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    Les Olympiades
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    Benoît T.
    Benoît T.

    15 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2021
    C'est tout ce que j'aime dans le cinéma : on est pris dans le feu de l'action et sans s'en rendre compte, on partage la vie de ces personnages.
    Avec ça, on a une réalisation du tonnerre, la photo est superbe et les comédiens parfaits !
    OSC4R _
    OSC4R _

    68 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    C’est clairement le meilleur film de Jacques Audiard, et de loin.

    Étonnamment, malgré deux acteurs principaux médiocre, le film est captivant d’un bout à l’autre (inversement à Regarde les hommes tomber).

    Noémie Merlant est exceptionnelle et j’ai beaucoup aimé l’arc narratif de son personnage.

    Je pensais pas être autant séduit par le film.
    Ciné-13
    Ciné-13

    92 abonnés 887 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2022
    Ce qui accroche dès le départ c'est la grande beauté formelle. Mais le contenu contient un portrait pertinent de la vie décomplexée des trentenaires parisiens d'aujourd'hui. Film choral qui enchevêtre cinq intimités...
    Noémie est troublante. J'aurais aimé que cela dure plus longtemps.
    thucy
    thucy

    4 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2021
    film d'une grande subtilité qui donne une vraie épaisseur psychologique aux 4 personnages principaux. Ce quartier de Paris est objectivement l'un des plus laids esthétiquement mais Audiard arrive à en sublimer le décor a priori disgracieux grâce à une belle photographie en noir et blanc, aux cadrages et à la grâce nostalgique des personnages qui s'y croisent. Un quatuor amoureux dont le chassé-croisé tient lieu de parcours initiatique duquel les protagoniste resortent plus grands, et nous aussi un peu avec eux. Un beau film simple et profond, pétri d'humanité.
    Arielli
    Arielli

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Le voilà enfin le film qui parle du discours amoureux au temps des réseaux sociaux et des applis de rencontre !!!
    Et il n'est pas réalisé par un jeune cinéaste ou un gay, mais par un cinéaste à la carrière déjà bien installée : c'est bien simple, j'ai l'impression que Jacques Audiard signe là son premier film.
    Tout sonne juste, parle avec pertinence de la fameuse "adulescence" et c'est constamment drôle. Les personnages sont à la fois ancrés dans leurs certitudes et constamment versatiles.
    Le noir et blanc est sublime et la musique de Rone transforme l'ensemble en un magnifique trip !
    A voir absolument... et pas seulement par les trentenaires !
    DENIS DUPUY
    DENIS DUPUY

    6 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Du super Audiard !! Des personnages magnifiques et un film vivifiant malgré les crises et les galères qu'ils peuvent vivre . Ils sont beaux et vivants. Et la musique de Rone enrobe ce bijou. Merci
    Henri Martin
    Henri Martin

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2021
    Belle énergie. Du VRAI cinéma !
    Esthétique, BO de ouf, personnages attachants, aucune vulgarité, N&B lumineux, tous les acteurs sont au top.
    Film ciselé en 3 parties qui s'interpénètrent...
    Découverte aussi de Paris13.
    Film qu'on n'oublie pas en sortant de la salle!
    Donia D
    Donia D

    6 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2021
    Bon par où commencer ? Ah oui y’a trop de scènes de sexe, tellement présentes que ça en devient gênant par moment.

    Mais à part ca, je savais que j’allais être déçue car Jacques Audiard fait du Jacques Audiard.
    Comme dans tous ses films, celui-ci n’échappe pas à la règle : il nous laisse sur notre fin. Le film démarre avec profondeur, émotion pour se terminer avec superficialitéet légèreté, comme s’il était bâclé. Tout comme dans ces précédents films notamment « Dheepan » ou « De rouille et d’os » on est subjugué par une réalisation puissante dès le début mais pouffff après 1h de film plus rien, voire même l’ennui s’installe et une fin toujours aussi idéalisée.

    Pour en venir au sujet traité, je trouve intéressant, surtout en cette période de mettre en lumière un certain côté obscur de la vie étudiante et de la précarité. Sujet qui est assez bien amené, mais on aurait voulu que le coté dramatique soit poussé jusqu’au bout et non pas embellit…

    Le + : la bande son magnifique signée RONE, qui vient sublimer le film. D’ailleurs c’est une marque de fabrique d’Audiard, on n’oubliera pas la BO de « De rouille et d’Os » juste magnifique !

    Le - : les scènes de nue et la fin…
    Jeremy L
    Jeremy L

    19 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Virtuosité d'Audiard qu'on retrouve ici dans des portraits de personnages qui evoluent en figures baroques : en tournoyant autour de leur desir.
    Aimerico
    Aimerico

    17 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 novembre 2021
    Un peu long mais définiveme t sous le charme. A voir. Donc 5 étoiles. Pas le meilleur audiard (un prophète) mais une jolie petite musique. Que d'amour
    benoit_lb
    benoit_lb

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2022
    Jacques Audiard change de registre. Si l’exploration des rapports humains a toujours été au centre de ses films, il leur porte un regard nouveau avec « Les Olympiades ». Il nous avait jusqu’à présent habitués à des liens verticaux qu’il tissait entre ses personnages, que ce soient au travers de rapports hiérarchiques (« Regarde les hommes tomber », « Un héros très discret »), de rapports de pouvoir (« Sur mes lèvres », « Un prophète », « Deephan ») ou de liens générationnels (« De battre mon cœur s’est arrêté »). Dans son nouvel opus, il place, au contraire, ses personnages sur un même plan horizontal : des trentenaires issus de la même classe sociale qui ont pour point commun d’habiter le même quartier du 13-ème arrondissement (les Olympiades, qui donne son titre au film) et d’être en quête d’épanouissement sexuel et sentimental.
    Il y a Emilie, issue d’une famille chinoise, à la recherche de l’amour avec un grand A quand elle n’est pas occupée à jongler entre divers petits boulots alimentaires. Il y a Nora, venue de Bordeaux pour étudier le droit à Tolbiac tout en poursuivant des activités dans l’immobilier et qui semble douter de son désir pour les hommes au point de se laisser tenter in fine par une orientation bisexuelle. Il y a Louise, alias Amber Sweet, qui a fait du sexe son gagne-pain mais a su garder la tête sur les épaules. Il y a enfin Camille Germain, le prof de lettres décomplexé d’origine africaine, qui semble s’accommoder très bien de sa vie dissolue de Don Juan faite de conquêtes éphémères.
    La thématique de la recherche de l’épanouissement sexuel et sentimental a été abordée maintes fois au cinéma, au travers de films comme « La vie d’Adèle » ou « Portrait de la jeune fille en feu » pour ne prendre que ces deux exemples parmi les films les plus marquants de ces dernières années sur le sujet. Jacques Audiard apporte ici un regard différent : il s’intéresse moins à la question de l’identité sexuelle pour se focaliser davantage sur la recherche du bonheur. En s’appuyant sur ces quatre personnages principaux et sur ce quartier des Olympiades qui représentent Paris dans toute sa diversité, il nous livre un message fort selon lequel cette liberté de mœurs et cette quête du désir qu’il nous montre ne seraient pas seulement l’apanage de quelques cas isolés, mais le lot d’une bonne partie de la jeunesse d’aujourd’hui. Quête que résume très bien cette réplique prononcée par Camille au début du film : « je compense ma frustration professionnelle par une activité sexuelle intense ».
    Au cours de son récit, Jacques Audiard suit chacun de ces quatre personnages soit de façon individuelle soit en couple. En évitant de multiplier les liens entre eux, il apporte une grande fluidité à l’ensemble. Emilie et Nora sont chacune à leur tour séduites par Camille mais les deux jeunes femmes ne se croisant que l’espace d’une seule scène. Amber Sweet n’a, elle, de lien qu’avec Nora.
    Cette fluidité est agrémentée de dialogues rythmés ponctués de quelques pointes d’humour pince sans rire et d’une musique électronique qui reflète parfaitement le monde que décrit Audiard, un monde hyper connecté où tout va très vite. Le choix du noir et blanc apporte une touche d’esthétique indéniable à ce quartier impersonnel du 13e arrondissement fait principalement de verre et de béton. « Les Olympiades » confirme également le soin qu’apporte systématiquement Jacques Audiard à la direction d’acteurs : le film révèle, entre autres, les talents de Makita Samba et de la jolie Lucie Zheng, qu’on a hâte de revoir tous les deux à l’écran, et conforte Noémie Merland dans son statut de valeur sûre du cinéma français. La mise en scène, quant à elle, donne beaucoup de naturel au film en plaçant les personnages au cœur de leur vie quotidienne, que ce soit sur leur lieu de travail, sur les bancs de la fac, en boite de nuit, au supermarché, devant leur ordinateur, en famille…
    Les films de Jacques Audiard ont toujours eu le mérite de vouloir s’ancrer dans une réalité indélébile, familière au spectateur. Cet ancrage s’est néanmoins trop souvent doublé dernièrement de scènes de violence qui ôtaient à ses films leur côté naturel. Avec « Les Olympiades », Jacques Audiard délaisse le cinéma de genre, les personnages insaisissables et les univers sombres qui caractérisaient des films tels que « Sur mes lèvres », « Un prophète » ou « Deepan ». Le monde de la pornographie en ligne dans lequel évolue Amber Sweet nous replonge certes, le temps de quelques scènes, dans cette noirceur mais cette noirceur est davantage évoquée à travers les dialogues qu’elle n’est montrée à l’écran. En tout état de cause, elle ne remet pas en question le constat que l’on fait en quittant la salle : « Les Olympiades » traduisent bien le retour de Jacques Audiard au cinéma d’auteur qui avait notamment constitué la marque de fabrique de son premier film « Regarde les hommes tomber ». Pour notre plus grand bonheur.
    Ann Ponthieu
    Ann Ponthieu

    3 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Le traitement noir et blanc est bienvenu car la couleur aurait ajouté au côté vulgaire et commun de l'intrigue. Les acteurs sont très bons et peu de longueur pour ce bon film, actuel.
    Julien C.
    Julien C.

    21 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2021
    Un très beau film, porté par des comédiens épatants, tissé autour de plusieurs intrigues sentimentales pleines de justesse et d'humanité.
    Sylvain M.
    Sylvain M.

    8 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 novembre 2021
    Vraiment génial. Captivant, très beau, très bien joué, riche ... On se régale. Paris sous l'œil d'Audiard est magnifique.
    Topazine23
    Topazine23

    33 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2021
    Une musique électrisante qui propulse magiquement dans le RONE... , la subtile dualité de ces deux couleurs aux mille lumières... , les trois sublimes actrices et le génial sérial lover enchantant l'ensemble, un humour délicieusement provoquant que l'on voudrait partager encore...
    Jacques AUDIARD est grand : il remporte haut la main LES OLYMPIADES de l'Unité, celles des vies et des talents qu'il réunit si brillamment à l'écran !
    On signe où pour LES OLYMPIADES 2 ?!?!!
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