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    Adieu poulet
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    3,7
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    103 critiques spectateurs

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    Critiqueur37
    Critiqueur37

    12 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 septembre 2008
    Rien que le titre du film ne donne guère envie de regarder ce film sans intérêt,plat,manque de scénario malgré de très bon acteurs.
    Lapin-54
    Lapin-54

    9 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2011
    Bon film policier bien mené et magnifiquement servi par Lino Ventura et Patrick Dewaere.
    Arnaud A.
    Arnaud A.

    6 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2023
    Un film intéressant, mais finalement un peu lent, un peu vide, sur une certaine dérive politique de la police. Interprétation magistrale de Ventura et de Dewaere, et des seconds rôles (Tornade, Guiomar...) qui valent le détour.
    Frederic C
    Frederic C

    7 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2010
    Un bon petit polard à l'ancienne avec un duo d'acteurs extra ordinaire. La musique, l'histoire, la mise en scène, le jeu d'acteur donne un ton nostalogique au fill. Mais la présence de ses 2 là le rend mythique... Un vértible morceau de patrimoine ! A voir ne serait-ce que pour eux !
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    6 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2023
    « Une seule goutte de sang de ce pauvre type ou de l’un de ses deux gosses et toute votre campagne est foutue ? »

    Réalisé par Pierre Granier-Deferre, un maître du cinéma policier des années ‘70/’80, scénarisé par Francis Veber (Le Jouet, La Chèvre, le Dîner de Cons), interprété par Dewaere, Ventura et une kyrielle de seconds rôles confirmés du cinéma français, cet Adieu Poulet nous embarque dans une sordide affaire de meurtre sur fond d’élection.

    Hélas, si l’interprétation des deux principaux monstres sacrés du cinéma français est irréprochable un couple initiatique jouissif, si les dialogues sont ciselés, si quelques moments font aussi beaucoup rire (la patte de Veber), le scénario se perd en circonvolutions secondaires et finit par se prendre les pieds dans le tapis au niveau temporel. Côté réalisation, on notera cette étrange manie de l’arrêt sur image pour clôturer des scènes d’action.

    Un film à revoir pour goûter le jeu de deux des plus grands acteurs français et pour le charme suranné du Rouen des années ‘70.
    SpecOmega
    SpecOmega

    6 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2011
    Un bon polar à la française, typique des années 1970 : une ambiance sombre, du cynisme, une lutte de pouvoir ; le tout dans le Rouen du milieu des années 1970. Les personnages sont typés et les acteurs sont vraiment impliqués et jouent juste.
    Sosa
    Sosa

    7 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2022
    UN Duo pour le moins fonctionnel,composé de Lino Ventura et Patrick Dewaere toujours plein de charisme.
    La fin m'a énormément plu, elle coupe court.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2007
    Un très bon policier traitant les dessous de la politique, la corruption et les disfonctionnements de la police. La mise en scène est travaillée, l'action et l'humour présents, le casting détonnant (avec un Lino Ventura en grande forme), ce film n'a pas à rougir de ses concurrents étrangers tournés à pareille époque.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 décembre 2007
    Excellent duo d'acteurs servi par un film palpitant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 janvier 2011
    Un polar pas désagréable, qui doit sa relative réussite au duo Ventura-Deweare particulièrement efficace, ainsi qu'aux quelques embrouilles qu'ils mettent en place pour conserver cette efficacé. Le reste n'est pas aussi emballant : la mise en scène est plutôt lente et stoïque, le scénario est bateau et pas suffisament clair, certaines idées intéressantes ne sont pas menées jusqu'au bout...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mars 2010
    Bon film policier porté à bout de bras par le grand Lino et le regrèté Patrick Dewaere.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 juin 2012
    Un film qui tire sa force de son duo Dewaere/Ventura.

    A noter d'excellents seconds rôles: Claude BROSSET, Pierre TORNADE, Claude RICH, Michel BEAUNE entre autres
    Kaykay E.
    Kaykay E.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 octobre 2023
    Ce long-métrage est une véritable purge, et la fin du film un double doigt d'honneur lancé aux spectateurs.
    La preuve en 1h30 qu'on ne peut pas tout miser sur 2 acteurs, quand bien même il s'agit de monstres sacrés du cinéma français comme Lino Ventura et Patrick Dewaere.
    Le montage réalisé à la serpe rend incompréhensible une histoire pourtant linéaire sur le papier : 2 policiers veulent venger la mort d'un collègue dans laquelle, selon eux, un politicien en campagne est impliqué.
    L'enquête avance cahin-caha grâce aux expressions faciales courroucés d'un Lino Ventura agrémentées par les gesticulations ridicules d'un Patrick Dewaere sous cocaïne qui suffisent à faire parler tous les suspects. Comment parviennent-ils à les dénicher ? Ce n'est jamais expliqué.
    Le méchant responsable de la mort du policier est censé être un membre de la sécurité du politicien joué par Victor Lanoux. Pourtant ce vigile semble disposé d'un réseau très étendu de malfrats à sa botte prêts à tout pour protéger sa cavale.
    Les dialogues tombent à plat et les « scènes d'action » sont à la fois risibles et dénuées de la moindre once de crédibilité.
    De toute façon, quand on arrive à la fin du film on se dit que Lino Ventura avait dû signer pour 90 minutes, et pas une de plus, car la prise d'otage se termine quand ce dernier décide de tourner les talons en assenant à Patrick Dewaere un « Adieu poulet » en guise de clap de fin. ┌П┐(◉_◉)┌П┐
    Choublane4
    Choublane4

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2020
    spoiler: Alors que la campagne électorale bat son plein à Rouen, le commissaire Verjeat et les inspecteurs Lefèvre et Moitrier enquêtent dans une maison close : l'un des clients est mort en pleine extase. Avant que Verjeat ne décide quel tour faire prendre à son enquête, la tenancière de la maison le prévient qu'elle connaît nombre de personnalités importantes. Le commissaire comprend que cette enquête n'ira jamais très loin. Après avoir déposé Verjeat à son domicile et Lefèvre sur la route, Moitrier s'apprête à rentrer chez lui, quand un message du central le prévient d'un délit en cours : des colleurs d'affiche sont en train de se faire agresser, et l'un d'eux est battu à mort par un voyou. Lorsque Moitrier arrive, il tente de les arrêter, mais le voyou lui tire une balle à bout portant. Arrivé à l'hôpital, Moitrier confie à Lefèvre qu'il a reconnu dans son agresseur Antoine Portor, l'un des hommes de Pierre Lardatte, candidat à l'élection. Peu après, Moitrier meurt. Verjeat se rend accompagné à l'une des permanences de Lardatte, où il trouve Roger Portor, le frère d'Antoine. Il le prévient que son frère a intérêt à se rendre rapidement. Puis il se rend à un meeting de Lardatte : celui-ci dit être attristé par la nouvelle, mais ne pas connaître personnellement les membres de son service de sécurité. De retour au central, le contrôleur général Ledoux, supérieur de Verjeat, lui conseille « amicalement » de se concentrer sur Portor, lui s'occupant de Lardatte. Quelques jours après, Mercier, le père du colleur d'affiches, fait irruption dans le bureau de Lardatte, à la mairie, et prend en otage avec deux autres hommes les employés qui s'y trouvent. Verjeat, sous la surveillance de Ledoux et de Lardatte, est chargé de le ramener à la raison de façon pacifique : pour ce faire, il lui propose par téléphone de profiter du haut-parleur de la police pour faire passer son message. Mercier s'adresse alors violemment à Lardatte, le traitant d'assassin ; la foule alentour ne perd pas une miette du discours. Puis Verjeat se rend dans la mairie et convainc de manière un peu brusque Mercier et ses complices de se rendre. Mais Lardatte est bien décidé à faire payer cette humiliation au commissaire : grâce à ses relations, il parvient à le faire nommer contrôleur général à Montpellier. Il doit partir la semaine suivante, en laissant l'affaire en cours à son successeur, le commissaire Pignol, plus adepte des méthodes de cow-boy que de celles réclamant de la subtilité. Après son pot de départ, Verjeat explique à Lefèvre qu'il ne peut refuser une telle promotion mais qu'il a bien l'intention de s'amuser un peu avant de s'en aller. Pendant ce temps, les bureaux de Lardatte sont cambriolés par des complices d'Antoine Portor, aidés de sa femme. Mais à un barrage de gendarmerie, leur voiture part en tonneau : les deux hommes sont tués, la femme grièvement blessée. Verjeat apprend de la bouche de Roger Portor que le cambriolage était destiné à mettre la main sur la comptabilité de Lardatte, pour qu'il aide son frère à quitter la France. La comptabilité a brûlé dans l'accident mais le commissaire cache la vérité aux journalistes. Puis Verjeat met en place à l'hôpital une surveillance de la blessée, dans l'espoir de coincer son mari : en fait, c'est l'un de ses inspecteurs qui est dans le lit, Marie Portor étant décédée. Ledoux et Pignol sont laissés dans l'ignorance de la supercherie. Alors qu'il doit être de surveillance à l'hôpital, Lefèvre passe à la maison close pour informer la patronne de la teneur de son rapport. Il lui explique que Verjeat, frustré d'être obligé de partir de Rouen, lui a demandé de la charger au maximum : ses protections ne pourront rien contre un fonctionnaire sur le point d'être muté. Après avoir refusé de coucher avec lui, la tenancière de l'établissement lui propose de l'argent. Le soir même, trois complices de Portor tentent d'enlever sa femme à l'hôpital : l'un d'eux est blessé, les deux autres tués par les inspecteurs en embuscade. Le lendemain, Lefèvre est sommé par Verjeat de s'expliquer sur son absence de la nuit. Il lui répond qu'il s'était endormi puis lui remet le rapport sur le décès à la maison close. Verjeat est furieux, et lui demande de revoir le rapport ; Lefèvre appelle la patronne pour lui avouer son échec. Celle-ci se rue au tribunal, où elle est reçue par le juge Delmesse pour répondre d'une accusation de proxénétisme. Très calme, elle lui répond qu'il faut ajouter la corruption de fonctionnaire à cet acte d'accusation puisqu'elle a donné de l'argent à Lefèvre. Celui-ci se défend mal devant le juge, qui apprécie fortement les affaires de corruption ; l'inspecteur poussé à bout finit par dire qu'il n'est pas le seul corrompu dans cette affaire. De retour au central, il est reçu par une gifle magistrale de Verjeat : pour se sauver, il a accusé son supérieur d'avoir reçu des pots-de-vin bien supérieurs à ceux qui lui sont reprochés. Devant Ledoux, Verjeat clame son innocence, mais cette nouvelle fait le tour de la ville : les indicateurs de police, puis les détenus de la prison de Rouen, le traitent rapidement comme un pourri et refusent de traiter avec lui. Devant Delmesse, le commissaire se défend mais le juge semble convaincu de sa culpabilité. Le temps de l'enquête, le magistrat lui demande de ne pas quitter Rouen mais lui permet de continuer l'enquête sur Portor. Puis Verjeat se rend au domicile de Lefèvre et fête avec lui cette première réussite : il n'est plus obligé de partir pour Montpellier et peut récupérer l'enquête que Ledoux avait fini par confier à Pignol. En fait, les deux policiers avaient organisé cette mise en scène de corruption afin de permettre à Verjeat de pouvoir rester à Rouen par ordonnance judiciaire. Cerise sur le gâteau : Lardatte lui a téléphoné. Lorsqu'il le rencontre, le candidat lui explique qu'il pourrait l'aider dans cette affaire avec Delmesse, en échange de quoi Verjeat pourrait aider Lardatte à son tour. Le jour suivant, les deux policiers apprennent que Portor a été « logé ». En dépit des précautions prises, celui-ci arrive tout de même à s'enfuir. De retour au central, Ledoux les convoque et leur apprend que Pignol est passé voir « Madame Portor » à l'hôpital. Verjeat et Lefèvre sont obligés de lui avouer que l'affaire de corruption n'était qu'un plan monté par le commissaire pour pouvoir continuer l'enquête et coffrer à la fois Portor et Lardatte ; l'argent extorqué à la tenancière du lupanar a été déposé chez un huissier, il n'y a donc pas d'affaire. Sans Portor, impossible de s'occuper de Lardatte ; le plan a échoué. Ledoux, furieux, lui ordonne de partir dès le lendemain pour Montpellier ; il expliquera au juge Delmesse de quoi il retourne dans son affaire, mais prévient Verjeat qu'il n'empêchera pas le juge de l'accuser d'outrage à magistrat si Delmesse le souhaite. Pignol apprend à ce moment que Portor est dans la maison de Lardatte et l'a pris en otage. Le criminel réclame Verjeat et refuse de discuter tant avec Pignol qu'avec Ledoux. Le contrôleur demande alors à Verjeat de parlementer avec Portor ; le commissaire se saisit du haut-parleur et dit : « Verjeat, il est à Montpellier, Verjeat ! » Puis il se tourne vers Lefèvre et le salue : « Adieu poulet… »
    LAvisDuNeophyte
    LAvisDuNeophyte

    2 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2017
    Histoire complexe (sans parler de la fin), parfois difficile à suivre. Evidemment cela a vieilli mais l'histoire pourrait rester d'actualité. Quelques bons ressorts scénaristiques.
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