Avis : Le Dernier empereur - Page 7

Se film ne m'a pas marqué, mais les faits historiques sont là est assez bien retranscrit dans le cinéma,
je n'ai pas trop adhéré, mais sa n'engage que moi et la majorité des personnes aimeront !

Tres bien fait, on suit bien les époques, les faits historique de la chine et du reste du monde et ces concéquences sur le palais. Tres bien interpreté, on est plongé dedans.

Magnifique. Que dire de plus ?

Le moins que l’on puisse dire c’est que ce dernier empereur de Chine aura eu une existence ahurissante : Empereur à 3 ans, jardinier à 65. Cette existence méritait un film, Bertolucci en a tiré un grand spectacle magnifique, esthétiquement très beau, scénaristiquement intéressant. Une fresque qui, selon moi, n’a pas la même côté épique qu’un Lawrence d’Arabie ou un Ben-Hur, mais qui se révèle indispensable.

Je suis désolé, mais moi, un ptit chinois du début du 20e siècle qui parle couramment anglais, fut-il empereur, çà me coupe mes envies de réalisme et çà m’empêche de rentrer dans le film. Dommage!
12/18

Entre féodalité et maoïsme

Bernardo Bertolucci a co-écrit, avec Mark Peploe, et réalisé ce film dramatique biographique épique, qui est une adaptation de l'autobiographie "De l'empereur au citoyen : l'autobiographie d'Aisin Gioro Pu Yi" écrit par Pu Yi entre 1960 et 1964.

Allant et venant entre la naissance du dernier empereur en 1906 et sa mort en 1967, l'histoire est savamment conçue et couvre quatre époques de l'histoire chinoise : la fin des Qing, les débuts de la République, le Mandchoukouo et l'ère Maoïste.

La force du film de Bertolucci réside principalement dans son attachement aux valeurs humaines et aux luttes pour échapper à l'enfer de l'impossibilité de la raison entre féodalité et maoïsme

De spoiler: l’étouffement ultra-monarchiste à l’extrémisme maoïste, les opportunités sont rares. Elles proviennent principalement du tuteur écossais de Pu Yi et de la tutrice américaine de son épouse – des personnes instruites et respectueuses des us et coutumes, mais qui ne tolèrent pas les excès dangereux pour l'équilibre psychologique et la santé
.

Malgré leur spoiler: mariage arrangé traditionnel, le couple d'adolescents est heureux au début de leur relation et envisage de poursuivre leurs études à Oxford, avant de partir découvrir la Côte d'Azur et San Francisco
.

Pu Yi est devenu un spoiler: monarque sage et moderne, qui a adopté un certain nombre de réformes, avant que le coup d'État de Pékin de 1924 ne mette fin aux plans et aux rêves de son épouse Wan Jung, de son « ernai » ou seconde épouse Wen Hsiu et de lui-même
.

L'ère du Mandchoukouo spoiler: ne fut qu’une longue descente dans les ténèbres, qui fit de Pu Yi une marionnette japonaise avant de se terminer en 1945 par la victoire des forces alliées, la capitulation du Japon et la capture de Pu Yi et de ses proches par l'Armée rouge soviétique
.

Le spoiler: programme de rééducation communiste chinois l'a contraint à renoncer à sa collaboration forcée avec les envahisseurs japonais pendant la Seconde Guerre sino-japonaise. Puis, considéré comme réhabilité par Jin Yuan, le directeur de la prison de Fushun, et par le gouvernement, il fut ensuite libéré en 1959
.

En 1967, spoiler: devenu jardinier et menant une vie simple, Pu Yi tombe sur à un défilé de la Garde Rouge maoïste, qui prône le "culte de la personnalité de Mao Zedong" et fait de son ex-directeur Jin Yuan un prisonnier politique exhibé pour ses soi-disant « crimes anti-révolutionnaires
».

A l'aube de sa vie, Pu Yi spoiler: retourne à la Cité Interdite en tant que touriste, et après avoir rencontré un jeune garde rouge, le « Fils du Ciel » disparaît
.

Quatre acteurs incarnent le dernier empereur : Richard Vuu dans le rôle de Pu Yi, lorsqu’il est âgé de 3 ans, Tijger Tsou dans le rôle de Pu Yi, lorsqu’il est âgé de 8 ans, Wu Tao dans le rôle de Pu Yi, lorsqu’il est âgé de 15 ans, et John Lone dans le rôle de Pu Yi adulte. Les autres rôles principaux incluent Peter O'Toole dans le rôle de Reginald Johnston, le tuteur écossais de Pu Yi, Joan Chen dans le rôle de son épouse Wan Jung, Vivian Wu dans le rôle de se seconde épouse Wen Hsiu, Ying Ruocheng dans le rôle de Jin Yuan, le gouverneur du camp de détention, et Victor Wong dans le rôle de Chen Baochen.

"Le Dernier Empereur" a été un succès critique, et au box-office, qui a remporté les neuf Oscars pour lesquels il a été nominé, dont ceux du Meilleur Film, du Meilleur Réalisateur et du Meilleur Scénario adapté. Il a également remporté plusieurs autres distinctions, dont trois BAFTA Awards, quatre Golden Globes Awards, neuf David di Donatello Awards et un Grammy Award pour sa partition musicale.

Au XXIe siècle, la majeure partie de l’Asie, du Moyen-Orient à l’Extrême-Orient, est encore déchirée entre traditions féodales et extrémisme politique.

5/5

Le film s'étire en longueur malgré une histoire incroyable, où l’on suit la vie du dernier empereur de Chine, Pu Yi, du trône impérial jusqu’à son “misérable” poste de jardiner dans un parc botanique de Pékin. Un poste dans lequel il connaît sans doute bien plus de joie et de liberté d’ailleurs. Le film est lourd et empoté. Les moyens sont considérables, les décors fastueux mais on ne s’attache pas au personnage principale. Le scénario du biopic est très classique. Bertolucci utilise des flash-backs pour faire nous faire découvrir la vie du héros, sans originalité. Ils sont trop nombreux et manquent de rythme. Les transitions sont brutales et prévisibles. Pour autant, certaines scènes retiennent tout de même l’attention, notamment dans la première partie où le huis-clos fonctionne plutôt bien. La cité interdite, devenue depuis une machine à enfermer des touristes, prend vie une dernière fois et on ne se lasse pas de voir les vieux petits serviteurs chinois amuser le tout jeune Pu Yi.

Je n'avais vraiment pas envie de voir Le Dernier Empereur, m'attendant à un énième navet à grand budget et à petit talent. Quelle ne fut pas alors ma surprise de me laisser embarquer dans une magnifique fresque historique, peignant admirablement la Chine du début du siècle et la vie monarchique dans la Cité interdite. On doit aussi beaucoup aux décors. Mais ce qui fait de ce film un chef-d'œuvre, c'est l'histoire de ce jeune empereur déchu et de l'interprétation magistrale des différents acteurs qui le jouent et de son entourage. C'est aussi la bande sonore, les voyages, la fidélité historique et la réflexion sur la fugacité des choses, la vanité des charges, l'avidité du pouvoir qui ne permet pas de classer les « bons » et les « méchants », mais de voir simplement des hommes confronté à l'épreuve de la vie. Bertolucci signe ici un grand film très bien servi, notamment par Peter O'Toole, surprenant en professeur d'anglais. De Cixi à Mao, le réalisateur ne fait pas de Puyi un martyr mais réhabilité l'image d'un autocrate amoureux de son pays et humaniste, qui d'or ou de béton, passe sa vie en prison.

Après avoir vu ce film, tout ce que j'ai retenue, c'est que c'est un très bon film, que je conseille a tous. Ce n'est pas pour rien, qu'il a reçu le plus d'oscars de l'histoire du cinéma.

Si on pouvait réaliser plus souvent des films pareils, ce serait formidables. Les acteurs et les images sont extraordinaires, la musique souligne bien les atmosphères. L'ambiance de ce film frise le fantastique, et montre une civilisation raffinée, mais profondément inquiétante et perturbée.

ce que je peux dire c'est que ce film est chiant a en mourir alors d'accord les acteurs sont bons, les lumière les couleurs sont magnifique mais si le rythme n'y est pas sa ne sert strictement a rien, le rythme est quelquechose d'essentiel dans un film si elle n'y est pas on ne peut pas regarder le film c'est aussi simple que ca.

J'ai loué le film "Le Derneur Empereur"; je l'ai trouvé magnifique, bcp de couleurs, de 'injustice.

Je n'ai pas du tout accroché... C'est très très long... Très ennuyeux... Le seul intérêt de ce film c'est le côté historique, il faut regarder ça comme un documentaire... Mais 2h25 de documentaire ça endort !

C'est un belle réalisation ce film qui retrace la vie du dernier empereur chinois qui va traverser le changement de régime vers le communisme ou un empereur n'a pas sa place. J'ai tout de même une petite reproche à faire c'est qu'il est un peu long et trainard arrivé à la moitié.

Bertolucci offre un film magnifique. La longue et continuelle décadence du dernier empereur de Chine. La première partie montre la décadence de l'environnement de l'empereur de Chine jusqu'à la chute de la cité interdite envahit par les japonais. L'empereur est une autorité fantôche qui n'a comme seule liberté sa prison. Lorque le changement arrive, l'empereur renaît et vit ses rêves d'enfance qu'il avait idéaliser. Arrive le règne fantôche qui marquera sa tragédie, celui d'un homme qui veut se battre malgré les humiliations japonaises. Puis la fin splendide, avec une dernière scène fantastique.