Avis : Nuit d'ivresse - Page 2

un film assez drole entre deux personnages que tout opposent, vont se réunir le temps d'une nuit avec une mémorable cuite!

Le type de vaudeville hilarant au théâtre mais qui s'enlise un peu au cinéma, je trouve. Balasko en fait des tonnes et elle le fait très bien mais 90 minutes durant, c'est un peu longuet. Lhermitte est également parfait en dandy bambochard d'une nuit mais comme pour Balasko, on est trop souvent dans la même scène mélo-soulographique. La tenue et la danse loufoques de Balasko sont à hurler de rire dans la scène du parking mais la "party" chez le Président Bulot est une grosse tarte à la crème beaucoup trop lourde à digérer. Au bout de quelques minutes, je n'attendais plus qu'une chose: passer à la suite. Une fin mélo-nunuche pour couronner le tout. Pourtant, j'aime assez "ceux du Splendid" en général.

Il m'aura fallu 36 ans pour enfin voir Nuit D'Ivresse. Grand fan de la troupe du Splendid, je m'attendais à un monument. Il s'avère que Thierry Lhermitte ne sait pas jouer le mec bourré, en tout cas pas en 1986. Heureusement Josiane Balasko relève le niveau avec une auto-dérision rare. Sans elle, je crois que j'aurais arrêté assez vite, d'autant que les scènes se suivent sans apporter grand chose. On est très loin des Bronzés tant en terme de rythme que de qualité d'écriture. À réserver aux fans.

Nuit d’ivresse est un film moyen de Bernard Nauer. La mise en scène du réalisateur reste très académique, le scénario n’a rien d’exceptionnel et reste plat, le film n’est pas très intéressant etc… Cependant, les acteurs comme Thierry Lhermitte, Josiane Balasko et Gérard Martin sont convaincants dans leurs rôles et le film est divertissant.

"Nuit d'ivresse" nous dépeint les pérégrinations alcoolisées dans Paris de Jacques Belin (Thierry Lhermitte), un présentateur de jeux télévisés qui a reçu un "dandy d'or", et de Fred (Josiane Balasko), une femme vêtue de manière excentrique qui vient de sortir de prison. Réalisée par Bernard Nauer (son seul succès) et co-écrite par Josiane Balasko et Thierry Lhermitte, cette comédie est sympathique, même si elle ne fait pas partie des indispensables de ses deux acteurs principaux. Cette "traversée de Paris de la cuite" faite par ce couple improbable mais attachant offre de bons moments d'humour. Difficile d'oublier la danse de majorette de Fred devant un Belin hilare, la soirée chez le président Bulot pendant laquelle ce même Belin coupe une oreille en pointe à un critique qu'il n'aime pas et se bat avec son patron muni d'une queue de billard, ou encore son réveil le lendemain qui donne lieu à une suite de quiproquos savoureux. On regrettera juste la fin téléphonée, dans laquelle le changement de comportement de Belin est trop brusque. Thierry Lhermitte et Josiane Balasko sont excellents dans deux rôles assez complexes, car jouer l'ébriété sur un laps de temps aussi long était chose peu aisée, mais le résultat est très crédible. On notera également les participations de Gérard Jugnot, Victoria Abril, Bruno Moynot, Ticky Holgado et France Roche (une célèbre journaliste et critique de cinéma qui joue son propre rôle). Signalons enfin la chanson entraînante des Rita Mitsouko.

Super film, quelques scènes sont vraiment tordantes ! Tout ça grâce à des acteurs rodés et oui, des grosses pointures en matière d'humour ! On en redemande !

Dans "Nuit d'ivresse" de Bernard Nauer (son seul titre de gloire), pièce à succès de Josiane Balasko (et Michel Blanc), la comèdienne et Thierry Lhermitte, couple de la troupe du Splendid, font la tournèe des grands ducs! Lui est un animateur de jeux tèlèvisès en ètat d'èbriètè avancè, elle une ex-taularde vulgaire! ils se rencontrent dans un bistrot de gare et vont passer la nuit la plus folle de leur nuit! Sur fond de dèlire èthylique et plutôt drôle, une performance d'acteurs assez exceptionnelle avec au moins une scène culte d'une Josiane Balasko faisant la majorette dans un parking sous terrain! Dèjà un classique...

Même si j'ai préféré la pièce de théatre réunissant Josiane Balasko et Michel Blanc (que je vous conseille de découvrir si vous avez aimé le film), la version cinématographique n'est pas mal non plus !

"Nuit d'Ivresse" avant d'être un film est tout d'abord une pièce théâtre écrite par Josiane Balasko et Michel Blanc. Dans le film de Bernard Nauer, Balasko et Lhermitte se partagent l'affiche du film, à noter aussi que Gérard Jugnot fait une courte apparition. Une comédie "made in Troupe du Splendid". Thierry Lhermitte est un animateur de jeux télé alors que Josiane Balasko est une ancienne détenue et vulgaire par dessus le marché. Ils n'ont rien en commun, vont se rencontrer par hasard dans le bistro d'une gare et vont vivre une nuit des plus agitées. "Nuit d'Ivresse", seul long métrage notable de son réalisateur est aujourd'hui une comédie culte pour toute une génération de spectateurs et qui, la profondeur et la beauté en moins, et même si les conneries ne sont pas les mêmes, semble s'inspirer du "Singe en hiver". En ce qui concerne la cuite bien entendu.

Le film le plus drôle de Balasko. Une soirée de beuverie déjantée entre 2 personnages que tout oppose. Un scénario simple qui s'envole grâce à des dialogues riches servis par 2 comédiens hauts en couleur et forts en gueule. Une succession de scènes culte. L'adaptation de la pièce est vraiment réussit.

Un film assez drôle, mais porter cette pièce de théâtre au cinéma n'apporte rien de particulier.

meme si ca met un peu de temps a se lancer,une fois que c'est demarrer on se marre comme jamais.josiane balasko une de mes actices preferées est vulgaire et excellente.tout comme lermitte aussi excellent.la scene de la majorette et MA scene preferee tout film confondu,je suis plié a chaque fois.c'est pas le film le plus connu et le plus culte mais pourtant il vaut son pesant d'or.de l'air il a dit de l'air et c'est mechant de l'airrrr...

Un film comme on n'en voyait beaucoup à l'époque (des scénarios assez originaux, des dialogues parfois assez "épique" et relevé d'une touche de vulgarité (malheureusement parfois un peu excessif)), et qui maintenant sont quasi culte (qu'il soit bon ou non, tout le monde les ont vu au moins une fois). Ici ce qui relève quand même (faut le reconnaitre) le film, reste le casting de choix (Balasko, Thierry Lermite... qui interprete avec brio le rôle qui leur a été convenu). BOn, le scénario ne va pas chercher bien loin et manque malheureusement de rebondissement. D'ou une fois, certe prévisible et assez attendu de tous. Mais qui aurait pu débouché sur quelques autres situations. Signant du coup ici, une fin ; un peu trop hollywoodienne. Notre cher duo s'embrasse non loin de la Tour eiffel... Assez cliché donc. Pas mal de passage, le sont également ; mais l'on doit dire que tout les films de cette "cuvée". L'étaenit tous, plus ou moins. Ici, on ne peut le nier. Mais cela ajoute une touche un peu burlesque et excentrique, comme Josiane Balasko sait le faire et si adapter. Bref, cela reste un petit divertissement qui nous rappelle les années 80-90 (tant au niveau des dialogues (souvent comparable dans le registre et le sens aux autres films de cette tranche)) et qui apporte une petite touche (bien française, sa c'est sur^^) déjanté, fun et plutot décalé. Ou l'on ne s'ennuit pas vraiment. Frede, arrive ici, à nous avoir à la fois notre empathie à l'égard de son personnage ; mais également tout l'opposé... Un caractère bien trempé qui à son petit truc^^. Cela basique au niveau de la mise en scène, réalisation et compagnie... enfin, cela fait partie des films de la decennie ; ou l'on voit maintenant que chacun des acteurs ont pris dans bien souvent des cas. Un bon coup de vieux. Un petit vent de nostalgie donc le temps d'une soirée. Qui à l'occaz, se laisse revoir. Mais qui n'a rien d'un chef d'oeuvre (une decennie ou le cinéma a été innondé par des productions de cette trempe, tous plus ou moins réussie ; mais qui se démarqué toujours par quelques choses et dont chacun en a retenu au moins un petit truc). Bon c'est sympa, loin d'être extraordinaire ; mais sa passe le temps... Pourquoi pas.

Après un début plutôt bon, cette comédie perd de son charme et laisse place à une certaine lourdeur.

Une heure de beuveries agacantes et trente minutes de niaiseries.