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    Dream Scenario
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    148 critiques spectateurs

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    Chris M.
    Chris M.

    2 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2024
    La bande-annonce donnait une image plus dynamique et loufoque du film dont le thème des univers oniriques aurait pu être mieux exploité.
    Matthieu GREGORY
    Matthieu GREGORY

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 décembre 2023
    Un film pour déments. Plat, insipide si ce n'est mettre mal à l'aise devant le grotesque du scénario. Bref dès le début compris qu'il n'y aurait rien d'intéressant à par quelques jolies prises de vues.
    Xacha07
    Xacha07

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 décembre 2023
    J'ai trouvé ce film intéressant sur le plan du scénario . En revanche , la fin patine un peu vers la fin. Le réalisateur semble avoir du mal à trouver une fin adequate . Peut-être aurait il pu s'arrêter sur l'idée de la publicité ? Il a voulu faire une ellipse avec la scène inaugurale.
    norman06
    norman06

    318 abonnés 1 616 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    Une parabole satirique plutôt subtile de la cancel culture, même si le film vaut plus pour son scénario que sa mise en scène somme toute anodine. Et quel plaisir de retrouver Nicolas Cage dans un bon rôle !
    Chris58640
    Chris58640

    187 abonnés 734 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Kristopher Borgli, à la réalisation comme au scénario, nous propose un film inclassable qui parvient à nous faire rire, à nous angoisser et à nous faire réfléchir, tout cela en même temps. « Dream Scenario » nous plonge dans la réalité étrange d’un homme un peu falot, sans aspérité et que même, sous certains aspects on pourrait qualifier de looser. Du jour au lendemain, le voilà qui se met à apparaitre dans les rêves de tout à chacun spoiler: (sauf dans ceux de son épouse, curieusement).
    En partant de ce postulat très original, Kristopher Borgli aurait pu proposer un film grand spectacle, une pure comédie loufoque ou un thriller. Il choisit de ne pas choisir et de proposer un peu tout cela en même temps. Le film alterne entre les scènes de réalité et les scènes de rêve sans que parfois, il soit aisé de distinguer de prime abord. Il n’abuse pas du procédé (parfois on comprend immédiatement qu’on est dans un rêve) mais quand il en use, c’est à bon escient. A part ces quelques scènes de rêves hautes en couleur (catastrophe, érotique, cauchemars…), le film est bien filmé et bien mis en image, mais rien de follement original. C’est comme si la réalisation, en magnifiant les scènes de rêves puis en filmant la réalité de façon très conventionnelle, voulait marquer fortement la frontière entre la situation normale d’un type normal et la situation anormale dans laquelle il se retrouve plongé. On peut grossièrement découper le film en trois parties. La première flirte avec la comédie, Paul Matthews découvre son étrange célébrité, essaie de surfer un peu dessus pour enfin faire publier son livre universitaire (un livre érudit sur les fourmis qui n’a aucune chance de voir le jour !), il s’amuse des récits de rêves qu’on lui fait et accepte des interviews. spoiler: Mais la situation ne met pas longtemps à devenir tragique. Le film bascule lors d’une scène (très) malsaine où il se laisse embarquer dans un rendez-vous avec une « rêveuse » qui veut reproduire son rêve. C’est comme si, on agissant ainsi, il avait fait basculer le phénomène en mêlant rêve et réalité.
    spoiler: Lorsqu’il se met à devenir horriblement violent dans les cauchemars,
    le film quitte le domaine de la comédie absurde pour venir dénoncer, avec une certaine pertinence, spoiler: les excès de la « cancel culture ». Paul est ostracisé de plus en plus fortement, avec de plus en plus d’excès et d’injustice alors que, contrairement à tous ceux qui se disent victimes de la « cancel culture », lui n’a absolument rien fait de mal. En montrant un homme rejeté alors même qu’il est parfaitement innocent de tout, le scénario joue sur du velours : les élèves de l’Université font la loi et sa direction l’abandonne, les passants se sentent offensés par sa seule présence et il doit partir, les gens se sentent menacés par lui et leur ressenti compte davantage que la réalité. Même si le curseur est parfois poussé loin (la scène de la thérapie collective à l’Université), la démonstration est assez convaincante et surtout totalement édifiante. Dénoncer la « cancel culture », on peut le faire bêtement comme un boomer lambda « De nos jours, on ne peut plus rien dire, gna, gna, gna… » ou le faire ainsi, par l’absurde assumé.
    La troisième partie du film dénonce pour le coup autre chose : le cynisme de la société de consommation. Le phénomène, aussi incompréhensible qu’il soit, spoiler: fait saliver les publicitaires et escrocs de tout genre qui se mettent à imaginer du placement de produit dans les rêves de consommateurs, c’est « Inception » qu’on assassine !
    Ce qui avait débuté comme une comédie absurde se termine en tragédie intime, celle d’un homme lambda écrasé par une célébrité venue de nulle part spoiler: et qui aura fracassé sa vie
    . Nicolas Cage incarne un Paul Matthews souvent pathétique, parfois ridicule mais qui finit par susciter une vraie empathie. Nicolas Cage, qui aura parfois fait des choix discutable dans sa carrière d’acteur, prouve dans « Dream Scenario » ce dont il est capable. Le film repose presque totalement sur ses épaules, et il tient la route dans tous les registres du jeu. Le film de Kristopher Borgli, très intriguant sur le papier, commence comme une comédie absurde pour nous embarquer, presque par surprise, vers des rives plus arides, plus acide et plus noires qu’on ne l’avait imaginé. C’est un film original, bien mené, qui suscite une vraie réflexion de fond sur la toxicité de la célébrité et l’absurdité du monde.
    Fabien D
    Fabien D

    170 abonnés 1 111 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2023
    Dream scenario est un projet assez curieux tant il semble appartenir à une autre époque. De par ses thèmes comme de par son esthétique, le film rappelle les films cultes de Spike Jonze et Charlie Kaufman. On songe forcément à Dans la peau de John Malkovitch, à Adaptation ou encore à Eternal Sunshine of the spootless mind, des films mêlant l'absurde à la mélancolie mais aussi traversé de grands moments d'angoisse existentielle. Filmé de manière froide, parfois kubrickienne lors de scènes de rêves particulièrement anxiogène, dream scenario est le récit d'un homme en quête de reconnaissance qui sera célèbré avant d'être sacrifié sur l'autel de la cancel culture. Nicolas Cage est particulièrement bon dans le rôle de cet homme trop banal appelé malgré lui à devenir une star. Si on pourra regretter une fin satirique un peu convenu et une certaine retenue alors qu'on était en droit de s'attendre à davantage de folie, dream scenario est un film assez décalé et empreint d'une mélancolie parfois touchante. Mais on était en droit de s'attendre à plus que ce petit film indé ultra référencé au point de manquer un peu d'identité.
    JUJUBE20
    JUJUBE20

    20 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Dream scenario est plutôt une bonne surprise, même s'il appartient à la catégorie des films fabriqués, avec talent certes, donc des "films malins". Un comédien qui réussit enfin un come back exploitant ses incroyables capacités (Nicholas Cage hyper crédible), un scénario léché qui ne laisse jamais une situation s'installer car les bascules s'opèrent rapidement, une idée de départ conceptuelle et géniale, une réalisation lisse, sans faute de goût, sans s'imposer, mais en évitant les trucs trop faciles, alternant onirisme et réalisme, une image faussement sépia, passe-partout, neutre qui contraste avec l'invraisemblance de l'histoire. Cela se regarde sans déplaisir, mais n'a pas la prétention de faire oeuvre. Ce film ne restera pas dans l'histoire du cinéma, mais se déguste avec un bonheur enfantin et rétrograde, car il donne l'impression d'être intelligent, avec les dénonciations bienvenues des dérives en cours sur les campus américains. C'est un film pour adolescents ou jeunes adultes : à 16, 18 ou encore 20 ans, j'aurais adoré. La salle rit beaucoup : c'est bien vu, c'est drôle, c'est enlevé... mais c'est vite enlevé de la mémoire aussi.
    Yves G.
    Yves G.

    1 342 abonnés 3 337 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 janvier 2024
    Paul Matthews (Nicolas Cage) est un scientifique raté qui végète dans une petite université où il enseigne sans passion la biologie. Sa vie bascule du jour au lendemain suite à un phénomène étrange qui lui attire une gloire soudaine. Une foule d’individus, plus ou moins proches de lui, le voient apparaître dans leurs rêves.

    "Dream Scenario" repose sur un pitch délirant. C’est sa plus grande qualité. Hélas, c’est quasiment la seule. L’autre, bien sûr, c’est l’interprétation à contre-emploi de Nicolas Cage en quinquagénaire chauve, bedonnant et mal fringué [toute ressemblance avec l’auteur de ces lignes serait purement fortuite] qui aurait pu être l’une des plus grandes stars de son temps, du niveau d’un Jack Nicholson ou d’un Dustin Hoffmann, s’il n’avait gâché son talent dans une kyrielle de films dispensables.

    Le réalisateur de "Dream Scenario" est norvégien. On lui doit "Sick of Myself", sorti en France le printemps dernier. Si je le mentionne, ce n’est pas pour étaler ma science ni pour recopier la notice d’IMDb. C’est parce que les deux films se ressemblent. Ils partagent un même pitch étrange – l’héroïne de "Sick of Myself" contracte pour attirer l’attention sur elle un eczéma monstrueux – et une même critique sous-jacente de nos sociétés contemporaines. L’un comme l’autre en effet ont un sous-texte politique : les réseaux sociaux et la visibilité qu’ils permettent produisent à la fois de l’anomie et de la surexposition. Pour le dire autrement : comme les zèbres qu’évoque Paul Matthews à ses étudiants, nous sommes tous tiraillés entre le souci de rester invisibles et le désir de sortir du lot.

    Ce sous-texte là n’est pas sans intérêt. Mais il est un peu lourdaud. Et surtout, une fois décrypté, il n’y a pas grand chose à en tirer.
    C’était déjà le défaut de "Sick of Myself". C’est aussi le piège dans lequel tombe "Dream Scenario". Pour des motifs qui resteront obscurs – et que la logique peine à comprendre – la soudaine célébrité de Paul Matthews, qui flattait secrètement son orgueil et cautérisait les plaies ouvertes par les humiliations dont il avait longtemps été victime, se mue bientôt en vindicte populaire. Le héros devient paria. Le film raconte l’inexorable délitement de sa vie qui s’achèvera… en France. Mais j’en ai déjà trop dit !
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    631 abonnés 2 717 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Belle réussite que Dream Scenario. Un concept mindfuck plutôt bien exploité, emmené par un Nicolas Cage au sommet de sa forme, pour un rendu énigmatique et passionnant, qui lorgne parfois vers Black Mirror. Peut-être même l’un des meilleurs films de l’année.

    https://cultea.fr/dream-scenario-nicolas-cage-au-top-de-sa-forme-critique.html
    Audrey L
    Audrey L

    576 abonnés 2 449 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Attention, petit manuel du film A24 pour les Nuls... Un scénario étrange (un homme se retrouve dans les rêves de tout le monde, d'abord de façon anodine puis devenant le croque-mitaine qui effraie tous les jeunes... Oui, Freddy quoi), un visuel au filtre terne et aux plans qui durent, aux dialogues copieux, des scènes d'hallu qui déboulent de partout et s'arrêtent aussi sec, un héros qui a peur de tout le monde (Beau is Affraid, le retour... Ah tiens, Ari Aster est le producteur, coïncidence ? Ça m'étonnerait), et une fin tellement ouverte qu'elle ne conclut rien. Nicolas Cage semble se faire plaisir de nouveau (en même temps : sur quel projet, aussi moisi soit-il, ne prend-il pas son pied ?), et on ne boude pas l'ouverture intrigante du film, qui malheureusement s'effondre très vite avec la balourdise éléphantine de la critique sociétale amorcée par Borgli (on avait déjà remarqué sa finesse de bulldozer dans son précédent Sick of Myself, mais on avait passé l'éponge du fait de l'originalité de son propos). Ici, on va faire une exception à notre aversion pour cette expression ridicule, et la dire juste une fois : "OK boomer." Borgli regarde les jeunes (il doit le prononcer "d'jeuns" dans sa tête) comme des accrocs aux réseaux sociaux, incapables de faire la différence entre réalité (les cours de la fac) et la fiction (leurs rêves du prof qui les malmène), prêts à se jeter dans n'importe quel show de téléréalité débilitant (on n'a pas compris ce que cette émission "Les Anges versus Les Rêves" fichait au milieu de la fin), et porter un bracelet qui clignote pour les protéger de la folie (oui... Borgli voit les "d'jeuns" comme ça...). On s'étonne de ne pas voir une seule personne âgée affligée par les cauchemars, ni même la terreur que cela pourrait provoquer chez une personne schizo, non, on cible uniquement une partie de la population sans trop d'explications (le principe de l'effet Mandela justement évoqué au début du film, c'est qu'il touche absolument tout le monde, sans distinction d'âge, de genre, de nationalité, ou de catégorie sociale...). La balourdise du film va même jusqu'à citer explicitement Freddy Krueger (des fois qu'on soit trop bête pour comprendre la réf'... On doit être trop "d'jeuns") en faisant porter un gant à griffes à Nicolas Cage à qui on demande de parodier Freddy lors d'un shooting photos... On peut comprendre ceux qui aimeront le côté décalé de l’œuvre (même si la bande-annonce vendait un délire bien plus conséquent : ils ont simplement mis tous les rêves les plus fous dans la bande-annonce, histoire de laisser penser que le reste est du même niveau d'inspiration, et surprise : non.), le jeu de Cage (comme d'habitude : il s'amuse, lui, au moins), l'illusion que ce film est original (avant de capter qu'il est une lointaine resucée de Beau is Affraid croisé avec Freddy Krueger), et une critique de la société qui devrait plaire aux cancres du fond du cours d'analyse filmique. On aurait adoré que pareil scénario tombe dans les mains (moins griffues) de quelqu'un de plus fin, à bon entendeur... On peut rêver.
    garnierix
    garnierix

    206 abonnés 426 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2024
    Nicolas Cage se retrouve dans un pétrin pas possible, et l'on y croit du début à la fin (ou presque). C'est pas mal fait, c'est très bien joué.

    On retrouve avec ce film le Nicolas Cage de 'The Wicker Man' de 2006, celui de 'Prédictions' de 2009, entre autres. Personnage des plus ordinaires confronté à une situation des plus extraordinaires. Il sait incarner cela. Il a un goût et un talent certain pour faire le bête, l'inquiet, l'inquisiteur, devant l'inimaginable. A condition que ça reste vraisemblable. Et la vraisemblance est rendue (ou pas) par le sujet et le réalisateur.

    En l'occurrence, la vraisemblance dans ce film-là n'est pas assurée (même si l'on croit dur comme fer à l'inconscient collectif). Mais l'auteur du film assure : l'analogie avec l'infection des cerveaux par les réseaux sociaux est évidente. Les réseaux sociaux, ce serait le grand n'importe quoi auquel une minorité croit et finit par contaminer une majorité. Une rumeur enfle ici, un harcèlement s'ensuit, la violence opère, la vengeance aussi.

    L'auteur va peut-être trop loin dans le filon, parce qu'on n'est pas pas sûr de le suivre à la fin, la société humaine finissant par développer une machine pour entrer dans les rêves et l'indispensable gourou pour y voyager tranquillement...

    A.G.
    eldarkstone
    eldarkstone

    193 abonnés 1 984 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 décembre 2023
    Un scénario des plus original, dans ce comiquo-drame qui ne laisse pas indifférent ! Nicolas Cage à contre - emploi assez génial dans le rôle titre !
    Joce2012
    Joce2012

    184 abonnés 523 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2024
    Très bon film mais terrifiante réalité entre le rêve et le cauchemar selon qu'on est dans la mouvance ou pas
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    120 abonnés 2 352 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2024
    Une bonne histoire est la recette d'un bon film, et malgré une réalisation terne, ce film ne déroge pas à la règle.
    Rudy66
    Rudy66

    18 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2024
    J'aimais le principe du film, un scénario assez original, mais je suis très déçu.
    Je trouve que la tournure n'est vraiment pas la bonne, il ne devient même pas attachant, ça en devient limite ridicule..
    Dommage, je pense qu'il y avait un super potentiel à exploiter.. 2/5
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