma note indulgente) mais le reste frôle la catastrophe. L'absence de crédibilité vient peut être des acteurs japonais qui parlent en américain en Vo... En tout cas ça ressemble davantage à du mauvais cinéma holywoodien ( horrible happy end qui détruit toute la cohérence du récit notamment) qu'à un bon film asiatique.
Mémoire d'une Geisha est un film ultra dépaysant (oscars meilleurs décors et costumes) ou se mèle amour, travail et trahison. Les actrices (surtout Gong Li) sont ravissantes et talentueuses. Lacune tout de même au niveau du scénario parfois trop prévisible.
Décors et actrices sont absolument magnifiques et font de ce film une bonne chronique. Bien que très classique, l'histoire est touchante (le seul visage de Zang Ziyi ou encore Gong Li fait passer de nombreuses émotions). Le film est toutefois un peu trop lisse, un peu trop clinquant et beaucoup trop calibré, mais reste un beau spectacle.
« Mémoires d'une Geisha » est un film somptueux et très immersif, sur le Japon des années 1930. Le réalisateur Américain Rob Marshall (« Pirates des Caraibes 3 ») semble s'être beaucoup documenté sur le sujet et il nous propose une œuvre très fine et sensible, toute acquise à la cause des « Geishas ». Ces jeunes femmes énigmatiques, très respectées dans la société et qui gagnaient leur vie en divertissant les puissants de l'époque l'ont visiblement beaucoup marqué et l'hommage qu'il leur offre est touchant. Pour arriver à ses fins, le cinéaste a reconstitué un Japon du 20ème siècle très crédible et s'est entouré d'acteurs de tout premier ordre. L'actrice principale Zhang Ziyi, pour ne citer qu'elle, est d'une beauté à couper le souffle, encore accrue par la splendeur des costumes d'époque. Visuellement et artistiquement c'est la perfection absolue, sans aucun bémol. Une éventuelle petite critique pourrait venir du scénario qui donne vraiment à fond dans le drame humain et qui en fait des tonnes dans le « larmoyant » (mais là je chipote!). Pour dire la vérité, ce film m'a simplement subjugué et m'a honnêtement donné envie de lire le best-seller d'Arthur Golden dont il est tiré.
Mémoire d'une geisha est un film au scénario hollywoodien, à la trame assez prévisible et classique mais qui offre un vrai voyage dans le monde plutôt caché du Japon des années 30/40. Les décors, les costumes et les termes employés sont franchement précis et sur ce que j'en sais, plutôt bien fidèle (notamment sur les nombreux kimonos) En suivant le parcours de Chiyo, magnifiquement interprétée par les deux actrices, on est plongée avec dépaysement dans l'univers si particulier des geishas, qui rappel quel que peu l'ascension politique. Super mise en scène, aux sous-textes assez peu subtil cela dit, d'un réalisateur qui n'a pas fait grand chose de bien depuis. On est pas particulièrement emporté par l'histoire mais l'ambiance recréé sous nos yeux est vraiment un bon saut dans un passé assez méconnu chez nous.
Un très bon film sur les femmes au Japon avant et pendant la WWII. Un monde difficile dans lequel elles vivent et qui est plutôt consacré aux hommes. Les actrices sont vraiment très bonnes (peut-être à l'excepion de Gong Li qui surjoue) mais peut-être que choisir des actrices japonaises à la place d'actrices chinoises aurait été plus malin pour jouer des habitantes du Japon. Le film est putôt long mais quand on est pris dedans, on n'en décroche plus et on a vraiment envie de connaître la fin de l'histoire sur la vie de Chiyo...
Très belle adaptation du livre d'Arthur Golden, que j'ai lu et beaucoup apprécié. Le film est visuellement magnifique, plein de poésie et de jolie romance. Gong Li est magnifique, passionnée et sensible. Ken Watanabe est le parfait gentleman, et l'acteur qui joue Nobu est très touchant. C'est le seul film sur les geishas que j'ai vu, je ne peux donc pas comparer, mais il m'a semblé très réaliste, que ce soit sur les geishas elles-mêmes ou sur les évènements historiques. La fin du film, avec les Américains, nous montre la déchéance des Geishas, qui ne sont plus autant respectées qu'avant, surtout par les étrangers.
Un beau film de Rob Marshall sur l'univers des Geishas, sur leurs formations, les coutumes et mythes qui les entourent, un film qui réunit la fine fleur du cinéma asiatique et notamment ses trois plus belles et talentueuses actrices, Michelle Yeoh, Zhang Ziyi et Gong Li. A voir même si certains points sur les Geishas ne sont pas toujours d'une extrême véracités.
Splendide ! Je craignais un film carte postale purement décoratif, au lieu de ça on a une histoire prenante et sacrément bien amenée qui couronne l'avalanche de belles images, le tout servi par des actrices somptueuses, la grande classe moi je dis !
Un film ça va (Chicago, que Rob Marshall a déjà pas mal saboté), deux films bonjour les dégâts ! Le Japon revu et corrigé par lopéra de pékin (les coups de cymbales en moins) permet à lexcellente Gong Li de faire un numéro tellement sur joué quil est possible quelle fut doublée par un sosie trop chargé en amphétamines. Remarquez cest pareil pour Michelle Yeoh et tous les autres. Quand le Japon imite, il le fait très bien. Par contre, pour copier le cinéma Japonais, les gaïjin cest vraiment pas ça (pour être honnête, quelques chambaras actuels, pervertis par le cinéma Coréens ou Hong-Kongais offrent les mêmes plans et mouvements de caméras inappropriés ce qui na pas empêché « Memoirs of a Geisha » dobtenir loscar de la meilleure photographie). Et pourtant il est possible de voir cette aberration chromosomique sans ennui, mais aussi sans plaisir. Mizogushi, priez pour eux.
Esthétiquement éblouissante et portée par des actrices talentueuses, Mémoires D'Une Geisha est une œuvre qui pourra paraître un peu simpliste au premier abord mais qui retranscrit avec minutieux les coulisses d'un métier hypnotique dans le monde entier mais totalement méconnu dans le fond.
Typique du film a Oscar aussi creux que vide avec un pseudo fond moralisateur et larmoyant . Jamais touchant, jamais beau et encore moins profond dans ses quelques propos digne de Roger pilier de bar du PMU au coin de la rue . Entre des méchants vraiment pas gentils aussi charismatiques qu'un bout de bambou, des musiques de violons et des larmes cette pauvre histoire n'est au final qu'un long bout de tissu qui patauge dans la boue . 85 millions de dollars pour un film vide, profondément agaçant . "Mémoire d'une chouineuse" est aussi long trèèèès long et ennuyeux, trèèès ennuyeux . 2h30 que l'on sent bien passer .