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    Priscilla
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    Claude WOLFS
    Claude WOLFS

    36 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2024
    "Priscilla", la dernière œuvre de Sofia Coppola, m'a laissé avec un sentiment mitigé, oscillant entre l'admiration pour la direction artistique et la frustration face à une histoire superficielle. Malgré la signature visuelle distinctive de Coppola, le film peine à captiver en raison d'un scénario peu développé et de personnages qui manquent de profondeur. Les choix esthétiques audacieux ne parviennent pas à compenser l'absence de substance narrative, laissant le spectateur avec l'impression d'avoir parcouru un désert cinématographique dépourvu d'émotion authentique.
    grey_egg
    grey_egg

    14 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Très décu par ce film sans saveur, Sofia Coppola nous avait habitués à une subtile impertinence, ici tout est plat, certes les reconstitutions historiques sont extrêmement bien faites, lorsqu'on compare aux images d'archives on ne peut que saluer le travail technique, mais Elvis manque cruellement de sel, à tel point qu'on se demande bien pourquoi cette jeune fille tombe éperdument amoureuse, ensuite tout est très prévisible, lisse, linéaire. Dommage que tous ces beaux efforts n'aboutissent qu'à cela.
    Jylg
    Jylg

    37 abonnés 315 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2024
    Belle petite histoire dans la grande de cette gamine emportée dans un tourbillon inimaginable . Priscilla est très bien jouée, mais notre Elvis semble une erreur de casting. Enfin, ne pas avoir droit aux musiques du King est une hérésie. Mais on ne s'y ennuie pas .
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    113 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2024
    Priscilla est une (très) jeune fille vivant en Allemagne sur une base militaire américaine avec sa famille. Elle fait par hasard la connaissance d'Elvis Presley, déjà très célèbre en ce début des années 1960. Malgré leur différence d'âge, Elvis insiste pour garder le lien avec la jeune fille qui deviendra sa femme et emménage à Graceland. En salle le 3 janvier.

    spoiler: "PRISCILLA" n'est pas exactement un bon film : même s'il a des atouts, l'histoire de ce couple est globalement assez classique et n'apporte pas beaucoup d'éléments captivants, on s'ennuie un peu. Bien-sûr Elvis est présenté comme un homme à la fois aimant et répressif, symptôme d'une époque où la femme peut être choyée mais contrôlée et abusée. Le côté spectacle d'Elvis est absent, probablement pour ne pas faire doublon avec le film éponyme, pour se concentrer uniquement sur l'homme dans la vie privée. La rencontre entre les deux êtres met volontairement mal à l'aise en raison de la différence d'âge : la réalisatrice cherche à appuyer le "cringe" de la situation.
    Jipéhel
    Jipéhel

    25 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2024
    Sur papier glaçant

    C’est un peu méfiant, que je suis allé voir le nouveau film de Sofia Coppola. D’abord parce que ses dernières réalisations ne m’avaient pas franchement emballé, voire vraiment ennuyé, et aussi parce qu’elle a ce qu’on appelle « la carte » et qu’il est de bon ton de s’extasier devant les films de la fille du grand Francis Ford. 113 minutes plus tard, mon avis n’a pas changé, Sofia Coppola m’emmerde. Quand Priscilla rencontre Elvis, elle est collégienne. Lui, à 24 ans, est déjà une star mondiale. De leur idylle secrète à leur mariage iconique, Sofia Coppola dresse le portrait de Priscilla, une adolescente effacée qui lentement se réveillera de son conte de fées pour prendre sa vie en main. C’est beau comme un magazine de mode, froid comme la banquise – avant le réchauffement climatique -, impersonnel comme le discours d’un politique un jour d’inauguration d’une crèche, utile comme la pilule du lendemain pour les amish… bref d’un ennui profond.
    Le spectateur s’ennuie presqu’autant que l’héroïne… et ce n’est pas peu dire. Après sa rencontre avec Elvis, dès son installation à Graceland, on lui offre un caniche et se trouve rabaissée au rang d’animal de compagnie. Le personnage du King est tellement outré dans la bassesse, la vulgarité et la beauferie qu’on a du mal à y croire. Mais miss Coppola a décidé de nous offrir – quel cadeau ! -, une version #Metoo des amours d’Elvis et de Priscilla. Le parti pris – influencé par une adaptation sans grand recul de l’autobiographie signée Priscilla Presley-Beaulieu -, est trop évident pour emporter les suffrages. Certes, le film, au demeurant très bien tourné avec un grand souci du détail, lève sans doute un certains nombres d’aspects restés jusque là dans l’ombre du mode fonctionnement d’un couple hors normes qui aura tout de même duré 10 ans !!! Le problème majeur dans ce biopic, c’est, même présentée comme une victime, on ne ressent aucune empathie avec cette enfant puis la jeune adulte et enfin la maman. La réalisatrice, longtemps maniériste, usant d’effets de flous, de scintillements et de jeux de couleurs, semble s’être débarrassée de la plupart de ses tics, mais sa fascination pour les gosses de riches reste chevillée au corps, et, je l’avoue, personnellement, je n’arrive que rarement à me passionner pour ses personnages. Un jour peut-être,,,
    Cailee Spaeny a remporté la Coupe Volpi de la Meilleure actrice au Festival de Venise 2023. On ne peut que reconnaître la force de son interprétation. Face à elle, l’australien Jacob Elordi a à peu près le charisme d’un guéridon de chez Lévitan. Les autres, comme Dagmara Dominczyk ou Ari Cohen, ne font que de brèves apparitions. Quand on pense que voilà un film sur le couple Presley et qu’on n’entend pas une note de la musique de la légende du rock. Frustrant ! Mais s’il n’y avait que ça. L’inertie qui plombe les films de Sofia Coppola – certains diront qu’elle les sublime -, ne me stimule en aucun cas, et me terrasse totalement. Ce n’est que mon avis… et je le partage. Et vous ?
    frederic T.
    frederic T.

    13 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2024
    Pour son dernier film Sofia Coppola reprend son thème favori : un portrait de femme prisonnière dans une « cage » dorée…. Avec Priscilla, elle raconte à nouveau le combat des femmes contre le patriarcat, leurs chemins vers l’émancipation comme le faisaient déjà ses précédentes héroïnes (adolescentes de Virgin suicides, jeune épouse dans Lost In translation, ou souveraine dans Marie-Antoinette). Sofia Coppola réalise une romance noire, très esthétisante, avec le savoir-faire qu’on lui connait pour filmer les objets, cadrer des costumes, des décors, opposant les tons pastel des tenues au tons marron de la chambre - ce lieu clos pour évoquer l’emprise et l’enfermement – et soigne la bande-son pour transcender son propos (on n’entendra aucune chanson d’Elvis). Mais c’est peut-être aussi la limite de sa mise en scène, à répéter les mêmes effets, en attachant trop d’importance à la forme, et malgré l’interprétation remarquable de Cailee Spaeny, le portrait dressé ne demeure qu’une esquisse et manque un peu de profondeur…
    Priscilla apparait avant tout comme un exercice de style élégant, qui aurait mérité plus d’introspection pour mieux comprendre le cheminement de l’héroïne, son renoncement à être épouse de star pour devenir femme libre.
    ELISABETH WELLAND
    ELISABETH WELLAND

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 janvier 2024
    un film très long, trop long...
    on s'ennuie du début à la fin ou plutôt l'absence de fin du film.
    une énorme déception.
    Lou Merryl
    Lou Merryl

    5 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    A chaque fois je me fais avoir, je lis des critiques dithyrambiques du dernier film de Sofia Coppola et je me dis "allez va te faire un avis... c'est peut-être bien". A chaque fois je sors du ciné en me disant "jamais plus". Ça a commencé avec Virgin Suicide déjà et depuis rien n'a changé. Sofia c'est la réalisatrice de l'ère du vide. Oui l'image est belle, les plans soignés mais elle ne sait pas écrire ni donner de profondeur à ses personnages. Son cinéma est lisse, creux. Ses personnages se font chier et nous avec. Priscilla est un bébé-poupée, celle d'un Elvis grotesque et avec le QI d'une huître sous cachetons. Spoiler attôssion : la babydoll est amoureuse mais est seule à Graceland et s'ennuie, s'ennuie, s'ennuie, s'ennuie.... et des années plus tard décide que c'en est assez. Alors elle s'en va. The end. Pas une once d'émotion. Priscilla est autant la poupée de Coppola qui lui teint les cheveux et l'habille pour nous montrer son évolution que celle du personnage Elvis. Le parti- pris de Sofia comme toujours c'est de se maintenir à distance, et de raconter son histoire comme on déclamerait l'annuaire. On aime ou pas.
    Theo
    Theo

    2 abonnés 866 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2024
    "Priscilla", un film dramatique biographique de 2023 réalisé par Sofia Coppola, explore la vie complexe et souvent troublée de Priscilla Presley, interprétée avec nuance par Cailee Spaeny. Le film, basé sur les mémoires "Elvis and Me", se concentre sur la relation tumultueuse et fascinante entre Priscilla et Elvis Presley, joué par Jacob Elordi, en se plongeant dans les détails intimes et les défis de leur vie commune.

    spoiler: Le film commence en 1959 en Allemagne, où une jeune Priscilla Beaulieu rencontre Elvis Presley, alors une superstar en plein service militaire.
    La différence d'âge significative et le statut de célébrité d'Elvis posent d'emblée des enjeux dramatiques et émotionnels. Coppola navigue habilement à travers ces complexités, capturant l'innocence et la vulnérabilité de Priscilla face à l'énorme présence d'Elvis.

    La direction artistique du film est impeccable, reconstituant fidèlement les années 60 avec un souci du détail qui enrichit chaque scène. Cependant, le film peine parfois à équilibrer son esthétique soignée avec la profondeur émotionnelle nécessaire pour pleinement engager le spectateur dans l'histoire de Priscilla. Bien que visuellement attrayant, il manque parfois de l'intensité dramatique qui aurait donné plus de poids à l'histoire.

    La performance de Cailee Spaeny en tant que Priscilla est le point fort du film. Elle capture avec brio l'évolution de son personnage d'une adolescente naïve à une femme plus mûre et désillusionnée. Jacob Elordi, quant à lui, offre une interprétation convaincante d'Elvis, bien que sa performance soit par moments éclipsée par le scénario qui ne lui laisse pas assez d'espace pour explorer pleinement la complexité du personnage.

    L'absence de la musique d'Elvis Presley dans la bande originale est un choix audacieux qui met l'accent sur l'histoire personnelle plutôt que sur la carrière de la superstar. La musique originale du film, composée par Sons of Raphael, soutient bien le récit, bien que certains fans d'Elvis puissent regretter l'absence de ses chansons emblématiques.

    En termes de narration, "Priscilla" parvient à dépeindre les difficultés et les pressions subies par Priscilla en tant que jeune femme propulsée dans le monde tumultueux de la célébrité. Toutefois, le film aurait bénéficié d'un développement plus approfondi de certains aspects de sa vie, notamment son rôle de mère et ses projets professionnels après Elvis.

    Globalement, "Priscilla" est une œuvre visuellement captivante et bien interprétée qui offre un regard intime sur la vie de Priscilla Presley. Bien que le film brille dans sa représentation de l'époque et dans la performance de ses acteurs principaux, il aurait pu bénéficier d'un traitement plus approfondi de certains aspects de l'histoire pour un impact émotionnel plus fort.
    selenie
    selenie

    5 636 abonnés 6 062 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2024
    Ce projet est la vision de deux femmes, avec deux objectifs différents. Il faut comprendre donc la vision de l'ex-madame Presley qui a raconté son histoire avec toute la subjectivité qu'elle peut avoir, et il y a la vision de la cinéaste Sofia Coppola qui lui permet d'évoquer encore le passage de l'adolescence à l'âge adulte pour une femme, après Marie-Antoinette et Louis XVI voici donc Priscilla et le King. En prime on peut se dire que ce film offre un autre point de vue à "Elvis" (2022). Ils s'aiment, la réciprocité ne fait pas de doute, les addictions ont une importance capitale sur le couple avec la spécificité que Elvis est le King. Evidemment, vu l'actualité actuelle certains y voient de l'emprise (subit par Priscilla forcément) voir même de la pédophilie mais c'est vite oublier qu'il y a aussi de l'amour véritable, que leur histoire a duré, que Elvis a aussi su attendre (au grand dam d'ailleurs de la jeune femme !). Le film repose aussi sur un casting idéal et deux révélation, Cailee Spaeny une Priscilla plus vraie que nature, et Jacob Elordi en King moins flamboyant et plus fragile que dans "Elvis". Ils forment en tous cas un couple fantasmé à la fois beau et autodestructeur. Un beau et bon film auquel il manque un peu d'audace sur certains points (Priscilla quasi femme parfaite et vertueuse à qui on ne peut rien reprocher, le Colonel trop occulté, la musique du KIng absente).
    Site : Selenie.fr
    Chris58640
    Chris58640

    187 abonnés 734 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2024
    En adaptant l’autobiographie de Priscilla Beaulieu-Presley (qui produit le film), Sofia Coppola braque la caméra sur celle qu’on ne devait pas voir, celle qui devait rester dans l’ombre, celle qui ne vivait pas pour elle, mais seulement pour lui. Le film est parfaitement chronologique, il débute en Allemagne avec une gamine de 14 ans timide et rêveuse, qui voit carrément le prince charmant débouler dans son existence ennuyeuse et l’embarquer pour une vie de rêve, de paillettes et de musique. Le film se termine alors qu’Elvis est rendu totalement amorphe par les médicaments, bouffi et malade, elle le quitte pour ne pas sombrer avec lui. Doté d’un habillage musical épatant (avec au final, fort peu de morceaux de King lui-même, peut-être pour ne pas trop focaliser l’attention sur lui une fois de plus), le film est esthétiquement très soigné. Les tenues de l’un comme de l’autre (mais surtout celle de Priscilla, très belles), le décor rococo de Graceland où Priscilla s’ennuie ferme, tout l’habillage du film est très intéressant. Certaines scènes sont filmées volontairement à l’ancienne, comme si elles émanaient d’une caméra amateur de l’époque (gros grain, surexposition, cadrage improbable), particulièrement les scènes publiques comme le mariage, pour donner encore plus d’authenticité au propos. Les scènes en Allemagne ont une photographie très sombre, les scènes à Graceland aussi parfois, pour une maison flamboyante du Sud, son intérieur est froid et inhospitalier, en particulier la très vilaine chambre à coucher. Le film est parsemé de scènes d’ennui, où on voit Priscilla errer dans la grande maison vide, chercher vainement à s’occuper. Cela donne une impression de langueur et même parfois d’un film un tout petit peu contemplatif. Mais c’est voulu, pour accentuer la solitude totale de cette gamine. Le film se termine un peu sèchement, lorsque le générique de fin arrive sur l’écran on est un peu pris de court, on aurait bien aimé voir cette jeune femme reconstruire sa vie, devenir comédienne, se faire des amis à elle, bref, devenir enfin une femme moderne et libre. Caelee Spaeny campe une Priscilla Beaulieu très convaincante, de gamine effacée, elle devient très progressivement une femme, comme si elle sortait très lentement (et douloureusement) de son cocon. En plus d’être très jolie, elle arrive à donner à cette très jeune fille sous influence, qui tolère tout, accepte tout, pardonne tout, une vraie personnalité et ce n’était pas gagné. L’Elvis Presley incarné par Jacob Elordi (ma foi assez ressemblant) fait un peu le voyage inverse. Au début, il est charmant, prévenant, délicat et clairement amoureux. Il se comporte comme un gentleman, spoiler: leur aventure sera très longtemps platonique
    . Mais Elordi compose un Elvis complexe et insaisissable, immature totalement soumis au Colonel Parker (que le film ne montre jamais mais qui est cité sans arrêt) tant pour sa vie publique, son travail au cinéma et en musique mais aussi pour sa vie personnelle. Et quand ce n’est pas le Colonel qui décide, c’est Aaron Presley, son père. Lui vit entouré de sa cour de copain, et veut que sa Priscilla reste bien gentiment à l’attendre à Graceland, quoi qu’il fasse. C’est un homme du Sud qui veut sa femme au foyer, son flingue à la ceinture et qui veut décider de tout (comment elle doit s’habiller, sa couleur de cheveux…). Elle accepte tout, et pour le spectateur de 2023 c’est déroutant, on a parfois envie de la secouer. L’interprétation de Jacob Elordi est très convaincante aussi, et elle donne d’Elvis une image très contrastée. C’est l’image qu’en a Priscilla, elle était la mieux placée pour voir le vraie Elvis, aussi j’imagine que le film est pertinent sur ce point. Le scénario se focalise sur elle et seulement sur elle. Lorsque le film montre Presley, c’est avec elle, jamais seul de son côté. Ce qu’il fabrique de son côté, ses films, ses liaisons, on les devine en même temps que Priscilla les découvre dans les pages des magazines. Le film insiste sur la médication de Presley spoiler: (et de Priscilla a qui il file des amphétamines alors qu’elle n’a pas 15 ans !)
    qui a commencé très tôt. Au final, « Priscilla » est un film féminin, à défaut d’être un film féministe. Le film montre qu’il est impossible d’être heureux lorsqu’un tel déséquilibre existe au départ. La différence d’âge évidemment, mais surtout la différence de statut au départ : lui est le roi du monde de la musique, elle n’est qu’une collégienne. Le conte de fées qui s’offre à la jeune fille est un poison lent, une cage dorée. Leur amour, aussi sincère qu’il soit spoiler: (et le film n’est pas ambigu la dessus, ils s’aiment sincèrement)
    est condamné d’avance. spoiler: La meilleure décision de sa vie fut surement de quitter Elvis avant d’assister impuissante à sa déchéance.
    « Priscilla » est un film intéressant sur le fond et esthétiquement très beau, et qui mérite le déplacement.
    joelle g
    joelle g

    79 abonnés 848 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2024
    Elvis Presley selon de point de vue de Priscilla Presley.....puisque ce film est tiré de son livre et elle participe au film....
    Pourtant ce biopic n'est pas sans intérêt....
    Ce qui m'a déplu et même dérangé ...la différence de taille des deux acteurs jouant les rôles de Elvis et Priscilla...pas vraiment convaincue par le jeux des acteurs....
    Ufuk K
    Ufuk K

    478 abonnés 1 418 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2024
    "Priscilla" en compétition l'an dernier à la Mostra de Venise est un drame biographique qui se regarde. En effet la réalisatrice Sofia Coppola signe son retour au cinéma en évoquant la jeunesse de Priscilla Presley et sa rencontre avec Elvis Presley, saluons la performance de la jeune Cailee Spaeny (prix d'interprétation à la Mostra de Venise) bien accompagné par la star montante Jacob Elordi, dans un biopic élégant parfois envoutant mais aussi ennuyant et trop classique à mon goût.
    LeFilCine
    LeFilCine

    167 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2024
    Voilà un film qui permet de démarrer la nouvelle année tout en douceur. En effet, le long-métrage de Sofia Coppola s’avère loin d’être sulfureux. Comment aurait-il pu l’être, étant donné que Priscilla Presley est, elle-même, à la production et la source intégrale du scénario ! La jeune Priscilla est donc, dans le film, toujours parfaitement adorable. Elle ne fait aucun écart, sa relation avec Elvis reste longtemps platonique, et ce dernier se comporte le plus souvent en gentleman. C’est mignon tout plein mais on a bien du mal à y croire. D’autant plus que le film de Baz Luhrmann, sorti en 2022, nous dressait un portrait bien plus ambigu de la rock star et de son entourage. Le long-métrage de Sofia Coppola permet tout de même d’avoir un point de vue différent sur la vie intime de l’artiste. Mais Jacob Elordi incarne le chanteur avec beaucoup moins de conviction qu’Austin Butler dans le film de Luhrmann, et il souffre donc de la comparaison. Mais après tout, cela importe peu puisqu’ici la star c’est Priscilla Beaulieu, incarnée avec brio par la révélation Cailee Spaeny. La jeune actrice de vingt-cinq ans éclabousse de son talent le long-métrage. Elle a ce regard hypnotique, un charisme indéniable, et une candeur à toute épreuve tout le long du récit. C’est grâce à elle qu’on ne se lasse jamais vraiment de suivre un film qui manque par ailleurs cruellement de panache. C’est plutôt un comble pour cette histoire sensé nous narrer la vie d’une jeune femme au côté d’un rocker. Mais c’est, au final, ce contre-pied qui surprend dans ce joli film par ailleurs parfaitement mis en scène.
    Joce2012
    Joce2012

    184 abonnés 523 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2024
    L'amour commence toujours comme un conte de fée mais malheureusement ça ne continue pas surtout quand c'est un chanteur très connu l'amoureux.... Film qui nous replonge dans les années 70 avec la mode et les coutumes de vie de l'époque, bon moment de cinéma
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