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    Frère et soeur
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    Philippe C.
    Philippe C.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mai 2022
    Certaines personnes arrivent peut-être à entrer dans cette histoire invraisemblable où tous les personnages sont égocentriques et perdus dans leurs passions. Pauvres Marion Cotillard et Melvin Poupaud, ils se débattent dans leur rôle et cela sonne terriblement faux.
    Je ne sais pas comment j'ai fait pour rester jusqu'au bout.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 174 abonnés 3 974 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mai 2022
    Y a-t-il une fin à la haine ? C’est la question que pose Arnaud Desplechin dans “Frère et soeur”. En plein deuil de son fils, le personnage de Melvil Poupaud chasse sa sœur venue à la veillée, elle qui n’était jamais venue rencontrer son fils. Le personnage de Marion Cotillard est actrice de théâtre tandis que son frère est écrivain. Liés par des non-dits qu’eux seuls connaissent les prémices, le film effleure en permanence un terrible secret qui gangrène la famille à travers les cris, les pleurs, la drogue, l’alcool et la dépression. Peu à peu, le spectateur se créer sa propre réalité et imagine le pire. Ce dont on a compris ne sera pas écrit ici car la volonté de Desplechin est certainement de provoquer à chacun sa propre complexité. Ni bon, ni mauvais, la présence de Patrick Timsit en second rôle est à souligner tant elle est étonnante. Cotillard et Poupaud quant à eux, sont parfois bons et intenses, parfois mauvais et ridicules.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Aurélien Merceron Laubus
    Aurélien Merceron Laubus

    40 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juin 2022
    Un nouveau film très "littéraire" (au sens de sa thématique, une grande tragédie familiale, de son scénario un peu "labyrinthique" et de ses dialogues, très écrits), et qui peut néanmoins très émouvant, pour peu qu'on accepte ce type de cinéma, ce qui ne semble pas être le cas d'une majorité de spectateurs ici qui sont passés totalement "à côté" de par leurs attentes d'un cinéma scénarisé, dialogué et joué de façon plus "standard".
    Melvil Poupaud et Marion Cotillard y excellent dans leurs jeux, et sont d'autant plus méritants qu'il est difficile de jouer des dialogues aussi "littéraires" sans qu'ils paraissent forcés.
    Dans sa radiographie des névroses familiales, Desplechin est au sommet de son art.
    lilyzab
    lilyzab

    24 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2022
    Dans une fratrie lorsque les parents font du favoritisme au sein de leurs enfants, cela peut engendrer de la haine et de la rivalité malgré tout, lorsque l'on est frère et soeur on s'aime! la loi du sang la loi humaine! La subtilité d'Arnaud Desplechin c'est de le dire mais comme il n'enfonce pas le clou sur la relation parents enfants et que ce n'est pas le sujet principal du film c'est sans doute cela qui suscite les critiques " je n'ai pas compris le drame familial ou quel ennui ...." Mais la rivalité des deux ainés est là ! rivalité pour exister et être aimé! On comprend aisément que lorsque l'on appelle ses parents par leur prénom cela cache quelque chose. Des noms juifs dans une famille catholique ca cache quelque chose, Un mariage ds parents sans amour.... La fille adulée par son père et sa mère, le fils méprisé et bon à rien . Les deux en quête de reconnaissance.( par leur métier ) La haine arrive lorsque la situation s'inverse, le fils est reconnu dans son métier et surpasse sa soeur.
    Il y a certainement une grande part d'autobiographie dans ce film , Et n'en déplaise à ceux qui n'ont pas aimé ou surtout rien compris . L'histoire est émouvante, et révèle que les apparences sont trompeuses, la haine est un sentiment aussi fort que l'amour mais il est celui de l'amour décu !!!! La mort des parents obligent les enfants à se voir! Il y a tant de famille sur terre qui se déchire! Un film ne remplacera jamais complètement des cours de psychologie humaine . Il faut bien qu'il reste une part de questionnement .
    Magnifique interprétation des acteurs. Marion Cotillard m'a agréablement surprise et Melvil Poupaud également .
    tupper
    tupper

    116 abonnés 1 307 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2022
    Avec une simplicité apparente qui cache une grande maîtrise, Desplechin réalise un film déchirant ou il met en scène les conséquences destructrices de la haine au travers des envoûtants Marion Cotillard et Melvil Poupaud. L’intensité de leur opposition en grande partie à distance fait oublier l’absence d’explication des fondements de cette haine conférant à cette relation un côté presque ridicule ou surnaturel.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    68 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mai 2022
    J’ai beaucoup aimé ce Despléchin et ses sentiments exacerbés, coupés en 4.
    D’autres n’ont pas aimé…….Moins d’humour décalé que dans Rois et Reines…

    Cette fois, sentiments intenses : soeur et frère se haïssent et ne cherchent qu’à se blesser.
    Nous n’avons pas la clé des raisons de la brouille; il en est souvent de même dans la
    « vraie vie ».
    L’intensité des sentiments, la fragilité des humains; comme chez Xavier Dolan, je suis sensible
    à ce cinéma qui exacerbe les relations humaines…

    On imagine entre eux, une rivalité intense et surtout la répétition que Louis (Melvil Poupaud) ne faisait jamais assez bien.
    Il lui fallait « être Mozart, Victor Hugo » ou, il n’était RIEN !
    Ces blessures d’enfance, qui laissent des traces……

    Desplechin aime à nous placer au coeur de son histoire familiale et c’est là, le meilleur de son cinéma (Rois et Reine ou Conte de Noël)
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    205 abonnés 835 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2022
    Arnaud Desplechin nous propose à nouveau un film sur les liens familiaux. Cette fois, il met en scène une famille déchirée. Louis et Alice sont même incapable de se parler, et de se voir. Mais lorsqu’un terrible drame familial survient, avec un récit narratif sublime, par la force des choses, le lien va se renouer. C’est intime, c’est douloureux, c’est complexe. C’est poétique et magnifique. Et en même temps, le réalisateur nous laisse dans nos questionnements et nos interrogations.
    remyll
    remyll

    152 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2022
    Le film présente brillamment la complexité et parfois l’extrême pénibilité des sentiments qui peuvent exister entre frères et sœurs. Au cœur de l’intrigue on comprend le rôle de la parole essentielle des parents. Très intéressant.
    Diane D.
    Diane D.

    5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 mai 2022
    Vraiment pas terrible....
    Pourtant j'ai énormément de patience mais là les limites du ridicule sont dépassées
    Tout est sur joué, rien n'est crédible.... c'est d'un ennui sans nom. Le scénario n'en parlons même pas il n'a ni queue ni tête. On comprend sans comprendre car ça sonne creux.

    j'écris cette critique pendant le film je me tâte de quitter la salle mais j'ai honte de le faire donc je reste 😭😂
    ffred
    ffred

    1 503 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 novembre 2022
    Je n’ai pas vu tous les films d’Arnaud Desplechin, Un conte de Noêl reste mon préféré. Trois souvenirs de ma jeunesse et Roubaix, Une lumière étaient très bien aussi. Celui-ci, présenté à Cannes cette année, est en demi-teinte. Je me suis d’abord pas mal ennuyé. Puis, petit à petit, je me suis fait au rythme, j’ai commencé à m’attacher aux personnages et suis bien rentré dans l’histoire de cette famille. Même si on ne comprend pas vraiment très bien leurs réactions. Toujours une superbe direction d’acteurs pour le réalisateur. Marion Cotillard et Melvil Poupaud sont très biens, Patrick Timsit aussi, et c’est toujours un grand plaisir de retrouver la belle Golshifteh Farahani, mais le rôle n’est pas très développé malheureusement. Au final, Frère et sœur se laisse regarder mais ne restera pas inoubliable dans la filmographie de son metteur en scène ni des ses acteurs...
    Cinememories
    Cinememories

    440 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juin 2022
    Il y a des histoires qui n’ont pas besoin de justifications pour commencer. Arnaud Desplechin est passé maître dans l’art d’explorer la psyché de ses personnages mutilés et ne cesse de multiplier les regards inquiétants, entre Lille et Roubaix. Avec l’appui de Julie Peyr au scénario, il va faire simple dans sa structure, qui pourrait faire un écho lointain au « Contre de Noël », où les rivalités sont également synonymes de fraternité. Ici, ce ne sera jamais vraiment l’un ou l’autre, juste la haine, née d’une origine inconnue et qu’on s’efforcera me garder secret jusqu’au bout de la réconciliation.

    Un drame en appelle un autre et ça ne s’arrête plus. C’est le point de départ qui attire notre attention, avec une radicalité qui fascine, car on ne sait pas où se placer dans ce conflit familial, impliquant Alice (Marion Cotillard) et Louis (Melvil Poupaud). Ce dernier est en plein deuil, tandis qu’elle souhaite en partager la douleur. Cependant, une colère mutuelle les consume, jusqu’à frisé un ridicule qui ne tue pas. C’est une véritable partie de cache-cache entre le frère et la sœur, qui ne peuvent se permettre de partager le même espace, dans un plan ou un autre. Desplechin souhaite ainsi sonder la nature de cette haine, particulièrement virulent et hystérique suivant les situations, qui les rappellent au chevet de leurs parents.

    Face à un possible nouveau drame, ils se laissent persuader de leur autorité, mais ce sera bien leur fragilité qui sera de mise, où l’on rangerait bien la culpabilité et l’incompréhension dans le même panier de la dépression. L’intrigue a en cela une très forte fascination pour ces êtres qui cherchent à tout prix à entretenir leur rage respective, quitte à manipuler leur entourage ou à trouver du soutien, afin d’alimenter le cercle haineux. Entre l’actrice de théâtre et le poète, il y a comme un lapsus qui les rend aussi détestables l’un comme l’autre. Nous avons l’impression de vivre deux films différents, avec deux parcours bien différents dans la gestion d’une crise qui les dépasse, car jamais ils ne se sentent vraiment concernés. Seuls leurs intérêts les préoccupent, en évitant tout contact visuel. Mais à côté de ça, des relations se développent à peine et feignent de rendre la prochaine réunion familiale pertinente.

    Ainsi, « Frère et Sœur » cherche à stimuler une haine qu’il convient de bombarder sur son vis-à-vis. L’échange de ping-pong fonctionne un temps, avant que l’on se fasse à l’idée que cet interminable conflit puisse en éjecter plus d’un hors du ring. Il n’y a rien de mal à vouloir percer le mystère du problème, mais le résultat n’en vaut pas la peine, si c’est pour le catapulter entre deux rayons d’un supermarché. Si ce genre de récit finira par trouver son public, il restera ceux qui n’ont ni la patience, ni la vaillance de se lancer dans une analyse qui égare des personnages secondaires intéressants, émancipés de toutes contraintes, qu’elles soient d’ordre social ou familial.
    gabdias
    gabdias

    75 abonnés 1 750 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 janvier 2023
    Il faut assumer un tel film, avec une telle atmosphère, un délire aussi pesant et intense. Si les critiques presse sont dithyrambiques, celles des spectateurs est plus mesuré tant on tombe dans l’hystérie collective avec des dialogues loin d’une quelconque réalité pour le reste c’est un film bien filmé et à l'interprétation limpide.
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 octobre 2022
    Desplechin, quelques années après "Conte de Noel" retrouve le concept du drame familial pour "Frère et sœur" mais là où "Conte de Noel" nous livrait un film collégial, fort et original, "Frère et sœur" préfère se consacrer sur la façon personnelle de chacun des 2 protagonistes du film à gérer le drame personnel qu'ils traversent plutôt que de se consacrer sur la rupture et sur les retrouvailles du frère et de la sœur en question. C'est dommage car si le style Desplechin fait de nouveau mouche, notamment dans l'utilisation utile du flashback et dans la direction d'acteurs, son film peut laisser un goût d'inabouti. A ce titre; le dernier Desplechin fait triste mine dans la brillante filmographie du cinéaste.
    chas
    chas

    32 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mai 2022
    Alors que j’avais trouvé convaincant Melvil Poupault en écrivain désagréable et intéressante Marion Cotillard à contre emploi en artiste haineuse, ma voisine de fauteuil m’a convaincu par ses arguments excédés devant tant d’artificiel conformisme.
    Se déroulant toujours dans le même le milieu tellement sûr de lui qu’aucune identification ne peut s’opérer, surtout quand une haine irréductible est née autour d’une futile querelle de notoriété. Les réparties brillantes ne comblent pas le vide, et l’hystérie ne donne ni puissance ni profondeur. Ces bobos méchants-méchants tiennent le haut du panier des lettres et du théâtre mais sont minables en privé. Leur égo surdimensionné, étourdi d’alcool et autres substances sonne creux. Ces enfants gâtés ne sont pas cool et la conclusion gentille-gentille sous les bougainvilliers finit de bâcler ce faux duel.
    Jessie23
    Jessie23

    29 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2022
    Mais pourquoi les comédiens français ont-ils cette propension permanente à surjouer, à trop en faire, leurs sentiments, leurs atermoiements, leurs colères ? Cela devient de plus en plus insupportable, car ça sonne faux, toujours décalé avec le scénario ou ce que les personnages devraient être. Poupaud en fait trop, Cotillard en fait trop.
    Les plus justes sont Farahani et Timsit.
    Et cela dessert le film, une fois de plus, car ce pourrait être un très bon film, et on passe à côté, au contraire des Critiques qui eux surcotent toujours Despléchin. On retrouve le Petit Monde.
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