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    Confession d'un dragueur
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    51 critiques spectateurs

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    Vinz1
    Vinz1

    122 abonnés 2 286 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2022
    Seul et unique film du sulfureux et polémiste Alain Soral, « Confession d’un dragueur » est une comédie sur deux types dont l’un, Paul, est un timide peu sûr de lui et l’autre, Fabio, un séducteur invétéré. Ce dernier va alors enseigner toutes ses techniques de drague au premier. Critiquant de loin la lutte des classes sociales, ce long-métrage est surtout misogyne car les femmes sont avant tout des objets consommables à séduire. Néanmoins, le jeu de Saïd Taghmaoui (Thomas Dutronc pour sa part a bien fait de se lancer dans la musique !) et certaines scènes valent le coup d’œil et permettent à cette première œuvre de se laisser visionner malgré certains propos un peu malsains.
    Jeune Ras
    Jeune Ras

    6 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2022
    Le cynisme du jeu de la drague est intéressement développé dans ce film. Les acteurs sont justes et la photographie sympa.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 145 abonnés 7 225 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mars 2021
    Paul, étudiant provincial & timide, fraichement débarqué à Paris pour étudier à Science-Po, fait la rencontre de Fabio, séducteur invétéré, qui va lui apprendre les rudiments de la drague façon gros lourdingue envers la gent féminine. Un apprentissage que Paul prendra soin de consigner chaque soir dans son journal intime, buvant ses paroles comme s’il s’agissait du Messie.

    Confession d'un dragueur (2001) est le premier (et unique) long-métrage de l’essayiste & pamphlétaire d’extrême-droite Alain Soral. Imaginez cette désagréable sensation, celle où l’on serait littéralement en train de vous ch!er sur la gueule, c’est exactement ce que l’on ressent durant tout le film qui, malgré sa courte durée, semble en durer en double. Dans la lignée de son essai (Sociologie du dragueur - 1996), le film est purement et simplement, voir foncièrement exécrable, durant 80 minutes, le réalisateur vomit des propos misogynes & sexistes (où les femmes sont réduites à une paire de jambes, un cul, des seins et ne servent qu’à être baisées, quant à celles qui font du shopping, elles ne sont que des salopes). Non seulement le film est vulgaire, mais il est aussi homophobe ("PDland" pour qualifier Le Marais et on a même droit à un homo se faisant tabasser gratuitement).

    Ne comptez même pas sur le scénario pour tenter de sauver les meubles, l’histoire est ch!ante comme pas possible, avec ces deux cas sociaux en quête d’asservissement. Entre l’insupportable Saïd Taghmaoui et le mou du gland Thomas Dutronc (livide, neurasthénique et avec une gueule de dépressif, on a qu’une envie c’est de le gifler). Ils sont accablant de bêtises, le récit est navrant, bourré de conner!es toutes plus affligeantes et consternantes les unes que les autres. L’absence de direction artistique viendra littéralement nous achever. Le personnage pathétique (avec son look dégueu à la Cyrano) de Saïd Taghmaoui (Gamer - 2001) fatigue considérablement, ce dernier ne cesse de cabotiner face au non jeu (voir absence totale de jeu) de Thomas Dutronc (27ans lors du tournage) censé incarner un étudiant de 19ans ! Entre son regard de bovin décédé et son incapacité à jouer, il a le don de taper sur les nerfs et de rendre son personnage éprouvant.

    On ne s’invente pas réalisateur, on le devient. Sauf qu’Alain Soral s’en moque et s’octroie la casquette de réalisateur sans avoir le moindre talent. En dehors du jeu catastrophique des comédiens, il faudra aussi signaler une post-synchro épouvantable, un choix musical qui laisse perplexe (nous foutre une dizaine de fois en 80min "J'aime regarder les filles" de Patrick Coutin, relève de la pure torture, voir du sadisme quand le film est intégralement misogyne).

    Un film prétentieux, une pseudo branlette intellectuelle plombée par un manque flagrant de professionnalisme. Une œuvre abjecte (aussi bien dans ses propos que dans certaines situations, notamment scatologiques ou via des répliques franchement nauséabondes). En même temps, fallait-il s’attendre à autre chose venant de la part d’un facho masculiniste ?

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 357 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 mars 2021
    Confession d'un dragueur est un film désagréable. Il est misogyne pauvre femme ce n'est pas un film pour elles sont juste traitées comme un bon plat à déguster une seule fois. Il est homophobe avec ses blagues salaces sur les homosexuels et surtout le tabassage des homosexuels qui est inacceptable et manichéen puisqu'à la fin la bourgeoisie incarnée par Dutronc trahit la classe inférieure. C'est une histoire simpliste, superficielle et prétentieuse. J'oubliais que c'est juste un film particulièrement débile...
    Steph R
    Steph R

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juin 2020
    Le meilleur film de tous les temps, qui d'ailleurs fait de très bonnes audiences quand il passe sur la câble !
    Faut l'savoir
    Maximvs L
    Maximvs L

    5 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 décembre 2019
    Pour son premier film il est vraiment réussi, dommage que soral n'ait pas voulu continuer dans lz cinéma car je pense qu'il aurait été un bon réalisateur tout comme un bon acteur d'ailleurs, 5 étoiles.
    Johann W.
    Johann W.

    16 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2019
    Structuré, argumenté et avec un intérêt sociologique. Ce n'est pas du grand cinéma, mais c'est très distrayant.
    Cronenberg
    Cronenberg

    210 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 novembre 2018
    C’est un film terne et sans originalité. Des discussions qui traitent de femmes entre des gens complexés ne suffit pas à faire un film. Il faut éviter les œuvres de Soral tant au cinéma que dans les librairies. Thomas Dutronc décevant, mauvaises interprétations. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
    Sildenafil
    Sildenafil

    63 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 février 2016
    Là où dans l'écriture et la rhétorique logicienne Alain Soral excelle, il se révèle pourtant ici un piètre cinéaste. Sorte de parodie de ses idées, son unique "oeuvre" filmique déçoit principalement par le jeu d'acteur et la mise en scène, mais aussi par le fond : jamais il n'atteint la subversion recherchée.
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2015
    Seul et unique film du très médiatique polémiste Alain Soral, et on comprend pourquoi. D'abord on a pas du tout l'impression de regarder un film de 2001, l'ensemble, ne serait-ce que rien que par la coupe de cheveux ridicule dont est affublé Saïd Taghmaoui, semble avoir au moins dix ans de plus voir même quinze ans. Puis la technique en elle-même sent souvent bon l'amateurisme. Il suffit de voir le montage de la séquence du coup de boule, tout simplement catastrophique, pour s'en assurer. En dehors de cela, si on excepte Saïd Taghmaoui (malgré donc sa coupe de cheveux !!!), l'interprétation est médiocre.
    Et pourtant, tout n'est pas à jeter dans ce film. La première moitié est loin d'être déplaisante, avec même quelques moments jouissifs, pour la manière peu politiquement correct avec laquelle le "beau sexe" est décrit c'est-à-dire à coup de répliques cinglantes qui peuvent paraître misogynes (et qui le sont quelques fois !!!) mais qui ont le mérite d'énoncer quelques vérités peu reluisantes, à mille lieues de la façade hypocrite d'une Société qui s'affiche féministe tout en faisant en sorte que l'égalité salariale soit encore une vue de l'esprit et que le viol soit banalisé.
    Mais une fois arrivé à l'agression homophobe par les deux protagonistes, qui non seulement est choquant par l'acte en lui-même mais aussi parce qu'elle n'a absolument aucune raison d'être dans l'histoire, on vire au n'importe quoi avec comme meilleure exemple une séquence de dîner avec des bobos de gauche à base de discours prolétarien à deux balles qui elle non plus n'a absolument rien à faire dans l'histoire. Seule la fin, cruelle mais réaliste, rattrape un peu le niveau de cette seconde moitié naze.
    Quelques vérités pas bonnes à dire et qui donc doivent être dites, mais surtout de l'amateurisme, du vieillot et du n'importe quoi.
    zhurricane
    zhurricane

    69 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2016
    Un bon film sur l'art de la séduction. J'aime l'aspect de prise de risque du dragueur. Cela dit le film tourne un peu trop sur un aspect macho. Si non, mis à part ce point faible, les dialogues sont assez réussis, les personnages attachants, bien qu'un brin stéréotypé, surtout le personnage de Saïd Taghmaoui. Le film est assez dynamique. Bref à voir surtout pour les garçons qui recherche un peu d'audace.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mars 2015
    Un film savoureux, plein de justesse, de mélancolie et de fureur ! Alain Soral a des choses à dire et sans pathos bourgeois, sans abstraction fils à papa, mais nourri de son expérience et d'une vraie cruauté à l'italienne. Je le conseille
    Rahms
    Rahms

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Le film à l'apparence d'une petite comédie sympathique à la Emmanuel Mouret, avec un peu moins de technique. La réflexion est plus poussée, et la conclusion vraiment désabusante (si le mot existait).
    A voir.
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    101 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2014
    Même si le propos du film est extrêmement intéressant (la fusion du monumental "Sociologie du dragueur" et du plus anecdotique "la vie d'un vaurien" du même auteur) l'indigence de la mise en scène (d'un académisme effroyable), la pauvreté artistique (faut voir le look improbable de Saïd Taghmaoui) et l'utilisation mécanique du titre de Patrick Coutin (que l'on finit par détester) amènent à la conclusion implacable: Soral n'est pas cinéaste.

    Et c'est bien dommage car si la perspective de voir l'adaptation cinématographique d'un des livres les plus pertinents de son genre (sans parler du caractère hautement subversif consubstantiel à la réputation de l'auteur) c'est avec regret que l'on regarde ces confessions visuellement plates, qui auraient grandement mérité de tomber entre les mains d'un David Fincher (on peut rêver) façon Fight club.

    Préférez donc le livre qui est un véritable coup de maitre en la matière et dont le propos n'a de cesse d'être évoqué au gré des super productions diverses et variées, du Hitch avec Will Smith en passant par les Serials noceurs du duo Vaughn/Wilson jusqu'au tout récent Don Jon de Gordon Levitt
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 décembre 2013
    Adapté de ces deux essais "Sociologie du dragueur" et "la vie d'un vaurien", confession d'un dragueur est une très valable entrée en matière pour comprendre la pensée d'Alain Soral. Diabolisé par les féministes et les hyppocrites -il n'y a que la vérité qui fache-, M. Soral ne nous épargne rien. De la "misère du désir" de ses protagonistes aux sordides solutions pour y pallier, c'est avec un regard désabusés qu'il nous décrit nos tribulations à nous pauvres mâles en manque d'affection se heurtant au désirs des femmes tellement loin de ce qu'elles prétendent vouloir. Comment un petit bourgeois propret va apprendre que la réalité quant aux femmes est aussi poisseuse que la culotte d'une prostituée des grands périphériques au petit matin. Un film aussi salutaire pour ceux qui rêvent encore à la femme parfaite que pour ceux tombés au fond du gouffre pour l'amour d'une donzelle. Une prise de conscience salutaire donc, dans un monde toujours plus féminisé. Les techniques d'approche sont toutefois un poil dépassés mais la plus importante restant présente à savoir "elles ne sont pas magique et bien souvent ne valent pas la peine que l'on prend à vouloir monter dedans". L'auteur étant comme tout bon penseur censuré, vous pouvez toujours vous procurer la galette de ce film sur le site Kontre Kulture.
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