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    Jane par Charlotte
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    SUZY AND MEE
    SUZY AND MEE

    125 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 janvier 2022
    CHARLOTTE ARRIVE-T-ELLE TROP TARD ...?!!
    Charlotte souhaite engranger des souvenirs et rendre hommage à sa mère avant qu'il ne soit trop tard mais celle-ci semble déjà éteinte tant elle est taiseuse, loin de son personnage habituel, fantasque et lumineux...la rencontre ne se fait pas ou très peu... Jane est-elle lointaine parce que trop heurtée par le décès de sa fille aînée ou bien parce qu'elle refuse de s'ouvrir à sa fille cadette et de jouer le jeu... ? Seule Charlotte le sait...!
    Il en résulte que de nombreuses séquences sont plates : la visite de la maison de Gainsbourg (interminable), l'apéritif au bord de l'eau (oubliable), l'adoption future d'un chien (dépourvue de tout intérêt)...
    Personnellement, je ne retiendrai que la scène où toutes deux sont en blanc dans le même lit, scène plutôt inattendue, et la scène finale bien sûr, très émouvante...
    Aubert T.
    Aubert T.

    115 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2022
    Ce truc, c'est un peu : oh maman, raconte moi encore la même histoire ! Version people. C'est un " documentaire " de 2eme partie de soirée TV, mais c'est franchement léger pour une diffusion en salle (oui, je crois à cette hiérarchie.)
    J'ai l'impression que l'intention de Charlotte était avant tout de se créer des souvenirs, car on reste à la surface de tout. Bof. Très très bof.
    Enfin, notons qu'après Jane B par Agnès V puis Boxes, c'est le troisième documentaire où est mise en scène la prétendue pudeur de Birkin. Il serait bon qu'elle soit un peu plus honnête, car on appelle ça plutôt de l'exhibitionnisme.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 169 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2022
    Ce film, elle l’a avant tout fait pour elle. Pour son premier long-métrage derrière la caméra, Charlotte Gainsbourg avait le désir d’immortaliser sa mère de 75 ans, Jane Birkin. Elles s’aiment et elles le savent. Mais souvent séparées par les moments de vie, Jane et Charlotte ont toujours été très pudiques envers leurs sentiments. En approchant sa caméra de sa mère, telle une Agnès Varda l’a fait jadis, Charlotte tente de rattraper le temps et d’en apprendre sur celle qui l’a mise au monde. “Jane par Charlotte” est bien entendu un film documentaire très personnel. C’est d’ailleurs certainement pour cela que le film ne s’intitule pas Birkin par Gainsbourg. Ici il n’est pas question de mise en scène et d’artifice, seulement de confidences sans tabous. Une exhibition qui ne séduira pas toujours, mais qu’importe, Charlotte a trouvé ce moyen pour parler et rencontrer une nouvelle fois sa mère et tant mieux pour elle.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Christoblog
    Christoblog

    741 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 janvier 2022
    Le premier sentiment que le film m'a inspiré, c'est celui de l'entre-soi chichiteux et "prout prout" : chiot moche et hors de prix, voyage à Tokyo et NYC, maison bretonne sur la plage.

    La tendresse entre la fille et la mère (ou le manque de tendresse, selon le point de vue) est un aspect intéressant du film, mais celui-ci est dilué dans un imbroglio qui se situe entre une analyse sauvage sans divan et un numéro hors série de Point de vue / Images du monde.

    La mise en scène ne ressemble à rien et le talent de documentariste de Charlotte Gainsbourg est donc totalement à démontrer.

    Restent au rayon des points positifs : une incursion dans le saint des saints (rue de Verneuil), la spontanéité candide de Jane qui parle de façon frontale de deuil et de cancer. Ce n'est pas assez pour que le film génère au final un sentiment positif.
    Yves G.
    Yves G.

    1 278 abonnés 3 288 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 janvier 2022
    Charlotte (Gainsbourg) filme sa mère Jane (Birkin). Les deux actrices sont si connues que le titre de leur film peut faire l’économie de leurs patronymes… et l’affiche celui de leurs visages.

    Le titre et le procédé louchent du côté du documentaire qu’Agnès Varda avait consacré à la chanteuse franco-britannique, "Jane B. par Agnès V." Comme Varda en 1988, Charlotte filme Jane chez elle, dans son intimité et la fait se raconter à travers les objets qu’elle accumule compulsivement : Jane confesse souffrir d’une maladie douce, celle de l’incapacité de jeter quoi que ce soit, qui transforme vite ses intérieurs en bric-à-brac nostalgiques. En 1988, c’était la maison parisienne de Jane qu’on découvrait. Aujourd’hui, c’est sa résidence secondaire en Bretagne, sur l’île de Bréhat avec son immense baie vitrée, son jardin, le portillon qui donne sur la plage.

    "Jane par Charlotte" est une émouvante déclaration d’amour d’une fille à sa mère qu’elle filme à Bréhat, mais aussi en concert, à Tokyo comme à New York, et enfin à Paris, rue de Verneuil, dans l’appartement où elle vécut avec Serge Gainsbourg, que Charlotte a transformé en musée. En compagnie de Jo, la petite dernière de Charlotte dont la présence esquisse peut-être une autre transmission générationnelle, les deux femmes y font preuve l’une à l’égard de l’autre d’une grande pudeur qu’elles questionnent et dont elles testent les limites.

    Plutôt que de dérouler platement la biographie, pourtant très riche de Jane, ses succès de chanson, puis de cinéma, Charlotte s’intéresse plutôt à sa vie de femme. Dans un troublant jeu de miroirs, elle l’interroge sur les hommes qui ont marqué sa vie et sur les trois enfants qu’elle a eus avec eux : Kate l’aînée, la fille de John Barry, brutalement décédée en 2013, Charlotte elle-même, la fille de Serge Gainsbourg, et enfin Lou, la fille de Jacques Doillon.

    "Jane par Charlotte" est un film qui touchera peut-être plus les femmes que les hommes, soit qu’elles aient une relation douloureuse à leur mère, soit au contraire qu’elles aient réussi à construire une relation aussi épanouie et complice que celle qui unit Charlotte à la sienne, soit enfin qu’elles l’aient perdue et en nourrissent la nostalgie…. ce qui devrait, si l’on additionne les femmes de ces trois catégories, représenter environ la moitié de l’humanité. En tant qu’homme – et au risque de m’attirer les foudres de mes amies universalistes – j’y ai moins trouvé d’intérêt.

    Surtout, après le documentaire de Varda de 1988, après "Boxes", l’autobiographie à peine romancée qu’avait réalisée Jane en 2007, sur son père et les pères de ses filles, on frise l’overdose. Si pudeur est le maître mot de ce documentaire-là, s’il est celui qui caractérise le mieux la relation entre ces deux femmes exceptionnelles, dont on brûle, après l’avoir vue de prendre un thé avec elles en regardant les marées atlantiques monter ou descendre dans un aber des Côtes d’Armor, le risque est de le galvauder ou pire de le corrompre.
    titigad
    titigad

    21 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2023
    Bouleversant. Intime. Pudique. De jolies moment d'échange entre tout simplement une mère et sa fille.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    68 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2022
    Difficile d’être objectif
    On est plus intéressé si on aime Jane B ou…Charlotte.
    J’avais un goût particulier pour les chansons de Gainsbourg, chantées par les femmes et particulièrement pour Jane qui y met, beaucoup de sensibilité.

    En fait, le film de Charlotte parle d’autre chose et surtout, de tout ce que Mère et Fille, ne se sont jamais dit….
    Je ne suis pas certain que cela nous regarde….

    On peut être gêné par cet étalage d’intimité, entre N.Y.C. Tokyo…...et golfe du Morbihan….
    On peut s’étonner du « grand bazar » de la maison de la rue de Verneuil, depuis 30 ans ?
    Le Jane Birkin d’Agnès Varda, plus réussi, nous permettait d’approcher la Personne…..

    Je trouve que Charlotte, nous laisse à l’extérieur de leur intimité…
    toinou
    toinou

    38 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2023
    Charlotte Gainsbourg nous offre ici un documentaire extrêmement personnel et presque intrusif dans la vie de sa mère de 75 ans Jane Birkin. Charlotte tente d’en apprendre un peu plus sur celle qui l’a mise au monde en l’interrogeant. Jane Birkin est tellement gentille et touchante, encore plus quand l’on sait que cette grande femme est partie bien trop tôt. 

    Il y a un très bon travail sur le montage et surtout sur l’utilisation de la musique qui est par ailleurs très bonne et qui rajoute de l’émotion sur les belles paroles des deux actrices/chanteuses. La mise en scène n’est pas la priorité de Charlotte Gainsbourg, elle souhaite juste filmé sa mère et c’est très honorable.
    Julie P.
    Julie P.

    33 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 janvier 2022
    Un film feel good élégant et pudique. On a l'impression de passer 1h30 avec de vieilles connaissances, c'est un plaisir trop court!
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 770 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2023
    Un film est d’une grande délicatesse, d’une grande douceur, comme à l’image des voix de Jane Birkin et de sa fille Charlotte Gainsbourg.
    On peut toujours se poser la question sur l’opportunité de révéler au public un récit intime qui leur appartient.
    En ce qui me concerne, je ne me suis jamais senti invité, je suis resté à distance, discret, tout en étant par moments touché. Comme cette visite dans la maison de Serge Gainsbourg où le temps semble s’être figé dès la première seconde de sa disparition. Une impression que tous les éléments attendaient le retour du chanteur compositeur. Un retour qui ne vint jamais…
    La tirade de Charlotte en conclusion de son film est une belle déclaration d’amour à sa maman.
    Je me reconnais dans ses paroles.
    missfanfan
    missfanfan

    74 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2022
    Beaucoup de retard dans mes critiques

    Merci Charlotte pour ce film et d'avoir si bien filmé votre maman voilà un beau film documentaire à consommer sans modération et le bon air de la Bretagne la petite Joe ressemble beaucoup à sa maman pas une seconde d'ennui , mais à réserver quand même aux fans de Jane Birkin d'on je fais partie
    Audrey L
    Audrey L

    548 abonnés 2 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2021
    Un documentaire très intime sur les femmes de la famille Gainsbourg, porté par la tendresse des regards adultes entre les trois générations (Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg et sa propre fille) mais aussi par la dureté des propos entendus (le film démarre tout de même par Jane qui dit à Charlotte qu'elle n'a jamais eu d'affinité avec elle quand elle était petite... Ça, c'est dit). Ce que l'on a également apprécié dans ce doc, c'est sa capacité à éviter de parler du mari-papa (dont on n'est subjectivement pas bien amateur) pour se concentrer sur les femmes de l'ombre, la découverte fut totale. Le film se découpe en moments de vie quotidienne, en petits interviews sans en avoir l'air (discussions autour d'une table, d'un café, au détour d'une rue...), en visite des lieux occupés par cette famille (ponctués de "Tu te souviens ?" qui nous ont rappelé nos propres visites en famille, avec nos aînés...) et en réflexions sur le devenir de la famille (leur ancienne demeure qu'elles essaient de transformer en musée pour la rendre accessible à tous). On a surtout aimé voir les doutes, les questions, les inquiétudes d'une mère à l'autre, la transmission d'un savoir et une notoriété imposée qui nous ont définitivement fait prendre conscience des femmes "normales" derrière les vedettes que l'on voit sur les couvertures des Gala. C'est aussi un peu l'enjeu de ce doc, nous montrer qu'une maman reste une maman, toujours perdue sans son enfant, toujours en proie au doute du "est-ce que j'ai bien fait, quand elle était petite ?", toujours inquiète pour la suite (on n'a qu'une envie : appeler la nôtre juste après la séance), bref un vrai moment de partage au féminin. Très intime, très dur et tendre en même temps, et résolument féminin.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    329 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 décembre 2021
    Filmé par sa fille, Jane BIRKIN se livre intimement et c’est assez émouvant par moments.
    Ce documentaire est bien réalisé avec une succession d’interviews et des retours sur leurs lieux de vie. Tout cela est bien dosé et le film nous fait découvrir des aspects inconnus de cette célèbre artiste. Il se dégage aussi beaucoup d’émotions non feintes au cours de cet échange familiale derrière une caméra.

    Bernard CORIC
    MICHEL SANCHEZ
    MICHEL SANCHEZ

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 janvier 2022
    Ces deux là qui mettent en scène leur soi disant pudeur, ce dont elles manquent le plus. Ça devient intolérable. Elle ont utilisé sans vergogne guinsbourg, puis la mort de l'aîné des filles, le cancer de la mère et je ne sais quoi encore pour faire toujours parler d'elles. La mère usant et abusant d'un accent anglais qu'elle a autant que Dalida avait un accent italien.
    Je sais que c'est leur fond de commerce, se regarder le nombril, ça intéresse peut-être certaines personnes comme ces pseudo stars qui se font shooter par des paparazzi, mais elles deux se donnent des airs de culture, de profondeur, qui cachent mal l'inanité de la démarche, et le puits sans fonds de la pensée.
    Pirate72
    Pirate72

    6 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 janvier 2022
    Très ému, touché par la dimension universelle de ce rapport mère fille. Charlotte Gainsbourg est toujours à la bonne distance, mêlant l’anecdotique aux choses les plus profondes. Et puis l’ombre de la mort, de l’absence, qui plane sans jamais non plus faire perdre cet élan de vie et d’amour qui traverse le film de bout en bout. Et nous va droit au cœur.
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