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    A.I. Intelligence artificielle
    Note moyenne
    3,5
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    568 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2007
    Bienvenue au paradis du n'importe quoi ! Je sais pas ce que Spielberg avait dans la tête en réalisant ce film ! A ne pas voir!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    NON MAIS C'EST QUOI CA ??? !!! Spelberg n'est pas mon realisateur préféré mais quand meme !!! Ce film est NAZE ! l'histoire ne tient pas du tout debout ! On voit un robot qui veut devenir un petit garçon ? Et alors ? C'est Pinoccio en robot ! C'est du dejà vu en plus ! La fin est catastrophique ! J'aurai aimé qu'is arreterai quelques minutes avant la catasrophe. Au moins on aurait dit que le film aurait été mauvais, mais ca c'est absolument CATASTROPHIQUE !!!! La seule chose que j'ai aimé dans le film c'est d'avoir rit à la scène de la catastrophe ! Eh bein ! 12 euros (je n'ai pas été seule, meme ma soeur avait trouvé ca horrible ! ) de parti pour une nulité pareil ! Je me souviendrai longtemps de ce film !!!
    djacno T.
    djacno T.

    32 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 juillet 2012
    Temps de moyens pour une histoire anachronique, débile et simplette où tout le monde déprime sauf Spielberg et ET! .
    A défaut de faire un chef d'oeuvre eternel qui marque l'histoire du cinéma, Spielberg a utlisé son intelligence artificielle pour faire un film; artificiel qui fait illusion. Kubrick doit se retourner dans sa tombe
    A éviter, même pour les ET!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Tout simplement horrible. Spielberg a totalement raté le coche avec ce film vide, creux, transparent, san vie... Certes le début annonce une belle histoire d'amitié avec un gentil petit garcon et tout et tout....Mais que dire des trois quarts du film qu'il reste à regarder ? On a une conquantaine de fois envie de presser la touche EJECT du lecteur DVD mais l'on se retient de peur de rater une fin peut être encouragente ! Eh bien laissez moi vous dire que cette fin encouragente ne viendra jamais alors éteignez votre lecteur DVD ou encore mieux n'insérez jamais ce piètre film dans votre machine sous peine de perdre 2h30 de votre vie car en plus, cette daube est extrèmement longue !! Sur ce, rien à dire de plus sur CA.
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    39 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2023
    Conte ultra ambitieux mêlant drame, et science fiction AI n'en reste pas moins une œuvre bancale. Le début est très intéressant avec HJ Osment excellent et inquiétant en androïde, puis vient la seconde partie avec Jude Law, un peu plus aventurière. Sympa mais rien d'inoubliable. Enfin, vient la conclusion interminable et sans doute trop mielleuse. Le film n'en reste pas moins troublant et malgré ses imperfections, je m'en souvenais parfaitement 20 ans après l'avoir visionné. Preuve que le film ne laisse pas indifférent quoiqu'on en pense.
    Valentin C
    Valentin C

    10 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2007
    c vraiment très bien imaginer je trouve le petit robot etc mais la chose c qui la un peu de sentiment le robot c un peu mal fait sa mais bon il y a toujours le plaisir dans ce film
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 174 abonnés 3 974 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 février 2020
    Dès la fin des années 70, Stanley Kubrick travaille sur l’adaptation de la nouvelle “Supertoys Last All Summer Long” de Brian Aldiss. Finalement, il prit la décision de laisser le projet à son ami Steven Spielberg. Ce scénario écrit à plusieurs mains c’est “A.I. Intelligence Artificielle”. L’histoire se déroule au XXIème siècle et la fonte des glaces a submergé la majorité des terres habitables et provoqué des famines et exodes. Les robots assurent désormais la plupart des tâches domestiques. Le professeur Hobby veut aller encore plus loin et va créer le premier androïde sensible, un enfant capable de développer un vaste répertoire d’émotions et de souvenirs. Ce sont Henry et Monica qui accueillent le robot chez eux. Leur vrai enfant est atteint d’une grave maladie et a été cryogénisé le temps de trouver un remède. Révélé dans “Sixième Sens”, Haley Joel Osment le jeune garçon parvient à insuffler un sentiment plein d’humanité à son personnage pourtant fait de ferraille. Son regard et sa gestuelle font partie intégrante de la beauté du film, surtout lorsque l’histoire le met régulièrement dans des postures humiliantes. A la fois intimiste et grandiose, “A.I. Intelligence Artificielle” est une oeuvre contemplative et fascinante tout en ouvrant à l’audacieuse réflexion de notre avenir sur Terre.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Eselce
    Eselce

    1 206 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2015
    Bon film dans son ensemble. Une belle technologie, de beaux décors et une bonne histoire. Je n'ai pas fait attention au détail du "David ne ferme jamais les paupières" et ai préféré le début avec la mère adoptive plutôt que la suite qui est plus sombre. Mais c'est un bon film.
    Nicothrash
    Nicothrash

    293 abonnés 2 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2021
    Suite à la disparition de Stanley Kubrick, c'est Steven Spielberg qui prend les commandes de A.I. avec tout le savoir-faire qu'on lui connait. Il nous livre un grand film de science fiction, spectaculaire et émouvant mas aussi particulièrement noir. La première partie est surprenante voire dérangeante par moment mais le ton est donné et lors de la seconde partie, on part à la découverte de ce monde étrange, ce monde qui a tant changé et où le pessimisme est roi mais on part surtout en quête d'identité avec le petit androïde David avec en toile de fond, l'histoire de Pinocchio, omniprésente. L'atmosphère est très prenante, les décors très réussis et au sens large les effets spéciaux superbes. Après son incroyable partition dans 6ème Sens trois ans plus tôt, Haley Joel Osment crève à nouveau l'écran avec la participation d'un excellent Jude Law. Beaucoup de thèmes sont abordés ici et toutes les réponses à nos questions ne sont pas données mais l'émouvante et stupéfiante fin, pleine de poésie, nous en apporte suffisamment. Un très bon métrage de la part de Spielberg mais il est vrai que j'aurais beaucoup aimé découvrir ce que Kubrick en aurait fait ...
    Ricco92
    Ricco92

    177 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mai 2018
    Projet que Stanley Kubrick a développé pendant une vingtaine d’années, l’adaptation très libre (seule la thématique de base est commune) de la courte nouvelle Les Supertoys durent tout l’été de Brian Aldiss s’est heurtée pendant de nombreuses années aux limites technologiques des effets spéciaux de l’époque. La sortie de Jurassic Park en 1993 a convaincu le réalisateur d’Orange mécanique qu’il était désormais possible de retranscrire cette nouvelle à l’écran mais proposa à Steven Spielberg de le réaliser pendant que lui le produirait car il trouvait que la sensibilité du film était plus adaptée à ce cinéaste. Spielberg préférant que ce soit son ami qui le réalise, Kubrick décida de le tourner après Eyes wide shut. Hélas, peu avant la sortie de ce dernier, Kubrick décéda. Jan Harlan, beau-frère et producteur exécutif de Kubrick, proposa donc tout naturellement à Spielberg de réaliser cette adaptation depuis retitrée A.I. Intelligence artificielle, chose que Spielberg accepta pour rendre hommage à son ami.
    Cette genèse compliquée explique l’accueil critique mitigée que le film rencontra à l’époque (la plupart des films de Kubrick ont d’ailleurs fait l’objet de ce type de réception à leurs sorties pour être considérés quelques années plus tard comme étant des chefs-d’œuvre). En effet, il fut reproché à Spielberg à la fois de vouloir copier Kubrick et de le trahir. Toutefois, si Kubrick avait proposé à Spielberg de réaliser ce projet, c’est qu’il estimait que ce dernier était plus adapté à cette histoire. De plus, le cinéaste avait tenu son confrère informé du développement du projet pendant toutes ces années. En outre, les projets de Kubrick connaissant de très longues périodes de développement et de nombreuses modifications, on ne peut pas savoir quel aurait été le résultat final (sûrement aurait-il été au final très différent de la version de Spielberg). Enfin, il est tout à fait normal que Spielberg adapte son film à sa sensibilité pour pouvoir le réaliser, chose très courante lorsqu’un projet change de réalisateur : il ne prétendra d’ailleurs jamais se mettre à la place de Kubrick mais seulement vouloir lui rendre hommage.
    Cette critique peut toutefois un peu se comprendre par la structure esthétique et narrative du film. En effet, le film est construit en trois parties. spoiler: La première raconte la vie de David au sein de sa famille et possède un rythme assez calme, une esthétique et des couleurs assez froides pouvant rappeler justement le regard distanciée de Stanley Kubrick. La seconde, clairement séparée par un fondu au noir, décrit le parcours de ce même personnage dans Rouge City, un univers aux couleurs plus chaudes qui est plus bruyant et mouvementé. Enfin, la troisième, se situant dans un Manhattan envahi par les eaux, revient vers une esthétique plus froide et plus centrée sur la douceur. Surtout, cette dernière partie se conclue avec la présence de personnages qui font penser à des extraterrestres mais qui seraient en réalité de robots super développés (ce qui est loin d’être clairement expliqué et qui donc peut être considéré comme un point faible amenant le spectateur à mal interpréter le film).
    Mais, en réalité, la plupart des éléments attribués à Spielberg à l’époque viennent de Kubrick spoiler: (cette fameuse fin était d’ailleurs un point de désaccord entre Kubrick et Brian Aldiss, à l’époque où ce dernier était rattaché au scénario)
    . De même, la première partie, malgré sa froideur apparente, possède déjà certains aspects purement spielbergien spoiler: (première apparition de David qui fait penser aux extraterrestres de Rencontres du troisième type, émotions exacerbées de David, thématique de l’abandon de la séparation d’un enfant avec ses parents…)
    . À contrario, d’autres éléments dans les parties faisant plus penser à Steven Spielberg revêtent des côtés kubrickiens spoiler: : l’esthétique des fauteuils se trouvant chez le Dr Sais-Tout (Dr Know en V.O.) fait penser à celle de 2001, l’Odyssée de l’espace, la fin énigmatique renvoie à celle de ce même film…
    De même, les nombreuses allusions à Pinocchio font penser à Rencontres du troisième type (Roy Neary veut emmener ses enfants voir son adaptation de Disney, quelques notes de la bande originale de cette dernière sont reprises dans la séquence finale…) mais sont en réalité présentes dès le début du projet par Kubrick : on peut donc penser que l’aspect conte de fée que possède le film était lui aussi déjà là.
    Cette double paternité de l’œuvre aurait pu offrir un résultat instable mais Steven Spielberg a une fois de plus prouvé tout son génie en arrivant à unifier ces aspects disparates sans que cela soit choquant un quelconque instant et montre tout le long du film sa maîtrise de la caméra (pour comprendre comment Spielberg peut raconter une histoire à travers un simple cadrage, il suffit de voir le plan où David est filmé à travers un lustre en forme de soucoupe volante signifiant que David est un extraterrestre à l’intérieur de cet univers). De plus, il est aidé par des effets spéciaux tout bonnement incroyables spoiler: (les séquences de la Foire de la chair)
    . Mais le film est également porté par l’impressionnante prestation de Haley Joel Osment qui arrive à la fois faire ressentir le fait qu’il ne soit pas humain (David a beau aimer, il ne possède pas des réflexes et des réactions humaines) tout en arrivant à nous faire ressentir ses émotions spoiler: jusque dans une fin d’autant plus émouvante que l’on sait que c’est un faux happy-end (s’il retrouve sa mère ressuscitée pour l’occasion une journée, c’est pour ne plus jamais pouvoir la retrouver un jour)
    et par une très belle musique, à la fois discrète et porteuse d’émotions, de John Williams.
    Ainsi, malgré les légères réticences que l’on peut ressentir sur les dernières séquences, cette adaptation très libre des Supertoys durent tout l’été (œuvre à laquelle Brian Aldiss a offert deux suites, Les Supertoys quand arrive l’hiver et Les Supertoys les autres saisons, qui possèdent certains aspects du film, mais qui ont été écrites entre la mort de Kubrick et l’aboutissement de l’œuvre par Spielberg) est une œuvre magnifique qui permet à un génie du cinéma de porter à l’écran un projet d’un autre génie du 7ème art tout en lui rendant hommage.
    defleppard
    defleppard

    307 abonnés 3 244 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2012
    Parmis les meilleurs films de Steven Spielberg (Pinocchio des temps moderne) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    Fabien S.
    Fabien S.

    458 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2020
    Un excellent film de Steven Spielberg . On retrouve Jude Law , Haley Joël Osment incarnant des robots humanoïdes.
    videoman29
    videoman29

    205 abonnés 1 809 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 octobre 2020
    Fruit d'un travail commun entre Stanley Kubrick et Steven Spielberg, « A.I.Intelligence Artificielle » ne pouvait qu'interpeller le petit monde de la science-fiction. Une bonne partie des spectateurs a été clairement décontenancée par l'aridité du scénario et quelques longueurs scénaristiques, inhérente à ce genre d’œuvre futuriste et un peu onirique. Pourtant, si l'on parvient à entrer dans l'histoire, on est vite conquis par sa richesse philosophique et l'universalité du discours. Évidemment, depuis 20 ans le point de vue sur l'intelligence artificielle a encore évolué et devient de plus en plus tangible, pour autant ce sont deux visionnaires de génies qui sont aux commandes et ça se ressent sur la qualité de l'ensemble. Au niveau de la technique, on est également très proche de la perfection. Les effets spéciaux sont très « propres », mais c'est bien la réalisation grandiose qui met tout le monde d'accord. Évidemment, Stanley Kubrick était décédé au moment de la sortie de cette œuvre intemporelle (dont il avait commencé à écrire le scénario)... mais il n'aurait certainement pas renié le travail de son (non moins célèbre) collègue cinéaste. Du grand art, un point c'est tout !
    Florian Malnoe
    Florian Malnoe

    104 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2018
    A la base je n'ai rien de spécial contre Spielberg mais là il faut reconnaître qu'il a fait fort dans la mièvrerie. On ne peut qu'être déçu quand on imagine ce qu'aurait pu donner ce film dans les mains de Kubrick (je pense à un pamphlet cynique sombre emprunte de mysticisme et avec un gros pouvoir réflexif). Là c'est du mélo tellement surfait qu'on a du mal à y croire malgré une perf majuscule de Haley Joel Osment.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2022
    « A. I. Intelligence Artificielle » de Steven Spielberg sorti en 2001, est ne l’oublions pas basé sur une idée de Stanley Kubrick. Ce film de 2 h 20 peut être schématiquement découpé en 3 parties. David (Haley Joel Osment très bluffant) est un robot androïde programmé pour vouer un amour sans limites envers ses parents adoptifs. Il a été acheté par un couple dont l’enfant est mort il y a 5 ans mais qui a été cryoconservé. La « mère » aura bien du mal à s’habituer à la présence de David et à ses questions et lorsque son propre fils sera finalement ramené à la vie, le choc sera frontal. La mère déprogramme David mais hésite à le rapporter à la firme qui l’a élaboré et l’abandonne dans une forêt, David de pleurer en la suppliant de ne pas l'abandonner mais elle lui fera comprendre qu'il n'est pas réel, qu’il n’est pas « un vrai petit garçon ». Dans cette forêt, David sera pris en charge par un autre androïde, « Gigolo Joe », conçu pour simuler les relations amoureuses et sexuelles avec des adultes. Ils vont être capturés par des chasseurs de « méchas », des humains qui luttent contre l’excès d’androïdes et s’en servent pour des spectacles cruels au cours desquels on les détruit dans des jeux dignes des arènes romaines. C’est la partie un peu trop longue de ce film à mon goût même si certaines séquences sont inouïes en termes de réalisation. David et Gigolo Joe arriveront à se sauver et ils partiront dans un New York sous les eaux du fait du réchauffement climatique à la recherche de la fée bleue qui tel Geppetto a su amener à la vie sa marionnette Pinocchio, pourrait rendre David humain selon la prophétie du Dr Sait-Tout. Cette quête sera très longue et après un sommeil de 2 000 ans grâce à l’intervention d’extra-terrestres, David aura le droit à une seule journée de vraie vie qu’il passera auprès de sa mère adoptive.
    Un film de science-fiction dotée d’une grande poésie avec des effets spéciaux extraordinaires et qui pose des questions d’éthique. Un réel chef d’œuvre !
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