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    Le Successeur
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    Jacques Renoud
    Jacques Renoud

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 février 2024
    Depuis bien longtemps je n'avais pas quitté une salle avant la fin d'un film.... mais là je n'ai pas tenu : longueurs, invraisemblances, situations dont le seul objectif est de vous faire sursauter de peur, en un mot on y croit pas une minute ! Film sans intérêt pour moi
    Liliane Dubuc
    Liliane Dubuc

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2024
    Un thriller bouleversant qui m’a tenu en haleine du début à la fin ! Pour moi un des meilleurs films à suspense incontournable !
    FaRem
    FaRem

    7 705 abonnés 8 979 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2024
    À la mort d'un proche, on peut renoncer à la succession, mais pas Ellias qui n'a pas le luxe de refuser ce très lourd héritage dont il n'a pas idée lorsqu'il retourne au Québec suite au décès de son père avec qui il était en froid. Six ans après le très bon "Jusqu’à la Garde", Xavier Legrand nous propose un nouveau film avec une tension omniprésente. À la suite d'un changement de ton très brutal, on assiste à une véritable descente aux enfers avec un personnage confronté à un dilemme moral. Plus le temps passe, plus c'est la merde pour lui. Une urgence qui accentue cette pression sur lui et justifie ses décisions irrationnelles. On peut parler de sa réaction, mais c'est justement cet état de panique qui fait voler en éclats tout discernement chez Ellias. Xavier Legrand joue avec nous autant qu'il aime torturer ce créateur de mode, et ce pour notre plus grand plaisir. C'est glauque, sadique et très stressant. Comme quoi, il n'y a pas forcément besoin de scènes de violence ou choquantes pour troubler le spectateur. Au final, "Le successeur" est un thriller psychologique captivant et haletant de bout en bout.
    Chris58640
    Chris58640

    187 abonnés 734 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2024
    Xavier Legrand choisit d’adapter librement un roman que je ne connais pas, « L’ascendant » d’Alexandre Postel. Impossible pour moi donc de juger l’adaptation en tant que telle. Je retrouve dans « Le Successeur » ce qui m’avait particulièrement marqué dans son premier film : le soin apporté au son et au hors champs. Il y a de la musique dans « Le Successeur », mais seulement dans les scènes sans enjeux, sans suspens. Ces scènes là sont écrasantes de bruits ou bien au contraire écrasantes de silence. Et puis, il se passe beaucoup de choses hors-champs de la caméra, et des choses capitales. En fait, c’est comme si ce qui était crucial dans le film n’était jamais montré frontalement : spoiler: la découverte du « secret » paternel, la scène de nuit dans les bois, ou alors la toute fin, qui n’a pas finit de faire parler.
    C’est une manière simple mais redoutable pour créer la tension. Et de la tension, il y en a beaucoup dans ce film qui plonge le spectateur dans une malaise grandissant avec comme point d’orgue spoiler: une séance de projection de photographies (pendant les funérailles)
    qui vous met le dernier uppercut. Après cette scène, le spectateur un peu anesthésié avale les toutes dernières scènes, comme on boit un calice, c'est-à-dire jusqu’à la lie. La dernière image nous offre une fin en forme e point d’interrogation, uniquement interprétable par le son, et qu’on peut comprendre comme on veut, ou plutôt comme on peut. Il y a de jolis plans, de beaux travelling, des transitions soignées, tout cela est fait avec application et confirme tout le bien que je pense de Xavier Legrand. Mention spéciale à son générique de début, un défilé de mode sous forme de spirale spoiler: (la spirale, c’est ce qui va happer le personnage,
    c’est malin que ce soit la toute première image) avec des mannequins maigres et blafardes, visages fermés et démarches saccadées, c’est presque hypnotique. Le personnage principal, sur lequel tout le film repose, est presque une petite caricature de créateur de mode : crane rasé, boucles d’oreilles, quasiment toujours habillé de noir comme une sorte d’uniforme, c’est Marc-André Grondin qui lui donne corps. Ce rôle est maigre en dialogue, il passe beaucoup de son temps mutique les sourcils froncés, écrasé par la succession de ce père à qui il ne parlait plus. spoiler: Déjà sujet aux crises d’asthmes et aux crises d’angoisses, Elias aura l’occasion de pleurer, de suffoquer, de sangloter, et de paniquer.
    Et autant il parle peu et bas, autant quand il pleure il est assourdissant. C’est un rôle difficile que Mars-André Grondin tient. On peut peut-être trouver qu’il a le chagrin un peu trop expressif, mais la réalité c’est que personne, mais alors personne n’a envie de se retrouver dans sa position. Qui peut savoir comment nous tiendrions nos nerfs dans une situation comme la sienne ? A ses côtés, Yves Jacques incarne fort bien un ami du père d’Elias, que l’on trouve envahissant et pénible (du point de vue d’Elias), alors qu’à bien y réfléchir c’est un homme qui se comporte normalement. Mais la normalité, elle a volé en éclat lorsqu’Elias, en rangeant la maison paternelle, spoiler: découvre qui était réellement son père. Ce coup de théâtre n’en n’est pas réellement un dans le sens où on devine, plus ou moins, ce dont il est question : qui trouve normal de maintenir fermé à clef (et la clef dans un trousseau à part) un cellier à l’intérieur d’une maison, franchement ? Pas besoin d’avoir vu et lu beaucoup de polar pour voir arriver l’inéluctable, avec effarement.
    A partir de ce moment clef (sans jeu de mot), le film bascule de la chronique familiale au thriller pur sucre. spoiler: Elias prends une mauvaise décision qui en entraine fatalement une autre puis une autre, et scelle son destin
    . Il n’est pas évident de comprendre ce personnage à partir de là, car on ne sait pas ce qui motive réellement ses actes : la peur certainement, mais la peur de « qui », la peur de « quoi » ? spoiler: Le film tends à dire qu’Elias est comptable des actes de son pères, qu’il est « obligés » à sa succession, presque que l’hérédité le force à achever ce que son père à commencer. Or il n’y a rien de plus faux que cela !
    C’est un peu l’incompréhension de ce personnage qui me perturbe. A moins qu’il n’ait été conduit à faire ce qu’il fait par peur de perdre sa toute nouvelles célébrité, auquel cas je comprends mieux son attitude, spoiler: qui reste malgré tout difficilement pardonnable
    . « Le Successeur » est un film oppressant qui ne laisse pas indifférent, c’est un film qui laisse le spectateur sur une sensation très ambivalente et inconfortable. Si c’était le but recherché par Xavier Legrand, alors c’est parfaitement réussi.
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    37 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2024
    Réussir un deuxième film est, dit-on, ce qu'il y a de plus compliqué. Cela doit l'être encore plus lorsque son premier (Jusqu'à la Garde, ici, en l'occurrence) a été porté aux nues et même récompensé du César du Meilleur Film en 2019.

    Xavier Legrand a mis en place plusieurs stratégies pour alléger cette difficulté et faire en sorte que son nouveau long métrage ne souffre pas trop de la comparaison avec son prédécesseur. Tout d'abord, en se délocalisant et en s'appuyant sur un casting quasi exclusivement Québecois puis, même s'il poursuit ici sa réflexion sur la violence intra familiale, en évitant de l'aborder de nouveau sous un angle sociétal, comme dans Jusqu'à la Garde.

    Pour autant, ce Successeur semble diviser depuis sa sortie et même provoquer des réactions épidermiques chez certains.

    Une des raisons probables est que, plus qu'un drame, le film est une vraie tragédie et qu'il faut donc accepter de s'y plonger complètement pour en supporter les excès et certains choix scénaristiques dont notamment un qui divise plus particulièrement : une des décisions du personnage principal qui peut paraître invraisemblable, mais qui peut aussi s'expliquer et sans laquelle le film n'aurait pas la portée qu'il a. Ce dernier prend alors une autre dimension et nous permet de nous interroger sur la question de l'hérédité et sur la possibilité ou non de s'affranchir du poids de l'héritage familial.

    Une chose est sûre, Xavier Legrand confirme son talent de metteur en scène. S'il nous avait laissé entrevoir son talent pour générer chez le spectateur angoisse et terreur dans le cadre d'une séquence finale, sidérante d'effroi, dans Jusqu'à la Garde, il parvient ici à nous faire sursauter et à instaurer une tension constante et éprouvante avec davantage d'efficacité que le raté Sleep, sorti le même jour, et pourtant film de genre.

    Et rien que pour ça, mais aussi parce qu'il dépeint avec une belle intensité la descente aux enfers d'un homme (Marc-André Grondin, aux capacités lacrymales impressionnantes !), jusqu'à une fin inexorablement tragique, l'on peut dire que le test du deuxième film est totalement réussi !

    Ma page ciné Instagram : fenetre_sur_salle
    AZZZO
    AZZZO

    278 abonnés 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mars 2024
    Xavier Legrand a beaucoup de talent. "Jusqu'à la garde" avait époustouflé par sa maîtrise technique et la justesse de la mise-en-scène. Son nouveau film était donc attendu. La première scène, celle du défilé, est magnifique et semble annoncer de nouveau un grand film. Malheureusement, toute l'intrigue repose sur une scène totalement impossible. Lors de cette scène (totalement surprenante), le personnage principal réagit d'une façon incongrue. Certes, cela permet à Xavier Legrand de tirer le fil de son histoire jusqu'à la dernière scène afin d'évoquer le poids de la filiation mais il aura malheureusement perdu en chemin une grande partie des spectateurs qui continueront de se demander pourquoi son personnage a agi ainsi et n'a pas tout simplement préféré passer un coup de fil (ce que tout le monde aurait fait).
    C'est talentueux sur la forme mais bancale sur le fond. Dommage.
    remyll
    remyll

    163 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2024
    Entre toutes les belles émotions positives liées à l’atmosphère artistique intello d’avant-garde d’une grande maison de couture parisienne et la campagne canadienne de naissance où un brillant nouveau créateur de mode est né figure un gigantesque, obscur, étrange et progressivement effrayant espace particulièrement perturbant et négatif. Est-ce que l’artiste en réchappera ? Mystère et boule gomme! Il faut voir le film…Le scénario, la mise en scène et tous les acteurs sont vraiment excellents.
    Fiers R.
    Fiers R.

    68 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2024
    Le passage au second long-métrage est toujours un art difficile, scruté et attendu par tous. Surtout quand le premier est une véritable claque, un petit chef-d’œuvre. Xavier Legrand est dans ce cas de figure après nous avoir offert l’immense « Jusqu’à la garde ». Et il défie nos attentes avec « Le Successeur ». Certes, moins définitif et mémorable que sa première incursion au cinéma, il réalise néanmoins une nouvelle œuvre sous haute tension. Le genre de film très singulier et surprenant, qui change de genre en cours de route et nous déroute jusqu’à la toute fin malgré quelques petites scories.

    Retrouvez ma critique complète sur le site spécialisé Le Mag du Ciné:
    https://www.lemagducine.fr/festivals/cinemania-2023-le-successeur-xavier-legrand-avis-10064726/
    Ciné-13
    Ciné-13

    99 abonnés 917 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 mai 2024
    Prouesse 1 du réalisateur : pendant les 45 premières minutes, on se demande inexorablement ce qui se trame (alors que tout semble normal). Prouesse 2 : rendre agaçant ce voisin ami du père décédé en se demandant comment se dépêtrer de cet être collant au possible Prouesse 3 : nous faire oublier que la réaction du fils est totalement improbable, au profit d'une angoisse extrême devant la tournure des événements. GRONDIN est extraordinaire de perplexité désespérée.
    Le prologue du défilé de mode est un teasing virtuose pour installer notre "héros".
    L'épilogue est autant éprouvant devant la détresse incommensurable de notre prince de la haute couture!
    Un thriller que vous n'oublierez pas!
    AdamC
    AdamC

    52 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2024
    Film très déroutant, les 20 premières minutes ne laissent en rien présager de la suite du film. La réalisation est de qualité. On a affaire à un thriller rondement mené et très bien écrit. Le rebondissement principal du film est bien trouvé et nous pousse à nous interroger sur de nombreuses choses. Néanmoins j’ai trouvé le film trop long et l’atmosphère un peu angoissante je ne m’attendais pas à un film de la sorte
    Delphine Sion
    Delphine Sion

    4 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2024
    Magnifique film sur l'hérédité... Un thriller haletant et une fin glaçante........ Je vous le conseille
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 226 abonnés 4 034 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2024
    Vous pensiez avoir été suffisamment troublé par Xavier Legrand avec son long-métrage « Jusqu’à la garde » et sa série « Tout va bien » ? « Le Successeur » va vous retourner les tripes et le cerveau. Alors que sa carrière dans la mode explose en France, un homme doit retourner sur ses terres canadiennes pour régler les funérailles de son père qu’il ne connaît pas. Au fil du récit, le drame va plonger le spectateur dans un thriller inattendu, terrifiant et bouleversant. Pour couronner le tout, le réalisateur offre la tête d’affiche au trop rare Marc-André Grondin, qui livre ici son plus beau rôle.
    Cinememories
    Cinememories

    452 abonnés 1 437 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mars 2024
    Sept ans plus tôt, Jusqu’à la garde nous avait scotché au fin fond de notre siège pour sa maîtrise de la tension et à la force d’un cadrage millimétré. Ce premier long-métrage de Xavier Legrand ne pouvait pas mieux lancer le cinéaste dans une carrière qui lui reste à dessiner. Comment enchaîner après tel succès ? Comment gérer une telle pression ? Le successeur semble tout indiqué pour y répondre et avec beaucoup d’audace. Nul besoin d’attendre plus longtemps pour que l’on se jette vers ce nouveau récit, d’une noirceur qui n’a d’égal que sa fureur.

    Ouverture en rythme et haut en couleur, nous sommes rapidement plongés dans un défilé de mode, dont le parcours en spirale est significatif. Cette débauche promotionnelle justifie toutefois le sacre à venir d’Ellias Barnès (Marc-André Grondin), dont les créations sont à destination de la gent féminine. En cet instant, Legrand prend la peine de tourner sa caméra sur la superficialité de cette grande exhibition, redondante mais particulièrement envoûtante. Pourtant, la suite du programme est imprévisible pour le couturier. Bien qu’il sente un rapprochement entre sa douleur à la poitrine et le décès inattendu de son père, il va peu à peu découvrir la trajectoire cyclique et tragique dans lequel il se trouve.

    Ayant coupé les ponts avec son dernier parent vivant, Ellias est amené à suspendre ses projets professionnels pour remettre de l’ordre dans sa vie privée. Pressé d’en finir avec les paperasses administratives et les obligations cérémoniales, il ausculte la maison familiale pour remballer ses souvenirs indésirables, une fois pour toutes. Mais dans ces longues années d’absence, son père a vécu auprès de personnes qui le considèrent et qui l’aimaient comme un frère. C’est notamment le cas lorsque Dominique (Yves Jacques) débarque sur son palier pour présenter ses condoléances. Mais Ellias ne veut pas les accepter et ne pourra pas digérer plus longtemps ce genre d’affection qui le dépasse car, entre ces murs, il découvre que le paternel ne vivait pas religieusement d’air pur et d’eau fraîche, tel l’oiseau de Michel Fugain. Bien au contraire, les masques tombent et les coutures sautent les unes après les autres. L’attaque cardiaque qu’il a eu quelques jours plus tôt est donc peut-être le signe d’une connexion profonde avec le mal.

    Toute l’écriture se joue sur ce mode opératoire, sur le fait qu’il existe une porte fermée en chacun des hommes. Ce qu’elle renferme, c’est évidemment la violence, que l’on peut exprimer par bien des manières et que l’on ne peut pas éternellement refouler ou dissimuler. Et ce qu’il y a derrière cette porte devrait-il également appartenir à Ellias ? Doit-il nécessairement en être le successeur ? Xavier Legrand déroule-là un testament du patriarcat comme on en voit rarement. En prenant soin de nous promener dans cette maison, sorte de labyrinthe mental du protagoniste, il se permet également de jongler avec plusieurs genres et plusieurs nuances de langage, afin de remonter une potentielle piste tragique, dont le héros ne pourra se défaire.
    PLR
    PLR

    422 abonnés 1 499 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2024
    « Le successeur », titre qui évoque d’abord le personnage principal prenant la suite de son mentor dans le domaine de la Haute Couture à Paris. Mais c’est un titre en trompe-l’œil. Car il s’agit ici pratiquement d’un thriller avec son intrigue et ses fausses pistes. A commencer par le titre donc ! « Le successeur », ce sera tout autant ici, si ce n’est davantage encore, ce qui attend le fils éloigné, séparé, brouillé de son père lorsque celui-ci décède. On ne saura pas vraiment les causes qui ont amené à la rupture du lien familial mais peu importe, ce n’est pas le sujet, c’est seulement le contexte. Ce fils relativement indifférent à la mort de son père délaisse ses occupations en France au moment où il est professionnellement en pleine ascension et reconnaissance pour s’occuper des obsèques de son père au Québec et expédier aussi vite que possible en peu de jours quelques affaires courantes en lien avec la succession. Et c’est là qu’en guise de succession va surgir un poids incommensurable. Impossible d’en dévoiler la nature ici car c’est tout le sujet du scénario, de l'intrigue. Particulièrement bien pensé et mis en scène, ce moment où le fils découvre quelque chose de visiblement violent mais dont le spectateur sera laissé un bon moment dans l’ignorance. Jusqu’à ce que l’inimaginable pour un fils envers son père et le spectateur enfin mis dans le bain se révèle. Un style narratif bien ciselé, inspiré des plus grands scénaristes avec cet art (d'aucuns évoquent Hitchcock) de dissimuler au spectateur des informations cruciales afin de le tenir en haleine.
    defleppard
    defleppard

    334 abonnés 3 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juin 2024
    Le successeur. Drame qui se voit jusqu'au bout sans aucun problème. Le dernier quart étant le plus intense. Trois étoiles et demie.
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