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Séverine
22 abonnés
36 critiques
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5,0
Publiée le 25 février 2024
Un film très émouvant et incarné à la perfection par Anthony Hopkins, Nicolas Winton en se rendant à Prague, prend encore plus conscience de la gravité de la situation et avant même que la guerre ne soit déclarée, il monte sur place, une organisation pour sauver les enfants juifs des nazis. En 1988 et grâce à l'émission télévisée That's Life, ces enfants se sont présentés et lui ont exprimé leur gratitude pour avoir sauvé leur vie.
Un film émouvant poignant et magnifique. Quel Anthony Hopkins ! Il joue encore magistralement bien le rôle d’un sauveur « d’enfants », l’un des plus grand qui ai pu existé, humble et n’a jamais demandé aucune reconnaissance. Le plus dur dans ce film, c’est pourtant l’insatisfaction de cet homme, de tous ces enfants qu’il a pas pu sauvé, mais il n’y pouvait rien… Sa souffrance est retransmit dans ce film, et le final est là pour apaiser son œuvre, l’apaiser lui et sous forme de remerciement, comme une récompense. Une fin très très émouvante sortez vos mouchoirs !
"Une vie" encensé par le public est un drame historique qui finit par toucher au cœur. En effet cette histoire inspirée d'une histoire vraie (Nicholas Winton a sauvé des centaines d'enfants juifs de la déportation durant la Seconde Guerre Mondiale) le réalisateur James Hawes présente une histoire bouleversante et précieuse pour rappeler à tous les atrocités commises pendant la Seconde Guerre Mondiale avec la prestation toute en subtilité du grand Anthony Hopkins.
Très émouvant (larmes de rigueur). C'est sûrement Anthony HOPKINS qui apporte une dimension supplémentaire à un film à la facture très classique mais qui finalement s'avère très efficace.
Excellent film qui retrace le sauvetage de 669 enfants de Prague des crimes des nazis. Film profond qui fait réfléchir et fait malheureusement écho à notre present
Nicolas Winton est un jeune courtier qui travaille dans une banque prestigieuse londonienne. Avide d’aventures, il part à Prague lors de l’invasion des Sudettes par Hitler en 1938. Il découvre sur place une situation terrifiante où de nombreux enfants vivent dans des camps en attendant l’invasion finale du pays. Il décide de les aider. En salle le 21 février.
spoiler: "Une Vie" nous plonge en pleine invasion de la Tchécoslovaquie par l’allemagne nazie, dans la peau d’un anglais idéaliste pour qui rien n’est considéré comme impossible. Les deux trames temporelles se marient bien et convergent vers ce fameux plateau-télé où a lieu la rencontre entre Nicolas et “ses enfants”, image connue dans le monde entier. Le film n’est pas exempt de défauts : dialogues qui paraissent souvent idéalisés, presque issus d’une pièce de théâtre. tout est fait pour nous faire verser notre petite larme. Toutefois, le spectateur passe un moment très instructif, animé par des personnages hauts en couleurs. La thématique fait réfléchir, surtout aujourd’hui.
L'histoire de Nicholas Winton est admirable. Nous pouvons nous attendre à ressentir beaucoup d'émotions et en ressortir totalement boulversé... Malheureusement la mise en scène et la réalisation n'a pas été à la hauteur de mes espérances. Ce film est un bel hommage à l'homme qu'était Nicholas Winton, mais ça s'arrête là ! Anthony Hopkins joue parfaitement son rôle mais seul son regard puisant et son grand talent à pu me procurer quelques émotions. Emotions spoilées par une bande annonce qui en dévoile trop ( la seule scène réellement émouvante est dévoilée dans la BA) . Plusieurs scène auraient méritées d'être mieux exploitées, nous n'allons pas dans le coeur de l'histoire, au coeur des émotions ... Sans Anthony Hopkins, le film serait au niveau d'un bon téléfilm. Une grosse déception
Sorti quelques semaines après The Zone of Interest (Jonathan Glazer, 2024), One Life en constitue l’exact opposé : là où le premier s’égarait dans un dispositif artificiel pour restituer l’horreur de la Shoah, le second cède à la tendance hagiographique en relisant à rebours la période de la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire en partant de l’époque contemporaine pour regarder vers le passé et reconstituer un engagement d’autant plus simpliste qu’il échappe aux doutes, aux erreurs et à l’ambiguïté morale. La construction par flashbacks incessants, parfois inutilement segmentée par des allers-retours d’une poignée de secondes entre les deux âges, représente Nicholas Winton tel un héros déterminé à agir et apte à comprendre les enjeux immédiats et futurs des déportations à venir – « ce qui va se produire sera horrible », entend-on plusieurs fois – dans son pays comme à l’étranger, et cela sans consultation véritable des intermédiaires tchécoslovaques puisque c’est lui qui les rallie à sa cause. Ce grandissement moral se heurte à la modestie de la figure de Nicholas Winton, si bien qu’un oxymore se crée entre d’une part l’altruisme de son combat et d’autre part la forme ampoulée qui le retranscrit, à grands renforts de scènes larmoyantes et de musique doloriste. La seule présence d’Anthony Hopkins suffisait à incarner le poids du passé et son ambivalence aux yeux d’un homme qui n’a pas réussi pleinement la mission qu’il s’était fixée ; le film, par académisme et par souci de se ranger du côté des vainqueurs et des justes, le réduit à l’état de spectateur ému par le spectacle de ses propres exploits. Dépourvu d’intérêt esthétique, One Life n’a de valeur que pédagogique, mettant en lumière une figure méconnue de la résistance face au nazisme.
Film témoignage utile mais très académique et modeste dans sa réalisation avec Anthony Hopkins bien choisi pour ce rôle mais il montre une grande fatigue, ce qui l’empêche, je trouve d’être très performant et de bien habiter son personnage. Nous sommes loin de la liste de Schindler.
Un film très touchant sur l'histoire vraie Nicholas Winton. Qui va soulever ciel et terre pour sauver un maximum d'enfants de Prague pour les mettre en sécurité en Angleterre. Le duo Anthony Hopkins et Johnny Flynn qui incarne eux deux Nicholas Winton incarne avec perfection leurs rôles.
Malheureusement le rythme est lent, la 1ere heure est blindée de détails inutiles et on ne ressent aucune émotion ... J'entendais des ronflements dans la salle, c'était vraiment difficile d'accrocher. Je n'ai pas tenu, je suis partie avant la fin tellement je m'ennuyais trop.
L'histoire dans la grande Histoire,, forcément toujours important de la transmettre, constant merveilleux Anthony Hopkins, certes faiblesse du scénario, un peu trop de clacissisme, une autre histoire individuelle aurait pu s'y greffer, par exemple celle d'un des enfants sauvés par ce héros,.mais pour la mémoire, doit être vu.
Très intéressant et captivant de suivre le parcours du héros de ce film qui a pressenti l'imminence du drame humain qui allait surgir et finir en deuxième guerre mondiale. Cependant le jeu des acteurs parfois surjoué n'apporte pas toujours l'émotion que l'on pouvait en attendre.
Un film profondément médiocre et décevant. J'étais assez optimiste en voyant l'acteur principal et le scénario comparable au chef-d'œuvre de Spielberg, j'ai rapidement déchanté. Je tiens à préciser que j'ai malheureusement vu le film en VF et ça n'a pas aidé, on ne m'a pas laissé le choix. Le plus horrible dans ce film, c'est le script, l'écriture extrêmement pauvre des dialogues et des scènes. Tout est soit cliché, soit complètement con. Pour les clichés, on retiendra les lignes du style "je suis désolé" alors que le gars a sauvé je ne sais combien d'innocents, "tu as fait tout ce que tu pouvais" etc etc. Pour les imbécillités, j'aimerais qu'on attrape le scénariste qui a fait dire à ce gentil courtier dans une banque d'affaires qu'il est socialiste, Marx se retourne dans sa tombe. Les scènes sont mal filmées, sans intérêt, beaucoup sont très ennuyeuses. Les acteurs sont pour la plupart médiocres, enfermés qu'ils sont dans une écriture qui l'est tout autant. Au-delà de la réalisation, c'est l'Histoire avec un H qui pose problème : on sait que les enfants sont en danger, on sait qu'ils doivent fuir, mais quoi ? Jamais les nazis ne sont montrés, jamais on ne saura l'horreur du ghetto et de l'oppression nazie, à part quelques images de rues à faire pleurer les pierres. Si on avait affaire à une bonne réalisation avec des images intéressantes, on pourrait penser que c'est un choix du réalisateur de ne jamais montrer le nazisme ! Mais au vu du résultat du film, on penche plus pour la médiocrité. J'aurai au moins découvert le personnage, mais le film ne lui rend pas service.