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    La Syndicaliste
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    Math719
    Math719

    158 abonnés 649 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mars 2023
    J’ai trouvé décevant ce film, il fait plutôt feuilleton mal écrit, lent et pas très bien joué ! Même si quelques scènes peuvent être intéressante.. Un scandale mis en avant ici, mais pas très bien exploité, je me suis assez ennuyé, on a l'impression de tourner en rond pendant près de 2 h..
    Michel C.
    Michel C.

    247 abonnés 1 397 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mars 2023
    Encore un super film Français de Jean-Paul Salomé, et à nouveau inspiré d'un fait réel, pour nous offrir 2 heures de vrai plaisir ! Il faut admettre que le rôle de Maureen Kearney va comme un gant à Isabelle Huppert, aussi bien dans son esthétique - origine Irlandaise, prof d'anglais à l'origine avant de devenir une célébrité à la CFDT, que par sa froide détermination, ses prises de position pour défendre un savoir faire Français et des milliers d'emplois, son précieux carnet d'adresse. Cette reconstitution est plaisante, aucun temps mort, aborde les subtilités des stratégies des hautes sphères et la facilité avec laquelle I Huppert navigue, les relations cordiales avec Anne Lauvergeon (Marina Foïs), plus au cordeau avec son successeur Luc Oursel (magnifiquement interprété par Yvan Attal), colérique. Outre le climat tendu de l'entreprise AREVA bien perceptible, l'atmosphère familiale est très finement mise en scène, avec un mari apaisant (Gregrory Gadebois), des décors naturels (78) bourgeois. La critique est facile....mais notons le savoir-faire immense de notre cinéma qui sait rebondir sur des faits d'une telle gravité, que l'actualité d'époque semble avoir "minimisée" ! Ce n'est pas inconvenant de s'interroger et de prendre du recul, même si certains ont déjà leurs réponses "toutes faites", les autres pourront s'en réjouir et profiter de ces deux heures bienvenues.... ( 4,5 / 5 )!!**
    Henner
    Henner

    47 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2023
    On ne s'ennuie pas c'est déjà çà. C'est donc l'histoire d'une syndicaliste d'Areva qui dénonce un accord passé avec les Chinois et qui s'attire des ennuis. Tout cela est fort bien filmé et Isabelle Huppert assure. Cela posé là où çà coince c'est que le film se veut le reflet fidèle de ce qui s'est réellement passe dans cette grande entreprise. On comprend que certains intéressés se soient sentis humiliés d'autant que le propos est caricatural : d'un côté une dirigeante qui a tous les traits de Bernadette Soubirous, de l'autre un Président pervers et maléfique. Et par là dessus une sombre machination qui va couter le licenciement de milliers d'ouvriers. Pour ceux d'entre nous qui lisent la presse économique il semble que la réalité soit plus complexe que Bernadette Soubirous a sérieusement pêché et que le diable était nettement moins satanique Quant au complot sino-français il a été purement et simplement abandonné. Si le film était une fiction on applaudirait bien fort mais en faire une sorte de docu-fiction qui serait plus docu que fiction gêne aux entournures.
    Redzing
    Redzing

    978 abonnés 4 336 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2023
    Je salue en premier lieu le courage de ce film. Qui chronique une affaire politico-industrielle glauque des années 2010, tout en gardant le vrai nom des protagonistes, s’exposant potentiellement à des poursuites. Chose assez rare dans le cinéma français !
    « La Syndicaliste » revient sur Maureen Kearney, représentante de la CFDT au sommet d’Areva. Elle a vent d’un accord secret de transfert technologique entre EDF et les Chinois, qui mettrait à mal le savoir faire d’Areva. Elle tentera de remuer ciel et terre, jusqu’à ce qu’elle subisse en 2012 une agression sordide dans son domicile.

    La première partie du film est très alléchante, proposant un thriller politico-industriel au sein de la filière nucléaire française. D’autant plus que le contexte est tendu en 2011/2012. EDF et Areva, ou plutôt Henri Proglio et Anne Lauvergeon, se sont tirés la bourre pour décrocher le titre de roi du nucléaire. C’est alors qu’Areva, groupe fièrement créé par regroupement en 2001, commence à récolter le semis de ses excès d’ambition et ses affaires louches (délais du chantier de l’EPR finlandais, scandale Uramin, peu de commandes de réacteurs à l’international à cause de Fukushima…).
    Le hic, c’est que ce volet n’est finalement pas tant exploité. L’aspect thriller & magouilles se limitera à quelques réunions tendues et des menaces, sans que l’on comprenne vraiment ce qui se trame… sans doute parce que tout n’est pas encore clair dans la vraie vie. Et je suis resté un peu dubitatif sur le traitement des personnages réels.

    Anne Lauvergeon a un portrait plutôt flatteur, celui de la bonne copine et patronne charismatique injustement éconduite de la tête d’Areva. On mentionne à peine que c’est en partie sa gestion trop ambitieuse (certains diront mégalo ?) qui aurait valu à Areva d’aller dans le mur. Luc Oursel est dépeint comme un « méchant », nouveau patron incompétent et colérique. Une image pas très nuancée, d’autant plus qu’étant décédé en 2014, il est facile de le critiquer à l’écran !
    Le personnage de Henri Proglio apparait furtivement, avec l’image qu’il a souvent : celle d’un patron gangster impitoyable. D’ailleurs le film affiche EDF comme une entreprise voulant dévorer Areva et la trahir au profit des Chinois. C’est oublier qu’Areva a aussi élaboré des offres dans le dos d’EDF, et a voulu également s’imposer comme maître incontesté du nucléaire. Le démantèlement d’Areva en 2018 étant davantage du à ses propres problèmes qu’à un accord commercial entre EDF et les Chinois.

    Mais à rigueur, tout ceci n’a pas tant d’importance, puisque cet aspect est plus ou moins évacué après l’agression de la protagoniste. On part alors sur un film judiciaire autour du viol, l’héroïne étant accusée de s’être infligée elle-même ses blessures (!).
    Sur ce volet, c’est beaucoup plus maîtrisé. Isabelle Huppert est excellente dans une prestation de femme froide et battante, mais aussi fragile. Ce n’est pas sans rappeler son rôle dans « Elle », la perversité en moins. Le récit est tendu, poignant, et fait froid dans le dos quand on sait que l’histoire est vraie.

    Bon par contre, il faut arrêter avec cette obsession pour les tours aéroréfrigérantes… Non, ce ne sont pas des ouvrages spécifiques à l’industrie nucléaire. Et non, elles ne sont pas conçues par Areva. Je doute que des dirigeants du groupe soient obsédés par leur photo, ou tiennent à passer devant lors de leurs visites de chantier…
    Yetcha
    Yetcha

    783 abonnés 4 316 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2023
    Voilà un film qui mériterait un césar puisque La nuit du 12 l'a obtenu. Bien mieux réalisé, bien mieux joué et avec une image bien meilleure. Le retournement de victime à inculpée est dramatique quant à la condition de la femme et les a priori que les hommes ont sur elle. Le message passe haut et clair, les errements et les manquement de la police sont ahurissants et Isabelle Huppert es parfaite comme à son habitude.
    Cissou P.
    Cissou P.

    12 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 mars 2023
    Film nul doublé d'une propagande digne du Kremlin.

    D'un point de vue purement cinéma, c'est mal joué, on dirait un film d'acteur amateur. Le casting n'est pas pertinent. Qu on aime ou pas, Huppert n'est pas crédible pour un sou en tant que syndicaliste. C'est mal expliqué, l'enjeu politique et industriel est très mal étayé et confus. La trame scénaristique n'a ni queue ni tête, on ne sait pas ou le réalisateur veut en venir.

    D'un point de vue politique industriel (je suis de la filière), on est plus proche de la fiction/propagande que du documentaire. Anne Lauvergeon présentée comme une Jeanne d'Arc du Nucleaire face à Proglio le grand méchant, fallait oser! Suffit juste de demander à un salarié de Framatome (ex-AREVA), pour avoir une idée du souvenir négatif qu'a laissé Atomic Anne dans l'entreprise. Faire croire que c'est le partenariat avec CGN qui a coulé AREVA, la farce! AREVA s'est coulé tout seul sous la direction de Lauvergeon, a cause d'une mauvaise stratégie (vouloir faire cavalier seul sans EDF) et de mauvais investissement (URAMIN). Par ailleurs on voit que le réalisateur ne connait absolument rien au monde industriel. Il confond le rôle d'une syndicaliste avec celui d'une DRH. Si vous souhaitez vous informer sur la filière nucléaire, préférez les videos youtube de la commission d'enquête parlementaire sur la souveraineté énergétique de la France.

    Bref à part balancer gratuitement quelques noms connus en pâture, on ne comprend pas à quoi sert ce film. En tout cas on n'en sort pas plus informé, hormis sur ce fait divers énigmatique.
    Jipéhel
    Jipéhel

    45 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2023
    La violence de l’intimidation

    Jean-Paul Salomé n’est pas un perdreau de l’année car il hante les plateaux de tournage depuis 1991, sans pour autant de traces indélébiles. Quelques accessits pour Les Femmes de l’ombre, Je fais le mort et surtout en 2020, La Daronne. Cette fois, avec ces120 minutes d’extrême tension, il frappe fort et juste. Un matin, Maureen Kearney est violemment agressée chez elle. Elle travaillait sur un dossier sensible dans le secteur nucléaire français et subissait de violentes pressions politiques. Les enquêteurs ne retrouvent aucune trace des agresseurs… est-elle victime ou coupable de dénonciation mensongère ? Une incroyable histoire vraie qui tient en haleine et expose, une fois de plus au pinacle, une immense actrice.
    Avec ce film-dossier, on touche au sommet du sordide. La sortie du livre enquête éponyme a élevée la journaliste Caroline Michel-Aguirre au rang de lanceuse d’alerte puisqu’elle démonte pièce par pièce, jour après jour ce qui relève de l’affaire d’Etat. Le film retrace avec minutie 6 années pendant lesquelles On est allé très loin pour contraindre notre « syndicaliste » à arrêter ses investigations... Le parcours de cette femme, sa mise en accusation, sa rédemption, ses moments de doute ou de dépression dont elle triomphe, constituent déjà un récit de cinéma dans la lignée des productions américaines. Selon la vraie Maureen Kearney, - qui a validé l’ensemble du scénario – même si les scènes familiales relèvent totalement de la fiction, une très grande partie du film est fidèle à ce qui s’est passé : certains dialogues sont exacts au mot près, notamment ce que l’on entend au cours des deux procès. Le personnage de Maureen Kearney est pour le moins singulier, depuis le début de son combat jusqu’à la dernière scène, sa déposition magnifique devant la commission de l’Assemblée Nationale. elle se bat contre une sorte d’hydre tentaculaire qui la dépasse. On ne peut que penser à une autre femme seule contre tout, Erin Brockovich, et le superbe biopic de Steven Soderberg en 2000.
    Ici, ce n’est pas Julia Roberts qui est en haut de l’affiche mais la magistrale Isabelle Huppert, qui incarne avec force et conviction une femme broyée par un système qui la dépasse. Autour d’elle, on a réuni un casting à la hauteur de son interprète pricipale et des ambitions du film avec Yvan Attal, Marina Foïs, Grégory Gadebois, François-Xavier Demaison, Pierre Deladonchamps, Gilles Cohen. Pour sublimer le tout, la musique de Bruno Coulais ajoute au trouble de cette histoire vraie pas comme les autres. Un film aussi perturbant qu’édifiant, un thriller politico-économique courageux, - car les protagonistes de cette manipulation plus que tortueuse sont cités nommément -, comme on en voit rarement dans le cinéma français… Et puis quelle actrice extraordinaire !
    veux faire du cine
    veux faire du cine

    42 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 mars 2023
    Vraiment rien à se mettrais sous la dent dans ce film, on y apprend vraiment rien sur l'affaire Areva.film à la gloire d'Isabelle Huppert maquillé à mort pour le film.
    2 heures à tourner en rond autour de l'agression de celle-ci, sans savoir ce qui c est passé. à t-elle été agressé ou non .
    bref un flop de plus à mettre à l'actif du cinéma français.
    ma note 5/20
    jmjbest2
    jmjbest2

    21 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mars 2023
    Ce qui interpelle dans l'affaire économico-politique évoquée ici est que les vrais personnages dont les acteurs portent le nom ne se manifestent nullement dans les RS et médias pour dire "oui, ceci est tout à fait vrai" ou bien "c'est encore pire que ce que vous voyez" ou bien "c'est bullshit, du grand n'importe quoi" ! Evidemment il y en a un qui est mort : Luc Oursel. Evidemment donc le plus salaud ce sera lui, guère de risque. Pour les autres je penche à l'interprétation selon laquelle tout ça "c'est du cinéma" donc n'y mettons pas les doigts. Et au ressortir du film pourquoi n'a t-on pas le droit de trouver crédible une affabulation de la part de cette Maureen qui n'était certes pas à un tel niveau hiérarchique comme décrit ici pour tutoyer (au sens figuré) les grands pontes, ministres, voire le Président.de la République.
    (Proglio aurait même déclaré qu'il ne connaissait pas cette personne)
    . Le reste, acteurs, réalisation, ,est honorable j'en conviens.
    Adelemoineau66
    Adelemoineau66

    8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mars 2023
    Pardon mais c'est quoi cette mise en scène poussiéreuse à souhait, je pensais que le réalisateur était un peu plus moderne... Grégory Gadebois en Mari d'Isabelle Huppert, on rigole doucement
    neoflash2
    neoflash2

    1 abonné 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2023
    Encore une fois un film qui met en cause nos gouvernants, quelque soit leur appartenance, il y a toujours anguille sous roche.
    Pour ce qui est du film. L'histoire est tellement intéressante qu'elle a donné un scénario de grande qualité le tout dirigé par un excellent metteur en scène, cerise sur le gâteau le casting est parfait chaque acteur bien à sa place.
    C'est fou, comme le cinéma français est riche de qualité, de diversité et d'originalité
    defleppard
    defleppard

    334 abonnés 3 271 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2023
    La syndicaliste. Biopic sur l'affaire Areva et Maureen Kearney alias " La syndicaliste". Réalisation sobre et efficace du début à la fin, ce film est un régal. Quatre étoiles.
    mat niro
    mat niro

    323 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mars 2023
    Isabelle Huppert endosse ici les traits d'une syndicaliste CFDT d'Areva, Maureen Kearney. Le film se découpe en deux parties : tout d'abord la lutte acharnée de cette femme pour défendre les intérêts des salariés du groupe face à la menace chinoise, puis son agression et tout ce que cela va engendrer. Dans un premier temps, cette oeuvre est littéralement passionnante, le cinéaste décrivant à merveille les coups de pression des patrons et des politiques sur ce petit bout de femme à l'énergie débordante. La suite a tendance à s'étirer en longueur avec les rebondissements de l'enquête, mais l'ensemble reste très instructif. Isabelle Huppert est très juste et il se dégage de ce film un côté féministe et une dénonciation des méthodes bien dans l'air du temps. Un bon film.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    85 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2023
    Ai vu "La syndicaliste" de Jean-Paul Salomé d'après le livre enquête éponyme de Caroline Michel qui relate l'enfer qu'a vécu Maureen Kearney syndicaliste chez AREVA, après avoir dénoncé des contrats entre EDF et des entreprises chinoises pour couler l'entreprise spécialisée dans le nucléaire. Pressions politiques, menaces d'industriels reconnus, enquêteurs véreux... le film suit scrupuleusement tous les faits avant et après une agression et un viol inexpliqués dont à été victime Maureen Kearney. Le montage haletant nous fait très bien comprendre comment cette femme perd pied petit à petit à s'être attaquée à plus fort qu'elle. Mais coûte que coûte Maureen veut se battre jusqu'au bout. Maureen est résiliante... spoiler:
    mais n'est-ce pas la folie qui s'exprime ? et si Maureen était mythomane ? spoiler:
    Film politique, film à suspens, le long métrage est évidemment porté par l'interprétation étonnante une fois de plus d'Isabelle Huppert qui retrouve là un des points culminants de sa carrière. Sa fragilité, son regard bleu acier tranchant, son énergie vampirique, son air de petite fille perdue, son rire qui chante le contraire de ce qu'elle dit, Huppert passe en une fraction de seconde d'un affect à l'autre ce qui augmente le trouble du spectateur qui se perd sur les motivations de la syndicaliste. Huppert est entourée par un très beau casting, Marina Foïs dans le rôle trop court mais alambiqué d' spoiler:
    Anne Lauvergeon spoiler:
    (PDG d'AREVA), Grégory Gadebois qui campe un mari rassurant et bonhomme, Yvan Attal spoiler:
    (Nouveau PDG d'AREVA imposé par Sarkozy) spoiler:
    hystérique et perdant pied, Pierre Deladonchamps dans le rôle d'un adjudant chef sans scrupule... Ici nous ne sommes pas dans de la fiction, et chacun porte le nom du réel personnage qui a participé à cette machination, ne lui en déplaise. Le montage est mordant, la photographie très belle mais un peu voyante. "La syndicaliste" n'est pas un film de mise en scène mais un film de scénario. Nous tenons là notre "Erin Brockovich" et mieux qu'Isabelle Huppert pour ce type de rôle. En cette journée de la femme, 8 mars, il faut aller voir "La syndicaliste", une femme qui se bat contre la finance, la politique, la justice.... pour sauver des emplois.
    cats cats
    cats cats

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2023
    On s'ennuit, c'est lent et surtout c'est très très mal joué. Tous les acteurs annonent leur texte. Le seul qui joue bien c'est le chien. C'est comme un téléfilm qu'on passerait au ralenti...
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