Avis : L'Empire du soleil - Page 3

Mauvais film ! 2 h 30 d’ennui ! je me demande encore comment j'ai tenu le coup ! Le gamin est juste INSUPPORTABLE il est con et il arrête pas de geuler c'est juste une horreur en plus quand des gens se font tuer devant ses yeux ba lui il sourit, il rigole parce qu'il y a des n'avions dans les airs ! Ce film accumule des scènes à rallonge qui ne servent strictement à rien à part à me faire perdre mon temps. Le film est une boucle temporelle ! On se balade de camps en camps et c'est tellement la même chose que vous vous demanderez si même la série Derrick a plus d'originalité comparé à ce truc que je vais appeler un film ... Les personnages ne sont pas attachant DU TOUT ils se ressemblent tous et pour finir qui pourrait m'expliquer pourquoi il n'y a que des anglais des américains dans les prisoniers alors que le film est censé se dérouler en chine ? Franchement dommage parce que le scénario était alléchant.

Un film vraiment sans intérêt.
Le scénario est épouvantable.
On se moque éperdument de ce qui peut bien arriver à ce petit fils de riche perdu...
Les acteurs semblent s'ennuyer à débiter des dialogues complètement ridicules.
Le tout manque vraiment trop de vraissemblance, si bien que l'on décroche dès la première demi-heure... et comme le film s'étale à n'en plus finir...
Le pire film de Spielberg...

Film exceptionnel et émouvant. J'écris ce commentaire à chaud, mais j'en ai encore la chair de poule. Christian bale est déja précoce dans ce film ou il éclabousse l'écran de tout son talent. A voir et revoir, un monument du cinéma! Speilberg de son coté nous montre ses multiples facettes de réalisateur extraordinaire

Après "La couleur pourpre", une seconde oeuvre de Steven Spileberg au sujet plus grave basé sur des faits réels contrastant avec ses long-métrages précédents plus familiaux. Sur un épisode méconnu de la Seconde Guerre Mondiale abordé par le point de vue d'un enfant de dix ans, un film qui offre une quantité impressionnante de plans grandioses avec une mise en scène recherchée, basée sur le contraste tant au niveau de la photographie en clair-obscur que dans l'approche des personnages. Un casting imposant avec un Christian Bale plutôt intéressant mais très monolithique. Un film visuellement très beau mais au discours sur le thème de l'enfance et du passage au monde des adultes métaphorique assez difficile d'accès, pas toujours limpide. Paradoxal et à moitié convaincant seulement.

Un très beau films que j'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir. Je ne connais pas bien cette partie de la deuxième guerre mondiale et c'était très intéressant à voir. Steven Spielberg réalise ici un film sublime, avec des plans magnifiques. Ainsi, pendant deux heures trente, on va traverser cette guerre au travers du regard d'un enfant. Une dynamique plutôt plaisante, et un contraste saisissant entre la dureté de la guerre et la naïveté d'un enfant. Christian Bale joue ce rôle à la perfection, et subissait déjà à l'époque des transformations importantes, son regard change au fil du film, son esprit évolue également et cette vision et très intéressante. La bande originale composé par John Williams vient une nouvelle fois sublimer le tout. J'ai été captivée du début à la fin, une très belle découverte.

Je ne suis pas un grand fan de spielberg. La plupart de ses films célèbres ne m’ont pas emballé, et voilà que je tombe sur l’Empire du soleil, film très peu connu de notre cher grand réalisateur. Et c’est la grosse claque ! Histoire crue, mais très belle, superbement filmée, musique qui donne des frissons, direction artistique formidable. Ce film est complètement resté gravé dans ma mémoire. Il est universel, et ne peut que toucher chaque spectateur. Je ne comprends pas pourquoi l’empire du soleil ne fait pas partie des films reconnus et adulés de Spielberg.

Une vision tant bien surprenante qu'intéressante de l'occupation de l'Empire du Soleil, au sein d'une communauté de prisonniers de guerre. Appuyant ses propos sur des faits réalistes, se film dénote malgré tout d'une originalité signée Spielberg. Misant sur un charme inattendu d'un jeune britannique à fort tempérament désordonné, le pari fut réussi. Christian Bale dans sa jeunesse, encore plus convainquant, encore plus vivant, et encore plus passionnant ! Il ne reste qu'à juger de la tournure prise par les successions des valeurs de la guerre, les sentiments des protagonistes et les comparer. D'un côté la raison, d'autre part l'honneur et pour finir le respect. Qui détient l'arme la plus efficace pour sa survie ? Qui a le choix ? A vous seul d'en juger. L'oeil est habilité à décrire et définir, mais cela selon la volonté de l'être le plus pure qu'il vous est destiné d'être.
Revenons donc à ce que l'on sait faire de mieux, sans se demander pourquoi. Il s'agit dans un fond magistrale, d'un univers terrorisé où la flamme de la volonté s'éteint, mais la lueur d'espoir, toujours présent non loin de ceux qui y croient est à saisir. Cela implique prendre des risques, mais cela peut aller à mettre sa vie en jeu, pour un grain de respect. La véritable question à se poser dès lors est : y a-t-il un ennemi autour de moi ? La réponse semble êtres évidente, mais la cause incomprise ou tout à fait ignorée se traduit par le désespoir enveloppant la complicité vers un débat auquel le dénouement ne verra de vainqueur !

Belle adaptation du roman autobiographique de J.G. Ballard dans lequel on retrouve plusieurs thèmes de prédilections de Spielberg, « l’Empire du Soleil » fait partie de ses réalisations les moins connues aux qualités pourtant indéniables, ceci en dépit de certaines longueurs/lenteurs dans le premier tiers. La mise en scène est magnifique et démontre une vraie assurance, la photographie d’Allan Daviau ainsi que la musique de John Williams, fidèles compères du réalisateur, sont splendides et le jeune Christian Bale, alors âgé de 13 ans, y fait une excellente prestation au côté de John Malkovith, Nigel Havers, Miranda Richardson, Joe Pantoliano et Ben Stiller, lui aussi dans l’un de ses premiers rôles au cinéma. Autre élément que l’on a tendance à oublier : l’affiche du film est somptueuse.

Un film qu'on oublie pas, d'une beauté rare.

Un des meilleurs films de Steven Spielberg. Sans concession avec l'oppresseur japonais, le réalisateur de "la Liste de Schindler" et du "Soldat Ryan" réussit parfaitement à retranscrire au cinéma l'ambiance de l'occupation japonaise de la Chine. Une pleine réussite servie par des acteurs dirigés d'une main de maître. Christian Bale (qui n'était pas encore Batman) prouve que Spielberg est un maître réalisateur lorsqu'il met en scène des enfants. Son interprétation est tout simplement sublime. Mais que dire de la réalisation, des plans de panique lors de l'évacuation de Shanghai, des scènes de camp ou de l'éclat de la bombe H à horizon. Un film magistral.

L'empire du soleil ou comment faire l'un des plus beaux films de Guerre tout en étant unique ! Ce film est très différent des autres films de Guerre pour la simple et bonne raison qu'on nous montre tout à travers les yeux d'un enfant, un enfant nommé Jim joué par Christian Bale ( le futur Batman ) dont la prestation est extraordinaire. Ce film montre également tout le talent qu'à Spielberg quand il s'agit de nous émouvoir : les décors sont beaux, la mise en scène est magnifique, la musique est sublime ... Bien qu'il dure environ 2h30, le film entier nous délivre un message, une critique de La Guerre qui peut complètement changer l'esprit d'un enfant, en témoigne la magnifique scène finale où Jim retrouve ses parents. Un grand film de guerre loin des grosses productions d'Hollywood, L'empire du soleil c'est un film d'une profonde émotion !

Spielberg fait du cinema populaire, visible par tous et formaté pour aller dans tous les pays du monde certes. Mais Spielberg fait du bon cinema populaire et des films plus qu'honnêtes : de bons films! Et ce "L'empire du soleil" ne coupe pas a la règle, parce que entre quelques facilités ici et la et quelques passages un peu trop américanisés, trop narratés, trop parfaits, on trouve des passages d'une grande intensité. Entre une photographie toujours sublime, des décors somptueux, la classe d'un Malcovitch et le talent d'un tout jeune Christian Bâle, le long metrage réserve son lot de sensations. Et l'on se souviendra des superbes passages de ce petit garçon face à ces soldats Japonnais, grandioses!

Dans mon souvenir, l'Empire du Soleil c'était un Spielberg un peu trop violons et grand spectacle, un peu boursoufflé aussi... Et bien quelle erreur de jeunesse et de jugement. Je viens de le revoir. La première heure et demi est tout simplement extraordinaire. Et la thématique de l'enfance égarée, du paradis perdu qu'on ne retrouve jamais imprègne complètement le film. La deuxième partie, carcérale, plus statique, nous conte l'apprentissage dans un camps de prisonniers du vice et de la vie par l'enfant devenu adulte un peu trop vite. C'est un ton en dessous de la première heure et demi, la faute à quelques effets melo faciles, mais ça reste d'une force peu commune (la scène du stade, le retour dans le camp). Sacré Spielberg, je vais pas tarder à lui vouer un culte.

Absolument magnifique, un des meilleurs Spielberg. Vu en vostfr et il n'y a pas a dire, Christian Bale crève incontestablement l'écran. Une performance bluffante pour ce jeune prodige de 13 ans qui plus tard protégera Gotham devant la caméra de Chris Nolan , des acteurs parfaits, une histoire prenante et une photographie sublime font de ce film un petit chef d'œuvre a voir et à revoir.

Je viens de le voir en Dvd à l'instant,c'est un tres bon film.