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    Daaaaaali !
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    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    239 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2024
    Six acteurs différents pour incarner Dalí (Baer, Cohen, Marmaï, Lellouche, Flamand, Gillot), un bon sens de l’absurde, du comique de répétition, une abolition des frontières en termes d’espace-temps et entre rêve et réalité, des mises en abyme à foison, des clins d’œil à Buñuel (notamment au Charme discret de la bourgeoisie)… Ce film, qui n’est pas un biopic mais un puzzle de variations autour de la personnalité et de l’art du peintre espagnol (avec en plus quelques touches piquantes sur les mondes du journalisme et du cinéma), brille par son originalité et son inventivité folle. Une inventivité en accord malin, ludique et réjouissant avec son sujet surréaliste. Une inventivité moins sur le fond que sur la forme. On s’amuse beaucoup du dispositif narratif (scénario et montage), sophistiqué et sans cesse surprenant. Probablement un peu trop répétitif sur la fin, mais formidable dans son ensemble. Pour le reste, c’est du Quentin Dupieux pur jus, avec quelques séquences géniales (l’arrivée de Dalí à l’hôtel, le rêve « discontinu » du prêtre) et d’autres plus maladroites ou moins abouties (les séquences avec Romain Duris, par exemple). Même constat inégal en matière d’interprétation, Édouard Baer et Jonathan Cohen convaincant davantage que leurs quatre autres « collègues » en incarnations de l’artiste. Mais peu importe. Ce côté bricolo-artisanal, avec ses grandes inspirations et ses imperfections, est aussi le sel de ce cinéma hors norme.
    Jean-Pierre Jumez
    Jean-Pierre Jumez

    87 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2024
    Évoquer un surréaliste par une création en elle-même surréaliste, belle idée. Les trouvailles sont nombreuses et chatouillent notre hypothalamus.
    Excellente prise de son.
    Shawn777
    Shawn777

    497 abonnés 3 370 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2024
    Décidément, Quentin Dupieux ne s'arrête plus et cinq/six mois après le plus gros succès de sa filmographie, "Yannick", il revient avec un biopic sur Dali ! Alors bien-sûr, ce n'est pas vraiment un biopic, d'ailleurs, ce n'est pas un biopic du tout puisque l'on y suit une pharmacienne reconvertie en journaliste voulant dresser le portrait de Dali, ce qui va s’avérer beaucoup plus difficile que prévu. Alors bien-sûr, un réalisateur au cinéma aussi absurde et non-sens qui s'intéresse à la vie d'un artiste aussi excentrique, ça ne peut donner que des étincelles ! Et pourtant, Dupieux ne se repose pas simplement sur son sujet mais continue d'inventer, de proposer des choses nouvelles, expérimentales qui passent ici beaucoup par le montage et la structure du scénario ! Le réalisateur parvient en effet bien souvent à surprendre son spectateur avec des boucles ou du surplace, en dilatant le temps à sa manière - comme le faisait Dali avec ces célèbres toiles sur les montres d'ailleurs - sans pour autant tomber dans la redite ou la répétition, on est plutôt dans du running gag lorsqu'il ne s’agit pas de nous offrir la même scène mais d'un point de vue différent par exemple. Et bien-sûr, on reste chez Dupieux, ça ne reste donc pas ce que j’appellerai de l'expérimentation intellectuelle, il y a toujours une grosse part d'humour qui passe par les situations bien-sûr mais également par les personnages. Et d'ailleurs, autre curiosité de ce film, Dali est interprété ici par quatre acteurs principaux plus un autre plus âgé où chacun reste cohérent avec l'autre tout en apportant son interprétation propre, ce qui donne quelque-chose de très riche sans déstabiliser le spectateur. "Daaaaaali !" est donc tout simplement un très bon Dupieux !
    Jipéhel
    Jipéhel

    25 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 février 2024
    Suuuuuréaliste !

    Une journaliste française rencontre Salvador Dali à plusieurs reprises pour un projet de documentaire. Avec Quentin Dupieux, c’est décidément l’éloge de la brièveté tant au niveau du pitch et que de la durée de ses films, celui-ci ne fait que 78 minutes. Mais ce sont 78 minutes de bonheur. Dupieux, c’est la malice faite cinéaste. Il nous a à nouveau concocté sa recette désormais bien connue, un casting détonnant au service d’un film concept, drôle et déconstruit dans lequel il parvient miraculeusement à dégager une certaine vérité dans ce portrait-hommage délirant.
    Evidemment, la délicieuse Anaïs Demoustier joue les candides à merveille. Elle a accepté d’être le faire-valoir des 5 Dali, Gilles Lellouche, Edouard Baer, Jonathan Cohen, Pio Marmaï et Didier Flamand, qui nous gratifient tous de numéros de cabotinage savoureux… Mais pouvait-il en être autrement en incarnant le plus excentrique des artistes du XXème siècle. Ils rivalisent d’outrance assumée et…génialissime. Mais comme ces 6 têtes d’affiche ne suffisaient pas au bonheur, Dupieux nous offre les participations de Romain Duris, Agnès Hurstel, Marc Fraize, Marie Bunel, Jean-Marie Winling… liste non exhaustive.
    Dupieux fait ici du collage visuel, en créant un puzzle absurde d’une multitude de pièces désordonnées. Ou quand le meilleur cinéaste dadaïste rend hommage au plus grand des surréalistes. Cet anti-biopic fourmille d’idées et il y a une trouvaille à chaque plan. Le grand Buñuel ne renierait pas ce moment de 7ème Art subversif et esthétique. L’aspect foutraque de cet OVNI ne néglige pas une certaine réflexion sur le complexe de l’imposteur, la peur du temps qui passe et de la mort. Du grand Dupieux… pour ceux qui aiment.
    Nath Visuals
    Nath Visuals

    24 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2024
    Après Yannick, Quentin Dupieux revient quelques mois plus tard avec "Daaaaaali". Comme d'habitude, on a une histoire totalement perchée du début à la fin, mais ici avec l'art du montage en plus.
    Judith, une jeune journaliste anciennement pharmacienne veut interviewer Dali mais est confrontée à ce personnage si spécial à l'ego surdimensionné.
    Un personnage si spécial avec un réalisateur spécial, de quoi faire un très bon film. Quentin Dupieux souligne bien que le personnage de Dali est très dure à cerner et n'a donc pas fait un biopic mais une histoire où je dirais qu'il s'incarne finalement dans cette journaliste qui n'arrive pas à en savoir davantage que quelques pages de son petit calpin. C'est un film qui évidemment ne pouvait être réalisé que par Quentin Dupieux. Comme ses autres films, le réalisateur est aussi Chef monteur et on le comprend. Le montage a ici une place très très importante et fait tout avec les running gags notamment. Bref c'est un film à voir pour passer un bon moment
    Yves G.
    Yves G.

    1 342 abonnés 3 337 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2024
    Une jeune journaliste (Anaïs Demoustier), aidée par un producteur sans vergogne (Romain Duris), essaie par tous les moyens de réaliser une interview avec Salvador Dali. Mais l’artiste, fantasque et égocentrique, lui rend la tâche bien ardue.

    Quentin Dupieux est de retour pour un nouveau film, aussi désopilant que les précédents, quoique tenu, la célébrité venant, à être de plus en plus mainstream. Il retrouve deux de ses actrices fétiches, Anais Demoustier et Agnès Hurstel, et rallie à lui des nouveaux venus qui forment la crème de la crème du cinéma français contemporain et dont la présence au générique témoigne de son aura grandissante.

    En filmant Dali, Dupieux joue sur du velours sans vraiment se risquer hors de sa zone de confort. Ce réalisateur, dont le cinéma loufoque aime à jouer avec les frontières de l’absurde, se frotte à un artiste qui lui ressemble, surréaliste, excentrique et volontiers provocateur.

    Le résultat est sans surprise, surtout si l’on a vu la bande-annonce diffusée ad nauseam durant tout le mois de janvier. Il ne décevra pas les thuriféraires de Dupieux. Il ménagera son lot de gags surréalistes, tel cet interminable couloir d’hôtel qu’emprunte Dali pour rejoindre son intervieweuse.

    Pour des motifs obscurs, Dupieux a choisi de faire jouer Dali par six acteurs différents : Edouard Baer, Jonathan Cohen, Gilles Lellouche, Pio Marmaï, Boris Gillot ainsi que Didier Flamand qui joue Dali vieux, le bonnet de nuit rouge vissé sur la tête. Le rôle les a obligés à se grimer avec la célèbre moustache en croc de l’artiste, a roulé outrageusement les r et a aaaaaaaallongé les voyelles. Le problème est qu’à ce petit jeu-là, on en vient vite à faire des comparaisons. Elles ne sont guère flatteuses pour Gilles Lellouche, manifestement très mal à l’aise dans l’exercice et dont le rôle a quasiment été coupé au montage, et pour Pio Marmaï. Edouard Baer s’en sort beaucoup mieux. Mais c’est Jonathan Cohen qui l’emporte haut la main.

    Comme les précédents films de Dupieux, "Daaaaaali !" n’a pas vraiment de scénario. Il ne faut pas escompter y apprendre quoi que ce soit sur la vie de Dali. Son pitch est le prétexte à une concaténation de gags, absurdes autant que drôles, qui s’organisent dans une narration qui, comme les films de Buñuel, fait la part belle aux rêves, aux assoupissements et aux brusques réveils.
    Le comique de répétition est le principal ingrédient du film. Le problème de cette forme d’humour est son dosage. Dupieux a une fois encore l’élégance de faire tenir son film en moins de quatre-vingt minutes. Mais, comme la géniale petite phrase musicale signée de Thomas Bangalter (ex-duettiste de "DaftPunk"), utilisée jusqu’à l’overdose, il faut savoir ne pas abuser des bonnes choses…

    [P.S. : Une amie me soutient mordicus qu’Isabelle Huppert est la marraine d’Anais Demoustier. Vrai ou faux ?]
    Jmartine
    Jmartine

    155 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2024
    .
    Le réalisateur de "Yannick", le « Daim », « Fumer fait tousser » « Incroyable mais vrai » pour ne citer que les dernières œuvres du prolifique Quentin Dupieux, s’attaque à une icône de l’art, dans un biopic qui n’en est pas un, plutôt un hommage voire une variation sur Salvador Dali, maître de l’absurde avec lequel Quentin Dupieux doit ressentir une profonde filiation et pour lequel il a fait appel à cinq grands comédiens pour l’incarner, (Edouard Baer, Jonathan Cohen, Didier Flamand, Gilles Lellouche et Pio Marmaï) se mettant au diapason d’un délire signé Quentin Dupieux.
    Une jeune femme (Anaïs Demoustier), pharmacienne reconvertie en journaliste tente de réaliser un documentaire sur Salvatore Dali sous la direction de son producteur Jérôme (Romain Duris) …Quand elle parvient à approcher le maître, elle se retrouve happée dans son univers…les distances s’étirent à l’infini, le temps se distend, la réalité se fait multiple…Les mises en abymes se succèdent, le film devient fou…totalement fantasque…totalement foutraque…
    Qui de mieux que Quentin Dupieux pour évoquer à l’écran le pape du surréalisme Salvador Dali ? Sans affinités particulières pour le peintre, c’est le personnage surdimensionné qui fascine le cinéaste. En constante représentation de la "créature" qu’il s’est créée, et en parlant de lui-même à la troisième personne, Dali était l’extravagance incarnée, un style de vie. Multiple par définition, car inattendu dans ses moindres gestes et paroles, logique alors que cinq comédiens se relaient pour l’incarner à l’écran. Difficile de dépister chaque acteur derrière le masque de Dali, lui, reconnaissable entre tous, Dali étant une œuvre d’art à lui tout seul…. Et Quentin Dupieux de reconnaitre « Pour écrire et réaliser cet hommage, je suis entré en connexion avec la conscience cosmique de Salvador Dalí et je me suis laissé guider, les yeux fermés ».
    L’artisanat est la marque de fabrique de Quentin Dupieux. Son film ne dure que 78 minutes, et encore en réutilisant plusieurs fois les mêmes prises. Ce côté faussement désinvolte est contrebalancé par la justesse de ton du cinéaste qui fait revivre un Dali complexe à la fois drôle et attachant, touchant et exaspérant, flamboyant et dépressif. On se prend à penser que le réalisateur se reconnaît peut-être dans cet artiste qui dissimulait sa sensibilité derrière son ego surdimensionné et des provocations de gamin.
    Le résultat, un film délirant, savoureux, un peu fou… comme Salvador Dali…et cela fait du bien !!!
    leobis
    leobis

    52 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 février 2024
    film grotesque d'aucune utilité qui nuit même à l'image que l'on devrait se faire de la personnalité d'un peintre célèbre qui a marqué son époque.
    remyll
    remyll

    163 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2024
    Le Daaaaaali de Quentin Dupieux est aussi excessif,égocentrique et réjouissant que l’était, en public, le si célèbre peintre à la fine moustache affriolante. J’ai vraiment beaucoup aimé.
    ENVIE DE POISSON
    ENVIE DE POISSON

    6 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2024
    Alors c'est pas mal
    C'est plutôt drôle
    Original
    Surprenant parfois
    Mais
    C'est curieux l'effet que me font les films de Dupieux en général
    Je sors de là en ayant l'impression de n'avoir rien vu
    Juste après la séance
    Qu'est-ce que je viens de voir ?
    Ah oui c'est vrai Daaaaaali
    Euh c'était sympa ?
    Sympa oui mais il n'y a rien dans ce film
    Aucune consistance
    Zéro sentiment d'étrangeté
    Pourtant on pense à Blier, Buñuel et même Lynch
    3 cinéastes que j'aime beaucoup
    Mais qui arrivent
    Eux
    A déstabiliser
    A nous faire voyager dans un monde parallèle intrigant
    En titillant une part cachée en nous
    Souvent sombre
    Parfois honteuse
    Souvent amorale
    Ici
    Rien
    Tout est bidon au final
    Mais c'est ce qu'il veut Dupieux
    Il le dit en interview
    Il cherche la légèreté
    Le "c'est pas important"
    Effectivement il réussit ça sans problème
    Mais quel intérêt ?
    On dirait qu'il manque de folie
    Dupieux
    Tout est intellectualisé
    Précis dans les décalages
    C'est fait exprès pour être original
    Mais elle est où cette originalité
    Dans les cadrages ?
    L'éclairage ?
    Le montage ?
    Et même à un niveau moindre dans l'interprétation ?
    Tout est fade et convenu
    Collant assez peu à la folie assumée du scénario
    Même si c'est assez bien fichu
    Mais
    Je pense
    Il me semble
    Que chez Blier, Buñuel, Lynch
    Leur originalité n'est pas forcée
    Ils sont vraiment comme ça
    C'est leur vision du monde
    Quasi obsessionnelle
    Chez Dupieux on sent son désir intellectuel de faire de l'original
    Du bizarre
    Mais rien ne suit derrière
    Ce n'est pas vraiment investi
    Bref
    Avec Daaaaaali
    Je viens de comprendre pourquoi un cinéaste qui a tout pour me plaire
    Ne me plait pas vraiment
    Tout est bof chez lui
    Un peu paresseux
    Et
    Sans réelle folie
    Ah et un mot sur la musique de Bangalter
    Très raccord pour le coup avec la réal de Dupieux
    Légère
    Et insignifiante surtout
    Anne Vilasboas
    Anne Vilasboas

    6 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 février 2024
    Fabuleux magnifique film inratable allez le voir absolument: surréaliste et hommage à Dalí avec TT plein de références à l'Art, un humour excellent et un rien d'exagération TT Dalienne. J'y retourne
    GS27
    GS27

    6 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 février 2024
    Daaaaaalí! c'est quand Dupieux plonge dans Buñuel pour raconter un artiste sans le raconter tout à fait, parler du cinéma en pensant que c'est peut-être encore un art plutôt qu'une industrie. Rien n'a de sens dans Daaaaaalí! et pourtant tout est à sa place. Que Bangalter me matraque de sa guitare, que Baer explose des caméras dans tous les sens du terme, qu'un prêtre revienne raconter inlassablement son rêve, qu'il y ait six fins, qu'il y ait de la moustache à n'en plus finir : ça, c'est Dalí ! Mais c'est surtout encore et toujours Quentin Dupieux.
    Olivier K.
    Olivier K.

    12 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 février 2024
    Cinq acteurs différents pour jouer Dali, et qui tapent sur le même clou pendant deux heures, c'était bien la peine d'en engager plusieurs : roulement des R et yeux exorbités, on dirait une improvisation de cours d'art dramatique. De tous les films sur la mise en abyme, c'est de loin le plus ennuyeux.
    Paul
    Paul

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2024
    Un film original à la Quentin DUPIEUX. Qui est est le plus "déjanté" ? Dali, Dupieux, Cohen... ? Personnellement je suis fan de ce type de création originale qui nous transporte dans un autre monde.
    pat4poufzouz
    pat4poufzouz

    5 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 février 2024
    Quentin Dupieux a su se renouveler dans son propre genre. Il joue avec la temporalité et les codes du récit d'une façon charmante, mélangeant le rêve et la réalité. Au passage, il critique la toxicité du monde du cinéma dans un éclat de rire. Une originalité qui n'est pas feinte ou superficielle mais réfléchie, et qui fonctionne, tout en restant dans l'univers du peintre - qui n'échappe pas non plus à la critique.
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