Avis : X - Le film - Page 4

franchement nul nul . c'était trop de mettre une femme âgé au lieu d'un maquillage sur une jeune . bref le néant total

Un peu de longueurs, mais c'est presque une farce, pas de crédibilité du tout, mais c'est pas le but.
Quelques très beaux plans.
Avis plus mitigé pour Sylvie.

Séance nocturne au Festival de Deauville, présentation en AVP du prochain film de Ti West : X. Le synopsis : des jeunes vont tourner un film pornographique dans une ferme reculée, mais les propriétaires âgées sont très bizarres, ils ont le feu à la couche urinaire. Vendu comme un slasher mélangé avec des scènes de nu, on a eu un long moment de solitude, ne prenant jamais part à la marrade (on sait qu'on est le 1% à n'avoir pas aimé, mais c'est aussi ça, le cinéma), la faute à une mise en scène très pédante. Allons-y gaiment sur les filtres rouges gratuits, sur les gros plans d'objets qui ne servent à rien (oui, on l'a vu, le phare de la voiture...), sur les scènes humoristiques qui déboulent n'importe comment ( spoiler: la mamie qui tire avec le fusil et part à dix mètres... Facepalm
), sur la bande-son psychédélique qui nous crie : "Attention, je suis un film d'auteur ! Moi je suis cinéphile." Oh, pitié. La scène de début avec spoiler: le croco nous a fait pleurer de désespoir (filmée de dessus pour un effet plus clinquant, avec un croco en numérique qui dégouline)
idem la scène de spoiler: la mamie qui charcute le jeune
devant la voiture (et allez, le phare...) filmée de façon à ce qu'on ne voit rien avec des petits râles risibles en hors-champ, typiquement le genre de scènes où l'on a pensé être devant un nanar, si seulement Ti West ne nous beuglait pas sa mise en scène "à analyser" toutes les deux minutes. Seuls points qu'on sauve, la prestation de Mia Goth ("la dame sans sourcils" de Cure For Life, sa gueule fascinante nous est restée, et décidément : on l'aime bien) et les scènes de fesses avec les papi-mamie (et même ado), certainement les plus "marquantes" (si l'on peut dire, c'est surtout que les scènes de mort manquent de punch...) de ce X, qui nous est passé à côté comme un courant d'air d'été... Allez mamie, une camomille, la couche, et au lit.

Ti West avait délaissé le cinéma pour réaliser des épisodes de séries et le voilà de retour avec un film fidèle à son registre, ce qui n'était pas le cas de "In a Valley of Violence", son dernier en date avant celui-ci. Comme on peut s'en douter, "X" est construit autour de l'univers du sexe avec six personnes qui se rendent dans une ferme isolée pour tourner un film pornographique, mais c'est également un film qui parle de sexualité en évoquant la perte d'intimité et la vie sexuelle des seniors avec des personnages qui sont directement confrontés à ce qu'ils ont perdu que ce soit le sexe ou encore la beauté. Si le film reprend dans les grandes lignes les codes du slasher, le fond de l'histoire et les caractéristiques des "méchants" apportent un peu d'originalité au récit. Derrière cette violence, il y a un peu de tendresse et surtout de détresse. Un peu comme "M. Night Shyamalan" dans "The Visit", Ti West utilise avec brio des personnages âgés qui sont un peu trop sous-exploités dans le registre de l'épouvante. Ils arrivent à être bien malsains, ce qui est positif pour instaurer une ambiance glauque, par contre c'est un peu plus compliqué dans la dernière partie lorsque le rythme est censé s'accélérer. Pour autant, cela reste une partie efficace avec une frénésie de violence et beaucoup de sang. Je m'attendais à un peu mieux, mais c'est un slasher qui est pas mal.

A la fin des années 70, une petite équipe de tournage investit un ranch au fin fond du Texas pour y tourner un film X : "Les Filles du fermier". Les scènes pornographiques viennent briser le silence qui règne dans la propriété et ne tardent à transformer ce lieu paisible en scènes de massacres…

Avec X (2022), Ti West met en scène un épatant film d’exploitation, un slasher qui fleure bon les années 80, période drive-in, avec des personnages haut en couleur, des hôtes particulièrement flippants et des mises à mort savoureusement sanguinolentes.

Imaginez une immersion entre le Texas et la Louisiane façon Tobe Hooper, entre Massacre à la tronçonneuse (1974) & Le Crocodile de la mort (1976), dans un ranch perdu au beau milieu de nulle part, avec un joli petit étang et une étable. Un cadre idyllique pour y tourner un petit film X fauché. Sauf que très rapidement, les morts vont se succéder les uns après les autres, dont certains dans d’atroces souffrances.

Les références sont belles et bien là, mais cela ne gêne nullement l’appréciation du film, d’autant plus que le tueur en série n’est absolument pas celui auquel on s’attend et pour cause, le coupable est en réalité spoiler: une octogénaire aux seins tombant comme deux vieux gants défraichis. La bonne dame est frustrée que son mari ne puisse plus lui donner satisfaction (et pour cause, il craint qu’à la moindre trique, il fasse un arrêt cardiaque). Nostalgique de l’époque où son mari lui titillait le bourgeon et y prenait plaisir, elle cherche encore et toujours à raviver la flamme par tous les moyens (on en viendrait presque à avoir de la sympathie pour elle).


Sous couvert de réaliser un slasher horrifique, le réalisateur en profite aussi pour brosser le portrait d’un couple de personnes âgés spoiler: (en y parlant de leurs frustrations sexuelles)
et nous entraîne dans un film-hommage aux slashers des années 70/80. A noter enfin, l’excellente distribution où l’on y retrouve la surprenante Mia Goth, qui incarne les deux rôles féminins principaux : Maxine (la cocaïnomane) & Pearl (l’épouse d’Howard), avec à ses côtés Brittany Snow, Kid Cudi, Martin Henderson, ainsi que Jenna Ortega.

Signalons aussi qu’une préquelle a été réalisée dans la foulée (Pearl - 2022), toujours par Ti West et qu’une suite intitulée MaXXXine (2023), est en cours de développement.

● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●

Un van qui sillonne le Texas, des images d'animaux écrasés, une station service à Ploucville, une ferme isolée, des propriétaires sans âge...
A cet air de déjà vu on ajoute des nimphettes bien volontiers dénudées (ils tournent un porno...).
Si le montage peut s'avèrer judicieux, les personnages sont soporifiques. X esquisse une réflexion autour de la jeunesse / vieillesse mais se vautre dans le slasher au bout d'une heure de bien peu de choses et ne laisse qu'un question en suspens : de quelle manière atroce vont ils mourir ?
Bien loin d'un massacre a la tronçonneuse ou le faux twist final inutile je trouve. Qui peut sauver l'entreprise. Même si les séquences les plus dégueu ne sont pas les plus sanglantes !...Next pour le coup

Si vous lancez X avec pour seul objectif de voir quelques hectolitres de sang répandus les murs, vous pourriez bien être surpris. Dès l'ouverture, Ti West joue avec le cadre pour tromper son spectateur sur ce qu'il est en train de regarder. Une malice qui va se répéter quelques minutes plus tard quand la petite équipe embarque dans la camionnette vers le lieu de tournage, et que la caméra dévoile progressivement la zone industrielle peu engageante que les membres viennent de quitter. De temps à autre, ce sont les effets de transitions entrecoupées qui troublent la narration. Il y a encore un élément majeur dont il vaut mieux garder le secret mais vous avez compris l'idée : le film comblera comblera vos attentes sans oublier de faire entendre sa propre voix.

West connait ses classiques, il rend plusieurs hommages explicites à des films d'horreur tels que Massacre à la Tronçonneuse, Shining ou Psycho. De surcroit, le cinéaste sait ce qu'on est en droit d'exiger d'un bon slasher en bonne et due forme. Il ne lui faut pas plus de vingt minutes pour faire les présentations, caractériser ses personnages, faire souffler un doux parfum de menace et nous préparer à la tempête. L'intrigue ne chamboule en rien la routine du sous-genre, une limite qu'il est permis de déplorer car sinon X coche les cases avec beaucoup de talent. Le script s'emploie à faire cohabiter l'insolite, l'ironie et le gore et il le fait très bien. En filigrane, le script n'a pas sélectionné la fin des 70's au hasard. Bien sûr, cela le place en héritier direct des premiers slashers certifiés. Mais c'est aussi confronter une ère de libération des mœurs au temps du traditionalisme. À ceci près qu'ici, on assiste pas tant à un clash modernité/conservatisme que l'explosion du ressentiment d'une génération envers une autre. Ce qui n'empêche pas de s'interroger sur les valeurs détraquées qu'on peut aussi bien trouver chez les coupables que chez leurs supplicié.e.s. (la conclusion est claire à ce niveau).

Du reste, West a un concept accrocheur et il sait l'utiliser au mieux, ce qui se traduit dans sa manière de filmer les corps. Ils seront principalement montrés de manière naturaliste avant que la gêne s'invite au détour de la seule séquence jouant du sensuel pour carrément atteindre le sommet de l'inconfort lors d'une scène de coït mémorable. Le sel d'un bon film d'horreur réside là : nous emmener sur un terrain qu'on a pas forcément envie d'arpenter. Bonne nouvelle : la production A24 n'y va par quatre chemins. Grimaces et interjection de dégoût seront légion. Si certaines se parent d'une bonne dose de sadisme et d'humour noir, la plupart des mises à mort sont répugnantes. Les interprètes y mettent beaucoup de conviction, c'est presque un déchirement de les voir envoyés à l'abattoir. Mia Goth est parfaite dans tous les registres. Après Scream 5, la ravissante Jenna Ortega est bien partie pour rejoindre les Scream Queens. Je retiendrai également le Neo-zélandais Martin Henderson, santiags et stetson de rigueur, qui prend beaucoup de plaisir avec ce rôle de bouffon Texan.

C'est avec des films comme X qu'on mesure à quel point le slasher en a encore sous le pied, pourvu qu'on daigne s'y coller avec un minimum d'idées et de savoir-faire. Ti West a manifestement de la suite dans les idées, puisqu'un prequel devrait débouler sous peu, toujours avec Mia Goth. Espérons que ce deuxième volume trouvera sa place dans nos salles, car le premier aurait pu se tailler une solide réputation auprès des amateurs de séances chargées en sursauts et hémoglobine.

Bonne surprise que ce film d’horreur vintage, réalisé à la manière des films d’horreur des années 1970-80. L’exercice de style est malin et soigné, tant au niveau du scénario, des dialogues, de la mise en scène et de l’interprétation (avec un double rôle pour Mia Goth). Références attendues et bien senties à quelques fleurons du genre. Déroulé narratif classique, prévisible mais réjouissant dans sa façon de revisiter les clichés du genre. Ambiance mi-rigolarde mi-flippante, d’une coolitude hémoglobineuse bien équilibrée. Au-delà de l’exercice de style, le tableau des États-Unis de l’époque est intéressant, opposant une génération marquée par les guerres et imbibée de puritanisme à autre génération éprise de légèreté et d’indépendance, rêvant d’hédonisme et de gloire. Opposition qui se cristallise avec originalité autour de la thématique sexuelle, entre obsession et frustration. Si l’évocation de la sexualité de la jeunesse n’est pas plus étonnante que ça, celle de la sexualité du grand âge l’est beaucoup plus… Et là, on peut rester partagé entre reconnaissance d’audace et gêne puissante face au traitement cash et hardcore du sujet. Un traitement plus allusif eût été plus judicieux et n’eût pas forcément rompu la cohérence du parallèle thématique. Mis à part cela, et quelques propos religieux un peu répétitifs, l’ensemble se tient bien et apparaît abouti dans son projet : jouer avec la forme tout en cultivant un fond dérangeant.

Malheureusement pour moi, j'ai découvert "Pearl" avant "X", j'ai donc été forcément très déçue par ce dernier qui n'a pas l'étincelle de génie du premier.
Alors mieux vaut peut-être ne pas les associer au risque de les dévaloriser peut-être autant l'un que l'autre.

"X" est un survival assez inventif pour être remarqué.
même s'il peine à trouver sa propre identité, en tentant de rendre hommage à certains films alors qu'il ne fait qu'en piocher certaines bonnes idées de mise en scène, de montage et de scénario, Ti West parvient malgré tout à donner un corps d'ensemble assez original à son film pour le démarquer des autres "films d'horreur".
Je pense que cela tient essentiellement à l'esthétique particulière de "X".
Cadrage, mixage son, photographie et traitement original des couleurs ; on sent naître là une vraie patte qu'on pourra ensuite reconnaître probablement partout dans la filmographie de ce réalisateur montant (et ça se confirmera avec "Pearl", mais à un niveau bien supérieur).

Le rapport à la vieillesse est le point le plus interessant du film, et je regrette qu'il n'ait pas été davantage exploité, parfois évincé au profit de pures références cinématographiques.
"Abuela" récemment, a fait quelque chose de similaire, et l'a probablement mieux fait parce que c'était le cœur du film et que cela n'était pas noyé par d'autres intentions.

C'est donc loin d'être le film d'horreur de l'année, mais on ne s'ennuie pas, et c'est très loin d'être un mauvais film.

Si vous ne l'aviez pas déjà compris, je vous recommande à tout.e.s de découvrir "Pearl" qui est lui, de loin, le meilleur film "d'horreur" de l'année.

Se voulant provocateur et faisant référence au formidable « Massacre à la tronçonneuse », « X » en est pourtant à mille lieues car il est vraiment trop long à démarrer, se perdant dans des présentations interminables, mais surtout, il est insatisfaisant niveau horreur car il n’y a tout de même pas grand-chose à se mettre sous les yeux côté gore et meurtres (hormis peut-être 1 ou 2 scènes, une dans la grange et l’autre au bord de l’eau). Alors quand en plus on n’a que très peu de scènes de sexe et que l’intrigue semble avoir été vue mille fois auparavant, on se dit qu’on tient-là un beau pétard mouillé qu’on nous a malheureusement trop bien vendu !

Un film qui mêle sexe et horreur. Le tout s'inspirant de slasher comme "Massacre à la tronçonneuse", en creusant bien, malgré les différences, cela pourrait presque même être un plagiat, je trouve.

Le casting est chouette, voir Brittany Snow dans un rôle aussi dévergondé est intéressant, ça change ! Même si je la préfère probablement en Scream Girl apeurée comme on a déjà pu le voir dans "Le bal de l'horreur" par exemple. Quant à Jenna Ortega, elle, elle avait peut-être tout d'une débile et sympathique Scream Girl de nouvelle génération, mais c'est raté. De plus, elle devient rapidement agaçante ! Cependant, c'est clairement Mia Goth qui pique carrément la vedette de ce spectacle !

Une distribution qui gère, et pourtant, l'ensemble du métrage laisse à désirer, du moins partagé. Ce n'est pas mauvais, mais il est très long à démarrer, pour ne pas dire plat une bonne partie du temps. Si on s'attend à un pur film d'horreur, on risque d'être déçu, car ce film se partage plutôt en deux parties. Il laisse place à ses deux genres.

Du coup, on commence avec une bonne heure dans le sexe, puis le reste dans l'horreur. La première heure baigne dans l'érotisme tout "public", car tout reste tout de même très soft pour du porno finalement. On ne voit rien de plus que ce qu'on peut apercevoir dans des simples Slashers, bien que là, ils en font des caisses. Néanmoins, on ne voit peut-être pas forcément l'intérêt de tout ce sexe même si cela fait bel et bien partie du scénario. C'est finalement même l'essentiel et la base de cette histoire, et ça dans toutes les idées mises en scène ou sur le papier, c'est bien plus malsain qu'on peut le croire.

Quant au côté "horrifique", il faut admettre que ce côté horrifique se ressent bien tard, bien qu'il soit assez hard. C'est dérangeant et aussi bien trash quand il le faut, cela suffit presque à nous marquer. Approximativement, car j'ai tout de même beaucoup de mal à oublier cette première heure longue et vulgaire qui nous fait difficilement entrer dans le film malgré sa réelle utilité. Après, la fin est aussi sympa ! Elle n'est pas seulement jouissive, il y a également une dernière information intéressante et subtile qui complète d'autant plus notre Final Girl.

Enfin bref, un film qui peut-être à la fois satisfaisant et décevant, je reste partagé de mon côté sans pour autant l'avoir détesté.

Bonne surprise que ce film d'horreur vintage, à l'imagerie 70's à la fois nostalgique, putassière et délicieuse. On convoque le monument "Massacre à la Tronçonneuse" sans complexes mais c'est bel et bien un certain puritanisme américain qui est massacré ici! Surprenant et divertissant, jouissif mais parfois malaisant, poisseux mais sexy, "X" est un défouloir salutaire et original bien exécuté qui mérite largement le détour, grâce notamment à ses excellentes actrices (Mia Goth en tête).

Un bon film d'horreur vintage façon Massacre à la tronçonneuse qui rencontre un film porno. Je ne dirai pas que c'est le film d'horreur de l'année comme certains critiques mais le film est très agréable. Certains plans sont vraiment excellents (notamment Maxine dans le lac suivie par l'alligator). Le couple de vieux est vraiment dégoûtant et horrible, ce qui marche plutôt bien pour le coup. Kid Cudi est méconnaissable en acteur porno.

Récit moral sur l'après guerre, vintage et petit hommage au film X des 70's, ce récit d'horreur et d'auteur phénomène de l'année aura été une réelle surprise tant sur son scénario global que par le jeu du cast et sa morale donc, aussi prenante que véridique. Visuellement impeccable, l'horreur laisse nettement place ici au thriller pure et nous entraîne dans la folie d'un vieux couple qui ne sait plus ce que veut dire "sex". Survivant de la période sombre mondiale des Nazis, traumatisés et ne faisant plus confiance à quiconque, tel "Massacre à la tronçonneuse", qui s'aventurera sur leur territoire se verra donner les ultimes châtiments. Puis le X traditionnel arrive la mentalité de ses meneurs fait place. jouer un jeu caricatural, théâtral et très kitsch, facile pour satirisé l'époque. Cependant et comme par hasard, le cast féminin est bien attirant et livre son meilleur face à une gente masculine aussi sensible qu'assoiffée de résultats. Des scènes clés percutantes, de la tension mêler à de l' "horreur érotique" qu'il fallait clairement osé, bref, un récit qui à tous pour plaire à certains et en dégoûter d'autres.

Film malsain, sanglant et violent. En même temps le réalisateur est un habitué du genre (Cabin Fever 2, the ABCs of death, V/H/S, .....).

1h45 de film :
- 1h pour poser le cadre et filmer des scènes de Q (bah oui les jeunes tournent un film porno donc forcément...)
- 45min de massacre pur

Ce qui change ici : les tueurs sont un couple de personnes âgées : autant le mari peut faire peur car c'est un pur texan qui sait manier un fusil (et ne se prive pas de le faire) autant on se méfie carrément moins de sa femme qui arrive à peine à marcher (erreur !!!!).