Film pour arriéré ou personnes de plus de 95 ans. Tout est mauvais, le scénario écrit par un enfant de 5 ans, le jeu des acteurs typique de débutants bien français, les dialogues d'une bêtise à faire mal au ventre. Insupportable cinéma français, je me suis bien arnaquer :/
La grosse panouille. La petite musique jazzy a beau essayer de faire passer les gags usés jusqu'à la corde, la direction d'acteur antédiluvienne, et la lumière d'un épisode de Derrick qui aurait eu un gros budget, c'est vraiment pas bon.
Prenez une pièce de boulevard nullle, sortez 3 vielles voitures d'un musée, une pléiade d'acteurs français connus qui s'ennuient, ajoutez une musique et une réalisation tristes et vous obtenez un navet français ou les tentatives de burlesque sont ridicules. Bref n'allez surtout pas voir ce loupé sans aucun intérêt.
En dépit de toutes ses qualités (costumes, duo d'actrices principales, casting, énergie...), comment un film qui se déclame comme féministe et contemporain, peut raconter que 2 femmes se doivent de mentir, manipuler et jouer la comédie à propos d'un viol doubler d'un meurtre... pour attirer la lumière et faire carrière ? Un opportunisme farfelu qui n'en demeure pas moins douteux et qui ne sera jamais (réellement) remis en question tout au long de l'histoire. Post MeToo, quand la parole se libère enfin sur ces sujets mais qu'en parallèle, la défiance envers les déclarations de ces femmes se renforcent, proposer un tel propos dans un film semble dans les faits tout, sauf féministe.
Film bien léché mais sans grand intérêt de par ses longueurs, son intrigue faiblarde et ses clins d'œil permanents plutôt lourdingues aux spectateurs. Au final, rien de plus que du cinéma français assez soigné mais toujours bien faiblard.
J'écris rarement de critiques malgré que, je sois très souvent dans les salles obscures.
Mais là, c'est différent, François Ozon mérite largement que l'on prenne cinq minutes pour saluer son film !
Deux femmes qui vivent dans un appart miteux du bas Paris, une jeune avocate et une jeune actrice qui ne trouve pas de rôle, que la misère oblige même à dormir dans le même lit, et vivant sous la crainte d'être expulsée. C'est alors qu'en s'accusant du crime d'un producteur célèbre, la vie de la jeune actrice Mélanie Verdier (Nadia Tereszkiewicz) va être complètement bouleversée...
Pauline Mauléon, l'avocate (Rebecca Marder) apporte avec sa partenaire de jeu une vraie fraicheur au film, et son rôle d'avocate engagée dans la lutte féministe lui va parfaitement.
Isabelle Huppert joue avec beaucoup de classe spoiler: son rôle d'ancienne vedette jalouse c'est un vrai plaisir.
L'entrée en scène de Palmarède (Danny Boon) spoiler: en entrepreneur marseillais, je craignais un peu à vrai dire, de peur qu'il en fasse trop sur l'accent mais non ! Il est très convaincant dans son rôle.
Le juge (Fabrice Luchini) spoiler: et ses obsessions névrotiques dans la recherche du coupable idéal est excellent, on se laisse porter par son rythme endiablé.
Je n'aurais qu'un mot, c'est un film à VOIR ! Alors allez-y !
Quel ennui! Heureusement que le dernier acte est plus intéressant. Plein de sujet abordé (effleuré plutôt) mais rien de bien profond C'est joli mais surjoué du coup les personnages sont caricaturaux, sans âmes et en deviennent antipathiques
Mais quel redoutable navet... Comment peut-on rire, même sourire à cette accumulation de lieux communs, de tartes à la crème ? On dirait une mauvaise pièce de théâtre jouée par les élèves d'un lycée en fin d'année, ou un film pseudo-comique des années 80 en ex-yougoslavie . J'ai quand même entendu des rire à plusieurs reprises dans la salle, ce qui m'interroge sur le niveau de finesse de la population française que je pensais un peu plus subtile. Affligeant.
Ce qui frappe d'abord c'est les décors et les costumes. Petit bémol pour les premiers, où on distingue une sorte de modernité plus proche des seventies que des années 30 ce qui impose un anachronisme peu probant. Par contre le travail sur les costumes est magnifique, jusqu'à un nouvel anachronisme mais celui-là plus logique et judicieux avec la garde-robe de Odette Chaumette, star déchue du Muet qui semble restée à l'époque de sa gloire, sans compter la garde robe glamour de Madeleine/Tereszkiewicz. Le scénario est malin, rythmé, avec un panel de personnages tous parfaits au service d'un récit qui multiplie les situations incongrues ou absurdes. Pourtant on aurait aimé une procédure judiciaire plus réaliste, ce qui crée des invraisemblances alors que le récit a aussi besoin d'un minimum de crédibilité pour mieux jouer sur le décalage. Ils sont aussi bien servi par des dialogues ciselés et des répliques qui font mouches. François Ozon nous offre une gourmandise aussi acidulée que rafraichissante qui porte un propos certe féministe ou féminin mais sans jouer pour autant les moralisateurs, c'est tant mieux. Site : Selenie.fr
Désolé, malgré mon admiration pour François Ozon, Luchini, Isabelle Huppert, Dany Boon, Laspalès, Daniel Prévost, etc.., j'ai du partir avant la fin. Histoire inintéressante, tous les acteurs jouaient mal ou sur-jouaient à tel point qu'on se demandait s'il s'agissait d'une consigne du metteur en scène souhaitant saborder son film ou d'une vengeance des acteurs vis-à-vis du scénariste qui leur avait mis une telle bouse à réciter entre les mains. Un OVNI à oublier très vite.. j'ai entendu dire qu'il n'y a rien de plus difficile, pour un bon acteur, que de faire semblant de mal jouer. Si celà est vrai, nous avons ici un chef-d'œuvre impérissable.
Au palmarès des films les plus mal joués. Le scénario est insipide. C'était tellement mauvais que j'attendais un retournement, me disais que c'était voulu pour nous impressionner après...et ce n'est jamais arrivé. Aucun intérêt, vraiment nul.