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MON AMI LE PETIT MANCHOT : 15,5/20
En sortant du boulot, sans aucune attente particulière, je décidais d’aller voir ce petit film sans prétention, mais qui m’avait l’air sympathique, inspiré d’une histoire vraie. Eh bien, je n’étais pas vraiment prêt pour ça !
Un manchot traverse l’océan chaque année, de la Patagonie en Argentine jusqu’au Brésil (8000 km), pour rendre visite à son ami humain Joao.
Un scénario digne de la science-fiction, mais pourtant bien réel, que le film raconte en toute simplicité.
Car si, de prime abord, le scénario peut sembler un peu imaginaire et tout beau tout rose, avec la crainte de se retrouver devant un film à la Beethoven sur la banquise, sa simplicité d’écriture et de mise en scène est finalement sa plus grande force.
On a là un film ultra intimiste, sympathique et très touchant.
En effet, cette histoire, aussi belle soit-elle, est magnifiquement incarnée par un Jean Reno meurtri, marqué par l’histoire de son personnage, et qui joue à la perfection.
Son duo avec le petit manchot est ultra-crédible et propulse le capital sympathie du film au sommet.
Enfin, ce film est réussi pour les émotions qu’il procure. Outre son histoire, qui est déjà touchante sur le papier, les images, la musique incroyable, les jeux d’acteurs, les images d’archives en fin de film, tout est fait pour créer de l’émotion, et ça marche (plusieurs enfants pleuraient durant le film, je n’ai jamais vu ça).
En faire trop aurait été « too much », en faire moins aurait créé de l’ennui. Un dosage quasi parfait.
Qu’on se le dise, ce film est vraiment sans prétention et n’a pas vocation à faire un carton plein au box-office, mais j’ai été volontiers embarqué dans cette histoire extrêmement touchante et atypique qui m’a évadé du quotidien le temps d’une séance. Merci Dindim .
Plus de notes sur insta : 22sur20
En sortant du boulot, sans aucune attente particulière, je décidais d’aller voir ce petit film sans prétention, mais qui m’avait l’air sympathique, inspiré d’une histoire vraie. Eh bien, je n’étais pas vraiment prêt pour ça !
Un manchot traverse l’océan chaque année, de la Patagonie en Argentine jusqu’au Brésil (8000 km), pour rendre visite à son ami humain Joao.
Un scénario digne de la science-fiction, mais pourtant bien réel, que le film raconte en toute simplicité.
Car si, de prime abord, le scénario peut sembler un peu imaginaire et tout beau tout rose, avec la crainte de se retrouver devant un film à la Beethoven sur la banquise, sa simplicité d’écriture et de mise en scène est finalement sa plus grande force.
On a là un film ultra intimiste, sympathique et très touchant.
En effet, cette histoire, aussi belle soit-elle, est magnifiquement incarnée par un Jean Reno meurtri, marqué par l’histoire de son personnage, et qui joue à la perfection.
Son duo avec le petit manchot est ultra-crédible et propulse le capital sympathie du film au sommet.
Enfin, ce film est réussi pour les émotions qu’il procure. Outre son histoire, qui est déjà touchante sur le papier, les images, la musique incroyable, les jeux d’acteurs, les images d’archives en fin de film, tout est fait pour créer de l’émotion, et ça marche (plusieurs enfants pleuraient durant le film, je n’ai jamais vu ça).
En faire trop aurait été « too much », en faire moins aurait créé de l’ennui. Un dosage quasi parfait.
Qu’on se le dise, ce film est vraiment sans prétention et n’a pas vocation à faire un carton plein au box-office, mais j’ai été volontiers embarqué dans cette histoire extrêmement touchante et atypique qui m’a évadé du quotidien le temps d’une séance. Merci Dindim .
Plus de notes sur insta : 22sur20
En vue des notes sur AlloCiné,
je m'attendais un film 'mignonnet'
mais c'est vraiment un très beau film,
attendez-vous à être émus !
L'émotion grandit
au fur et à mesure avec l'histoire
et elle se termine avec de vraies images.
Et Jean Reno, il joue tellement bien !
je m'attendais un film 'mignonnet'
mais c'est vraiment un très beau film,
attendez-vous à être émus !
L'émotion grandit
au fur et à mesure avec l'histoire
et elle se termine avec de vraies images.
Et Jean Reno, il joue tellement bien !
Très émouvant, histoire fascinante et touchante, obligé de pleurer devant, c'est beau l'amour animaux/humain
Tiré d'une histoire aussi vraie qu'incroyable, ce film nous retrace le destin de deux êtres que rien ne prédestinait à devenir amis : un pêcheur brésilien et un manchot argentin !
Jean Reno est touchant dans ce costume d'homme au grand coeur fracassé par la vie, le petit volatile noir et blanc, baptisé DinDim, est également trognon et tellement attendrissant.
Même si cette aventure reste par moments un peu puérile et gentillette ciblant un public très jeune, l'ensemble est plutôt bien réalisé, j'ai personnellement eu recours plusieurs fois à mon mouchoir en papier pour pouvoir continuer à suivre cette projection les yeux au sec !
La nature est vraiment étonnante parfois : mignonnet !
Site CINEMADOURG.free.fr
Jean Reno est touchant dans ce costume d'homme au grand coeur fracassé par la vie, le petit volatile noir et blanc, baptisé DinDim, est également trognon et tellement attendrissant.
Même si cette aventure reste par moments un peu puérile et gentillette ciblant un public très jeune, l'ensemble est plutôt bien réalisé, j'ai personnellement eu recours plusieurs fois à mon mouchoir en papier pour pouvoir continuer à suivre cette projection les yeux au sec !
La nature est vraiment étonnante parfois : mignonnet !
Site CINEMADOURG.free.fr
Une réalisation magnifique, avec un Jean RENO incroyablement touchant dans cette amitié sincère avec ce petit volatile, des images sublimes, une caméra savante, une BO lyrique interprétée par un orchestre hors pair. Ok l’histoire est simplette et attendrissante (8x5000kms parcourus quand même), mais son traitement cinématographique la sublime.
Un petit bijou !
Un petit bijou !
Si vous aimez les belles histoires, les prises de vue magnifiques, la nature , ce film vous comblera ! Inspiré d'une histoire vraie, Jean Reno y campe un personnage hyper touchant. On est à la fois charmé, emporté , bouleversé par l'incroyable parcours de ce petit manchot.
A découvrir ....
A découvrir ....
Plusieurs raisons expliquent que My Penguin Friend touche le cœur du spectateur et l’émerveille une heure et demie durant. Il y a d’abord, et pour beaucoup, la partition de Fernando Velázquez, d’une poésie rare et authentique – le souffle de l’orchestration, les élans lyriques et tragi-comiques, l’ampleur du thème principal –, qui retranscrit musicalement les enjeux du récit, ses non-dits, ses drames endurés et ses résolutions à venir. Il y a, ensuite, la qualité de l’interprétation, mention spéciale au couple formé par Jean Reno et Adriana Barraza. Il y a enfin un propos, inattendu compte tenu de la nature familiale du projet, soit le choix du manchot comme métaphore de
spoiler:
l’enfant perdu
« entre deux mondes », dixit la scientifique, comprenons entre le passé et le présent, spoiler: entre les vivants et les morts
, mobilisant au passage un ensemble de symboles sous la forme d’objets (le bonnet, le bracelet offert en cadeau) ou de phrases répétées. Le film exhibe les rouages et mécanismes de son propre théâtre par l’intermédiaire d’une équipe de journalistes soucieux de relayer l’histoire de João parce que sa beauté, sa force et sa singularité résonneront universellement ; ce faisant, il se raccorde à la figure traditionnelle du conteur, partage la focalisation entre l’homme et l’animal au moyen de plans audacieux – point de vue interne pour le manchot, avec une déformation du cadre mimant l’œil – et, pour l’essentiel, très bien photographiés. Voilà une œuvre modeste, desservie certes par un montage parfois charcutier, par des effets visuels visibles et par des passages mélodramatiques conventionnels, mais chargée en émotion et en cinéma. Une belle surprise.
« entre deux mondes », dixit la scientifique, comprenons entre le passé et le présent, spoiler: entre les vivants et les morts
, mobilisant au passage un ensemble de symboles sous la forme d’objets (le bonnet, le bracelet offert en cadeau) ou de phrases répétées. Le film exhibe les rouages et mécanismes de son propre théâtre par l’intermédiaire d’une équipe de journalistes soucieux de relayer l’histoire de João parce que sa beauté, sa force et sa singularité résonneront universellement ; ce faisant, il se raccorde à la figure traditionnelle du conteur, partage la focalisation entre l’homme et l’animal au moyen de plans audacieux – point de vue interne pour le manchot, avec une déformation du cadre mimant l’œil – et, pour l’essentiel, très bien photographiés. Voilà une œuvre modeste, desservie certes par un montage parfois charcutier, par des effets visuels visibles et par des passages mélodramatiques conventionnels, mais chargée en émotion et en cinéma. Une belle surprise.
Très simple, le film permet de voir des belles images de manchots, et nous donne le plaisir de voir Jean Reno. L'histoire, un peu plate, manque un peu de surprise.
Quelque chose n'a pas fonctionné chez moi, je n'ai pas accroché à cette histoire vraie d'un banale manchot recueillit par un pécheur joué par Jean Reno. Jean Reno ne fait pas de films pour enfants, Jean Reno c'est Léon, Jean Reno c'est Enzo Mollinari. L'acteur joue presque l'idiot avec un manchot, non enfin !! Il en faut pour tous les goûts et certains trouveront l'histoire émouvante, désolé j'ai trouvé l'histoire puérile et mal jouée, digne d'un Walt Disney pour enfant de 6 ans....
Un film attachant qui s'inspire d'une histoire aussi vraie qu'incroyable et qui s'est glissè discrètement durant la pèriode des grandes vacances 2024! Une base de dèpart originale (l'amitiè entre un manchot très à l'aise avec les humains et un vieux pêcheur) qui emporte "My Penguin Friend" (2024) au-delà de l'hymne à la vie sans prètention! Une garantie d'èmotions en somme, surtout dans la seconde partie!
spoiler:
On y côtoie le danger, on s'amuse à regarder ce petit manchot libre qui va-et-vient comme il veut, heureux de vivre entre deux mondes à la fois, et on est triste quand il se blesse sur terre ou dans l'eau!
Avec pour vedette Jean Rèno qui trouve en ce vieux pêcheur un rôle sur mesure! Un bien joli moment à partager en famille, agrèmentè de splendides paysages et de petites aventures mouvementèes...
Avec pour vedette Jean Rèno qui trouve en ce vieux pêcheur un rôle sur mesure! Un bien joli moment à partager en famille, agrèmentè de splendides paysages et de petites aventures mouvementèes...
João mène une vie tranquille avec sa femme Maria jusqu'au jour où il découvre un manchot mal en point dont il décide de s'occuper. Le début d'une longue et improbable amitié... David Schurmann raconte l'histoire du pêcheur brésilien João Pereira de Souza dans une version évidemment dramatisée, mais pas à tous les niveaux. Par exemple, ça change de ne pas avoir le grand méchant habituel qui veut détruire ou s'accaparer ce qui ne lui appartient pas même si l'on n’en est pas loin à un moment... Par contre, il y a une dramatisation excessive du drame vécu par João qui n'était pas nécessaire. Ça fait tire-larmes et le lien qui tente d'être fait entre ces deux aspects de l'histoire n'a pas lieu d'être. Autre problème, le tournage en anglais pour un film au Brésil, ce qui donne l'impression de voir des dialogues doublés, ce qui est probablement le cas pour les acteurs secondaires... Au final, il est vrai que c'est une très jolie histoire, mais il ne se passe quasiment rien de probant pendant tout le film...
C'est gentillet, vraiment tout public et je pense destiné en tout premier lieu aux enfants. Quant à l'histoire, il ne faut pas en attendre plus que ce que le synopsis décrit.
Qu'est-ce que l'histoire est jolie qu'est-ce que c'est émouvant j'ai passé un excellent moment devant cette histoire si joliment racontée. J'ai terminé en sanglots moi qui suis fort sensible tout ce qui concerne l'enfance ou les animaux. Bravo a Jean Reno pour son interprètation. Histoire véridique. Comment ce petit manchot est adorable. Cette histoire incroyable m'a fortement touchée.
Alors là oui... ce film est adorable ! J'adore les pingouins et les manchots et là j'en ai eu pour mon compte ! Dindim est à croquer, son amitié avec Joao est bouleversante et vraiment j'ai passé un moment magique en compagnie de ce petit manchot de Magellan recueilli par un pêcheur à la retraite... bon il faut avouer quand même que Jean Reno joue très mal mais le film est tellement cute qu'on arrive à passer au dessus... un vrai moment de féerie et de bonheur ! Merci Dindim !
Un beau film tiré d’une très belle histoire vraie d’un manchot qui retourna voir un pêcheur brésilien 8 années de suite plutôt que de suivre le cours normal de son parcours. Jean Reno est touchant et le charme opère même s’il est troublant de le voir au milieu de Brésiliens car il dénote clairement. C’est romancé avec le parallèle entre le fils de Joao qui s’est noyé enfant dans l’océan et ce petit manchot qu’il appelle Dindim. C’est mignon. Un film parfait pour regarder en famille.
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