Malgré le retour des stars Ugo Tognazzi et Michel Serrault, ainsi que d'autres membres de la distribution originale, « La cage aux folles III » est une déception criante. Le changement de réalisateur (Georges Lautner) n'aide pas, avec des réalisations précédentes ne laissant rien présager de bon. Ce troisième opus peine à capturer l'esprit et le charme des films précédents, avec un scénario faible et des dialogues insipides. Les performances, bien que correctes, sont gaspillées dans un récit sans vie qui semble par moments maladroitement forcé. Ce film est un exemple flagrant de la difficulté à maintenir la qualité dans une série de suites. Globalement, il manque d'humour et de cœur, et il vaut mieux oublier cette conclusion malheureuse à la série. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Réalisé par Georges Lautner, ce troisième et dernier épisode des aventures d'Albin et Renato est inférieur à ceux mis en scène par Edouard Molinaro, lesquels n'étaient déjà pas bien fameux. C'est dire la médiocrité d'une comédie poursuivant dans la caricature de l'homosexualité masculine, qui n'a pour elle que le numéro d'acteur de Michel Serrault. Dans le rôle d'Albin, toujours aussi "folle" et émotive, Serrault n'est jamais aussi drôle que lorsqu'il donne l'impression d'improviser, d'inventer, tant dans l'exubérance du personnage que dans ses vague-à-l'âme mélancoliques et faussement tragiques. Quant à savoir quel intérêt le comédien trouve à composer une troisième fois au cinéma un personnage déjà usé... De son côté, Ugo Tognazzi continue de jouer les faire-valoir en tâchant de cacher son ennui. Le scénario est, comme on s'y attend, très léger, pour ne pas dire indigent. Initiée par un héritage promis à Albin à la condition qu'il se marie (quelle bonne blague...mais rappellons que le mariage pour tous n'existait pas à l'époque), la comédie donne dans un vaudeville poussif et sans saveur.
La Cage aux folles III : "Elles" se marient est incontestablement l’épisode le moins connu de la saga mettant en scène Renato Baldi et Zaza Napoli. Cela est tout à fait compréhensible car il constitue également le volet le plus faible. L’histoire n’est pas très intéressante (malgré la présence au générique de Michel Audiard qui signe son tout dernier scénario) et l’humour ne fait plus véritablement mouche (malgré son talent d’acteur, même Michel Serrault ne fait plus vraiment rire). En outre, la post-synchronisation liée à la coproduction est encore plus visible ici (Ugo Tognazzi change encore une fois de doubleur, poste occupé par Serge Sauvion, la voix française du lieutenant Columbo, cette fois-ci) et on est même surpris d’entendre une grossière erreur lorsqu’un personnage annonce que l’héritage est de 10 milliards de Livres alors qu’il est dit pendant tout le reste du film qu’il est de 10 millions ! Cela s’explique peut-être par l’absence de Jean Poiret et Francis Veber au scénario et d’Édouard Molinaro à la réalisation (pourtant remplacé par Georges Lautner qui a signé certains classiques de la comédie comme Les Tontons flingueurs et Les Barbouzes). On notera également que le personnage de Laurent n’est plus interprété par le français Rémi Laurent mais par l’italien Pier Francesco Aiello. La Cage aux folles III : "Elles" se marient est donc une œuvre assez décevante et guère passionnante qui prouve que la série était en bout de course. Heureusement, le moindre succès commercial du film (1,7 millions d’entrées loin des plus de 5 millions du premier volet) fit que la production choisit de ne pas persévérer dans l’exploitation des aventures de Renato et Zaza.
Ce troisième opus de la trilogie "La Cage aux folles" réalisé cette fois par Georges Lautner est assez moyen et c'est le moins réussi des trois. Cette fois-ci, Albin a reçu l’étirage de sa tante mais pour le toucher, il doit se marier et avoir un enfant. Le scénario ne va pas chercher bien loin mais malgré tout, il nous propose quelque chose d'assez original et franchement, on ne peut pas dire que les films se copient les uns les autres puisque qu'ils sont tous différents à ce niveau-là. Vu il y a longtemps, j'avais un bien vague souvenir de ce troisième opus moins connu que les deux autres et je n'en suis pas totalement déçu car je m'attendais à pire. Et puis, ce n'est pas très surprenant étant donné que le deuxième film commençait déjà à s’essouffler. Le scénario nous propose donc une idée plutôt originale mais j'ai l'impression que ça ne décolle jamais vraiment et que ça stagne toujours à un humour assez moyen, comparé aux deux autres qui étaient vraiment très drôles. Nous avons bien quelques gags assez sympas et bien trouvés, notamment toutes les scènes tournant autour de la Reine des Abeilles, mais dans l'ensemble, c'est moins drôle et moins recherché. Malgré tout, l'ambiance est sympa et puis c'est toujours un plaisir de retrouver ce couple hors-norme encore fourré dans une aventure grotesque. On ne s'ennuie pas tellement même si le film possède des scènes un peu longues mais il reste dans l'ensemble homogène concernant le rythme. Du côté des acteurs, nous retrouvons Michel Serrault, Ugo Tognazzi et Michel Galabru qui sont toujours excellents dans leur personnage mais les acteurs de second plan sont quant à eux vite oubliables. "La Cage aux folles III" est donc une comédie plutôt sympa même si elle est loin d'être excellente.
3eme et dernier opus à la trilogie "Cage aux folles"... Bon autant être clair dès le départ, ce n'est pas le meilleur... ça se laisse regarder car le scénario n'est pas si mauvais mais bon... Michel Serrault en fait un peu trop sur ce coup et on sent que la réalisation n'est plus la même (passée entre les mains de Georges Lautner)... A voir pour dire d'avoir vu les 3 et passez à autre chose...
Il est difficle de renouveller le genre sur un 3e Opus, quand l'effet de surprise est passé. Ici nous sommes à St Tropez et le couple Tognazzi / Serrault touche un héritage qui va leur permettre de renflouer leur cabaret. Beaucoup de gags mais souvent prévisibles. Bien sûr l'homo va devoir se marier, ce qui permet beaucoup de quiproquos. Mais la corde est un peu usée,et on ne rit pas souvent.
Un chef-d'oeuvre,une reusite comme les 3 presedant,le duo Serrault et Tognazzi marche toujoure parfaitement bien ,un regale de les retrouer a nouveau.Le senario colle parfaitement bien l histoire et tres tres bien comme tres souvent dans les film de Lautner,qui a repris la reusite d edoire moulinaro parfaitement bien,bref super a mourir de rire pour passer un bon moment.
3ème et dernier volet de la cage aux folles .suite a la mort de sa tante Albin ( michel serault ) est sur le point de toucher un important héritage. Mais pour qu'il puisse toucher l'héritage il est contraint d'épouser une femme et d'avoir un enfant . ... Après deux épisodes très sympathique de la cage aux folles on peut dire qu'on touche le fond avec un 3ème opus clairement décevant. L'histoire de base était intéressante avec Albin contraint d'épouser une femme et d'avoir un gosse et il y avait moyen de faire une bonne comédie avec ce pitch mais tout a été mal exploiter. Le film n'ai pas très drôle avec assez peu de gag . On rit très rarement . Et on sourit qu'à de rare exceptions .on s'ennuie assez avec en plus pas mal de scènes assez ridicules ( Albin déguiser en abeille ) . Michel Serrault devient un peu agaçant par moment . Par contre ugo tognazzi est toujour bon dans son rôle de Renato le compagnon de Albin . Dommage que cette saga sympathique se termine par un 3ème volet pas terrible . Le changement de réalisateur n'a pas jouer en faveur du film avec george lautner qui a succéder pour ce 3ème épisode a Édouard molinaro qui avait signer les 2 premiers films . Malgré tout on gardera un bon souvenir de cette saga grâce aux deux premiers volet très sympa et surtout du premier qui est culte .
Un troisième opus qui ne m'a pas énormément plu . A voir pour Michel Serrault , toujours irrésistible en Zaza Napoli . Dernier film dialogué par l' immense Michel Audiard ...
Rien que pour la gloire, je ne peux m'empêcher de mettre un triple zéro à ce troisième super navet encore plus nul que les deux précédents. J'ai éteint ma télé au bout de vingt minutes tellement c'était insupportable et nul à chier autant que ses aînés. On atteint le fond du panier, le crétinisme absolu et le niveau d'idiotie parfait pour des spectateurs abrutis en mal de cinéma débile.
La cage aux folles III est une comédie un peu décevante de Georges Lautner. La mise en scène du réalisateur est correcte, l’humour est efficace et les acteurs comme Michel Serrault, Ugo Tognazzi ou encore Antonella Interlenghi sont irréprochables dans leurs rôles. Mais la saga s’épuise et on a définitivement perdu l’effet de surprise du premier film. C’est dommage.