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Michel C.
242 abonnés
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3,0
Publiée le 15 avril 2024
L'histoire recèle bien souvent des épisodes cocasses. Henri VIII fait partie de ces affreux personnages, qui heureusement ont du souffrir un tantinet avant leur dernier souffle. Et cette comédie historique met le grand angle sur sa dernière épouse Catherine Parr admirablement jouée par la suédoise Alicia Vikander. Pas fan d' Histoire et encore moins celle d' Angleterre ( sorry ), on reste épaté par le comportement de cette jeune femme, bien en avance sur son époque et savait comment tenir tête à un des plus méchants de l'époque et en tout cas le plus puissant. Mention spéciale aux décors et costumes. A noter Jude Law dans le rôle d' Henri VIII, pas facile à reconnaître ! A réserver aux amateurs.....!!**
"Le Jeu de la reine" est un film que j'ai moyennement apprécié. L'histoire est intéressante mais très mal exploitée. La mise en scène pouvait être mieux tourné, j'ai ressenti beaucoup de longueur et les personnages ne sont pas énormément attachants.
Un film historique qui prend parfois de grosses libertés d'interprétation de l'Histoire. S'il s'appuie efficacement sur la prestation de Jude Law, celle d'Alicia Vikander, fade, ne convainc pas complètement. La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2024/04/le-jeu-de-la-reine-de-karim-ainouz.html
A travers une somptueuse mise en scène et clair obscur Karim Aïnouz réalise là une fresque Historique , même si celle-ci n'est pas parfaitement respectée , saisissante où Alicia Vikander , avec un visage impassible , affronte avec une belle audace un Jude Law aussi méconnaissable qu’inquiétant !
uel surprise quand j'ai vu que l'actrice était une de mes chouchous!! Alicia Vikander , rare au cinéma à mon goût , en Reine et bien le duo formé avec Jude Law est juste impeccable! On la voit tenir la dragée haute à tout ces hommes de lois et de foi , à son mari connu pour avoir supprimé 4 de ses 5 autres anciennes épouses pour diverses raisons foireuses (en gros si il trouve "mieux" hop fini pour elle) tout en oeuvrant au mieux pour le royaume et en s'occupant des enfants de anciennes femmes du roi. Quand on voit comment cela ce passe et voir que tout par en sucette, quand on pense un miracle et bien non elle va en souffrir (ainsi que ces suivantes, fidèles jusqu'au bout) et les traîtrises multiples...mon dieu faut être costaud!!! C'était vraiment tendu, triste et en même temps si fort! Vraiment j'ai adoré et le final ah la la, je dirais rien mais juste SHEH!!!!! Seul bémol...les scènes de sexes, franchement cette mode de montrer cela comme dans Napoléon cela amène quedal à l'histoire... NOTE : 8.75/10
La réalisation de ce film est réussie et la tension imposée par le personnage d'Henry VIII palpable. Mais finalement le caractère imprévisible du personnage disparaît derrière l'opposition entre la reine et l'église. Cette intrigue secondaire a presque plus à raconter que le personnage du roi psychopathe, qui tourne un peu en rond. De ce point de vue, on reste un peu sur sa faim.
Un film d'une très grande qualité : une réalisation impeccable, des costumes et des bijoux plus magnifiques les uns que les autres et surtout une interprétation hyper-investie de Jude Law, méconnaissable en ogre royal, et d'Alicia Vikander dans son meilleur rôle. Une histoire très intéressante, quelques scènes très dures, une reconstitution de prestige, seule la scène finale est sans doute discutable mais c'est une interprétation qui se tient.
L'histoire de la royauté britannique regorge de femme importante, dont Catherine Parr. Ce film permet de remettre à la place qu'elle mérite l'épouse du roi Henri VIII, trop souvent oubliée. Pour incarner cette femme brillante, nous avons le droit à une grande Alicia Vikander. Elle tient tête autant que faire se peut à son tyrannique mari, joué par l'impressionnant Jude Law. On voit toute la pression que Catherine Parr subissait ainsi que la violence psychologique et physique. Malgré tout, elle se battait pour l'émancipation de son peuple. L'aspect religieux et politique est donc prépondérant. Dommage que le rythme lent soit trop lent par moments.
Karim Ainouz s'est intéressé au personnage de Catherine Parr, peu traitée au cinéma alors qu'elle a eu l'extraordinaire ressource de survivre à Henri VIII. Ce n'est pas rien. Malgré un scénario qui prend quelques distances avec la véritable histoire, le récit tient la route. Il est transposé aux problématiques de notre époque sur la violence du pouvoir et la place des femmes sans renoncer à l'exigence de crébilité. Costumes, décors et interprétations donnent du réalisme à cette oeuvre quasi-historique. Réussi.
Le festival de cannes de 2023 était riche et très diversifié comme à son habitude. Vu la concurrence, il était difficile pour ce film de remporter un prix. Cependant, Le jeu de la reine est brillant pour la performance de ses acteurs/actrices mais également sur ses décors et ses costumes. L'histoire a dû mal à decoller avant qu'elle soit intéressante vers la moitié du film : On a donc un développement intéressant des personnages avant que le film se transforme en "thriller" très légèrement. Bon film
Bon film historique, qui nous apprend à quel point Henry VIII était une personne détestable... C'est seulement à la fin que j'ai reconnu Jude Law, tellement il est méconnaissable ! ^^
J'ai bien aimé l'histoire de cette reine ( Alicia Vikander) prête à tout pour survivre même mentir au Roi (Jude Law) qui est de nature colérique, tyrannique les deux acteurs incarnent à la perfection leurs personnages Jude Law woah il est méconnaissable grossi et veilli les paysages sont magnifiques et j'ai bien aimé la musique je conseille ce film.
Intéressante évocation de la vie de cette reine exceptionnelle dans la vie moderne qu’elle a pu mener. Alicia est sublime dans ce rôle tandis que le beau Jude Law est formidablement détestable dans le rôle d’Henri 8.
Sixième épouse du roi Henri VIII, Catherine Parr fait suite à cinq femmes qui ont connu un destin tragique, soit en étant décapitées soit en étant exilées à l’étranger. Profitant de l’absence de son mari parti en France pour y conduire une guerre, la reine se rapproche dangereusement des idées radicales et notamment se montre proche du sujet brûlant de la traduction de la Bible en anglais. En salle le 27 mars.
spoiler: "Le jeu de la reine (firebrand)" a le charme des films historiques. On prend plaisir à être immergés dans l’ambiance de l’Angleterre du 16e siècle, où la peste rôde sur fond de questions sociales et religieuses. Les costumes sont réussis. Toutefois, j’ai eu des difficultés à apprécier le découpage très peu subtil des scènes, comme si toutes les coutures étaient laissées apparentes, reliées par des plans fixes du château qui ralentissent une intrigue déjà peu vive et qui pourrait être résumée en trois lignes. Je n’ai pas beaucoup cru à la relation de domination entre les deux époux même si la scène où Henri VIII lui attrape le visage est percutante.
Chacun sait qu’Henri VIII d’Angleterre fut un type détestable, et que, par ailleurs, la religion a été souvent cause ou prétexte à maintes abominations. Le film prend son temps, deux heures, pour illustrer tout cela. Le spectateur languit quelque peu car les moments d’allégresse sont rares. Il s’agit d’une belle reconstitution de cette période de l’histoire anglaise, rien à dire de la réalisation ni des acteurs. Rester cependant jusqu’à la fin (ne pas divulgâcher..) Noirceur et sombritude, c’est le parti-pris de Karim Ainouz, qui est brésilien comme son nom ne l’indique pas..