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    àma Gloria
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    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    5 abonnés 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2024
    Une petite fille voit sa nounou obligée de partir dans son pet d'origine, car sa mère vient de décéder. La nounou est du Cap Vert. Pour la petite fille, c'est une déchirure, cas sa maman est décédée, et sa nounou est un élément important de sa vie. Son père l'envoie pour les vacances d'été chez sa nounou, où elle apprendra à vivre avec les vrais enfants de la nounou où elle sera confrontée à la vie courante de sa nounou dont les préoccupations sont différentes et la vie courante dans un autre univers.
    La grande qualité du film est la formidable Louise Mauroy-Panzani, toute en émotions et subtilités, comme le film lui-même. Même si la progression dramatique n'est pas subtile et se devine : les cellules dramatiques maraudent entre chaque membre de la famille. Sa fille, son fils,la nounou elle-même, chacun toujours en interaction avec la petite fille.
    Le film contient une idée intéressante sur la forme : l'utilisation de dessins animés pour les montages séquences de transition. Cela provoque curiosité du spectateur tout en faisant progresser la dramaturgie. En quatre-vingt-trois minutes la réalisatrice fait passer une multitude de sujets et de micro drames, sans que cela paraisse bâclé, et en suscitant souvent de l'émotion chez le spectateur.
    Mélany T
    Mélany T

    29 abonnés 490 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2024
    Une œuvre belle, intelligente, épurée, aux actrices merveilleuses et à l'émotion bouleversante.
    Carameletcinema
    Carameletcinema

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2024
    quelle magnifique portrait d'enfance. Le film m'a bouleversé, et les dessins sont sublimes.
    Le mélange animé et film est très pertinent
    No Quarter
    No Quarter

    3 abonnés 332 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2024
    Très belle sensibilité. Beaucoup d'humanisme. De magnifiques animations peintes et dessinées. Une belle musique. De bons acteurs dont la petite Louise Mauroy-Panzani (qui devrait choisir un pseudo plus vendeur pour sa carrière) qui est remarquable. Une belle histoire, simple, sans accroc.
    Fiers R.
    Fiers R.

    66 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 novembre 2023
    Le premier mot qui nous vient en tête après avoir visionné ce petit film humble, à la simplicité et à la pureté assumée est sans conteste « mignon ». Tout y est mignon : les deux actrices non professionnelles, les scènes de tendresse et de complicité entre elles, la vision que Cléo a du monde et surtout ce regard infiniment juste que porte la réalisatrice sur l’enfance. La pudeur, la sincérité et la délicatesse avec laquelle la relation entre cette petite fille qui a perdu sa mère en étant jeune et cette nourrice cap-verdienne qui vient de perdre la sienne est dépeinte est absolument bouleversante de vérité et d’émotions. On défie quiconque de ne pas être à minima touché si ce n’est totalement ému par ces deux magnifiques personnages.

    « Amà Gloria » peut se voir comme un film d’été, un petit récit initiatique précoce (et exotique puisque la plupart du film se déroulera sur une des îles de Cap-Vert), mais c’est surtout la peinture de deux personnages qui débordent d’amour l’une pour l’autre et dont le lien est devenu infiniment fort qui prédomine. Entre rires (les réflexions pleines d’authenticité et de naturel de Cléo) et larmes (lorsque Gloria repart ou la fin, déchirante), le film nous promène durant une heure et vingt minutes au sein d’un récit solaire, constitué de plein de petites choses qui font la vie et qui se pare de vrai à chacun de ses plans et de ses séquences. Une approche quasi documentaire qui n’est pas pour rien dans ce ressenti devant le long-métrage éminemment naturaliste.

    On pourra trouver les séquences animées censées figurer les émotions de Cléo dispensables et penser aussi que le récit demeure circonscrit aux limites de son sujet. Et c’est un peu vrai tant « Amà Gloria » ne va plus loin que le récit estival d’une petite fille partie retrouver sa nourrice pour les vacances. D’ailleurs si le film est si court c’est peut-être aussi pour cela. On trouve également le comportement de César, le fils de Gloria, un peu poussif et manquant de nuances. Mais l’osmose entre ces deux magnifiques comédiennes emporte le morceau; elles sont toutes deux extraordinaires. On s’attache à elle et on croirait à en jurer que l’une est vraiment la nourrice de l’autre. Elles insufflent à « Amà Gloria » le supplément d’âme et de magie nécessaires à un tel projet.

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    Bernard D.
    Bernard D.

    102 abonnés 609 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2023
    « Àma Gloria » est le premier long-métrage en solo de Marie Amachoukeli (2023). La petite Cléo (Louise Mauroy-Panzani) a perdu sa mère d’un cancer il y a plusieurs années et est élevée à merveille par une nounou, Gloria (Ilça Moreno), originaire du Cap Vert. Tout va pour le mieux mais la mère de Gloria étant décédée, elle doit retourner chez elle et y retrouver ses 2 enfants spoiler: : César jaloux de ne pas avoir été élevé par sa mère et Fernanda qui est enceinte
    . Le père de Cléo offre alors à sa fille un magnifique cadeau : allez passer ses dernières vacances chez Gloria. Le film comprend des scènes pour ma part inutiles (la visite du chantier de la maison-hôtel que Gloria fait construire) et quelques incongruences psychologiques pour une petite fille sensée avoir 6 ans… mais c’est un grand film d’amour fusionnel. On pourrait regretter de n’en savoir pas plus sur le parcours de Gloria et le Cap-Vert mais le film est volontairement vu à travers Cléo avec une caméra souvent à hauteur de ses yeux, de ses lunettes d’où la première scène chez l’ophtalmologue.
    Ce n’est pas un chef-d’œuvre mais un film en partie autobiographique très agréable à regarder avec 2 actrices inconnues vraiment superbes. Le film est enrichi par des séquences d’animation fort judicieuses exprimant la violence de certains sentiments.
    Horomi
    Horomi

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 octobre 2023
    Un chef d'oeuvre d'une tendresse absolue. On explore avec cette toute petite fille tout l'arc en ciel des sentiments humains. On rit avec elle. On pleure avec elle. On se questionne, on s'inquiète... on se met en colère.. on se renferme.. j'en suis sortie dévastée... en larmes.. j'en suis sortie émerveillée...
    Lynebonnaud
    Lynebonnaud

    1 abonné 52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2023
    Gloria s’occupe de Cléo. A l’annonce du décès de sa mère, elle doit brutalement rentrer dans son île Capverdienne de Santiago. Bien qu’elle fasse à Cléo la promesse de se revoir, elle sait qu’elle ne reviendra pas. De concert avec le papa, elle accepte de recevoir Cléo parmi les siens, derniers jours d’un été ensemble, le temps de se dire au revoir.
    En France, les films d’été sont un genre de cinéma associé aux films d’apprentissage. Ama Gloria n’y échappe pas. Si ce n’est que l’apprentissage ici est celui de la séparation, de celle qui s’associe au deuil d’un amour qui remplit le quotidien. Comment se séparer, quand on occupe tout l’espace dans la vie l’une de l’autre, et que l’on vit sous des latitudes et conditions de vie complètement différentes…
    Gloria doit désormais s’occuper de ses propres enfants, jusqu’alors confiés à sa défunte mère, qu’elle ne connait pas. Mère de substitution, elle doit faire le deuil d’une enfant qui n’est pas la sienne, dont elle s’occupe pour permettre aux siens de survivre. Et pour Cléo, Gloria sa nounou, occupe tout l’espace de ses plus lointains souvenirs. Elle doit faire un double deuil en Gloria.
    Le film porte en lui les imperfections d’une réalisation un peu appliquée et d’une mise en scène très linéaire. Mais il véhicule aussi une grande fraîcheur. La caméra sensible de la réalisatrice capte les émotions brutes au plus près des visages avec beaucoup d’authenticité. Le spectateur ne se trouve jamais pris en otage émotionnellement, ce qui eut été facile avec une jeune actrice si photogénique. La bouille de la fillette dont les dents de lait viennent de tomber avec son regard de myope dissimulé derrière ses grosses lunettes, aurait pu suffire à donner au film un charme fou. Cela aurait été sans compter sur ses qualités d’interprétation. Si un prix dédié aux enfants était remis, elle aurait pu être récompensée, en lice avec le jeune Milo Machado Graner d’ « Anatomie d’une chute ».
    L’intrigue est construite à hauteur d’enfant et le choix des animations douces et colorées qui entrecoupent les scènes, saisissent bien les émotions de la fillette. Elles contribuent à rythmer le film qui eut été sinon un peu trop sage. Il s’en dégage une forme de poésie.
    On sent du vécu dans cette histoire intime portée à l’écran et dans l’interprétation d’Ilça Morenzo Zego qui donne magnifiquement le change au très beau personnage de Gloria. Femme-courage dont les traits placides se substituent au visage de Cléo, facilement déformé par les émotions qui la submergent. C’est le contraste des deux visages, alternativement serrés dans des gros plans, qui se révèlent l’un à l’autre, dans l’intensité des bouleversements qui les traversent. C’est là, toute la beauté du travail de la réalisatrice, de ne pas céder à la facilité qui pourraient contraindre l’expression des sentiments, mais de s’en tenir aux images pour saisir les ressentis. Elle fait par ailleurs l’économie des paysages de cartes postales pour se concentrer sur les préoccupations enfantines et adolescentes, sous le regard adulte et bienveillant de Gloria.
    Ama Gloria est un film qui nous serre le cœur à la fin de l’été.
    kaori3
    kaori3

    15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 octobre 2023
    quel jeu d'actrices ! les parties animées rajoutent un vrai plus. excellent film. A voir absolument
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 586 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 octobre 2023
    Cléo, 6 ans, est éduquée par une nounou capverdienne. Toutes les deux ont un attachement fort. La nounou, aux enfants laissés au pays pour gagner sa vie en France, vit une relation maternelle de substitution. Elle connaît bien son rôle auprès de la petite fille, une passagère de son enfance, mais l’affection est réelle et bien sincère. Dans la tête de l’enfant, c’est différent ; Gloria est une mère de substitution ; la sienne ayant disparue. Et c’est la première partie du film, nous montrer les liens sentimentaux, l’amour profond quasi maternelle, entre deux êtres de familles et de cultures différentes. L’amour transcende toutes les frontières, un miracle de l’innocence de l’enfance.
    Puis, car c’est un mélo ; la nounou doit retourner au pays ; c’est la séparation et le déchirement. La seconde partie va nous entrainer au Cap-Vert durant les vacances d’été et ce qui sera les adieux entre ces deux-là. Arrivée là-bas, Cléo découvre une autre Gloria, entourée des siens, de sa famille. Famille dans laquelle elle a toute sa place même si la rancœur tenace bien compréhensible du fils cadet de Gloria vient ternir, de manière réaliste, le tableau. Le film veut montrer au-delà de l’attachement, le sacrifice de devoir quitter ses enfants, les voir élever par d’autres pour élever ceux des autres dans d’autres pays. Jamais larmoyant, ce film montre une belle facette de ces histoires de vie dans lesquels les droits de l’amour et de l’affection sont supérieurs à ceux du sang. Tout cela avec toujours beaucoup de pudeur et de retenue jusqu’à une fin qui serre la gorge.
    Pour comprendre l’histoire respective de Gloria et Cléo, dans ce premier film autobiographique, la réalisatrice utilise systématiquement les séquences animées d’un esthétisme et d’une poésie incroyable ; poésie qui irradie tout le film. Et les deux actrices non professionnelles sont lumineuses, bouleversantes ; filmées avec une forme de naturalisme que l’on peine à croire que ce n’est pas leurs histoires que l’on nous conte. Et dernière qualité du film, sa concision ; un peu plus de 1h20 qui ne laisse qu’un petit coup de mou à mi-parcours avant d’attaquer son final.
    Ce film foudroie par sa douceur, sa tendresse, sa délicatesse, sa simplicité, son humilité et sa pureté… Un bon cru 2023
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    frederic bardy
    frederic bardy

    12 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2023
    Ce film est un chef d'œuvre absolu de tendresse , d'émotions et d'amour entre une petite fille et sa nounou , nounou qui la quitte pour repartir sur son île natale . S'en suit pour la petite fille un voyage pour aller la retrouver et renouer avec elle cet amour fusionnel qui lui manque tant .

    Un des plus beaux films de 2023 !!
    À voir absolument sans aucune retenue.
    Matthieu B.
    Matthieu B.

    9 abonnés 142 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2023
    Film visionné au cinéma.

    Les deux acteurs principaux produisent une excellente prestation sur ce film.

    Le réalisme, la difficulté pour cette petite d'exprimer ce qu'elle ressent est touchant et dépasse ce qu'un téléfilm ferait. Mais il convient d'y ajouter deux bémols ; tout d'abord, une relation fusionnelle doit se prouver à l'écran pour produire des sentiments. Ce point aurait pu être corrigé puisque le film ne dure que 1h24. Nous démarrons avec une relation déjà construite. L'autre point est la fin spoiler: avec le saut où on imagine mal un enfant survivre
    .

    L'idée de couper le film avec de l'animation est une excellente idée : à la fin. Le spectateur imagine ce qui se passe. Mais sur toutes les autres coupures animées, le spectateur médite sur ce qui ne va pas. Et la liste est assez longue.

    A commencer par la folie de la réalisatrice de se concentrer sur des plans cadrant le visage des personnages. A l'exception de deux ou trois moments, nous avons pendant 1h24 des plans de 1m50. Heureusement que la prestation des acteurs est bonne ! C'est utile pour transmettre de l'émotion et c'est probablement ce qui a plu aux critiques. Mais les scènes sont confuses et progressivement, ce monde tellement réduit en est ennuyant.
    Sur un film aussi court, c'est un problème que d'arriver à s'ennuyer et de se demander si on ferait pas mieux de sortir avant du cinéma. Mais sur un film réaliste, l'ennui dérange moins que sur un film qui ne l'est pas. 2/5.
    Jipéhel
    Jipéhel

    24 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 octobre 2023
    Dans les yeux d’une fillette

    Que peut-on y voir pendant 84 minutes ? Tout ou presque. La peur, la colère, la joie, la tristesse, la haine, l’incompréhension… tout je vous dis. Cléo a tout juste six ans. Elle aime follement Gloria, sa nounou qui l’élève depuis sa naissance. Mais Gloria doit retourner d'urgence au Cap-Vert, auprès de ses enfants. Avant son départ, Cléo lui demande de tenir une promesse: la revoir au plus vite. Gloria l’invite à venir dans sa famille et sur son île, passer un dernier été ensemble. Depuis 2014, et son très remarqué Party Girl, Marie Amachoukeli avait disparu des radars. Elle réapparaît avec cette petite merveille bouleversante, où elle se révèle comme une formidable conteuse d’émotions. J’ignore si vous pourrez encore voir ce superbe petit film sorti trop discrètement sur les écrans le 30 août dernier et qui n’arrive dans ma région qu’aujourd’hui. Si c’est le cas, précipitez-vous.
    Ce film raconte la place de quelqu’un qui s’occupe d’un enfant pour gagner de l’argent car c’est son travail, et comment parfois cela déborde… C’est la réalisatrice qui parle ainsi du même drame qu’elle a vécu à 6 ans, l’âge exact de la petite Cléo. La leçon de ce film c’est qu’il n’y a pas que les parents qui peuvent avoir un amour débordant pour leurs enfants, et qu’à l’inverse, un enfant peut ressentir cet amour-là, absolu, pour une personne qui n’est pas son parent. Ce film a fait l’ouverture de la Semaine de la Critique au Festival de Cannes et on comprend mieux pourquoi. L’émotion est ici palpable, les sentiments vrais, et la caméra suit chaque regard, chaque caresse, chaque mouvement de la nounou et de la petite fille. En nous racontant toute cette histoire à hauteur des yeux de Cléo, la cinéaste privilégie avec beaucoup d’habileté le hors-champ en limitant son récit à travers le prisme, même s’il peut s’avérer déformant, du regard d’une enfant. Et on ne peut pas passer sous silence, les parties en peinture animée qui ponctuent les différents épisodes, et qui sont d’une réelle beauté. Un film sensoriel qui ne pourra vous laisser insensible.
    La petite Louise Mauroy-Panzani a une présence incroyable. Tout est effectivement dans son regard et, comme je l’ai dit, elle nous fait partager tous les moments intenses de sa vie de fillette car elle est filmée au plus près avec une rare intelligence. Ilça Moreno Zego, capverdienne d’origine, a vécu une bonne partie des événements relatés dans ce film. C’est effectivement sa vie réelle qui a enrichi le scénario. Le film raconte donc le parcours de deux émancipations : celle d’une femme qui revient dans son pays pour ne plus être l’employée de qui que ce soit et devenir indépendante, et celle d’une enfant qui apprend à grandir et s’aventurer dans la vie. Un petit miracle foudroyant de tendresse, de délicatesse et de pureté, qu’il faut découvrir.
    rvrichou
    rvrichou

    91 abonnés 385 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2023
    Pas inintéressant mais à chaque scène on se demande comment la réalisatrice a pu obtenir ce qu elle voulait de cette jeune héroïne au demeurant remarquable d expressivité . On imagine les stratagèmes et finalement cela fait un écran qui empêche l'émotion de s exprimer vraiment.
    charboyon
    charboyon

    11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 septembre 2023
    Une interpretation incroyable de l'enfant et de la nounou, tout en justesse, dans ce film d'une grande sentimentalité, sans jamais tomber dans la miièvrerie.
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