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    Les Olympiades
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    3,7
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    209 critiques spectateurs

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    lerenard32
    lerenard32

    1 abonné 20 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 novembre 2021
    Très déçu par ce film que j'attendais avec impatience. Je l'ai trouvé niais, réduisant les relations humaines à des clichés qui perdent ce qui fait l'intérêt de ce genre de récits. Il y a beaucoup de choses, sûrement trop pour pouvoir en tirer quelque chose d'intéressant. Les images sont belles, la musique entraînante mais ça n'a pas suffit. La fin donne vraiment envie de sortir vite de la salle.
    Leandre H
    Leandre H

    7 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2021
    Le noir et blanc est ici tout sauf un luxe, c'est nécessaire à la géométrisation des espaces et des formes. Il sublime ce quartier graphique qu'est le 13e et c'est une des meilleures idées de cette comédie romantique contemporaine, que je ne peux m'empêcher de comparer au beau Julie (en 12 chapitres) de Joachim Trier sorti il y a un mois. Ils réussissent tous deux un portrait d'une jeunesse désenchantée au XXIe siècle, avec réalisme et sans pudeur.

    Je parle de réalisme car les personnages sont ici aux prises avec les réseaux sociaux, apps de rencontre et sites porno pour trouver leur place dans un monde ou règne une conception de l'amour qui se veux détaché et sans lendemain. On y rencontre la merveilleuse Lucie Zhang (Emilie), qui campe un personnage sans grande ambition profesionnelle, mais avec un caractère flamboyant; Makita Samba (Camille) qui devient un prof de lettres désabusé qui papillonne d'une femme à une autre, et Noémie Merlant (Nora), une trentenaire en réorientation, victime d'une modernité qui lui a échappé, aux antipodes de Emilie. Des parcours variés et intéressants pour un tel film.

    Mais le scénario reste un brin artificiel, tissant des liens entre ces trajectoires qui ne paraissent pas vraiment naturels parfois. Peut-être que le film aurait gagnée à être plus concis également, des scènes n'étant pas forcément utiles à la narration. Les scènes de sexe sont chorégraphiées et deviennent presque abstraites tant le noir et blanc dissout les couleurs pour n'en révéler que les contrastes : on sent de l'alchimie entre les acteurs, ça fonctionne. La BO de Rone, une enivrante électro, est également très prenante.

    Voilà un film plus léger qui dresse avec énergie un beau portrait du désir contemporain. Mention spéciale à la révélation Lucie Zhang !
    Juliette R.
    Juliette R.

    49 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2021
    Très bon film.
    Un esthétisme haut de gamme et des acteurs d'une justesse sans faille.
    Le noir et blanc est un pari réussi. Les images sont simplement sublimes.
    Didier M.
    Didier M.

    5 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Les gens, leurs bons et mauvais côtés, leurs rencontres, une dalle, des galeries, des tours d'habitations, le sexe puis l'amour. Jusque là rien d'original.
    Sauf que là on a d'excellents acteurs, très bien dirigés, une magnifique photo quasi exclusivement noir et blanc et une musique parfaitement adaptée aux lieux et aux personnages.
    Des films comme ça j'en redemande.
    islander29
    islander29

    762 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2021
    UN film plutot étonnant sur les comportements amoureux des "jeunes" entre 25 et 35 ans...Je le dis tout de go, le film est à réserver à un public averti, disons au dessus de 16 ans...En effet cette "étude" sur la jeunesse comporte beaucoup d'allusions et de scènes explicites, voire crues....Mais l'époque veut cela et le film cible bien son époque, où le sexe passe aussi par internet.et l'image..;On peut dire que d'un point de vue didactique c'est très réussi voire très pertinent...On se demande même en sortant de la séance, qu'est ce que l'amour ???.....Un sujet complexe de toute évidence, et peut être plus pour une jeunesse délurée....Reste un film magnifiquement interprété, mis en scène et dans un noir et blanc irréprochable..Paris fait peur en noir et blanc quand les rapports humains sont méprisés, la scène d'amphi où passe la video érotique est glaçante, on pense au suicide possible de la jeune femme.....En fait c'est un film choc qui devrait forcer le spectateur à "réajuster ses valeurs"...Objectif réussi de la part d'Audiard, qui montre ici tout son talent voir et observer notre société....Je déconseille aux gens sensibles, et c'est dommage....
    Cinememories
    Cinememories

    440 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2021
    Depuis « Regarde les hommes tomber », nous étions en droit de nous demander si le nom du célèbre réalisateur et dialoguiste, Michel, s’isolerait sur une étagère, avec le seul souvenir de son héritage, souvent aérien, parfois vulgaire. Jacques Audiard a prouvé par bien des manières, qu’il avait une fibre littéraire, qu’il met au profit de ses long-métrages. Il semble en vouloir de plus en plus et ce plus justifie la diversité des genres qu’il touche, en réaction au précédent. Lui, qui a décortiqué les motifs de cinéma américain pour se les réapproprier, comme chez Scorsese avec « Le Prophète » ou le western dans « Dheepan » et « Les Frères Sisters », il rebondit avec un délice, qui suscite autant de curiosité. Lorsqu’il annonce l’adaptation libre de certaines nouvelles d’Adrian Tomine et qu’il concentrerait son attention sur le 13ème arrondissement de Paris, c’est sans doute pour repartir sur de nouvelles bases.

    Cela se ressent sur son équipe remaniée, en co-écriture, notamment du script, avec Céline Sciamma (Naissance des pieuvres, Tomboy, Portrait de la jeune fille en feu, Petite Maman) et Léa Mysius (Ava). Ce besoin d’un regarde neuf, change le ton de ce nouveau récit, empreint de mœurs, d’amitié et de désirs chez les trentenaires d’aujourd’hui, à l’ère du numérique. Ce sera le film le moins crasseux de la filmographie du cinéaste et pourtant, il la noirceur y tient une place singulière. L’esthétique frappe, dans un noir et blanc qui redécore un quartier que l’on voit finalement peu sur les écrans de ces dernières années. Le symbolisme des lieux donne le cachet à un certain brassage culturel et social, dont ils ne seront finalement pas le sujet. Ce n’est donc pas le titre ni le lieu indiqué qui permettront d’évaluer la pertinence de cette œuvre, mais bien ses personnages, dépassés et déterminés à embrasser cet amour, qu’ils envient tout autant qu’ils le redoutent.

    C’est ici qu’Audiard se sent chez lui, c’est ici qu’il sublime ses âmes errantes, en correspondance et en attente d’un élan. L’appel du compositeur Rone ne fait que réconforter cette ambiance électrisante, révélant Lucie Zhang, dans le rôle d’une Émilie égocentrique et sans cesse étourdie par ses sentiments. Camille (Makita Samba) est un électron libre dans ses relations éphémère. Nora (Noémie Merlant) redécouvre la jeunesse et les tendresses d’une caresse. Amber Sweet (Jehnny Beth) fait tomber la caméra et un masque artificiel. Autant de portraits oniriques au premier abord, mais qui flirtent avec l’éternelle mélancolie et solitude qui s’emparent de ces personnes, à l’issue d’une dépendance sensorielle et humaine. C’est en cela que le cinéma d’Audiard se bonifie, mais il faudra un peu plus de temps avant d’atteindre la maturité souhaitée. Le cru de certains dialogues surexpose des intentions, que l’on aurait pu aborder avec plus de subtilités, sachant un virilisme sabordé et un regard féminin indéniablement renouvelé.

    Le réalisateur pourrait amplement se satisfaire d’un style qui lui convienne, au nom de sa cinéphilie, mais également au nom de ses sentiments. Pourtant, il ne s’arrête pas à une influence d’Eric Rohmer (Ma nuit chez Maud), ou d’un détour chez Woody Allen et tant d’autres, pour se démarquer une nouvelle fois. Le changement, c’est le mot d’ordre qu’exploite Audiard, avec une adresse chaleureuse. Et quand bien même, il se contente de frôler sa cible, il y aura toujours du bon à en tirer. Si « Les Olympiades » ne trouve pas unanimement son public, ce dernier pourrait se laisser piéger dans de futurs projets, qui auront muri, dans une fournaise de frustrations et de désirs.
    Math719
    Math719

    149 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2021
    Deux histoires qui s'entremêlent, le récit de cette nouvelle génération qui commence quelque chose sans finir complètement. Qui consomme sexuellement avec passion sans lendemain, ni se poser la question à quoi sa mène; et le sexe est beaucoup présent. J'ai du mal à savoir si j'ai aimer ou plutôt mal à savoir si j'ai aimer le travail d'Audiard, je reste perplexe mais j'avoue qu'il y a du beau dans le noir et blanc, et la beauté du film est sans doute le montrer au grand jour la beauté et la stupidité de cette jeunesse qui ne sait pas ce qu'elle veut !
    chas
    chas

    32 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Parti pour regarder de loin comment vivent les jeunes d’aujourd’hui, je me suis intéressé petit à petit à leurs histoires commencées dans le genre : « je baise d’abord et après je vois ».
    Les marivaudages entre prof s’éloignant de sa classe et télé conseillère se jouent en colocation dans un Paris des barres d’immeubles d’un 13° arrondissement.
    Sous le noir et blanc dépaysant, la violence des rapports par écrans interposés passe à la complicité, et la désinvolture s’efface derrière les attachements ancestraux.
    Le réalisateur est bien servi par des acteurs nouveaux Noémie Merlant, Lucie Zhang, Makita Samba qui dynamisent cette comédie croisant comme souvent désirs et sentiments.
    https://blog-de-guy.blogspot.com/2021/03/les-freres-sisters-jacques-audiard.html
    En ce qui concerne leur sélection à Cannes, on aurait pu dire : « l’important est de participer ».
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    22 abonnés 865 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2021
    Il faut voir le film jusqu'au bout pour en apprécier tout le sel, car il souffre de quelques faiblesses de scénario ou de longueurs/langueurs qui en font douter de la qualité en cours de projection, malgré la haute appréciation qu'on peut avoir de son réalisateur. Je n'en dis pas plus mais on doit reconnaître que les trois acteurs principaux sont vraiment excellents. Et que le noir et blanc sied bien à sa réalisation, sans apporter de fioritures ni nuire à sa qualité plastique (l'urbanisme des lieux est intéressant mais plus pour sa géométrie que pour sa couleur, pour ceux qui les connaissent). Entre un Rohmer plus cru dans le texte et les corps et un marivaudage classique à la sauce "tinder" ou "adopte un mec", le récit d'une jeunesse désabusée (on aborde tous les thèmes d'aujourd'hui sauf le réchauffement climatique, bizarrement...) qui se résigne à un bonheur individuel minimal et presque conventionnel.
    didbail
    didbail

    21 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2021
    Dans le quartier des Olympiades 3 femmes et un homme vivent des rencontres amicales et/ou amoureuses. A l'heure d'Internet, l'amour se vit différemment. Dans ce beau film en noir et blanc, magnifiquement dialogué, nous nous attachons à chacun de ces quatre personnages. Pas le meilleur Audiard mais un film intéressant et plaisant.
    Yves G.
    Yves G.

    1 283 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    De nos jours, dans le quartier des Olympiades, à Paris 13ème, quatre jeunes gens se croisent, se séduisent, s’aiment, se quittent, se retrouvent….
    Emilie (Lucie Zhang) cherche à s’émanciper d’une famille chinoise étouffante. Son diplôme de Sciences po en poche elle s’est installée dans l’appartement de sa grand-mère, internée en EHPAD, et a trouvé un emploi sous-qualifiée de télévendeuse.
    Camille (Makita Samba) a répondu à l’annonce passée par Emilie pour devenir son colocataire. Professeur de français dans un lycée du quartier, il prépare mollement l’agrégation. Il séduit instantanément Emilie qui couche avec lui et en tombe amoureuse ; mais il refuse de s’engager dans cette relation.
    Nora (Noémie Merlant) est une jeune provinciale récemment arrivée à Paris pour y reprendre des études de droit après une première expérience professionnelle dans l’immobilier. Ses camarades de fac croient reconnaître en elle Amber Sweet (Jehnny Beth), une star du porno. Elle quitte la fac et rencontre Camille qui, pendant l’année de césure que l’Education nationale lui a accordée pour préparer l’agrégation, a repris l’agence immobilière d’un cousin.

    Jacques Audiard est peut-être l’un des plus grands réalisateurs français – certains disent même mondiaux – contemporains. Palme d’or en 2015 pour "Dheepan", il a eu trois fois le César du meilleur réalisateur pour "De battre mon cœur s’est arrêté", "Un prophète" et "Les Frères Sister". Le film que j’ai préféré de lui est peut-être "De rouille et d’os", l’adaptation d’une série de nouvelles de l’écrivain canadien Craig Davidson. J’en ai retrouvé la structure dans "Les Olympiades" qui adapte trois nouvelles graphiques du bédéiste américain Adrian Tomine.

    Avec une extrême fluidité, Jacques Audiard et ses co-scénaristes Céline Sciamma et Léa Mysius entrelacent trois récits. Le résultat est beaucoup plus réussi que "The French Dispatch", construit sur un principe similaire mais où les trois histoires racontées n’avaient entre elles aucun rapport.

    Cette fluidité dans le récit est la première qualité des "Olympiades". Mais c’est loin d’être la seule.

    Le film est d’une étonnante fraîcheur. D’autant plus étonnante que le réalisateur qui le signe a près de soixante-dix ans. Cette fraîcheur, il la doit à ses trois interprètes principaux. On connaissait déjà Noémie Merlant, notamment mais pas seulement pour son rôle dans "Portrait de la jeune fille en feu". On la reverra bientôt dans "A Good Man" dans le rôle d’une mère transgenre (sic) sous la direction de Marie-Castille Mention-Schaar. Lucie Zhang est la révélation du film. Âgée de vingt ans à peine, elle incarne Emilie et toutes les contradictions des jeunes femmes d’aujourd’hui : le désir de rompre avec sa famille et un profond attachement à sa grand-mère en fin de vie, les difficultés à trouver un métier qui satisfasse ses aspirations et un logement qui corresponde à son budget, une liberté sexuelle qui ne va pas toujours de pair avec les attachements du cœur.
    Makita Samba enfin. Un acteur follement sexy, à la grâce féline, qui m’a rappelé John David Washington (le héros de "Tenet") et André Holland (celui de la série "The Eddy"). J’ai adoré l’intonation de sa voix. Et j’ai aimé que le personnage qu’il interprète ne se définisse pas par la couleur de sa peau et aurait pu tout aussi bien, sans changer une ligne au script, être interprété par un Blanc.

    Dans un registre qui n’était pas le sien jusqu’alors, et qui n’est pas sans rappeler la "Nouvelle Vague" et l’oeuvre de Rohmer, Audiard dissèque les émois amoureux des vingtenaires d’aujourd’hui. Il parle de sexe et n’hésite pas à le montrer – les scènes très crues auraient peut-être justifié une interdiction aux moins de douze ans. Il parle surtout d’amour avec un romantisme étonnant. Il se clôt par deux scènes portées par la grâce, dont le souvenir m’accompagnera longtemps.
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2022
    Jacques Audiard filme le quotidien d'une jeunesse dépravée en noir et blanc avec Noémie Merlant, Lucie Zhang , Makita Samba et Jehnny Beth.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    225 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2021
    Changement radical de registre pour Jacques Audiard. Après le film noir et le western, notamment, voici une chronique adulescente dans l'air du temps, comédie dramatique en noir et blanc, façon Nouvelle Vague revisitée, modernisée. Le réalisateur colle à la vie quotidienne d'une certaine jeunesse à Paris, capte quelque chose de très mouvant et de déboussolé en matière de désirs, de sentiments, d'identité, dans un contexte d'insatisfaction générale (sociale, professionnelle, sexuelle...). Ce tableau d'une génération flottante sonne juste, grâce essentiellement à des acteurs d'un naturel parfait – Noémie Merlant en tête – et à des dialogues bien sentis. La mise en scène et le montage, fluides, orchestrent joliment des récits croisés, qui captivent toujours. On n'atteint probablement pas des sommets narratifs ou émotionnels, mais le mélange de légèreté et de gravité, de douceur et de rudesse, d'espoir et d'amertume est sur la bonne fréquence.
    Michel C.
    Michel C.

    236 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Envie d'appeler la réalisation de Jacques Audiard, "Fresque" tant par le retour dans le temps, également par le focus géographique dans le quartier latin, enfin par des tranches de vie, de ces 3 personnages principaux, cash ! pour faire court ! J'ai adoré les scènes à la fois nostalgiques, marquées, et toutes celles plus osées, surfant sur les techniques nouvelles de rencontres, adoptées depuis comme les smartphones. Le tour en noir et blanc, excellent choix ! Bien entendu le sexe en fil rouge, la réalisation ne se contente pas de filmer, les scènes respirent et illustrent des sentiments jeunes, sincères et parfois ambiguës. 3 acteurs formidables, Lucie Zhang (Emilie) pleine de ressources et de malice, Makita Samba (Camille) intellectuel, posé, calme, ainsi et pas la moindre Noémie Merlant (Nora) éclatante d'ambition et de justesse. Sans doute un palmarès qui va s'étoffer très vite ! Associé à une musique top, ce film est magique, et approche la perfection..!!**
    Joce2012
    Joce2012

    171 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2021
    Film un peu brouillon, un mélange d'humour et de façon de vivre très moderne vu la conjoncture, colocation, mélange des genres, on lutte contre les tabous pour avoir l'air cool mais en définitive il est difficile d'aimer de nos jours !
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