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Votre avis sur La Promesse verte ?
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Toutes les notes
Tres bon film , remarquablement joué, une bonne indication sur les Lobby qui bloquent les idées environnementales….
2h pendant lesquelles nous sommes tenus en haleine …. À ne pas rater !
2h pendant lesquelles nous sommes tenus en haleine …. À ne pas rater !
Préparez les pouces en bas car ça va pas plaire aux écolobobos!
Edouard BERGERON, dans l'ensemble pas mauvais avec" Au Nom de la Terre," se la joue ici Michael Mann avec ce thriller politique à 2 roupies!
Pas une scène qui n'a pas déjà été vue, pas une ligne de dialogue déjà lue, pas une note de musique déjà entendue (venant ici pour combler le vide sidéral du métrage (1h20 de musique sur 2h de film)
Son montage haché et son rythme pénible,le situe entre le téléfilm et la série inachevée!
Quant au scénar , il est bourré de ficelles , d'incohérences et de facilités.
Et si l'on doit parler du casting avec une Alexandra Lamy, en mode "fighting mother" naïve et cabocharde, qui se fait broyer par des forces évidemment plus fortes qu'elles, ou de Félix Moati, en mode ado(LoL!!), tête baissée et air grave), on peut dire qu'ils frôlent le cliché de chez cliché! A part l'éclaircie Philippe Torreton (Manzoni) le reste ...
Encore un message écolobobo avec de très gros sabots qui pour moi ne passe pas vraiment , regardez donc l'avis de Chanee asso Kalaweit (qui a inspiré le film) et vous comprendrez ...
Edouard BERGERON, dans l'ensemble pas mauvais avec" Au Nom de la Terre," se la joue ici Michael Mann avec ce thriller politique à 2 roupies!
Pas une scène qui n'a pas déjà été vue, pas une ligne de dialogue déjà lue, pas une note de musique déjà entendue (venant ici pour combler le vide sidéral du métrage (1h20 de musique sur 2h de film)
Son montage haché et son rythme pénible,le situe entre le téléfilm et la série inachevée!
Quant au scénar , il est bourré de ficelles , d'incohérences et de facilités.
Et si l'on doit parler du casting avec une Alexandra Lamy, en mode "fighting mother" naïve et cabocharde, qui se fait broyer par des forces évidemment plus fortes qu'elles, ou de Félix Moati, en mode ado(LoL!!), tête baissée et air grave), on peut dire qu'ils frôlent le cliché de chez cliché! A part l'éclaircie Philippe Torreton (Manzoni) le reste ...
Encore un message écolobobo avec de très gros sabots qui pour moi ne passe pas vraiment , regardez donc l'avis de Chanee asso Kalaweit (qui a inspiré le film) et vous comprendrez ...
Très belle émotion , un film très fort, des actrices et acteurs juste.
et un éclairage sur les carburants et huile depalme "verts" très instructif .
Ce film nous motive à être acteur
et un éclairage sur les carburants et huile depalme "verts" très instructif .
Ce film nous motive à être acteur
Le scénario est plutôt bon, crédible, intéressant mais le jeu manque d'intensité, d'émotion... On ne vit pas le film, on n'a pas peur pour ce jeune garçon prisonnier dans les geôles indonésiennes... Dommage ! il manque quelque chose !
Dramatiquement plausible ... Du beau cinéma, classique, bien fait, très bien fait même. Une distribution irréprochable avec Alexandra Lamy tout en sobriété ! C'est un poil didactique, quelque peu manichéen, mais efficace !
D'emblée on a bien du mal à croire que Felix Moati est étudiant, on reste perplexe par ce jeune homme qui part en Indonésie sans l'aide réelle d'une ONG ou d'une quelconque organisation ; le mec se la joue solo façon Rambo écolo. Invraisemblable. Mais on veut y croire, la planète vaut le coup ! Le soucis repose sur le départ de l'intrigue, alors que le film veut s'imposer comme militant bobo contre l'exploitation de l'huile de palme le côté polar/thriller dévie maladroitement... SPOILERS cliquez pour en savoir plus !... On aurait donc préféré un départ d'intrigue avec un enjeu plus directement lié aux magouilles politico-soco-financières autour des exploitations et de l'industrie de l'huile de palme. De surcroît, on est agacé par le procès, ou comment le Martin/Moati se la joue grand justicier écolo au point d'être bête à manger du foin (faut voir comment il sabote lui-même sa défense !). Ne parlons pas de ficelles qui forment des cordes dont 5mn d'un personnage (par monsieur Torreton) pour un monologue hyper démago et caricatural pour bien expliqué les choses autour de l'huile de palme... Ou pas car pourrait parfaitement servir pour d'autres thématiques. On dirait un téléfilm de luxe car à l'évidence Edouard Bergeon n'est ni Costa Gravas, ni Michael Mann ni Oliver Stone... Dommage...
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
Ce deuxième film d’Edouard BERGEON est encore une belle réussite après l’excellent « AU NOM DE LA TERRE » de 2019. Le scénario basé sur des faits réels similaires est parfaitement bien élaboré. L’histoire de ce jeune étudiant injustement condamné à mort en Indonésie est très palpitante à suivre à l’écran. De plus, derrière ce fait divers, le réalisateur met l’accent sur le scandale de la déforestation en Indonésie pour favoriser les intérêts économiques et politiques. Le courage et l’abnégation de la mère de cet étudiant est absolument admirablement traduit dans ce film très bien interprété par l’ensemble du casting.
Bernard CORIC
Bernard CORIC
Le traitement cinématographique est trop classique avec une LAMY combative désespérée, un MOATI résigné post-ado immature devant sa maman, personnages principaux qui atténuent la dramaturgie.
La complexité des conflits d'intérêt est magistralement incarnée par TORRETON en fin stratège, et "Monsieur POULAIN" (patron commercialisant l'huile de palme) d'un cynisme vicieux extrême (en chasseur de perdrix).
Tout le reste est vécu comme du remplissage exotique (île de Bornéo, Djakarta).
Et ce film n'a de promesse que le titre!
La complexité des conflits d'intérêt est magistralement incarnée par TORRETON en fin stratège, et "Monsieur POULAIN" (patron commercialisant l'huile de palme) d'un cynisme vicieux extrême (en chasseur de perdrix).
Tout le reste est vécu comme du remplissage exotique (île de Bornéo, Djakarta).
Et ce film n'a de promesse que le titre!
LA PROMESSE VERTE : 12/20
Quand l’écologie est un bon prétexte pour y glisser une histoire politique qui frôle l’incident diplomatique, ça donne La promesse verte.
L’idée de ce film n’est pas si mauvaise, mais le récit part vraiment dans tous les sens.
Et 2h de fourre-tout avec une Alexandra Lamy en surjeu total (comme d’habitude), c’est long !
Si vous vous attendiez à voir un film écolo qui sensibilise à la déforestation causée par l’exploitation de l’huile de palme et au bien-être de la faune et de la flore à vous en faire dégoûter du Nutella, vous allez être déçu.
Hormis le petit message de fin et quelques plans aériens sur la forêt style Pandora dans Avatar, avec une histoire d’huile de palme peu inspirée et plutôt primaire, le message écolo est complètement anecdotique. Et c’est bien dommage.
Ici, on va plus s’attarder sur l’histoire d’un journaliste qui découvre les méthodes peu orthodoxes d’une société qui produit de l’huile de palme en Indonésie. Un événement va lui causer bien des soucis qui retentiront jusqu’à l’Élysée.
Sa mère (Alexandra Lamy en surjeu total je répète) va tout faire pour l’aider à se sortir de cette galère.
S’en suivra l’implication du gouvernement français, les médias, les activistes etc. Tout ça de manière ultra clichée et caricaturale voire même grotesque, les méchants d’un côté bien méchants qui font bobo aux arbres, et les gentils de l’autre bien gentils et sans défense (je grossis les traits).
En bref, le message de ce film est important et met en lumière les lobbies industriels qui ravagent la nature pour leurs propres intérêts, mais il est juste mal raconté selon moi, et mal joué.
Un téléfilm du dimanche soir.
Plus de notes sur insta : 22sur20
Quand l’écologie est un bon prétexte pour y glisser une histoire politique qui frôle l’incident diplomatique, ça donne La promesse verte.
L’idée de ce film n’est pas si mauvaise, mais le récit part vraiment dans tous les sens.
Et 2h de fourre-tout avec une Alexandra Lamy en surjeu total (comme d’habitude), c’est long !
Si vous vous attendiez à voir un film écolo qui sensibilise à la déforestation causée par l’exploitation de l’huile de palme et au bien-être de la faune et de la flore à vous en faire dégoûter du Nutella, vous allez être déçu.
Hormis le petit message de fin et quelques plans aériens sur la forêt style Pandora dans Avatar, avec une histoire d’huile de palme peu inspirée et plutôt primaire, le message écolo est complètement anecdotique. Et c’est bien dommage.
Ici, on va plus s’attarder sur l’histoire d’un journaliste qui découvre les méthodes peu orthodoxes d’une société qui produit de l’huile de palme en Indonésie. Un événement va lui causer bien des soucis qui retentiront jusqu’à l’Élysée.
Sa mère (Alexandra Lamy en surjeu total je répète) va tout faire pour l’aider à se sortir de cette galère.
S’en suivra l’implication du gouvernement français, les médias, les activistes etc. Tout ça de manière ultra clichée et caricaturale voire même grotesque, les méchants d’un côté bien méchants qui font bobo aux arbres, et les gentils de l’autre bien gentils et sans défense (je grossis les traits).
En bref, le message de ce film est important et met en lumière les lobbies industriels qui ravagent la nature pour leurs propres intérêts, mais il est juste mal raconté selon moi, et mal joué.
Un téléfilm du dimanche soir.
Plus de notes sur insta : 22sur20
Tout dans ce film est caricatural. Les méchants mercenaires qui s’en prennent aux paysans et qui vont jusqu’à en assassiner. Mais c’est surtout entre la mère et le fils que cela ne fonctionne pas. On dirait qu’ils ont 10’ans d’écart. J’ai trouvé que l’actrice principale offre un jeu surfait.
Je dirais que ce film est un Largo Winch en pire.
Je dirais que ce film est un Largo Winch en pire.
Le sujet est intéressant car mondial et destructeur mais le film nous apporte peu de choses. Le scénario est médiocre et des scènes qui se répètent, dialogues peu construits, bande son médiocre. La notion du temps est mal retranscrite et donne l’impression que tout s’est passé sur 2 ou 3 mois.
Le sujet, l’Indonésie, les enjeux n’ont pas été suffisamment travaillés. Le couple mère / fils n’est pas crédible et le reste résonne creux.
La « Promesse » s’est faite attendre sans jamais se révéler. Je me suis vite ennuyé.
L’Art est exigeant mais certains l’oublient trop vite.
Le sujet, l’Indonésie, les enjeux n’ont pas été suffisamment travaillés. Le couple mère / fils n’est pas crédible et le reste résonne creux.
La « Promesse » s’est faite attendre sans jamais se révéler. Je me suis vite ennuyé.
L’Art est exigeant mais certains l’oublient trop vite.
Ce film porte un thème très important et que le réalisateur ne traite pas à la légère. On ressent tout au long du film la puissance des personnages mais aussi de la nature, qui a une très grande importance. Le son y est ajouté comme la cerise sur le gâteau et permet d’apporter une grande force à ce film. L’interprétation des acteurs est somptueuse et vous happera dans l’ambiance du film dès les premières secondes.
À voir absolument.
À voir absolument.
Un film qui réussit la prouesse de nous faire comprendre en moins de deux heures les enjeux écologiques, économiques, politiques et géopolitiques derrière la déforestation et l'huile de palme. Un film brillant et nécessaire !
Thématique intéressante mais le film est décevant pour le jeu de rôles des acteurs et des scènes décousues .
C’est dommage . Vu en avant-première ce soir
C’est dommage . Vu en avant-première ce soir
Mal joué l acteur qui semble avoir 28 ans dans le film est très vieux. On ne comprends alexandra lamy qui ne semble pas tellement crédible dans le rôle d'une femme qui a un fils en danger de mort. Pas assez intelligent.
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