Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Si les références au classique de Steven Spielberg sont nombreuses et savoureuses, les réalisateurs trouvent un ton très personnel pour faire vivre des personnages hauts en couleur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
L’effet de surprise de "Teddy" passé, on peut tout simplement apprécier l’envie des Boukherma de revisiter le cinéma qui les a nourris à la sauce sud-ouest.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par Justine Boivin
Comédie dramatique et décalée, L'Année du requin est un conte politico-fantastique.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Une œuvre enthousiasmante, mêlant habilement cinéma horrifique et humour dans une fiction qui assume des élans documentaires avec un naturalisme volontairement mal dégrossi.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Pauline Conradsson
On frissonne devant la mâchoire gigantesque de l’animal. On rit beaucoup, souvent jaune, dans ce film loufoque, burlesque, qui fait réfléchir, sans jamais choisir un genre précis, bien décidé à brouiller les pistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Un savoureux mélange des genres qu'on ne peut qu'adorer.
CNews
par Louis Verdoux
Audacieux et burlesque, «L'Année du requin» manque toutefois de mordant pour nous glacer le sang.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Hybride foutraque qui doit tout à la passion de ses auteurs, mais ne sait pas sur quel aileron nager, ce film de requin made in France est assurément le divertissement le plus bizarroïde de l'été. Pour le meilleur ou pour le pire, à vous de juger !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Avec sa tonalité ironique sans être parodique, L’Année du requin déroule ainsi sa propre singularité, étrange et désarçonnante, mais dans un respect absolu du genre auquel il se frotte… et de son chef-d’œuvre originel, Les Dents de la mer.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Entre « pur » film de monstre et farce délirante, « L'Année du requin », malgré ses répétitions et ses temps morts, a l'incontestable mérite de privilégier un ton résolument absurde et de prohiber l'esprit de sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Après Teddy, les frères Boukherma signent une comédie inaboutie, faite de bric et de broc mais profondément sincère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Les frères Boukherma saisissent avec drôlerie, et le degré d’acidité qui convient, ce petit théâtre de la cruauté ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
En surfant sur des personnages caricaturaux faisant craindre le pastiche, le film des frères Boukherma parvient à se maintenir à flot sans pour autant provoquer un raz-de-marée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Vincent Malausa
Si la montée en tension est parfaitement gérée, le pari décisif du film - la représentation du squale et le face à face final - n'est qu'à demi relevé.
Positif
par Bernard Génin
[...] si l’ensemble, un peu boiteux, manque de crédibilité. Il faut encourager les jeunes cinéastes épris de liberté même s’ils se cherchent encore.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Tendre, drôle, dépaysant, cet hommage décalé accuse quelques coups de mou, mais observe avec humour et finesse notre époque devenue folle.
Télé Loisirs
par Camille Brun
La mise en scène travaillée et le jeu des acteurs, tous en pleine forme, permettent de fermer les yeux sur quelques baisses de rythme.
Télérama
par Hélène Marzolf
Gentiment décalé, divertissant, L’Année du requin reste néanmoins un exercice de style. Alors que Teddy s’imposait comme une chronique sociale déguisée en film de genre, la démonstration, ici, manque de consistance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Ariane Valadié
Après Teddy, les frères Boukherma continuent de croquer - ici de façon moins convaincante - le ciné de genre social radical.
Critikat.com
par Sylvain Blandy
En dépit de quelques gags, la rencontre entre le grand spectacle et un certain cinéma populaire hexagonal s’avère peu fructueuse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Satire de la beauferie anti-woke, ode aux humiliés, victimes de la connerie ambiante, leur film ne manque pas d’idées, mais pour un court-métrage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le parti pris de mêler suspense et comédie tourne rapidement court en désamorçant l’un et l’autre. Cet alliage hétéroclite engendre un film bancal qui ne parvient pas à avancer sur ses deux jambes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si on reste un peu sur sa faim côté attaques de squale, hémoglobine et tension, critères incontournables du genre, on peut savourer les scènes d’humour absurde à la Bruno Dumont.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Du film de monstre qui nous prend à la gorge et ne nous laisse pas desserrer les doigts de notre accoudoir, on se retrouve vite dans une parodie avec clins d’œil appuyés à la pandémie de Covid-19 et au réchauffement climatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Ni drôle ni spectaculaire, le film, dont l’action se déroule dans une petite station balnéaire des Landes, oscille entre un second degré surjouant la franchouillardise (les autochtones y raillent le réchauffement climatique et le « wokisme ») et un « shark movie » qui se prend par endroits au sérieux.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Après un premier quart d'heure assez fort, la suite piétine sérieusement. Le film englue le spectateur dans les baïnes de l'ennui, alors qu'il ne dure qu'à peine une heure et demie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thomas Baurez
Les cinéastes se retrouvent pris au piège et ne savent plus très bien où mettre les pieds, entre parodie, respect du genre et drame psychologique. A tout prendre, tout s’annule.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Si les références au classique de Steven Spielberg sont nombreuses et savoureuses, les réalisateurs trouvent un ton très personnel pour faire vivre des personnages hauts en couleur.
CinemaTeaser
L’effet de surprise de "Teddy" passé, on peut tout simplement apprécier l’envie des Boukherma de revisiter le cinéma qui les a nourris à la sauce sud-ouest.
Closer
Comédie dramatique et décalée, L'Année du requin est un conte politico-fantastique.
L'Humanité
Une œuvre enthousiasmante, mêlant habilement cinéma horrifique et humour dans une fiction qui assume des élans documentaires avec un naturalisme volontairement mal dégrossi.
Le Parisien
On frissonne devant la mâchoire gigantesque de l’animal. On rit beaucoup, souvent jaune, dans ce film loufoque, burlesque, qui fait réfléchir, sans jamais choisir un genre précis, bien décidé à brouiller les pistes.
Public
Un savoureux mélange des genres qu'on ne peut qu'adorer.
CNews
Audacieux et burlesque, «L'Année du requin» manque toutefois de mordant pour nous glacer le sang.
Ecran Large
Hybride foutraque qui doit tout à la passion de ses auteurs, mais ne sait pas sur quel aileron nager, ce film de requin made in France est assurément le divertissement le plus bizarroïde de l'été. Pour le meilleur ou pour le pire, à vous de juger !
La Voix du Nord
Avec sa tonalité ironique sans être parodique, L’Année du requin déroule ainsi sa propre singularité, étrange et désarçonnante, mais dans un respect absolu du genre auquel il se frotte… et de son chef-d’œuvre originel, Les Dents de la mer.
Les Echos
Entre « pur » film de monstre et farce délirante, « L'Année du requin », malgré ses répétitions et ses temps morts, a l'incontestable mérite de privilégier un ton résolument absurde et de prohiber l'esprit de sérieux.
Les Fiches du Cinéma
Après Teddy, les frères Boukherma signent une comédie inaboutie, faite de bric et de broc mais profondément sincère.
Les Inrockuptibles
Les frères Boukherma saisissent avec drôlerie, et le degré d’acidité qui convient, ce petit théâtre de la cruauté ordinaire.
Libération
En surfant sur des personnages caricaturaux faisant craindre le pastiche, le film des frères Boukherma parvient à se maintenir à flot sans pour autant provoquer un raz-de-marée.
Mad Movies
Si la montée en tension est parfaitement gérée, le pari décisif du film - la représentation du squale et le face à face final - n'est qu'à demi relevé.
Positif
[...] si l’ensemble, un peu boiteux, manque de crédibilité. Il faut encourager les jeunes cinéastes épris de liberté même s’ils se cherchent encore.
Télé 7 Jours
Tendre, drôle, dépaysant, cet hommage décalé accuse quelques coups de mou, mais observe avec humour et finesse notre époque devenue folle.
Télé Loisirs
La mise en scène travaillée et le jeu des acteurs, tous en pleine forme, permettent de fermer les yeux sur quelques baisses de rythme.
Télérama
Gentiment décalé, divertissant, L’Année du requin reste néanmoins un exercice de style. Alors que Teddy s’imposait comme une chronique sociale déguisée en film de genre, la démonstration, ici, manque de consistance.
Voici
Après Teddy, les frères Boukherma continuent de croquer - ici de façon moins convaincante - le ciné de genre social radical.
Critikat.com
En dépit de quelques gags, la rencontre entre le grand spectacle et un certain cinéma populaire hexagonal s’avère peu fructueuse.
L'Obs
Satire de la beauferie anti-woke, ode aux humiliés, victimes de la connerie ambiante, leur film ne manque pas d’idées, mais pour un court-métrage.
La Croix
Le parti pris de mêler suspense et comédie tourne rapidement court en désamorçant l’un et l’autre. Cet alliage hétéroclite engendre un film bancal qui ne parvient pas à avancer sur ses deux jambes.
Le Journal du Dimanche
Si on reste un peu sur sa faim côté attaques de squale, hémoglobine et tension, critères incontournables du genre, on peut savourer les scènes d’humour absurde à la Bruno Dumont.
Le Monde
Du film de monstre qui nous prend à la gorge et ne nous laisse pas desserrer les doigts de notre accoudoir, on se retrouve vite dans une parodie avec clins d’œil appuyés à la pandémie de Covid-19 et au réchauffement climatique.
Cahiers du Cinéma
Ni drôle ni spectaculaire, le film, dont l’action se déroule dans une petite station balnéaire des Landes, oscille entre un second degré surjouant la franchouillardise (les autochtones y raillent le réchauffement climatique et le « wokisme ») et un « shark movie » qui se prend par endroits au sérieux.
Le Figaro
Après un premier quart d'heure assez fort, la suite piétine sérieusement. Le film englue le spectateur dans les baïnes de l'ennui, alors qu'il ne dure qu'à peine une heure et demie.
Première
Les cinéastes se retrouvent pris au piège et ne savent plus très bien où mettre les pieds, entre parodie, respect du genre et drame psychologique. A tout prendre, tout s’annule.