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    Showing Up
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    Mélany T
    Mélany T

    28 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mai 2023
    L'ambiance est très jolie et l'ensemble intelligent mais on s'ennuie beaucoup et on ne comprend pas le propos. C'est très décevant pour un film de Kelly Reichardt qui fait d'habitude de merveilleuses oeuvres.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 814 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2023
    Dans un monde science-fiction où l'humanité a appris à dresser les chats à ne pas faire tomber par pure malice tout ce qui est posé sur une table, on suit une sculptrice interprétée par Michelle Williams (quatrième collaboration avec Kelly Reichardt) qui doit préparer une exposition dans une galerie. Le pitch est simple et ce qui est fabuleux avec Reichardt, c'est qu'elle ne nous emmène pas là où on croit que le scénar veut nous emmener. On esquive tous les passages obligés les plus évidents et tant mieux. Parce que c'est trop facile de faire de son artiste un génie qui va réussir dans les dernières minutes à finaliser la meilleure exposition de tous les temps, pendant qu'il réconcilie sa famille en même temps, le tout sous l’œil d'un grand marchand d'art qui ne rêve qu'exposer cet artiste dans une galerie prestigieuse à New York...

    Showing Up ce n'est pas ça. C'est peut-être même l'inverse de ça et parce que c'est l'inverse de ça, ça dit des choses sur l'artiste qu'on ne voit jamais, ou éventuellement chez Hong Sang-soo (et c'est le plus beau compliment que je puisse faire). Les artistes sont des gens "normaux". Enfin Michelle Williams a pas l'air d'être la personne la plus joyeuse du monde dans le film, mais justement, on est loin des représentations exubérantes d'artistes qui hantent le cinéma. C'est une femme normale, qui a un métier dans une école d'art, mais qui n'a pas l'air d'être un métier de prof, elle bosse dans l'administration et à côté elle fait son art. Où as-t-on déjà vu ça ?

    Et surtout je trouve que le synopsis du film qu'on trouve un peu partout sur internet est loin de rendre compte de l'originalité de ce film qui tranche radicalement avec ce qu'on a l'habitude de voir. Un artiste aujourd'hui n'est pas spécialement riche, il travaille à côté la plupart du temps, il est pas super sympa, il a des problèmes matériels concrets (j'aime bien l'opposition entre les deux personnages "principaux" du film, Williams et son amie Hong Chau, qui joue aussi une artiste, mais qui est plus dans ce qu'on pourrait attendre de la représentation d'une artiste au cinéma).

    D'ailleurs la création artistique à proprement parler prend peu de temps dans le film, on la voit peu sculpter et on la voit plus essayer de trouver le temps de sculpter. Rien que ça c'est une excellente idée de cinéma. Il faut avoir matériellement le temps de créer et lorsqu'on prend le temps, on est sans cesse dérangé (la famille, les voisins., le chat...)

    Et puis il y a cet élément perturbateur : le pigeon. C'est à la fois tellement absurde et tellement réaliste, le chat qui ramène un pigeon dans l'appartement pour le bouffer, la fille qui décide de le mettre dehors pour qu'il crève plus loin, loin de ses yeux... ça fonctionne vraiment bien et tout propriétaire d'un chat a eu la même réaction... Et forcément tout ce qui s'en suit est super drôle et cocasse.
    Parce que le film a beau être comme tous les films de Reichardt extrêmement calme, ça ne crie pas, les conflits ne donnent pas lieu à des éclats de voix (le moment où Williams s'énerve est vraiment drôle parce que c'est tellement juste et en même temps juste ridicule), il y a malgré tout une touche d'humour, d'ironie, qu'on ne retrouvait peut-être pas dans ses autres films. Peut-être que le sujet plus léger s'y prête plus. Ici il n'est pas question de vrai/faux meurtre, de se perdre dans le désert ou de terrorisme... On parle juste de création artistique.

    Et forcément il me faut aborder le coup de théâtre (si on peut appeler ça comme ça), la réalisation de la pièce maîtresse de l'exposition, puisque ça dit tout de la création artistique : on ne maîtrise pas tout... Même en sculpture où c'est quand même quelque chose d'assez solitaire, on doit faire appel à d'autres gens et on ne maîtrise pas tout le processus et ça fait que parfois, ben le résultat n'est pas forcément celui qu'on attendait et il faut l'accepter parce que ça ne dépend pas de nous... On se doute bien qu'au cinéma, vu que c'est un travail d'équipe, on maîtrise encore moins le résultat.

    Il faut également souligner l'excellente idée de Reichardt d'aller tourner dans une vraie école d'art (encore une fois en Oregon !), ce qui permet de filmer ce lieu atypique, ses élèves au travail (quasi sûr que c'est les vrais élèves de l'école) et ça donne de la vie au film, certes le perso de Williams est un peu mutique et renfermé, mais autour d'elle il se passe des choses. Le cadre vit autour d'elle.

    Bon et il faut mentionner le travail d'écriture, parce que contrairement à n'importe quel autre film, on découvre, on comprend des choses sur les personnages au fur et à mesure de leurs interactions. On peut voir des personnages se parler plusieurs fois avant de réellement comprendre qui ils sont les uns pour les autres. C'est ce genre de détail qui permettent de donner de la crédibilité à ce qu'on voit. Dans la vraie vie les gens qui se voient tous les jours ne croisent pas en se disant : « Hey, Salut John mon meilleur ami depuis la cinquième ! » Reichardt s'épargne ce genre d'écueil pour notre plus grand bien.

    Bref, Showing Up est un grand film, Reichardt est sans doute non seulement la plus grande réalisatrice américaine, mais sans doute le plus grand réalisateur américain actuel tout court...
    En plus elle vient d'inventer une forme esthétique nouvelle : le pigeon gaze.
    paganini
    paganini

    8 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 mai 2023
    Le néant. il ne se passe rien, des personnages creux ne dégageant aucune émotion qui errent... on s'ennuie autant que l'heroine. ce n'est même pas bien filmé. même comprendre l'intérêt que les critiques intellectuelle y ont trouvés est un mystères.
    Christoblog
    Christoblog

    743 abonnés 1 616 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 mai 2023
    Que raconte Showing up ? A vrai dire, pas grand-chose.

    Y voit-on la puissance créatrice d'une artiste ? Pas vraiment : son quotidien est scrupuleusement décrit, certes, mais sans que l'on puisse réellement faire de rapport entre son vécu (les petites contrariétés de la vie quotidienne, d'affreuses chaussettes qu'elle porte en toutes circonstances, un problème de chaudière, les minuscules blessures d'égo) et ce qu'elle crée.

    Y mesure-t-on les affres de la vie d'artiste ? Non, simplement ceux du quotidien d'une quidam. D'ailleurs, si le personnage joué par Michelle Williams était professeur de technologie, cela ne changerait pas réellement la teneur du film. Si ce n'est qu'elle parviendrait probablement à prendre une douche.

    Est-ce que la mise en scène est remarquable ? Pas du tout. Kelly Reichardt applique ici son habituelle façon de filmer : une manière neutre, blanche pourrait-on dire, qui ne semble viser qu'à s'effacer devant le peu qui est montré.

    Comme presque toujours devant les films de cette réalisatrice (sauf First cow, et le dernier volet de Certain Women), je suis donc désarçonné devant l'enthousiasme critique avec lequel est accueilli Showing up. En quoi filmer l'insignifiant de façon insignifiante peut-il être intéressant ? C'est un mystère pour moi, que je ne renonce toutefois pas à percer puisque je vais consciencieusement voir tous les films de Kelly Reichardt.

    J'avais initialement envie d'utiliser le terme d'épure pour parler de ce film, mais il faudrait ici inventer un autre terme, qui correspondrait à ce que l'on obtient quand on simplifie une épure, quand on la réduit à sa plus simple expression, quand on renonce à tout artifice (de photo, de mise en scène) qui viserait à faire surgir la beauté à l'écran : écran blanc peut-être ?

    Pour les amateurs d'eau tiède et de paysages de rien.
    Mcbmcb18
    Mcbmcb18

    2 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 mai 2023
    SHOWING UP


    Showing Up est un film américain réalisé par Kelly Reichardt (First cow) et présenté au Festival de Cannes 2022.
    Durée : 1h48
    On ne peut pas vraiment définir le genre du film…Documentaire, comédie, drame…car trop flou.
    Kelly Reichardt rentre dans le quotidien privé et professionnel d’une sculpteuse qui prépare son exposition.
    Le film débute par un générique très lent et ennuyeux, dans la lignée de celui de THAR, film avec Cate Blanchett.
    Au début, on pense que l’on va assister à une projection ‘art et essai’, agrémentée d’une petite note d’éducation artistique.
    Puis, une suite d’images inintéressantes défilent et nous installent dans une attente d’un rebondissement qui n’arrive jamais.
    Pour ceux qui ne se sont pas endormis, ils restent sur leur faim, dépités et dépressifs.
    Par ailleurs, les œuvres présentées sont plus que cocasses, peut-être le fruit du travail de fin d’année d’une école primaire.

    Le film ne présente pas vraiment d’intérêt, hormis si on est fan de pigeons ou de tenues vestimentaires anti-sexy.
    Chacun sa came, pas la mienne en l’occurrence. Maintenant, la prestation de Michelle Williams, actrice caméléon est irréprochable comme à son habitude.
    DanDan
    DanDan

    77 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2022
    Lent et lourd deux mots qui définisse ce film sur une artiste et sa vie avant un vernissage de son art sur qui personne ne s'intéresse...l'histoire aussi d'un pigeon blessé...par le chat de la protagoniste...pas un grand intérêt..Michelle Williams est tres fade dans ce film..et c'est bien dommage elle a l'air de s'ennuyer autant que le spectateur..
    Sylvain P
    Sylvain P

    301 abonnés 1 333 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mai 2023
    Après avoir filmé l'Oregon des temps anciens avec un brio brillant, Kelly Reichardt s’essaye à l’Oregon arty actuel… Force est de constater qu’elle perd à la fois en magnificence de l’image, en émerveillement et en poésie. Showing up est même à la limite du film de dépression. Une artiste dans une mauvaise passe, visiblement malheureuse, doit boucler la préparation de son exposition. On subit cette dernière semaine comme elle, sans énergie. Une petite déception dans le parcours sans faute de l’une des meilleures réalisatrices d’Amérique.
    Claudine G
    Claudine G

    181 abonnés 485 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mai 2023
    Les spectateurs sont plus sympas que moi, au vu de leurs notations. Pour ma part, j'ai surtout entendu parler de pigeon blessé et de chaudière qui n'alimentait pas en eau chaude. Bien sûr de longs silences, comme à l'accoutumée, des figurines pas très réussies (or je suis fan des musées, peinture et sculpture), mais là l'art n'était guère présent). Mais une fois de plus, film décevant...
    Fgiraut
    Fgiraut

    6 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mai 2023
    Subtilement l'auteure désacralise la création sans l'annihiler, douce comédie du quotidien et des fondamentaux qui rattrapent.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    67 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mai 2023
          Quand on a beaucoup apprécié le précédent opus de Kelly Reichardt, on est d'abord décontenancé, puis carrément déçu par cette histoire qui lambine sans aller.... nulle part. Des personnes ont quitté la salle au milieu du film: 
         Lizzie (Michelle Williams) vit dans une communauté d'artistes (moitié paradis terrestre, moitié dépôt d'ordures, au milieu de la forêt de l'Orégon) autour d'une école d'art dont sa mère, dynamique et pétulante, est la directrice. Le père (ils sont séparés depuis longtemps), ancien potier, flirte avec l'Alzheimer et entretient un couple de parasites. Il y a aussi un frère, qui habite un peu plus loin, qui est bipolaire et semble présentement avoir plongé grave. Bref, une famille plutôt disfonctionnelle dont Lizzie semble beaucoup se soucier. 
         Lizzie vit seule avec son gros chat roux, Ricky et fabrique de bizarres petites figurines féminines, qu'elle modèle puis vernit, à la fois un peu sorcières et assez apaisantes; elle va avoir une exposition personnelle dans une galerie d'art et se sent charrette; elle loue sa maison à sa copine chinoise Jo (Hong Chau), elle aussi artiste (des installations bariolées de tissages, perles, plumes....), elle aussi préparant une expo, elle aussi charrette... mais infiniment plus débrouillarde que la pauvre Lizzie. Lizzie n'a plus d'eau chaude, elle ne peut plus se laver depuis 15 jours..... So what? so what, rien du tout. 
           Ah, n'oublions pas le pigeon à l'aile cassée (Ricky a voulu se faire un petit salmis) que Jo a bandé, mais c'est surtout la bonne Lizzie qui s'en occupe. So what? Le pigeon s'envolera à la fin du film! La seule action notoire au cours des deux heures écoulées...
         Bon, c'est un joli portrait de femme, une femme introvertie (quoiqu'aimable), sans vie sentimentale et avec une vie amicale limitée, de celles dont on ne parle jamais, et pourtant elles existent et sans doute ont elles une vie intérieure bouillonnante; de celles qu'on ne montre jamais.  Est ce suffisant pour bâtir un film? C'est la question....

     
    JUJUBE20
    JUJUBE20

    16 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 octobre 2023
    Mais comment Kelly Reichardt qui a signé de si beaux films a-t-elle pu commettre une inutile pochade pareille ? Un scénario sans intérêt, une mise en scène quelconque, des symboles grossiers (le pigeon coincé), des personnages caricaturaux... Il ne se passe rien, d'accord, mais en plus c'est mal filmé. Espérons qu'elle se reprenne vite.
    velocio
    velocio

    1 172 abonnés 3 034 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mai 2023
    Avec" Showing up", la réalisatrice américaine Kelly Reichardt prouve une fois de plus qu’elle est une véritable alchimiste du cinéma, capable de transformer n’importe quelle histoire, anodine en apparence, en or cinématographique. Cette fois ci, c’est auprès de Lizzie, une sculptrice de Portland, qu’elle nous entraine. Stressée par les préparatifs d’une exposition de ses œuvres dont le vernissage se rapproche à grands pas, elle doit également gérer un certain nombre de problèmes, certains habituels comme ses rapports avec un frère qui refuse de sortir de chez lui et ceux avec des parents séparés qui ne font rien pour lui faciliter la vie, et d’autres qui, certes, ont un caractère ponctuel mais ne sont pas moins difficiles à vivre pour autant : l’absence d’eau chaude, la chaudière étant en panne et Jo, l’amie et propriétaire de Lizzie, n’ayant pas le temps de s’occuper de la réparation, car elle, une artiste également, ce sont 2 expositions qu’elle prépare ; un pigeon blessé par son chat et que Lizzie s’est mise en tête de soigner. Lizzie étant professeure dans une école d’art en plus d’être sculptrice de femmes en mouvement, tout cela permet à Kelly Reichardt de porter un regard plein de bienveillance et, parfois, d’humour sur un milieu artistique qu’elle connait bien et de nous parler du processus de création : est-il le fruit de fulgurances géniales d’un ou d’une artiste libéré.e des soucis du quotidien, ou bien, plus modestement, celui d’un modeste travail plutôt obscur effectué quand les aléas de la vie de tous les jours le permettent avec, en contrepartie, la possibilité de puiser son inspiration dans la trivialité du quotidien. Critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-showing-up/
    traversay1
    traversay1

    3 111 abonnés 4 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2023
    Il est permis de se poser la question de l'accueil que recevrait Showing Up, s'il ne portait pas la signature de Kelly Reichardt, l'une des réalisatrices les plus passionnantes du XXIe siècle (First Cow est un chef d’œuvre) ? En immersion dans le microcosme artistique de Portland, le film semble presque sans sujet, flottant autour de son héroïne, stressée et revêche, à l'aube d'un vernissage. Est-ce de l'art ou du pigeon est-on enclin à se demander au vu de l'importance accordée à un oiseau blessé alors que le processus de création est en marche chez sa soignante provisoire. La cinéaste jette un œil amusé, aussi bienveillant que ironique, sur une communauté qui vit, mange et dort pour l'art, le quotidien n'apportant que distractions intempestives et pertes de temps. Il faut laisser agir la force tranquille de ce long-métrage hors du temps et des conventions mais qui porte cependant toute l'empreinte du cinéma indépendant américain, sa nonchalance agaçante, comprise. Dans ce portrait d'artiste qui est peut-être avant tout artisane (que valent ses œuvres ? Difficile de se prononcer.), Michelle Williams, débarrassée de tout glamour et habillée comme l'as de pique, impose sa présence et rend in fine attachante un personnage qui n'est pas a priori des plus sympathiques. Même dans ce film tout de même mineur pour le talent de Kelly Reichardt, la réalisatrice montre tout son brio pour tirer l'inattendu d'une actrice dont on croyait connaître toutes les facettes.
    Y Leca
    Y Leca

    21 abonnés 907 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 janvier 2024
    105 mn du vide absolu des journées d'une sculptrice dépressive, quasi autiste et habillée par des sacs (pauvre  Michelle Williams) , entourée de gens aussi déglingués qu'elle. Rien ne se passe, le scénario a l'épaisseur de papier à cigarette et c'est mal filmé, avec la lenteur d'un paralytique Corse. Les critiques "intellectuels" crient bien sûr au génie de Kelly Reichardt. Pour moi, une imposture artistique totale. Réservé à ceux qui veulent s'ennuyer devant l'écran ou même s'endormir. Ça se termine sur un air de pipeau on ne peut plus adapté !
    Damien
    Damien

    146 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2023
    Un pigeon blessé, une chaudière en panne et la préparation d'expos pour raconter la relation entre deux artistes, voisines, l'une propriétaire, l'autre locataire. Malgré une réalisation délicate, Michelle Williams et Hong Chau, ce minimalisme sur un rythme lent peine à captiver. S'il suffit de faire ce que font ces deux artistes amies et de surmonter ce qu'elles surmontent pour être rassuré sur son humanité et une relation humaine, c'est tout de même une vision assez basique.
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