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White Fingers
6 abonnés
922 critiques
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2,5
Publiée le 9 avril 2024
« À l'aube du 6e jour », qui exploite les inquiétudes liées aux dérives de la génétique, se présente comme un thriller high-tech plutôt agréable. Toutefois, l'exploration du clonage et ses implications auraient pu bénéficier de la touche d'un réalisateur comme Cronenberg ou Verhoeven, capables de donner plus de profondeur à ce sujet. Malgré cela, l'ensemble reste divertissant, surtout avec la présence double d'Arnold Schwarzenegger, qui ajoute un intérêt particulier au film. Cependant, le film pâtit de son traitement parfois confus des différents genres qu'il tente de mélanger, et il ne parvient pas à échapper aux clichés des films d'action des années 80. Bien que le concept de clonage offre des moments de réflexion intéressants, le résultat final semble édulcoré et manque de l'innovation nécessaire pour marquer les esprits durablement. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Un bon film qui mélange l'action et la science fiction. Arnold Schwarzenegger est toujours au top dans le rôle de ce personnage modèle que d'un seul coup on veut supprimer. Le film a une intrigue intéressante en l'histoire du clonage, proposant divers point de vue, des choses comme l'amour d'une personne qui perdurer, en la clonant, elle reste eternel, et son effet inverse, à savoir la contre nature, qui aurait le droit de vie et de mort. Un film où l'ère du clonage était très controverse à son époque. Pour le reste on passe un bon moment jusqu'au dénouement final. Schwarzenegger s'impose comme étant un grand acteur de film d'action.
D'un postulat de départ hyper intéressant, Roger Spottiswoode passe assez rapidement de la SF pure au film d'action basique. C'est quelque peu dommage car la double dose de Schwarzy était plutôt sympa mais on retombe trop vite dans les travers des films de cette époque, à savoir ça va cogner dur et balancer des punchlines. Si l'ensemble est tout de même rondement mené, certaines scènes apparaissent bien kitsch et les faux raccords brûlent les yeux. Ça reste pas mal, notamment pour le propos et le questionnement sur le clonage mais il faut reconnaître que la ligne directrice de départ vole trop vite en éclats et que ça n'a pas forcément très bien vieilli. Merci la nostalgie.
Film d'action assez classique, A l'aube du 6e jour passe en revue les thématiques habituelles de la science fiction, notamment autour de l'identité et de l'humanité. Cependant, l'écriture est assez chaotique, de même que le jeu un peu caricatural des acteurs et actrices du film.
Il est inconcevable de mettre plus de 0,5 à ce navet. Arnold y est plus nul que jamais, le film est lourd, idiot et sans aucun intérêt. Qui plus, il fait preuve d'une absence crasse de connaissance sur le sujet qu'il traite. C'est maladroit, mal foutu et laid.
A la fin des années Swarzy, "A l'aube du 6ème jour" est un correct film de Science Fiction sur le clonage. La réalisation a fortement vieillie ainsi que les effets spéciaux, mais le scénario se suit sans trop d'ennui. ça pose des questions sur notre rapport à la génétique et aux avancées de la science.
Une trame tout à fait alléchante mais la confusion des genres nous perd un peu. Et si la vision du futur reste intéressante on ne sait en effet pas sur quel pied danser: Schwarzy excelle dans les scènes d'action et le jeu speedé mais montre un jeu plus que limité lorsqu'il s'agit de jouer plus en finesse, à l'instar du film, donc, qui ne parvient pas à négocier le virage entre action pure et science fiction plus cérébrale. Pourtant on ne s'ennuie pas. C'est au final une SF d'action agréable.
Ce n'est clairement pas le meilleur film avec Arnold Schwarzenegger. Cependant il a le mérite de pointer du doigt les dérives du clonage. En 2023 on en est plutôt rendu à chercher des protéines végétales qu'à produire des clones d'animaux pour nourrir les humains. Les transhumanistes envisagent le premier homme qui vivra 1000 ans (il parait qu'il est déjà né). Ce film montre comment cela pourrait arriver et les problèmes éthiques que ça pose. Cependant, 23 ans après sa sortie, les effets spéciaux ont beaucoup vieilli, ce qui gâche un peu le plaisir. À l'inverse, la vision du futur est déjà dépassée, en tout cas sur le plan du design des objets technologiques. Au détour d'une scène d'action le héros pris soudain d'une conscience paternelle demande poliment aux méchants de faire preuve de retenue face à sa fille : "Je ne veux pas l'exposer à un déferlement de violence. Elle en voit assez comme ça dans tous les médias." Eh oui, il n'y a rien de pire que les JT pour les enfants ! On a aussi le droit à un brin d'humour, à condition d'être attentif avec cette réplique subtile : "Allez vous faire encloner." Quant aux fans de l'acteur, ils apprécieront cette phrase prononcée en sortant du magasin Repet : "Merci, je reviendrai." À réserver quand même aux connaisseurs.
Vu le 20/01/2023 Un bon film de Schwarzy que je n'avais jamais vu et qui surfe sur le thème du clonage humain. On prend comme souvent avec notre héros autrichien une belle dose d'adrénaline mais l'humour n’est jamais oublié avec des punchlines dont seul Arnold a le secret. Les méchants sont aussi des acteurs connus avec l'excellent Michael Rooker (Robert Marshall) qui va réussir lui aussi à mourir et à renaitre et le toujours excellent Robert Duvall (Dr Griffin Weir) qui va se repentir de ses actes. Quelques combats sont sympa de même que le vol en hélico en début de film. On en comprend pas toujours tout notamment au début mais on passe un bon moment avec surtout ce face à face final entre les deux Schwarzy qui vont s'allier pour vaincre le cruel Michael Drucker (joué par Tony Goldwyn) notamment quand ils préparent la poudre explosive dans le garage, c'est sympa un double Schwarzy Un seul regret, j'ai raté les 5 derniers minutes du film, mon enregistrement était trop court, la barbe!!!
Une vraie purge , je sais pas comment j’ai fais pour tenir jusqu’à la fin tellement ! Je me demande combien a coûté ce navet Nul nul nul et aucun intérêt
Film de science-fiction réalisé par Roger Spottiswoode, À L'Aube Du 6ème Jour est un long-métrage ambitieux mais inabouti. L'histoire se déroule en 2100 et nous fait suivre un père de famille qui, en rentrant chez lui après le travail le jour de son anniversaire, va découvrir qu'un clone est chez lui à sa place. Ce scénario, beaucoup plus riche que ce bref résumé, est agréable à suivre même s'il comporte quelques défauts, à commencer par sa durée. En effet, les deux heures se font ressentir et auraient gagnés à être raccourcies. Car si l'intrigue est bien écrite, l'action prend tout de même un peu trop de place et s'avère redondante à la longue. Mais l'univers crée est une vraie réussite tant ce monde futuriste propose pleins d'idées préfigurant ce que sera demain. On croit parfaitement à cette époque lointaine qui pousse à la réflexion dans ses thématiques abordées. En effet, le sujet du clonage et les dilemmes moraux que cela engendre est très bien traité à travers ce récit au ton sérieux mais avec quelques touches d'humour plutôt bien senties. Il est à l'image des personnages qui sont appréciables et interprétés par un casting comportant de jolis noms, avec en tête d'affiche deux Arnold Schwarzenegger pour le prix d'un, mais également Michael Rapaport ou encore Robert Duval qui incarne un antagoniste charismatique. Les autres rôles ne sont pas en reste et tout ces individus entretiennent des échanges agréables, soutenus par des dialogues de bonne facture. L'ensemble est convenablement réalisé par Roger Spottiswoode dont la mise en scène donne du rythme. Les effets-spéciaux quant à eux, sont plus ou moins convaincants selon les situations, mais restent globalement corrects, sans briller pour autant. La b.o. pour sa part colle bien à l'action, même si ses compositions n'ont rien de mémorables. Reste une fin satisfaisante venant conclure cette aventure. Au final, À L'Aube Du 6ème Jour est un film méritant tout de même le coup d’œil car il possède quelques qualités, même si on sort du visionnage avec quelques regrets en se disant qu'il y avait matière à faire encore mieux.
chef d'oeuvre. le scénario est en béton armé, une organisation secrète de clones, des effet spéciaux incroyables pour l'époque, de l'action incroyable a la Arnold Schwarzenegger mélangé au style d'action Sylvester Stallone, des explosion des tir de laser dans un monde futuriste, des élicoptères, des musiques d'action, des référence a des scènes cultes comme celle du parking faisant rapeler la scène de parking dans le premier terminator, la référence a la scène du comissariat quand il rentre dans une maison avec sa voiture. des acteurs de légende, des sensations fortes.