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    Sur les chemins noirs
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    501 critiques spectateurs

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    Chatcaliban
    Chatcaliban

    26 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2023
    Le film se laisse voir dans l'adaptation du livre du Tesson. C'est un peu linéaire mais une traversée de la France l'est d'une certaine façon. Comme d'hab, le Dujardin fait le taf et - fait emprunté au cinéma étasunien -, il sait pleurer à l'écran. C'est rare chez les Français. La voix off qui cite le livre est un peu grandiloquente avec des phrases à la con sans doute tirées du livre. Ça dénote un peu mais j'ai regardé ce film jusqu'au bout. Il évite le piège de l'homme qui renaît grâce à la marche. Du coup le film n'est heureusement pas édifiant.
    Aline Duret
    Aline Duret

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2023
    Je n.ai pas lu le roman mais j'ai aimé ce film
    Le chemin de croix de Pierre cabossé par sa vie d écrivain qui pour se reconstruire traverse la France. De magnifiques paysages qui donne envie de prendre ses bâtons et de marcher
    "Si tu n' arrives pas à penser, marche; si tu penses trop, marche ; si tu penses mal, marche encore." Jean Giono
    Skywalker
    Skywalker

    27 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2023
    Un film à la fois émouvant et enivrant tant par la reconstruction de l’écrivain au fil des chemins que par la découverte de ces derniers. Le spectateur vit cette retrospection à travers les mots de l’auteur dictée par la voix calme de Jean Dujardin et ses rencontres durant sa traversée.
    Amoureux de nos belles contrées, foncez !
    Soquartz
    Soquartz

    16 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 avril 2023
    Un excellent moment passé en compagnie de Jean Dujardin, absolument convainquant en écrivain meurtri après une chûte idiote d'un balcon d'immeuble et qui veut réparer son corps en dépassant ses souffrances. Cette marche, de plus de 1000 km du sud est au nord ouest de la France, par des chemins pas toujours existants, avec juste un sac à dos, un sac de couchage, des cartes IGN...sans téléphone portable, dans des paysages splendides est un exploit et un défi aussi à notre société moderne. Pierre écrit ses réflexions dans un petit carnet tout au long du périple. C'est une forme de rédemption d'un homme qui a toujours chercher à se confronter à ses limites physiques, qui les a involontairement rencontrées, qui refuse de se soumettre à sa condition d'homme brisé et prisonnier de ses douleurs, qui marche vers la liberté qu'il chérit par dessus tout. Le récit se fait à travers des flash-backs intégrés petit à petit à l'avancée de cette longue marche, et permettent de comprendre les évènements qui l'ont conduit à ce projet insensé. Ce retour (ou cette quête) à l'essentiel est une formidable démonstration de courage et de spiritualité, sans donner de leçon et avec de nombreux moments drôles et légers.
    Paul Roux
    Paul Roux

    7 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juillet 2023
    Même si je n’attendais pas grand-chose de cette adaptation de Sur les chemins noirs, je tenais à la voir. J’avais d’autant moins d’attentes cependant que l’adaptation d’un autre chef-d’œuvre de Sylvain Tesson, Dans les forêts de Sibérie, réalisée en 2016, n’était pas très réussie, du moins si l’on cherche un semblant de ressemblance entre un livre et un film.

    Il faut dire à la décharge des deux réalisateurs qu’il ne doit pas être facile de porter à l’écran deux récits qui mettent en scène un aventurier solitaire. Dans le premier cas, en effet, Tesson raconte son séjour d’un an dans une cabane, sur les rives du lac Baïkal, en Sibérie. Dans le second, l’écrivain, pour se rétablir d’un accident qui l’a laissé dans le coma pendant des semaines, part à pied, seul encore, traversant la France sur 1300 kilomètres, pour l’essentiel par des sentiers sans autos et sans touristes, vestiges des régions rurales d’antan.

    Dans les forêts de Sibérie, les scénaristes avaient imaginé un personnage de Russe en cavale, avec lequel l’ermite se liait d’amitié. Ce n’était pas sans intérêt, mais sans rapport aucun avec le livre.

    Sur les chemins noirs, je savais bien que les scénaristes ne s’en tiendraient pas à la narration hors champ, même si le texte de Tesson est sublime. Ils n’allaient pas résister à la tentation d’ajouter des événements et des personnages, que ce soit sur sa route ou dans son passé. Si au moins cela avait mis un peu de piquant dans le récit. Mais soit on tombe dans l’insignifiance (la rencontre avec le jeune Maghrébin ou avec une vieille tante), soit dans la banalité racoleuse (l’histoire d’amour avec une jeune et très belle lectrice).

    Reste de beaux paysages et quelques pages tirées du merveilleux récit de Tesson, bien lus par Jean Dujardin, qui a enfin quelque chose à dire sur ces Chemins noirs. Si ce récit d’une rédemption vous intéresse, oubliez le film et lisez plutôt Sylvain Tesson lui-même. Si vous ne le connaissez pas déjà, vous allez découvrir un grand écrivain.
    Camille Palais
    Camille Palais

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 mars 2023
    tres déçue il ne se passe rien du tout... du debut a la fin... buvez du cafe avant d y aller pour ne pas vous endormir.... une honte... déçue par Jean Duj d avoir fait cette rave...
    Jipéhel
    Jipéhel

    45 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2023
    La France est belle… oui et alors ?

    Après une carrière d’assistant réalisateur, Denis Imbert a pris son envol de réalisateur en 2015 avec le pitoyable Vicky, suivi d’un honorable Mystère. Le voilà de retour avec du beaucoup plus lourd avec cette adaptation du best-seller autobiographique de Sylvain Tesson de 2016. Un soir d’ivresse, Pierre, écrivain explorateur, fait une chute de plusieurs étages. Cet accident le plonge dans un coma profond. Sur son lit d’hôpital, revenu à la vie, il se fait la promesse de traverser la France à pied du Mercantour au Cotentin. Un voyage unique et hors du temps à la rencontre de l'hyper-ruralité, de la beauté de la France et de la renaissance de soi. 95 minutes en solitaire à parcourir ce qu’on appelle La Diagonale du vide. La gageure est-elle tenue ? A vous de juger. Pour ma part, je reste assez partagé devant ce drame somme toute assez convenu.
    D’abord, j’aimerai qu’on m’explique pour quoi le héros par de La Diagonale du vide alors qu’il traverse la France du sud-est au nord-ouest alors que cette fameuse diagonale désigne un axe allant des landes à la Meuse, soit parfaitement l’inverse ? D’autre part, je me méfie toujours des réactions des spectateurs qui, au sortir de la séance, se contentent de dire « il y avait de belles images ». Oui, la France est belle, mais ça ne fait pas un film, en tout cas pas un scénario. Alors du scénario, parlons-en. Imbert a voulu à tout prix éviter le long récit chronologique de cette longue marche à la fois réparatrice et initiatique. Grâce lui en soit rendue. Il a donc morcelé son récit de retours en arrière pour expliquer l’accident, ses tenants et ses aboutissants, qui a poussé Pierre, le héros, à tenter cette traversée de l’impossible. Mais là aussi, il bouleverse ladite chronologie du récit au passé. Déroutant, parfois maladroit, - voix-off envahissante -, voire agaçant. Reste la reconstruction d’un homme qui accepte de se perdre pour se retrouver.
    Ce qui est certain, c’est que ce film offre à Jean Dujardin un rôle d’une grande force qu’il assume avec un véritable talent. Les « guests », parfaits également avec Izïa Higelin, Anny Duperey, Jonathan Zaccaï, Joséphine Japy, n’empêchent pas le film de tourner un peu à vide à cause de son héros qui se la joue à la mode aventurier « hemingwayen » à grands coups de cigares, de regards perdus vers l’horizon et aphorismes de haute volée. Agaçant, car on était en droit d’attendre plus de cette adaptation.
    DomDom
    DomDom

    2 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2023
    Superbes paysages. Jean Dujardin tout en nuances. On se laisse entrainer par ce film tiré d'une expérience vécue
    FaRem
    FaRem

    7 516 abonnés 8 877 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2023
    On peut parcourir le monde et ne pas connaître son propre pays. Après une lourde chute, qui a failli le laisser paralysé, voire pire, Pierre se lance le défi de parcourir la France à pied en suivant la diagonale du vide. En adaptant le livre éponyme de Sylvain Tesson, Denis Imbert fait une déclaration d'amour à cette France rurale et dépeuplée dont il montre les beautés et livre le récit introspectif d'un homme qui cherche à se reconstruire après un grave accident. "Sur les chemins noirs" est un film aussi simple que beau. Il se dégage une certaine poésie et une certaine fragilité qui rendent à la fois ce voyage apaisant et émouvant. Jean Dujardin est remarquable dans ce rôle. Cela aurait pu être dénué d'intérêt, mais j'avais envie de prendre la route avec lui pour contempler tous ces magnifiques paysages. Si les décors naturels nous accompagnent, l'histoire est vraiment centrée sur Pierre et pas sur les détails du quotidien. Il n'y a quasiment rien sur le côté « survie » tandis que les différentes étapes paraissent parfois précipitées. Quant aux moments où il n'est plus seul, j'aurais préféré voir plus de rencontres que de retrouvailles avec des proches. Des détails, car il s'agit d'un beau film qui a réussi à me toucher et à me faire voyager dans des endroits finalement pas si loin...
    Jorik V
    Jorik V

    1 205 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 juillet 2023
    On est ici face à l’adaptation cinématographique d’un roman éponyme de Sylvain Tesson, une œuvre elle-même autobiographique puisqu’inspiré d’un évènement issu de sa propre vie et plus particulièrement d’un grave accident qu’il a subi. Avant cela, également tiré d’une œuvre de ce romancier et aventurier, on a eu droit au cinéma au film très sympathique et dépaysant « Dans les forêts de Sibérie » adapté par Safy Nebbou et avec Raphaël Personnaz. Mais aussi au documentaire à succès qui a fait le tour du monde, « La Panthère des neiges », un travail inspiré de sa rencontre avec cet animal en voie de disparition grâce au photographe animalier Vincent Munier. Tesson et Meunier y sont d’ailleurs les protagonistes et narrateurs. Le coma artificiel vécu par Tesson suite à sa chute puis la rééducation qui l’ont suivi ont rendu l’auteur avide de ces grands espaces qui lui manquaient tant (c’est un écrivain explorateur qui a fait le tour du monde). Il a donc traversé la France à pied selon la diagonale du vide contre l’avis de ses médecins. Et il en a fait un livre, intitulé donc « Sur les chemins noirs », dont voici le versant cinématographique.

    Une œuvre qui prouve que tous les écrits ne sont pas forcément bons sur grand écran. Ou alors que celui-ci n’a pas eu la chance d’avoir le meilleur des transcripteurs en la personne du réalisateur. Ici c’est Denis Imbert qui est à la mise en scène et sa carrière ne présageait pas du meilleur. En effet, il a été assistant réalisateur sur beaucoup de films peu mémorables et réalisateur du nullissime « Vicky » ainsi que du film animalier très peu intéressant « Mystère ». On peut toujours être surpris, il est vrai, mais il est clair que cela commençait mal, surtout avec un roman très introspectif faisant la part belle aux réflexions personnelles et aux paysages. Pour sûr, un nouveau documentaire avec l’écrivain lui-même eut été bien plus logique et adapté. Certes, « Sur les chemins noirs » n’est pas non plus mauvais ou raté mais il s’avère peu enclin à nous faire ressentir le chemin parcouru par Tesson, psychologiquement comme visuellement. Heureusement, le film est assez court et n’ennuie pas mais il ne fait vraiment pas honneur à cette incroyable histoire de résilience et de dépassement de soi.

    On attendait au moins de superbes paysages bien mis en valeur. Et si certains font leur effet, c’est comme si Imbert avait choisi de montrer le moins beau, le plus banal. On est donc également déçu à ce niveau. Et quand un homme fait une traversée de la sorte en solo, il faut savoir garder l’attention du spectateur. De « Seul au monde » à « Into the Wild », ce type d’aventures peut aussi bien ennuyer (le premier, et oui...) que fasciner (le second). « Sur les chemins noirs » rentrerait presque dans la première option, à la limite d’être chiant, s’il n’était si court. Les logorrhées verbales du personnage, très (trop) écrites pour le cinéma, ont leur place dans un livre mais passent beaucoup moins à l’écran. Entre aphorismes pompeux et petites vérités agréables à entendre, on est dans un entre-deux que cette voix off omniprésente rend plutôt répétitif et hésitant. Quant aux seconds rôles, ils n’ont absolument pas le temps d’exister et ne font que passer, rendant le long-métrage encore plus maladroit et futile. Le montage alterné était une évidence et aère un peu l’ensemble mais les scènes d’avant sont trop courtes et n’atteignent pas leur but. Heureusement, il y a Jean Dujardin. Impérial et excellent, il relève le niveau avec brio de cette adaptation plus inutile que ratée. Un film qui donne surtout envie de plutôt lire le livre...

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    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 022 abonnés 4 094 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2023
    Un peu iconoclaste pour ne pas dire plus en 2023 d’adapter au cinéma le roman biographique de Sylvain Tesson, fils du célèbre journaliste Philippe Tesson mort récemment. Classé dans la catégorie écrivain voyageur, Sylvain Tesson se voit souvent contester cette qualification au prétexte qu’il serait de facto le chef de file d’un courant qui recyclerait tous les poncifs des récits de voyage des écrivains du genre depuis la seconde moitié du XXème siècle (dixit Guillaume Thouroude dans son livre, la pluralité des mondes : le récit de voyages de 1945 à nos jours). Les principaux reproches : une essentialisation des peuples rencontrés, un regard hautain sur le monde et une idéologie néo-colonialiste un peu rance. Des questions que n’a pas dû se poser Jean Dujardin quand il a accepté d’incarner l’écrivain alors qu’encore meurtri par une chute de huit mètres d’un balcon parisien, il décidait en 2015 d’entreprendre une traversée de la France du parc du Mercantour jusqu’au nez de Jobourg sur les côtes du Cotentin en empruntant autant que possible les chemins non balisés. Après avoir lu le livre et vu le film magnifiquement interprété par Jean Dujardin, on découvre juste un homme qui tente de se reconstruire et qui tout au long de sa marche s’interroge sur les changements que la main de l’homme a fait subir aux paysages et au mode de vie rurale qui longtemps présida à la vie des hommes de France comme d’Europe. Un homme émerveillé par la nature qui l’entoure mais aussi bien conscient de sa position de privilégié ayant pu bénéficier des meilleurs soins pouvant s’offrir cette pause sabbatique, pas obligé de retrouver un travail adapté à sa nouvelle condition physique. Que peuvent donc bien vouloir lui reprocher ces quelques philosophes un peu obscurs ? Le succès d’édition sans doute. En revanche, les non-atrabilaires qui aiment la marche en pleine nature et le dépassement de soi trouveront possiblement leur compte à la vision de « Sur les chemins noirs » où il faut encore le répéter Jean Dujardin totalement investi et d’une sobriété exemplaire est remarquable livrant sans doute sa meilleure interprétation hors de son champ d’action privilégié. À voir absolument.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 187 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 avril 2023
    Inspiré du roman de Sylvain Tesson, "Sur les chemins noirs" met en scène Jean Dujardin dans le rôle d'un écrivain qui tente de se reconstruire après un accident. Pour y parvenir, il traversera le pays à pied, du Mercantour au Cotentin. Si le film offre de beaux paysages et de belles citations, le comédien stigmatise de bobo Parisien qui découvre la France rurale.
    Redzing
    Redzing

    944 abonnés 4 307 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2023
    Après un grave accident, un écrivain alcoolique décide de franchir la France à pied, par les petits chemins. L'occasion d'une introspection, pour retrouver un sens à sa vie.
    Je vais être direct, ce film a deux qualité principales. D'une part, les très jolis paysages naturels immaculés, largement mis en valeur. "Sur les chemins noirs" pourrait amplement constituer un clip promotionnel pour les randonnée dans l'Hexagone !
    D'autre part, la prestation touchante de Jean Dujardin, en auteur intello qui se remet en question, et délaisse sa vie citadine de fêtes et de cigares.
    Pour le reste, c'est à la fois un peu superficiel et trop littéraire.
    Superficiel, car plusieurs thématiques ne sont qu'effleurées, dont celle de la ruralité et l'opposition villes/campagnes. Tandis que le film tourne à vide. Le montage tente de ménager les flashbacks pour créer un semblant de suspense, mais le récit ne s'élèvera jamais au-delà d'une chronique.
    Trop littéraire, car on passe notre temps à entendre les textes écrits par notre protagonistes. Qui sont, j'imagine, ceux du livre dont le film est tiré (lui-même basé sur la vraie expérience de son auteur). Alors oui, Dujardin a une jolie diction, et oui c'est joli. Mais j'ai clairement eu l'impression de voir des images accompagnant une séance de lecture, plutôt que de voir du cinéma tenter de nous livrer ces idées.
    lionelb30
    lionelb30

    390 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2023
    Histoire et aventure humaine hors norme. Le film lui retrace donc cette traversée de la france avec de belles images et quelques peripeties mais c'est repetitif et parfois longuet.
    stallonefan62
    stallonefan62

    242 abonnés 2 488 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 novembre 2023
    Si je résume grossièrement ce film, c'est 1h30 de marche avec Jean Dujardin !! Peu d'intérêt en somme ..... A noter des beaux paysages
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