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remyll
163 abonnés
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2,0
Publiée le 11 septembre 2022
L’histoire est tellement invraisemblable, que s’en est risible. Qu’on fasse passer les Russes pour de sombres brutes manipulatrices, ignobles, et stupides passe encore : on va dire que c’est l’époque. Mais pousser le bouchon jusqu’à présenter l’Ambassadeur de France en Russie comme un sinistre poltron lâche, totalement insensible, et incompétent c’est pousser le bouchon très loin. Au final je trouve le film décevant.
Tout d'abord je vais remercier chaudement les RUSSES !! Merci les Russes , car comme les méchants Nazis commençaient un peu à s'essouffler depuis le temps (ils nous les ont même cachés sur la Lune dans le jouissif IRONSKY !!) , le Russe arrive à point nommé pour renouveler le méchant de service ! Et alors avec le conflit ukrainien , on va pouvoir en bouffer pendant 100 ans!! Bon et KOMPROMAT??? Et bien j'ai pas aimé des masses . C'est bien joué , Lellouche est bon mais il se voit déjà en GABIN de l'an 2000 et ça me gonfle souverainement! Bien sur il y a de la tension et du suspense tout le long mais rien que l'on ai déjà vu 1000 fois dans les séries de tout poils . Avec le vélo qu'on nous en avait fait je m'attendais à bcp plus et je suis déçu de ce coup d'épée dans l'eau . C'est long et ça manque souvent de cohérence , bien filmé avec une image terne qui finit par lasser , c'est pas mal interprété mais ça n'en fait pas un bon film pour autant . A vous de voir ;O))
Un début prometteur et une seconde moitié catastrophique avec pas grand chose de crédible... Pffff les cartes SIM cela se change pour échapper aux FSB et les forces d'élite Russes ne peuvent pas se faire puncher de cette manière ! Bref, je n'ai pas du tout aimé ce gâchis 😱
Mouai, l’histoire est dure et réelle dans cette Russie grise et totalitaire. Lellouche est bon, Kulig très bien dans son rôle réellement russe, mais ça prend pas. Dommage.
Bon thriller concernant un français victime d'un kompromat en Russie et qui va tenter par tous les moyens de s'échapper, afin d'éviter une lourde condamnation qui n'avait pas lieu d'être. Emmené par un Gilles Lellouche toujours en forme, l'histoire est assez prenante et parfois sous tension, mais la réalisation reste assez classique et convenue dans l'ensemble. Un bon rythme et des personnages secondaires intéressants, malgré certains qui sont caricaturaux du côté Russe, « Kompromat » se révèle tout de même être un bon divertissement, intéressant et haletant.
Sans avoir vraiment de déplaisir à suivre le dernier film de JÉRÔME SALLE, son film n'en reste pas moins très classique dans sa dramaturgie et les moments d'actions sont très modestes et tombent par moment dans plus que le banal (Planque dans le coffre d'une voiture, course poursuite à pied en sac à dos...pas terrible pour de l'action). Surtout un film sombre au sens propre comme au figuré (tout le film est sombre au niveau de la photo...c'est de circonstance on peut dire). Une petite histoire d'amour si colle aussi tout en dénonçant le climat nauséabond d'une certaine mentalité qui reste encré dans certains pays (homophobie, contre une liberté de pensée etc) tout le monde comprendra. GILLES LELLOUCHE fait ce qu'il sait faire excusé si cela sonne parfois faux.
Difficile d'admettre qu'on puisse réunir autant de moyens dans un film pour finir avec un pseudo thriller aussi plat et téléphoné que ce Kompromat. Gilles Lellouche tente tant bien que mal d'insuffler un peu de vie à un scénario sans idée et sans envergure.
Vu en avant-première, je me suis ennuyée pendant deux heures et les personnes qui m'accompagnaient également. Tout est cousu de fil blanc, nous devinons le dénouement dès le départ. J'adore Gilles Lellouche mais le film est rempli d'incohérences. Je suis extrêmement déçue.
Vu en avant-première "Kompromat" est un film que j'ai bien apprécié. L'histoire est intéressante, les acteurs sont top et la durée du film est correcte. Par contre j'aurais bien aimé plus de tension dans ce film et j'ai trouvé quelques scènes un peu bêtes ou improbable.
Thriller poussif. La plupart des scènes sont "téléphonées", d'autant que le héros pourtant aux abois, est d'une naïveté insensée, il prend son temps là où il devrait courir, semble plus sous l'emprise très immature se son amour pour une femme, qui elle est très juste, que de son besoin d'échapper à un sort annoncé terrible, balance des textos au pays du FSB qui se réjouit de les capter... Bref dommage, il y a une trame intéressante et quelques scènes prometteuses mais qui laissent sur notre faim. Du Hollywood laborieux.
Un film de propagande grossier en période de guerre, on y retrouve des mécaniques classique d'empathie envers le héros du film, courageuse victime du cruel et fourbe méchant Russe. Un film sans intérêt qui rapelle que le cinéma est aussi une arme.
Kompromat le dernier film du réalisateur français Jérôme Salle (Antony Zimmer, The Tourist et les Largo Winch) promettait beaucoup sur le papier et accouche finalement d’un modeste nanar. Librement (le librement est important !) inspiré de la mésaventure d’un attaché culturel de l’Alliance Française d’Irkoutsk en Sibérie, accusé d’avoir des images pédophiles sur son téléphone (en fait une photo de sa petite fille toute nue sur une plage) et donc piégé par les Russes…. Kompromat déçoit rapidement par une enfilade d’incohérences de scénario et de mise en scène. Que dire. Le récit navigue entre « Oui Oui chez les Soviets » et « Le Bureau des Légendes pour les nuls ». Même une grand-mère de 80 devient capable de prédire la scène d’après, tant l’histoire est cousue de fils de dentelles. Il y a des emprunts d’un peu toutes les séries vues depuis 5 ans (les fameux textos qui apparaissent sur l’écran lors des échanges). Même la musique semble parfois sorties d’enquêtes interdites. Gilles Lellouche n’est pas mauvais en soit mais il est tellement désespéré à devenir le nouveau Jean Gabin que son jeu est forcé et manque de charisme (et pourtant il crie, il se roule par terre bref…). Joana Kullig qui joue une jeune russe déterminée à l’aider à regagner la France est plutôt bonne dans ce rôle de composition. Quant à Louis Do de Lencquesaing, il investit l’écran sans effort et la caméra l’aime ! C’est un peu cruel pour Gilles Lellouche que j’ai paradoxalement aimé dans « Pupilles » où il interprétait un père d’accueil. Bref allez-y et faites-vous votre opinion