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Note moyenne
3,0
27 titres de presse
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20 Minutes
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Dernières Nouvelles d'Alsace
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La Croix
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Le Dauphiné Libéré
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Le Figaro
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Le Parisien
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Les Echos
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Marianne
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Ouest France
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Première
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Télérama
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aVoir-aLire.com
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Ecran Large
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Le Journal du Dimanche
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Les Fiches du Cinéma
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Paris Match
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Sud Ouest
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Télé Loisirs
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Cahiers du Cinéma
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Critikat.com
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Franceinfo Culture
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La Voix du Nord
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aVoir-aLire.com
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L'Obs
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Le Monde
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Les Inrockuptibles
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Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
20 Minutes
Entre l’homme enraciné dans sa région et celui qui ressent l’appel du large, entre le rat des champs et le rat des villes, une complicité se développe au fil des décennies. Le spectateur, émerveillé par la beauté des images de Ruben Impens et de la musique signée Daniel Norgren, partage de bien beaux moments en leur compagnie, loin des folies du monde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les cinéastes Charlotte Vandermeersch et Felix Van Groeningen filment joliment l’amitié indéfectible de deux hommes, qui se lie à l’enfance et qui traverse le temps pendant plusieurs décennies.
La Croix
Prix du jury au Festival de Cannes, voyage existentiel et géographique, récit d’initiation et film d’amitié, cette belle adaptation du livre de Paolo Cognetti est une réussite d’élégance et de sobriété.
Le Dauphiné Libéré
Le film est aussi un grand film de paysages, une célébration époustouflante de la nature que sublime le directeur de la photographie de longue date de Felix Van Groeningen, Ruben Impens. Les montagnes du Val d’Aoste n’ont jamais été aussi bien regardées.
Le Figaro
C’est un film comme un sentier de montagne, qui grimpe, serpente, et n’hésite pas à prendre son temps. Son chemin est parfois dangereux, sinueux comme une amitié ombrageuse, mais on en ressort le regard lavé, l’âme purifiée.
Le Parisien
Dans un décor exceptionnel se noue la transmission de père en fils, biologique ou symboliquement adopté, l’amitié contrariée, l’été du bonheur fou et la tragédie. Une saga un peu longue mais qu’on n’oublie pas.
Les Echos
Simple histoire d'amitié et de randonnées, « Les Huit Montagnes » est un film long, mais dans lequel on se sent bien. La production du couple belge Charlotte Vandermeersch et Felix Van Groeningen progresse au pas lent et au souffle du grimpeur.
Marianne
Récit à la fois ample et intimiste mis en scène dans un environnement qui remet l’homme à son humble place, Les huit montagnes impose sans ostentation sa poésie entêtante et sa mélancolie tenace. Une sorte de must pour les longues soirées d’hiver.
Ouest France
Une ode à la liberté à déguster comme un bon vieux roman.
Première
Incroyablement filmé (les montagnes occupent tout l'espace du cadre carré), incroyablement incarné, le film produit des vibrations intimes puissantes et impressionne par sa maestria visuelle et sa manière de mettre l'homme face à lui-même, entre doute, renoncement et espoir émerveillé.
Télérama
POUR : Une quête existentielle à partager dans son ampleur impressionnante, profondément émouvante.
aVoir-aLire.com
POUR : Dense et romanesque, Les huit montagnes est un condensé de sensibilité et de beauté filmé dans un écrin somptueux de montagnes.
Ecran Large
Sur près de 2h30, le temps se fait donc long et l'ennui pointe régulièrement le bout de son nez [...].
Le Journal du Dimanche
Si le film donne à ressentir le passage du temps, à méditer les inconnues du destin et de la paternité comme de la fraternité, c’est au risque d’une mise en scène linéaire qui se fige en carte postale.
Les Fiches du Cinéma
Récit d’une amitié au long cours sur fond de panoramas alpins, le film de Felix Van Groeningen et Charlotte Vandermersch est une longuette - quoique jamais antipathique - succession de chromos désincarnés.
Paris Match
«Otto Montagne» est une ode à la Nature, dans sa beauté estivale comme pour sa dureté hivernale - un dialogue ironise d'ailleurs sur l'usage abstrait du mot par des citadins -, un film qui donne envie d'arpenter les chemins de randonnée pour trouver ce sourire qui va changer sa vie.
Sud Ouest
Le récit, porté par une mise en scène ample et minutieuse à la fois, a quelque chose d’édifiant qui n’entache pas la qualité des émotions ressenties.
Télé Loisirs
Une histoire d’amitié à la vie à la mort entre un garçon de la ville et un enfant de la montagne, magnifiquement jouée, servie par de sublimes images des Alpes italiennes, mais au rythme un peu lent.
Cahiers du Cinéma
Le récit, malgré ses longues ellipses, les immenses distances géographiques parcourues et les retrouvailles et séparations au fil des années, semble par conséquent dépourvu des déchirements qui devraient saisir ses personnages.
Critikat.com
Sans relief ni aspérité, Les Huit montagnes en vient même à ternir la beauté de ses paysages en les réduisant à de plates métaphores censées illustrer les états d’âme de ses personnages.
Franceinfo Culture
Les cinéastes abondent en scènes quotidiennes anodines, source d’une dramaturgie minimaliste qui finit par lasser au fil des 2h30 du film. Bien sûr il y a la beauté des paysages filmés comme une ode à la nature, mais cela ne suffit pas.
La Voix du Nord
On ne saisit pas toujours où ces Huit Montagnes veulent nous mener. Cette amitié-là, développée sur 2 h 27, a du mal à délivrer ses secrets.
aVoir-aLire.com
CONTRE : Ce récit d’une amitié contrarié bénéficie d’un matériau littéraire de qualité, d’un soin technique et de bons interprètes. On regrettera un côté lisse dans le propos comme la réalisation.
L'Obs
Un film interminable aussi alerte qu’une soirée diapositives.
Le Monde
La leçon de vie s’étire en longueur à force de rester axée sur une relation d’amitié immobile, indiscutable, investie d’une pseudo-vérité fabriquée de toutes pièces.
Les Inrockuptibles
Pas une seule idée de cinéma ici, uniquement l’illustration bien sage d’une histoire, un alignement durant 2 h 27 de clichés sur la montagne et sur les villes tristes et pluvieuses, sur le Népal et ses souriant·es habitant·es, sur l’amitié, la vie, la mort et les vaches.
Télérama
CONTRE : On aurait aimé que la thérapie fonctionne aussi pour les spectateurs, réduits aux dindons de la fresque.