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    Novecento (1900)
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    109 critiques spectateurs

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    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 401 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mai 2023
    J'ai trouvé cette fresque, cette saga monumentale de Betolucci un peu fastidieuse.
    Je n'ai pas ressenti simplement la magie que peut procurer un bon, grand et long film de cinéma.
    Sur plus de 50 ans, on suit la vie de deux personnages, l'un riche (De Niro), le patron et l'autre, pauvre (Depardieu), l'ouvrier.
    Ils vont s'aimer, se combattre pendant toute leur vie, ne se perdant jamais de vu. L'un voulant ce que l'autre a et vice versa.
    Les scènes s'enchainent parfois difficilement, sans transition. Et le film aurait gagné à être divisé en plusieurs films selon moi.
    Reste beaucoup de bonnes choses, de grands acteurs, bien doublés au fait, et une belle histoire de l'Italie moderne.
    Patricia Hougardy
    Patricia Hougardy

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 avril 2023
    Quel film ! Quel réalisateur ! Quels acteurs ! Quelle photographie ! Acteurs absolument stupéfiants de vérité. Donald Sutherlanfd est odieux à souhait, assez répugnant même et il joue son rôle à la perfection. Gérard Depardieu et Robert de Niro absoluments magnifiques.
    Plus de 6h d'un régal inconditionnel.
    A voir, revoir et revoir encore....
    Adrien B.
    Adrien B.

    14 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 août 2022
    5h15 de souffrance, de propagande communiste, et de manicheisme. De plus le doublage des acteurs donne un aspect ridicule aux dialogues.
    Ricco92
    Ricco92

    182 abonnés 2 093 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 avril 2022
    Le succès mondial rencontré par Le Dernier Tango à Paris a permis à Bernardo Bertolucci de pouvoir réaliser une grande fresque retraçant l’Histoire italienne du début du XXème siècle à travers l’histoire de deux enfants nés le même jour sur la même propriété mais avec des origines sociales opposées. Doté d’un casting international impressionnant (Robert De Niro, Gérard Depardieu, Donald Sutherland, Dominique Sanda, Stefania Sandrelli, Burt Lancaster, Alida Valli…), 1900 retrace ainsi l’évolution de l’Italie entre 1901 et 1945.
    La première partie part ainsi de la naissance des héros au début de ce siècle en démarrant avec l’annonce de la mort de Verdi en janvier 1901 (une date qui semble plus symbolique qu’autre chose vu que les interprètes d’Alfredo et d’Olmo sembleront plus vieux que leur âge théorique que ce soit dans leurs versions enfants ou dans leurs versions adultes) et en se terminant sur l’apparition des milices fascistes. Bertolucci profite de cette période de bouleversement (elle correspond à la Première Guerre mondiale) pour y vanter l’amitié dépassant les classes sociales, l’amour libre et surtout le communisme. En effet, à l’image de l'aristocrate Visconti lors de sa période néo-réaliste, Bertolucci semble vouloir se racheter de son origine bourgeoise en prenant fait et cause pour les combats de la classe paysanne en montrant l’exploitation quotidienne dont elle est victime. Il aborde ses personnages avec un amour typique du cinéma italien tout en étant un représentant de la libération sexuelle des années 70, allant parfois à l’aveuglement caractéristique de cette époque face à certaines dérives de celle-ci spoiler: (la séquence où le grand-père d’Alfredo pousse une pré-adolescente à le toucher ou celle où les deux héros encore enfants comparent leurs pénis en étant filmer de face peuvent être vu aujourd’hui comme une forme de complaisance envers la pédophilie)
    .
    Le second volet s’axe, lui, sur la période du Fascisme. Cette partie est donc beaucoup plus sombre et moins excitante à regarder jusqu’à sa dernière demi-heure se déroulant lors de la Libération et montrant donc la chute de ce régime politique dont Olmo fait une description à la fin en semblant s’adresser au public. Ce mouvement est représenté par le personnage d’Attila qui était secondaire dans la première partie et qui devient central désormais. Il symbolise toutes les pires caractéristiques du régime : abus de pouvoir, assassinats, perversion sexuelles spoiler: (il a des ébats devant un enfant dont on peut penser qu’il a abusé avant de le tuer)
    … Moins lumineux que la première, cette seconde moitié reste excellente mais est malgré tout un peu moins aboutie spoiler: : on regrette par exemple de ne pas voir ce qui se passe entre le licenciement d’Attila et la Libération (pourquoi la population en veut-elle toujours à Alfredo alors qu’il l’a débarrassé de son principal tyran ?)
    .
    Malgré ce petit bémol, Bertolucci réussit brillamment à retranscrire sa vision marxiste sans pour autant que cela soit un tract didactique, soporifique ou manichéen spoiler: (Alfredo change de comportement dès qu’il devient patron mais conserve malgré tout au fond de lui l’affection qu’il possède pour Olmo et un certain sens de la justice)
    . Au contraire, il offre une œuvre brillante, passionnante et généreuse en étant servie par la magnifique photographie lumineuse de Vittorio Storaro et surtout par la sublime musique d’Ennio Morricone qui signe une fois de plus un chef-d’œuvre dont le thème principal reste graver dnas nos mémoires. En un mot, 1900 est une œuvre magnifique mélangeant la petite histoire à la grande tout en permettant d’assister à la description de deux des plus importants courants politiques du XXème siècle, à savoir le Communisme et le Fascisme.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2022
    « 1900 » (Novecento) est un film fleuve de Bernardo Bertolucci (1976) qui dure 5 h 10 avec 2 parties. Il retrace toute l’histoire de l’Italie depuis 1900 dans une grande propriété en Émilie avec sa structure pyramidale : le propriétaire terrien, son régisseur et sa ferme dans laquelle plusieurs familles de paysans travaillent dur. Il est intéressant de noter que la mécanisation de l’agriculture a permis d’améliorer les rendements (et donc les bénéfices) et de réduire le nombre d’ouvriers agricoles qui prendront alors conscience de leur sort… avec après une grève en 1908 la naissance du socialisme/communisme et en contre-coup l’aide financière apportée par les grands propriétaires terriens au mouvement des chemises noires. Le 27 janvier 1900 (jour de la mort de Giuseppe Verdi), 2 enfants naissent : Alfredo, le fils du propriétaire, interprété à l’âge adulte par Robert de Niro, et Olmo, le fils bâtard d'une famille de métayers interprété lui par Gérard Depardieu. De façon tout à fait surprenante me semble-t-il pour l’époque, les 2 enfants grandissent ensemble et sont amis même s’ils ne cessent de se chamailler. Alfredo va grandir dans l’ombre de son père qu’il n’aime pas tandis qu’Olmo va s’engager sur le plan politique.
    La seconde partie débute avec la mort du maître et c’est bien sûr Alfredo qui reprend la relève. Olmo lui conseillera de ne pas prendre Attila (un Donald Sutherland terrifiant) comme régisseur, conseil vain et Attila de devenir le chef local des chemises noires. La famille va se disloquer et quitter le domaine sauf une tante d’Alfredo qui s’allie à Attila et à eux deux ils commettront de réelles atrocités (cf. le chat, l’enfant, la vieille femme spoliée de ses biens…). Alfredo va se marier avec Ada (Dominique Sanda), la muse d’un oncle cocaïnomane et pédopornographe. Mal mariée, elle va sombre dans l’alcool et Alfredo sera hanté par le fait qu’elle le trompe avec Olmo… Le film se termine le 25 avril 1945 avec la libération de l’Italie. Dans l'épilogue, Attila est tué par les paysans, Alfredo est jugé pour complicité mais épargné et Olmo de déclarer le patron symboliquement mort. Pour ma part, la dernière scène est de trop : on y voit Alfredo et Olmo vieillis qui continuent de se chamailler pour rien… comme si leurs convictions politiques n’avaient finalement jamais été.
    Un film à voir absolument au cinéma pour apprécier la beauté des scènes rurales et des mouvements de foule tout en étant bercé par la partition musicale de Ennio Morricone.
    Rémi P.
    Rémi P.

    20 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2022
    Dans l'histoire du cinéma, de nombreux cinéastes ont étés fascinés par l'idée de réaliser une grande fresque épique, brassant plusieurs époques et plusieurs destinées, comme Il était une fois en Amérique ou La Porte du Paradis. Peut-être moins connu que ces grands classiques, 1900 (ou Novecento en VO) n'en reste pas moins l'illustration parfaite de ce type de cinéma. Avec ce film, Bernardo Bertolucci signe un grand portait de l'Italie de la première moitié du XXème siècle, en nous racontant l'histoire de la lutte prolétarienne, du développement communiste, de la Première Guerre Mondiale, de l'essor du fascisme jusqu'à sa chute... Le tout à travers les regards de Olmo, paysan, et de Alfredo, propriétaire terrien. Tout un programme ! Cependant, je dois admettre être plutôt déçu sur plusieurs points, suite à mon visionnage : tout d'abord, malgré la densité de l'histoire racontée, l'intrigue est pauvre et de nombreuses longueurs se font vite ressentir, notamment au cours d'un premier acte désastreux (sorte de prologue de plus de 2h30) dans lequel il se passe très peu de choses et où les rares situations intéressantes sont filmées de manière anecdotiques, comme si Bertolucci semblait plutôt être intéressé par sa mise en scène, certes sublime, que par son histoire. Cependant, le deuxième acte sauve véritablement le film, car c'est dans celui-ci que les enjeux dramatiques et les personnages sont le plus développés, et que l'on assiste aux moments les plus forts notamment grâce à des situations plus intimistes. L'autre principal reproche que l'on peut faire au film est que l'on est vite agacé par la pensée binaire de Bertolucci, qui distille tout au long du film son message plus que douteux, à savoir que selon lui les patrons sont forcément les ennemis et que les paysans sont forcément les alliés... Si ce sont ses idées, grand bien lui fasse, mais nous spectateurs n'avons pas à supporter ce genre de propos simplistes, qui relèvent plus du manifeste politique que du cinéma... D'autant plus que de nombreuses situations dans le film visent à nuancer cette idéologie (notamment à travers le personnage de Alfredo, qui est foncièrement bon et qui ne se laisse pas embrigader par les fascistes). Mais ces maladresses sont tout de même contrebalancées par de nombreux points positifs, comme la formidable photographie de Vittorio Storaro (magnifiée par la restauration numérique), la magnifique musique d'Ennio Morricone, ou encore la formidable galerie de personnages, tous interprétés par des acteurs géniaux comme Depardieu, De Niro (dont la jeunesse semble immortelle) ou encore Sutherland (très bon dans le rôle du cruel Attila). On reprochera aussi à Bertolucci de faire parfois preuve de beaucoup de complaisance dans la réalisation de scènes très choquantes (le meurtre du chat, puis du garçon, notamment) et pas forcément nécessaires. Mais malgré cela, 1900 reste tout de même une œuvre assez fascinante et intéressante à regarder, même si ses défauts n'en font pas le chef-d’œuvre auquel on aurait pu s'attendre...
    Lou Leoty
    Lou Leoty

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2022
    1900. Un film maudit, passé à la trappe cinéphilique, ce qui est largement injuste à mon goût. Ce film est certainement ma grande découverte de 2021, et la claque de l'année. Je suis tombée dessus par hasard à la bibliothèque, et j'ai sauté sur l'occasion de voir un duo d'acteurs surprenant. Ce qui m'a amené, à ne jamais m'en remettre.
    Le pitch (sans spoiler): Au début du XXe siècle naissent le même jour dans une campagne italienne Alfredo et Olmo, l'un est fils de maîtres l'autre fils de paysans. Les deux enfants se coitoient, deviennent amis, se voient grandir, s'aiment et se haissent, tandis que la guerre arrive, puis les fascistes prennent le pouvoir, et les paysans entrent en révolte....
    Pourquoi j'ai aimé: 1900 est d'abord un film fleuve de 5h20 (qu'on ne voit absolument pas passer) car d'abord envisagée comme un téléfilm. Bertolucci, hanté par le fascisme, livre une oeuvre intime et travaillée, une véritable déclaration d'amour à l'Italie. Immense fresque épique, 1900 fait preuve d'une virtuosité de la mise en scène et des techniques cinématographiques et met en scène un tandem aussi saisissant qu'improbable: De niro et De Pardieu, tous deux sublimes. Deux garçons,figures ambivalentes et charismatiques, qui s'adorent et se détestent à la fois, surtout qui se complètent; deux performances inoubliables oubliées...
    Sutherland en psychopathe fasciste est épatant.
    Novecento est un film complet, grandiose, déchirant, et il explore avec beaucoup de tendresse et d'émotions plusieurs thèmes comme: l'amitié, la fraternité, le fascisme, les inégalités, le marxisme, la violence.
    Un film dont on ressort enrichi et bouleversé.
    Une grande leçon de cinéma.
    Pascal
    Pascal

    125 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juillet 2021
    J 'avais vu "1900" lors de sa sortie en salle dans les années 70 et il avait fait beaucoup de bruit. C'est un film que j'aie revu depuis quatre ou cinq fois et plus je le revois plus je m'aperçois de sa force. Il est vraisemblable que Bertolucci réalise ici son dernier très grand film. Les acteurs sont tous exceptionnels, la photo est magnifique, le thème et les sujets abordés ( politique et intime) sont percutants. Il me semble toutefois que la dernière demi heure de cette première partie, souffre de quelques longueurs. Pour cette raison, je ne mettrai pas 5 étoiles, à ce grand film.
    Josepha Coccinelle
    Josepha Coccinelle

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2021
    Ce film ? un chef-d’œuvre ! j'ai eu la chance de le voir au début de sa diffusion.
    C'est inimaginable un tel film si grandiose, et vrai, car on débute à l'époque du travail
    dans un domaine paysans et Maitres ! mais je ne vais pas aller plus loin.
    Il est à voir, car toute la pleiade d'artiste est immnese.
    stans007
    stans007

    18 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mars 2021
    Fresque paysanne et sociale de l’Italie au début du XXème siècle. Mise en scène d’auteur pour un film militant émaillé de quelques scènes d’un goût douteux. Distribution exceptionnelle.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    164 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2020
    1900 (ou Novecento) est une fresque cinématographique sur le XXe siècle italien (ou du moins sur sa première moitié) très réussie.
    J'ai vu les deux parties à la suite et je ne me souviens plus d'où se trouve la frontière entre les deux moitiés.
    Le film de Bernardo Bertolucci marche très bien grâce un casting extrêmement solide, mêlant stars américaines et européennes : Gérard Depardieu, Robert de Niro, Donald Sutherland, Burt Lancaster … et même si les acteurs ici, ne délivrent pas forcément leurs plus grandes performances (on a vu notamment Gérard Depardieu faire mieux), le tout reste convaincant (et Donald Sutherland pour le coup, est excellent en fasciste sadique).
    Cette fresque suit l'évolution à travers les âges de deux enfants, nés le même jour, dans le même village mais pas sous la même étoile : le premier, fils du propriétaire terrien, se voit offrira dès la naissance le droit de jouir de tout, tandis que le second, fils de métayer, sera condamné à trimer et à mener une vie plus miséreuse.
    Un bon film.
    Lavecchiafattoria
    Lavecchiafattoria

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2020
    Film et casting mythiques. Film très dur par moment, historique et inévitablement d'une autre époque, à mi-chemin entre lutte des classes et fraternité des classes.
    MARTIN R
    MARTIN R

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2020
    Film trop trop trop long. En 1 heure ce film aurait été suffisant. De plus ça ne bouge pas que du blah blah. Film à ne pas collectionner en DVD. Même pour 50 cents je n'achète pas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 août 2020
    Un pur chef-d'œuvre, on y trouve tout, politique, amitié, violence, romance, esthétique. Une saga qui traverse le siècle, jouée par des acteurs monumentaux.
    Estonius
    Estonius

    2 553 abonnés 5 255 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 avril 2020
    Ce long film souffre de deux défaut majeurs, d'abord sa longueur, on sent la volonté du réalisateur de vouloir absolument faire long, même quand cela ne se justifie pas, d’où certaines séquences étirées parfois jusqu'à l'absurde notamment dans spoiler: la toute dernière partie,
    comme si la répétition valait mieux que la concision. La seconde est d'ordre historique et idéologique, Bertolucci a le droit de penser ce qu'il veut, mais, même si on peut le déplorer, le spoiler: fascisme fut aussi un mouvement de masse en Italie, et très implanté dans les classes populaires, par ailleurs sa vision angélique de la lutte des classes peut faire sourire, (on se croirait chez Dovjenko) mais le sourire devient jaune quand ça tourne au léninisme radical (un propriétaire est un adversaire par définition, la justice est expéditive).
    Malgré ces casseroles de taille, le film est attachant car, à l'exception de la dernière demi-heure, le film nous montre autre chose, des tas d'autres choses, au début spoiler: c'est un film sur l'enfance
    et c'est réalisé en finesse sans aucune mièvrerie, il y a des scènes très fortes, et à ce propos Sutherland assume parfaitement le rôle ingrat qui lui est attribué, de même que sa maîtresse, (comme disait Hitchcock quand le méchant est réussi, le film l'est aussi), la terreur, la lâcheté et l'idiotie fasciste sont montrés sans fard dans au moins quatre scènes chocs, et puis comment passer sous silence cette scène fabuleuse où Stefania Casini spoiler: dans le rôle d'une gentille ribaude prodigue une branlounette simultanée à DeNiro et Depardieu, f
    açon pour le réal de dire, je montre ce que je veux, quand je veux. Et puis il y a Dominique Sanda qui a rarement été aussi belle et aussi impliquée par un rôle. Et puis Lancaster, Hayden, ils sont tous impeccables. La mise en scène est soignée et parfois inventive, même baroque, la musique de Moriconne est bien placée et se garde d'être envahissante. Et puis cette histoire d'amitié entre Dapardieu et DeNiro sur l'air de spoiler: " je t'aime, moi non plus est passionnante"
    . Quand ou vous dit qu'il y a plein de bonnes choses, alors oublions la dernière demi-heure, oublions spoiler: le filigrane marxiste
    et laissons-nous conquérir par cette épopée hors norme.
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