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I'm A Rocket Man
251 abonnés
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3,5
Publiée le 26 juillet 2024
Film assez décevant dans son ensemble... bon je ne parle pas de Valérie Lemercier qui est médiocre comme toujours mais seulement du film en lui même ! Le thème du refuge LGBT était pourtant bon et prometteur mais le problème c'est que les cas des jeunes ne sont pas assez développés et on n'arrive pas à s'attacher à eux ! Les scènes s'enchainent telles des saynètes et il n'y a pas la profondeur et l'émotion attendues ! Au final on s'ennuie et on en ressort frustré... dommage pour Yann & Benjamin qui en attendaient beaucoup. Bon Rachid a aimé et tant mieux pour lui mais autrement on s'est ennuyé sec -_-
Enfin un film qui traite sans caricature, avec drôlerie et émotion, d’un sujet quasi ignoré par les réalisateurs. Tous les personnages trouvent leur place dans ce film choral. Les jeunes acteurs sont particulièrement impressionnants. Valérie Lemercier est époustouflante.
Le thème choisi par Bryan Marciano pour son premier film est intéressant quand on connait la dure réalité de ces jeunes rejetés par leur famille en raison de leur sexualité. Le fait de raconter ces histoires individuelles tirées de faits réels était une bonne idée mais hélas le propos se délite et perd en puissance, car le réalisateur en focalisant sur trop de personnages dans une cacophonie générale au sein d'une famille hétéroclite recomposée par la force des choses, nuit à l'empathie du spectateur. Ce petit supplément d'âme comme dans le film " De toutes mes forces (2016) " avec Yolande Moreau où l'on suivait le parcours d'un jeune en particulier offrait une puissance émotionnelle plus tangible. Il n'en reste que pour un premier film, cela reste honorable, et le personnage de Valérie Lemercier est plutôt bien brossé. Un réalisateur à suivre...
Film bouleversant sur ces jeunes LGBT qui se cherchent, doutent, désespèrent, film inspiré d'histoires vraies. L existence de ces structures d'accueil est certes bénéfique à leur insertion mais quid lorsqu'ils se retrouvent obligés d'être autonomes et de quitter le centre?
Voyou récidiviste, Alex débarque dans une association d'aide aux LGBT mis à la rue, pour des travaux d'intérêt généraux. D'abord paumé, il trouvera peu à peu un sens dans son quotidien. Le thème du film est salutaire. D'autant plus que personnellement, j'ai énormément de mal à concevoir que l'on puisse chasser un membre de sa famille uniquement sur base de son orientation sexuelle. "L'Arche de Noé" a ainsi le mérite de rappeler que cette forme d'intolérance existe, malheureusement de manière courante. Seulement je n'ai pas trouvé le film très adroit. Entre les personnages queers un peu caricaturaux (quelle introduction cacophonique !). Et le protagoniste antipathique, dont on perçoit mal les vraies intentions. Commet-il des erreurs pour se faire virer ? Sont-ce des maladresses vis-à-vis de jeunes auxquels il s'attache ? Est-il incompétent à ce point ? Ou fumiste ? Le jeu détaché de Finnegan Oldfield n'aidant pas. De même, le récit a du mal à se trouver un vrai fil rouge. Je suis peut-être un peu exigeant devant cette chronique, mais il faut dire que le coup de l'outsider qui débarque dans une association, on nous l'a déjà sorti, en mieux (au hasard, avec "Hors-Normes"). Toutefois, "L'Arche de Noé" demeure un drame correct, réalisé sobrement et avec conviction.
La vie d'une association qui accueillle les jeunes LGBT en difficultés. Un film proche du réel, presque documentaire avec ce qu'il faut d'invention. Sans misérabilisme ou donnage de leçon. A voir.
Film de propagande de la théorie du genre dont la paternité appartient à un pervers sociopathe et qui est contraire à toutes les connaissances de la biologie. Au lieu d'expliquer les choses simplement au regard de la réalité biologique, ici on vous endoctrine dans une théorie malsaine dont les victimes sont perdues entre les discours faussement protecteurs qui les entraînent dans la déchéance et la vérité qu'on leur cache. La théorie du genre ne relève d'aucune réalité, i faut résister à ces films de propagandes malsains.
« Les gens qui vont mal, faut les occuper. » Avec son étonnant franc-parler, Noëlle gère son association pour jeunes LGBT à la rue comme s'il s'agissait d'une entreprise. Les jeunes arrivent et partent, c'est le deal, mais cela ne veut pas dire qu'elle n'y met pas de cœur. En mettant cette distance, elle se protège tout en faisant en sorte que ces jeunes prennent leur envol et ne restent pas bloqués par confort dans la structure. Lorsqu'il arrive sur place pour ses heures d'ITG, Alex croit être arrivé chez les fous. C'est cette folie, cette fraîcheur et cette exubérance qui rendent "L'arche de Noé" si vivant, drôle et touchant. Un film toujours plus d'actualité qui oscille parfaitement entre la comédie et le drame avec à la fois de beaux personnages que l'on prend plaisir à suivre et à voir évoluer dans un cadre stable proche d'une famille retrouvée, et des vérités plus difficiles à entendre. En somme, un bon et beau film porté par de super acteurs.
Tel un docu-fiction, une immersion au sein du milieu associatif et de son engagement, de l'entraide, de l'accompagnement à la reinsertion avec ses limites aussi. Une démarche forcément louable car utile et qui met en exergue la violence du vécu de ces jeunes abandonnés juste pour leur différence. Entre triste réalisme, moments forts et d'espoir, un drame plutôt juste.
L'arche de Noé, le film est pas mal, cependant je m'attendais encore à mieux et donc un peu sur la déception, cependant ca reste un bon film bien entendu, mais j'ai trouvé ca un peu du déjà vu mais dans d'autre domaine, ici on est sur le LGBTQ+ , on l'a deja vu pour d'autre groupe de personnes ce genre de film ou éducateur etc...
Superbe film très proche de la réalité parfois bouleversante et déchirante. Étant proche de ce monde associatif, je recommande chaudement cette oeuvre magnifique et poignante