Avis : La Princesse - Page 2

une grosse bouze, disney continue a faire de la "m..de" mais là ça touche le fond pourtant j ai beaucoup aimé l'actrice dans Kissing booth,, ce film fait l unanimité contre lui ....

Lorsqu’une belle princesse à la volonté forte refuse d’épouser le sociopathe cruel auquel elle est fiancée, elle est kidnappée et enfermée dans une tour isolée du château de son père. Avec son prétendant méprisé et vindicatif déterminé à prendre le trône de son père, la princesse doit protéger sa famille et sauver son royaume.
Le 30 octobre 2020, 20th Century Studios a acquis les droits du script de Ben Lustig et Jake Thornton, The Princess
Derek Kolstad, Joey King (qui a été choisi pour jouer le rôle principal , Lustig et Thornton serviront de producteurs. Le 12 novembre 2021, Le-Van Kiet a été annoncé comme réalisateur du film.
la musique est composée par nathalie holt compositrice de la série obi wan kenobi

Que dire? J'ai malheureusement arrêté avant la fin. Disney que se passe-t-il ? Purée tout est pourri, le jeu d'acteurs, les combats...la princesse défonce tout le monde c'est cool, mais elle a l'air super étonnée! Même elle n'y croit pas ,alors comment voulez-vous convaincre le public ?

Ce film était nul au point de me faire perdre foi en l’humanité. Du scénario inexistant aux effets spéciaux qui font saigner les yeux, il n’y a rien à sauver. 1h36 minutes de calvaire. Je pense que manger du verre m’aurait moins fait souffrir. Respectez vous. Passez votre chemin.

Sous un titre étrangement anodin, le cinéaste Vietnamien Le Van Kiet (par ailleurs totalement inconnu) cache un film « défouloir » qui ne laisse aucune place à la philosophie et encore moins au réalisme historique. En effet, « La Princesse » pose très rapidement le décor, sans se soucier un seul instant de construire un véritable scénario... ainsi, un vilain chevalier attaque par surprise un château fort situé dans une contrée imaginaire. Après sa rapide victoire, il emprisonne la famille royale et en profite pour demander (avec beaucoup d'insistance) la main de la jeune Princesse. Jusque là, rien de très original... mais en fait c'est là que ça se gâte pour les méchants envahisseurs. Il se trouve, en effet, que la jolie « donzelle » a été entraînée (dans le plus grand secret) pour être une guerrière sanguinaire. Très vite, elle va mettre une grande détermination à saccager les plates-bandes de son tout nouveau promis... dans le simple et unique but de rétablir ses parents sur leur trône légitime. S'en suit une avalanche de combats à l'épée, d'une violence inouïe mais traités avec suffisamment d'humour et de second degré pour que la pilule passe sans trop de problème. Inutile de préciser qu'on comprend très vite les tenants et les aboutissants et qu'il vaut mieux laisser son cerveau au vestiaire pour avoir une bonne vision d'ensemble... c'est vrai ! Mais si on parvient à prendre le film pour ce qu'il est vraiment, on s'amuse alors beaucoup. Alors, pourquoi pas ?

Une heure de baston sur une heure et demi de film, c'est un bon ratio pour qui cherche à se divertir. Bon film

Le discours féministe mal maitrisé et sans substance, je m'y attendais, c'est souvent le propre de ce type discours.

Ce à quoi je ne m'attendais pas (totalement) en revanche, c'est à une si mauvaise réalisation, un concept original si gâché et un scénario VRAIMENT, vraiment inexistant.

Je consacre juste deux lignes à mon racontage de life : "the princess" est un projet que j'avais personnellement en tête depuis un moment.

Je devais écrire une mini BD pardodique s'intulant "f*cking princess" portant sur une princesse repoussant les princes voulant l'embrasser et j'ai même pris soin d'y ajouter une petite réflexion sur l'utilité du féminisme (chose que vous ne verrez jamais dans un long métrage occidental)... Le concept est tout simple, preuve en est que même moi j'ai été foutu de l'élaborer et il ne tient qu'à son auteur de lui donner un minimum de consistance pour s'affirmer en tant qu'oeuvre...

Mais là, c'est vraiment le néant à tous les étages.

L'héroïne n'a aucun charisme, les flash back ne racontent rien d'intéressant et le cheminement conduisant la princesse en dehors de la tour de laquelle elle est retenue pour accéder à cette fin si prévisible n'a rien d'initiatique !

On a donc une princesse badass à laquelle on ne croit pas tant les combats sont invraisemblables (la nana déboite des masses de muscles et se heurte à des gringalets ridicules non formés au combat) et... que ça...

De la baston, de la baston, encore de la baston à peine chorégraphiée, une esthétique dégueulasse pour une finalité aussi simple que "même une femme peut se battre"... Wouaw ! Voilà qui troue le séant !

Si nos chères néo-féministe prônant la misandrie et l'interchangeabilité parfaite des sexes à défaut d'une complémentarité NATURELLE cherchent un porte étendard, bien qu'elles n'en aient aucun de valable, ce n'est pas avec ce navet qu'elles vont redorer leur blason

Allez try again... Vous allez bien finir par êtres crédibles un jour.

J'ai adoré ce film étant donner que je kiff les scènes d'action avec de la bagarre j'me suis régalée tout le monde n'a pas aimé mais chacun son point de vu

De belles images et de bons effets spéciaux mais qui ne rattrapent pas le cruel manque de scénario, de cohésion et de profondeur que mérite ce genre de film... un visionnage divertissant mais qui donne l'impression de rester sur sa faim... acteurs bons mais sans plus...

Alors oui, je ne m'attendais pas à un grand film. Ni un film plausible. La b-a annonce la couleur : la version féminine de John Wick en mode Moyen-Âge.
Si les combats sont parfaitement chorégraphiés, et le film a un rythme nerveux jusqu'au final prévisible, comme pour tous les blockbusters d'action, il manque de l'humour, et une certaine appropriation culturelle à minima.
Le réalisateur est vietnamien est a une vision pour le coup du monde médiéval sorti des films Disney et des grosses productions américaines (Robin des Bois 1991 voir Xena, la Guerrière - 1995).
Alors oui, les studios ont voulu surfer sur le succès des films d'actions ultra-chorégraphié sauce Keanu Reeves.
Si le film ne se prends pas au sérieux, il ne joue pas vraiment avec l'humour. Et pourtant, il y a justement matière à parodier les films hollywoodiens ou les non-sens tactiques.
Les dialogues sont risibles, tant les raccourcis sur la culture, les traditions médiévales sont ignorées des auteurs. On devient roi par le mariage, mais seulement après la mort du roi en titre.
Idem pour forcer les cardinaux à effectuer la cérémonie. Le clergé étant la plus grande puissance du Monde connu, on y va mollo, avec les robes pourpres...
Évidemment, si le film se joue des codes des films Disney, il reprends avec les mêmes gros sabots absurdes un monde cosmopolite et parfaitement multi-culturel, ainsi que des dialogues moralistes sur le respect et les choix de vie des jeunes filles, cinéma guimauve et post-me too oblige.
On va dire que le film est plutôt court et passe plutôt bien, et que Joey King s'amuse à faire des pirouettes façon Sacré Robin des Bois (1993). La sympathie pour cette actrice et sa qualité de jeu étant la seule chose à sauver le film de la série B fauchée.
Dominic Cooper cabotine et vient cachetonner pour payer ses factures de chauffage, tandis qu'Olga Kurylenko se la joue méchante femme de main nostalgique de la mode emo (et délire S-M).
Il ne faut pas trop regarder à la vraisemblance des armes, armures, techniques de combats, et surtout des murs en pierre qui ressemble beaucoup trop à du carton-pâte à mon goût (le chef décorateur a dû être payé en bon alimentaire).

une princesse badas ça change ^^ et qui sait se battres, ça change des stéréotypes de base de Disney, joey king est parfaite dans le rôles, j'aime bien cette actrice mais j'aimerais la voir dans des rôles plus sérieux que ces film d'ados pour Netflix perso ^^

On n'est clairement pas ici dans une reconstitution ou dans un conte Disney.
L'histoire est simple et ne vous attendez pas à un grand cru. Une princesse refuse un mariage, l'éconduit la kidnappe ainsi que sa famille. La princesse est énervée, elle va casser des têtes et découper des hommes façon sushi, grâce à l'entrainement reçu en jouant à Mortal Kombat (c'est faux).
On assiste à de la bagarre quasi non stop et, même si on n'y croit pas du tout, une fois passé cette incrédulité, on se laisse porter par ce film qui est d'une durée bien pensée pour ce qu'il propose.
L'actrice fait le job, pour le reste, notamment le méchant, on sent que Dominic Cooper est venu pour le cheque.
En vrai, il y a pas grand chose à dire car la bande annonce résume bien ce qu'on va voir. Et même si la réalisation ne brille pas, le film se laisse regarder, une fois.

Le film est vraiment très bien, beaucoup de mauvaise critique sans raison. La bande sons passe très bien avec le film. Je recommande.

Royalement, exclusivement, régressivement, débilement : féministe à deux francs. On suit donc une princesse à la sortie du lit, qui, au lieu d'enfiler des chaussons, préfère enfiler les mecs au bout de son épée. Tous les mecs, les premiers qu'elle croisera ("Mais, lui, il t'a fait quoi ? Il était même pas sur ton chemin."), jusqu'à arriver à celui qui l'a cloîtrée pour l'épouser de force, c'est vrai qu'il fera bien au-dessus de la cheminée. Et clap, fin du scénario. Il tient sur un post-it, ce qui explique que l'on se fiche de savoir quoi que ce soit du contexte "avant qu'elle se réveille", l'approfondissement des personnages, les enjeux... Le scénario nous dit (hurle) : "On est juste là pour zigouiller du mec, parce que ce sont tous des pervers... Pas convaincu ? Attendez, on va la faire boire et roter salement, pour dire que c'est un bonhomme... ah zut, c'est sexiste ? spoiler: Alors on va rattraper ça en mettant un beau discours où elle dit qu'elle choisira elle-même son avenir ! Et là on fait un plan sur son père le Roi, qui accepte, pour bien montrer que le patriarcat est mort...
Oui, bon, pour la finesse, on verra ça plus tard hein...". On comprend les scénaristes, on ne peut pas tout faire, choisir entre un film tellement engagé qu'il en devient incroyablement puéril et inefficace, et un film qui se permet de mettre en héros une princesse émancipée - qui casse du mec si elle veut, chacun son sport dominical - mais en réfléchissant au background, à tout ce qui l'entoure, pour ne pas avoir l'air de fonder l'entièreté de son propos juste sur une idée courte. On s'ennuie, ce qu'on s'ennuie, face à ces combats qui se ressemblent tous, à ces sauts improbables que la princesse enchaîne sans une égratignure, à cette acolyte traitée comme un mouchoir (eh ben alors ? Il a eu un moment d'absence, le féminisme ?), et surtout face à ces giclées de sang gratuites, tout juste bonnes pour un film d'ados. Beaucoup de mots, rarement positifs, pour décrire pareil triste spectacle redondant et sans aucun fond. Beaucoup trop de mots, qui dépassent largement ceux qui constituent le scénario rachétique de ce navet.

Dans l'histoire des œuvres de la Fox, rares auront été celles à possédée un scénario aussi plat, une surenchère ininterrompue de scènes de bagarres sans queue ni tête, ne me rappelant rien d'autres que la navet au possible "John Wick 2" dont le contenu est égal, cette fausse histoire de princesse prisonnière d'une tour et par ailleurs, très ressemblent à l'introduction de "Raiponce" d'un certains studio Disney, tout le film n'est donc qu'arnaque, script inexistant, développement des personnages au abonnés absents, un ennemi peu crédible mais son second, campé par Olga Kurylenko que j'ai eu joie de revoir, ne sauva gère le duo super-vilain. Un roi et une reine trop peu présent pour n'apporter qu'un rien cosmique, une princesse héritière très présente en mode Rambo ravageuse mais sans grand intérêt artistique. Disney+ et Century Studio livrent ici leur premier "original movie" totalement inutile. Seul point fort remarquable, décors et costumes d'une immense beauté, mais rien ne sauve une cause perdue, et ceci, au bout de 30 min sur l'1h30 totale.