Avis : La Vengeance d'une blonde - Page 2

Un film vraiment inutile, et dont la seule partie comique réside dans les fautes de liaisons du présentateur interprété par Thierry Lhermitte...

Bonne comédie qui respire les années 90.
C.Célarié en working girl est excellente, le couple M.A Chazel et C.Clavier plus vrai que nature.

On passe un très bon temps en regardant ce film

Vraiment décevant pour ceux couplé même nul pourtant avec des grands acteurs qui ont fait mieux d habitude

Projet plutôt amusant que de nous dévoiler les coulisses d'une chaine de télévision, cela tourne cependant vite à la caricature facile à l'image d'un Thierry Lhermitte parfaitement façonné. La vengeance d'une blonde repose ensuite sur le trio Célarié/Chazel/ Clavier et la déception est toutefois de rigueur quand, au vu du titre, notre chère blonde règle ses comptes avec si peu de panache. Ce n'est pas non plus le faible niveau de l'humour affiché qui va nous donner plus de satisfaction. A la réalisation on retrouve Jeannot Szwarc que l'on connait très peu mais qui compte dans sa filmographie des Dents de la mer 2 ou encore Supergirl mais qui déroule ici une comédie sans grandes inspirations et devant laquelle on restera plutôt insensible.

Un film quelconque qui n'apporte rien de nouveau !

De mauvais goût en mauvais goût cette comédie qui se voulait modale, de son époque l'est véritablement par le bas. La bouffonnerie de Clavier seul ou presque l'ensemble est basé sur lui, ne fonctionne pas dans plusieurs films voir la soif de l'or. Le jeu de dénonciation de l'hypocrisie de la télévision est si peu élaborée qu'elle en est finalement assez grotesque. L'impression est que l'on dénonce quelque chose que seul les plus abrutis peuvent ne pas être conscient ce qui ne joue vraiment pas en faveur de l'histoire. Le ton de la comédie est moyen, pas grand chose à retenir sinon un niveau au mieux moyen de la bouffonnerie, du rythme et de la réalisation. Au final il ne réussit même pas à être moyen. Clavier a pourtant réussit à se mettre en évidence dans certains rôles de comédie mais quand il joue le rôle comique principal ça ne fonctionne pas.

Après une carrière américaine ("Supergirl", "Les dents de la mer 2"), mais surtout axée sur les téléfilms, le réalisateur français Jeannot Szwarc est revenu sur ses terres natales. Surfant dans le sillage du colossal succès Jacquoillesque, le premier film français met en scène l'acteur Christian Clavier avec son épouse à la ville, Marie-Anne Chazel. Le résultat est somme toute décevant. Bien qu'égratignant le monde du JT, les personnages principaux tombent assez rapidement dans la caricature, surtout Clémentine Célarié. On ne rit pas franchement, sauf peut-être lorsque Thierry Lhermitte entre en scène, mais on passe néanmoins un bon moment de détente.

Bof bof... Que dire de ce film ? L'histoire part sur de bons sentiments avec une critique de la télévision mais la satire prend vite l'eau et on tombe assez vite dans les clichés maladroits. spoiler: D'ailleurs, la fin n'est pas sans rappeler Piège de cristal : lorsque Marie-Anne Chazel baffe le journaliste !
On retrouve pour une énième fois un Clavier surexcité et cela commence sérieusement à devenir pénible... et pour clore le tout, on place Marie-Anne Chazel dans le rôle de sa femme, déjà qu'elle l'est déjà dans la réalité à l'époque.
Bref, le film est maladroit, terriblement prévisible et on rit très rarement, ce qui est le comble pour une comédie. Le seul intérêt que je retiendrai de ce nanard, c'est l'émission "Franc jeu" avec la fameuse moumoute à Thierry Lhermitte. Une comédie digne des horaires creux des jours fériés sur TF1.

Une comédie caricaturale mais sympathique (et parfois un peu lourde) sur les coulisses du monde audiovisuel, portée par un casting séduisant.

Cette comédie, réalisée par Jeannot Szwarc et sortie en 1994, n'est vraiment pas terrible et encore, je pense être assez indulgent ! C'est ici l'histoire d'un journaliste qui monte progressivement sur une chaine à grosse part d'audience et qui prend inévitablement la grosse tête, tout en trompant sa femme, laissée pour compte. Cette dernière va alors préparer sa vengeance dans un talk show à l'américaine. Le synopsis promet une comédie savoureuse, surtout avec les acteurs qui la compose. Je dois effectivement avouer que j'apprécie beaucoup Christian Clavier et, quel que soit le navet dans lequel il joue, son personnage me fera toujours rire, ou au moins sourire, à un moment ou un autre. Ici, ça ne manque pas et j'avoue avoir effectivement rit à quelques scènes du film. Mais sinon, ce dernier est beaucoup trop poussif pour en être réaliste et donc drôle. Alors je sais bien que c'est un pastiche de la télévision des années 90 et que beaucoup de scènes sont exagérées et que beaucoup de personnages sont archétypaux mais tout de même, j'ai eu beaucoup de mal à accrocher à ce genre d'humour qui a finalement aujourd'hui beaucoup vieillit. Le film étant écrit par Marie-Anne Chazel on pourrait presque par ailleurs y voir une analogie à son couple qu'elle forme avec Clavier à la ville. Effectivement, au moment de la sortie du film, Clavier est auréolé de nombreux succès et Chazel reste souvent dans l'ombre, cantonnée à des seconds rôles certes mémorables mais seconds rôles quand même. Il est alors plutôt rigolo de voir ce film comme une réelle petite "vengeance" de la part de Chazel. "La Vengeance d'une blonde" n'est donc pas forcément désagréable à regarder non plus mais est loin d'être mémorable.

Le récit, fastidieux, n’est pas forcément nouveau. La thématique, un brin classique, parfois calculée, pourrait rendre de marbre les inconditionnels du cinéma français. Et pourtant, à l’aube de ses 55 ans, Jeannot Szwarc réussi à insuffler un caractère trempé et « branché » à son long-métrage, qui ne peut plaire qu’à conditionner d’adhérer aux mimiques de Clavier. Coïncidant avec la Line Up des films comiques d’autrefois, « La Vengeance d’une blonde » a, étrangement, bien vieilli. La photographie et l’énergie débordante de nombreux seconds rôles moins prévisibles y sont peut-être pour quelque chose, d’ailleurs…

Dans son rôle habituel d’excité, Christian Clavier est une fois de plus drôle. Il joue ici un présentateur de journal TV qui a de sérieux soucis sentimentaux avec son épouse (une Marie-Anne Chazel vengeresse) et sa patronne (une Clémentine Célarié mangeuse d’hommes). L’imbroglio dans lequel notre comique se débat m’a beaucoup amusé. Thierry Lhermitte et Annie Cordy sont parfaits dans leurs rôles respectifs. Bref, sans être en présence d’un chef-d’œuvre, on passe avec ce film un agréable moment de détente.

Ce film a su réunir une brochette de comédiens de talent qui réussit à merveille sa mission de nous faire passer un bon moment, et qui même entraîne quelques éclats de rires : cette satire acide de la télévision en est-elle vraiment une, même si le film a un peu vieilli ? Christian Clavier reste une valeur sûre du cinéma comique français ! On a droit aussi à une caricature d'émission (mauvaise) superbement interprétée par Thierry Lhermitte et de superbes woman-show de Clémentine Célarié comme dévoreuse d'hommes Un film à voir si ce n'est déjà fait ! Mais éloignez les enfants : il y a en effet une pub outrancière sur une marque de whisky : serait-ce ce beuvrage qui a mis l'équipe dans cet état d'euphorie contagieuse ?
willycopresto

Satire amusante des travers de la course à l'audimat, ce film de Jeannot Szwarc scénarisé par Marie-Anne Chazel notamment, remplit très bien son ouvrage. S'appuyant sur des comédiens très dans le ton, le film distille par petites répliques vaches le mauvais esprit qui peut régner dans le milieu audiovisuel. C'est assez justement observé, un peu caricatural par endroits mais ça reste drôle et toujours d'actualité aujourd'hui.